entretiens et videos - Page 441
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Avec vol West pour la (re)sortie de Rues Barbares
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PROBLÈME DES BANLIEUES : VOICI POURQUOI L'ÉTAT N'AGIT PAS !
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Entretien avec Éric Lerouge fondateur de Réfléchir&Agir en 1993
« Construire une réelle alternative au nouvel ordre mondial sans vouloir restaurer le monde ancien. »
Il était le meilleur d'entre nous. Fondateur de Réfléchir&Agir en 1993, Eric R. alias Eric Lerouge avait pris du champ pendant dix-huit ans. Divine surprise de cet été, il reprend le combat à nos côtés. Nos lecteurs vont vite (ré)apprendre à le connaître. Retour sur un parcours d'exception.
propos recueillis par Pierre Gillieth
Eric, tu as aujourd'hui une petite cinquantaine mais peux-tu revenir sur les débuts de ton engagement en politique ?
Mon engagement politique est certainement une conjonction de plusieurs facteurs : d'abord, un père ancien parachutiste très marqué par la guerre d'Algérie comme toute sa génération, mais sans avoir été OAS, peu politisé mais très à droite mais version nationale et populaire, qui a vécu 1981 comme un cauchemar, ensuite, dans mes années de collège des amis politisés, des filles plus âgées fréquentant l'extrême-gauche avec qui j'ai fleurté pendant quelques mois et dont je partageais l'esprit antisystème et l'anticapitalisme, ensuite dans mes années lycéennes, la vie quotidienne de banlieue qui se durcissait pour les petits Blancs (vols de deux roues, agressions), enfin, les médias qui relayaient un contexte de violence armée avec des attentats, celui de la gare de Bologne, celui de la rue des Rosiers (rapidement et injustement attribué à la FANE), et un article dans Rock&Folk sur les skinheads anglais en février 1982. C'est donc un mélange ou une synthèse de tout ça, renforcés par la montée électorale et médiatique du FN.
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Victor Aubert - Un constat sur le monde moderne
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Se relever après un avortement : c’est possible
L’abbé Laurent Spriet ayant, comme beaucoup de ses confrères, rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie, vient de publier un ouvrage intitulé Se relever après un avortement. Il offre un rappel de l’enseignement de l’Eglise, une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet a accepté de répondre à nos questions :
Vous publiez des témoignages de femmes blessées par leur avortement. Avez-vous rencontré des femmes qui n’ont absolument aucun regret d’avoir avorté ?
Il existe des femmes qui disent qu’elles n’ont aucun regret de leur avortement. J’ai déjà été en contact avec quelques unes d’entre elles. Cependant, après un avortement, de façon générale : soit les femmes se taisent et souffrent en silence, soit elles expriment très vite leur mal-être et leur souffrance. La plupart exprime leur besoin d’en parler. Mais à qui ?
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Construire demain ! - Conférence d'introduction de l'UDT 2019 présentée par Victor Aubert
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Entretien : Henry de Lesquen
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Le Coronavirus Covid-19 peut dire merci à la mondialisation, à l'Union européenne, et à Macron
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Michel Onfray : “Il nous faut opposer un Front Populaire au Front Populicide qui méprise, néglige et passe par-dessus le peuple”, par Nicolas Clément.
Source : https://www.valeursactuelles.com/
Le 12 avril, Michel Onfray et Stéphane Simon annonçaient la création de leur nouvelle revue de combat : Front Populaire. A travers ce média, le philosophe engagé entend organiser la convergence des souverainismes de gauche et de droite, tout en donnant une voix à l'ensemble du spectre contestataire de la société civile. Son objectif : imaginer “un avenir souverainiste, aux antipodes du rêve anti-social et anti-civilisationnel de Jupiter…” Entretien.
Valeurs actuelles. Quand vous est venue l’idée de créer cette nouvelle “machine de guerre pour la plèbe” ?
Michel Onfray. Le pouvoir m’a évincé de France-Culture où mon cours d’université populaire a été retransmis avec de véritables succès d’audience pendant une quinzaine d’années. Le maire de Caen LR, compatible avec Macron, s’est étonnement mis dans la situation d’être incapable de me trouver une salle pour que je puisse y donner mon cours pendant deux années, je lui avais laissé le choix du jour et de l’heure … L’université de Caen a convoqué un conseil d’administration pour voter massivement contre moi : ils ont refusé de me louer la salle trois mille euros par séance – quatorze étaient prévues chaque année…- sous prétexte que les contenus de mes cours n’étaient pas scientifiques ! Le patron du Zénith, où j’ai une année donné mon séminaire en quatorze séances sur sept jours, a empoché 15.000 euros afin de payer une publicité de l’événement qu’il n’a jamais faite – ce que j’ai rendu public et qui n’a ému personne, pas plus d’ailleurs qu’avec les autres informations… Je me suis donc trouvé à la rue. -
Crise du CORONAVIRUS «Le Socialisme Tue !»