entretiens et videos - Page 195
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Gal MARC PAITIER : le VIN au MOYEN ÂGE : premiers siècles chrétiens Ép. 1/3
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Michel Onfray : la mort de l’Homme et le projet transhumaniste d’Elon Musk
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SEMIS DE TOURNESOL ! PULVÉ ET BROYAGE DE LUZERNE
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STOP AU MILITANTISME LGBT DANS LES ÉCOLES !
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[Exclusif] Biopic, Macron, santé… Brigitte Bardot dit tout à Boulevard Voltaire
Boulevard Voltaire. La Lettre ouverte au vitriol que vous avez envoyée à Emmanuel Macron, en janvier dernier, vous a-t-elle valu des opprobres et/ou des soutiens ?
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La Horde : la route mongole du Nord [3/3], avec Marie FavereauLa Horde : la route mongole du Nord [3/3], avec Marie Favereau
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DILATATOR
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Les Conversations avec Jean Marie Rouart - Les Bonheurs de la civilisation française
Après une quarantaine d’ouvrages, Jean-Marie Rouart, l’un des mieux connus de nos académiciens français qui fut deux fois directeur du Figaro Littéraire, consacre un livre étonnant à son père, le peintre Augustin Rouart, maître de ce "réalisme poétique" qui échappa à toutes les modes et dont il s’attache à faire reconnaître l’œuvre. L'occasion de revenir sur sa famille, qui cultiva pendant des générations les Beaux-Arts au point d’accumuler de somptueuses collections (on en aura un aperçu au fil de l’émission), mais aussi sur ses héritages intellectuels et moraux - ceux d’une France qui glorifia toujours la devise des gentilshommes "Vivre Libre", et dont il incarne à merveille le primat accordé à la littérature, et à la langue, dont il est un défenseur acharné contre les dévastations américaines, qu’il n’hésite pas à comparer à une colonisation - notamment contre le franglais. Regardant toutes choses au prisme de la littérature, il lâche au détour d’une phrase : "La Littérature fut l’essentiel de ma vie". Portrait d'un parfait chevalier des Arts et des Lettres...
https://tvl.fr/les-conversations-avec-jean-marie-rouart-les-bonheurs-de-la-civilisation-francaise
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L'universalisme, ou le danger d'une morale hypertrophiée (Arnold Gehlen)
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"RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE" : LA PEUR POUR NOUS FAIRE ACCEPTER LA MISÈRE (pardon, la "sobriété")