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entretiens et videos - Page 192

  • Si on veut mener la guerre à la drogue, il faut la faire ! | Stéphane Ravier

  • Sang Royal, « la vérité sur la plus grande énigme de l’histoire de France », par Jean-Louis Bachelet [ interview ]

    ring
    19/12/2015 – 05h00 Paris (Breizh-info.com) – Depuis le 19 novembre dernier, un livre historique crée une certaine polémique : « Sang Royal » de Jean-Louis Bachelet, paru aux éditions Ring. Dans les milieux de passionnés d’histoire de la Révolution française et du royaume de France, le livre est particulièrement critiqué. Quelle est la thèse principale du livre ? Que, contrairement à ce que soutiennent les Bourbon, Louis XVII, fils de Louis XVI, serait bien mort dans la prison du Temple, à Paris, sous la révolution française.
    En 1833, un horloger qui vit en Allemagne sous le nom de Karl-Wilhelm Naundorff, affirme être le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Le Dauphin était pourtant supposé mort en 1795, à l’âge de neuf ans, dans un cachot de la prison du Temple…

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  • Inflation de rentrée, Chine et BRICS, Charles et Emmanuelle Gave vous disent tout ce qui arrive.

  • Les Titans et les Dieux Entretien avec Guillaume Faye 6/6

    D’autre part, le Catholicisme a commis une gigantesque erreur en voulant se moderniser. Dans les rites, les textes sacrés, comme dans le discours théologal. Cet aggiornamento lui sera fatal. La force de l’Islam, c’est son immuabilité. En revanche, le Paganisme ressemble au roseau de la fable de La Fontaine, face au chêne monolithique d’une religion révélée, il est élan vital, et non organisation contingente bétonnée autour d’un dogme. Sa souplesse provient de son scepticisme et de son réalisme. Le Christianisme en Europe recule face à l’Islam, parce qu’il est opposé à un frère concurrent plus vigoureux que lui ; le Paganisme n’entre pas dans ces querelles de famille. Il est tout autre. C’est pourquoi, dans son entreprise logique et très ancienne — et aujourd’hui reprise — de progression en Europe, l’Islam aura comme principal adversaire la mentalité païenne. Je sais qu’il existe de prétendus Païens favorables à l’Islam. Ils se trompent lourdement, par méconnaissance de ce dernier et ignorent apparemment le sort que le Coran leur réserve, sous la dénomination de mécréants et d’idolâtres : alors que les Juifs et les Chrétiens se retrouveront minorés et soumis (dhimmis), eux, subiront le sort des moutons de l’Aït-el-Khébir. Il suffit de lire la sourate 4 du Coran, enseignée dans toutes les mosquées d’Europe et dans toutes les écoles coraniques pour s’en convaincre.

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  • Les Titans et les Dieux Entretien avec Guillaume Faye 5/6

    Je vais maintenant risquer une prédiction historique, relevant de la pure intuition, qui peut être totalement fausse comme totalement vraie : je vois, en Europe, le XXIe siècle, comme celui de la marginalisation radicale du Christianisme, et de l’affrontement d’un Paganisme protéiforme resurgi de l’ancestrale mémoire, et de l’Islam conquérant. Les Catholiques minoritaires se classeront selon les deux camps. Mais, comme l’avait déjà vu Montherlant en un livre prémonitoire et méconnu (Le Solstice de Juin), dans la guerre des Dieux à venir — et qui a toujours conditionné toute l’histoire humaine — “le Grand Pan est de retour” comme acteur majeur de la conscience européenne menacée.

    • Quel regard portez-vous sur le Judéo-Christianisme ?

    À mon avis, la cause pour laquelle les Paganismes européens ont été, dans l’espace de l’Empire romain, submergés par le Christianisme, fut le chaos ethnique apparu à la fin du IIe siècle. Le Dieu unique salvateur, celui de toutes les ethnies, qui s’adressait d’abord à des individus déboussolés et déracinés, est venu remplacer les divinités tutélaires dans un monde en proie aux désordres, aux divisions, aux guerres. Ma position, qui peut choquer, est la suivante : le Christianisme et l’Islam furent des sectes apocalyptiques qui ont réussi, profitant du chaos pour prospérer, remplacer les religions naturelles et devenir des cultes institués. Bien entendu, le Catholicisme romain ou l’Orthodoxie gréco-slave, par une sorte de compromis historique, de syncrétisme avec le Paganisme ont profondément rompu avec le Judéo-Christianisme des origines — vers lequel l’Église depuis Vatican II veut revenir, au prix, comme par hasard, d’une phénoménale perte d’audience auprès des Européens…

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