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A la Une de cette édition, l’Union européenne aussi entêtée que Volodymyr Zelensky.
Alors que les Etats-Unis et même LCI s’entendent pour dire que l’Ukraine est en mauvaise posture militaire, Ursula von der Leyen voudrait maintenir son soutien à Kiev, au mépris de plusieurs Etats nations. En tête, la Hongrie et la Slovaquie.
Davide Quadri, âgé de 30 ans, est le secrétaire international de la jeunesse de la Ligue, la Lega Giovani. Il est également engagé dans la direction de la section de la Ligue de Varèse, sa ville située tout dans le nord de l’Italie, près de la frontière suisse. Il travaille au Parlement européen pour le groupe Identité et démocratie (ID), dont la Ligue est membre. Lionel Baland l’a rencontré et interrogé en français pour Breizh-info.
L’écrivain et député néerlandais Thierry Baudet est le président du parti politique néerlandais Forum voor Democratie (Forum pour la Démocratie). Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info.
Breizh-info : Comment expliquez-vous la présence de plusieurs partis patriotiques disposant d’élus à différents niveaux de pouvoir ? Pourquoi le Parlement néerlandais compte-t-il, au fil du temps, des représentants de plus en plus de partis politiques ? Pourquoi les résultats des partis politiques, tant lors des élections que dans les sondages, sont-ils instables ?
Né à Aix-en-Provence en 1990, Paul Farnet est le fondateur de Terre de France, une entreprise d’artisanat français qui compte aujourd’hui sept employés et un réseau de plus de quarante artisans partout en France.
ÉLÉMENTS : Le « made in France » a le vent en poupe, d’Arnaud Montebourg à Emmanuel Macron. On voit cependant au seul énoncé de ces noms, du moins à celui de Macron, que ce « made in France » est surtout un effet d’annonce. Comment faire du « made in France » quand on a délocalisé notre industrie et que cette même industrie repose sur des chaînes de fabrication souvent disséminées dans plusieurs pays ?
PAUL FARNET. Comme sur beaucoup de sujets, les solutions visant à encourager la fabrication française prennent la forme de subventions, de projets gouvernementaux, d’appel d’offres publics… sans s’attaquer à la racine de notre désindustrialisation, c’est-à-dire le différentiel immense entre le coût du travail en France et le coût du travail dans les pays en développement.