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entretiens et videos - Page 453

  • Marine Le Pen sur les masques et tests -“On a menti aux Français en disant que ça ne sert à rien !”

    Marine Le Pen était l’invité de Patrick Roger et Cécile de Ménibus dans le Grand Matin Sud Radio du 25 mars 2020.

    La présidente du Rassemblement national estime que “la politique du gouvernement de réserver les tests aux cas graves et hospitalisés ne semble pas la bonne pratique“. Selon Marine Le Pen, “la première des choses pour arrêter une épidémie est la connaissance des cas susceptibles de contaminer les autres pour qu’ils puissent eux-mêmes se confiner“.

    Dès le départ, chacun savait que 15 jours de confinement seraient insuffisants“, regrette la députée du Pas-de-Calais. “C’est la stratégie de la torture chinoise : toutes les 48 heures on annonce une nouvelle chose“, s’indigne-t-elle. “Pourquoi ne pas avoir annoncé 45 jours directement ?“. Car pour Marine Le Pen, “si par chance on régule l’épidémie et qu’on peut faire sortir les Français avant la fin des 45 jours, tout le monde aurait été ravi“.

    Pour la présidente du RN, “la parole du gouvernement a entamé la confiance que les Français leur portent, ils ont compris que quand on leur disait que les tests et les masques ne servaient à rien, en réalité c’est que nous en manquions“. Elle pointe du doigt “la cacophonie qui découle d’une erreur initiale : ne pas avoir mis en place dès janvier une cellule de crise et avoir minimiser la crise dès le départ“. Marine Le Pen rappelle que dans un premier temps, “le gouvernement a porté la parole qu’il s’agissait d’une grippe“. Alors, selon elle, “les Français n’ont pas compris ce changement de pied quand ils ont adopté les mesures de confinement. Beaucoup de Français sont aujourd’hui en colère et je peux les comprendre“.

  • Entretien avec Bruno Riondel sur le communisme (1)

    Entretien avec Bruno Riondel sur le communisme (1)

    Nous commençons la publication d’un entretien avec Bruno Riondel, professeur d’histoire à Louis-le-Grand et auteur d’une récente synthèse sur le bilan du communisme: “L’effroyable vérité” (L’Artilleur)

    1) Vous venez de publier une synthèse impressionnante sur un siècle de communisme. Quel est le bilan ?

    Le bilan est terrifiant.

    Sur le plan humain, 80 à 100 millions de personnes ont été tuées, de plus nombreuses encore ont eu leur vie brisée dans les milliers de camps de déportation mis en place par les communistes, partout où ils prirent le pouvoir. Et plusieurs millions de personnes parmi ces victimes du communisme ont été exterminées dans le cadre de deux génocides : l’Holodomor, le génocide ukrainien qui a fait quatre à cinq millions de victimes par la famine organisée, entre 1932 et 1933, et le génocide cambodgien, à la fin des années soixante-dix, qui causa la mort de deux à trois millions de personnes, souvent exécutées par balle où d’un coup de pelle sur la nuque. Dans les deux cas, le crime fut prémédité par les hauts responsables communistes qui, à l’instar du Cambodgien Pol Pot, ambitionnaient de créer un « nouveau peuple ». Le crime fut ensuite mis en œuvre par des exécutants totalement déshumanisés, tel le Soviétique Lazare Kaganovitch, fort justement surnommé le « Himmler soviétique ». Tout historien sérieux reconnait aujourd’hui la dimension génocidaire des crimes de masse ukrainien et cambodgien, Nicolas Werth, l’un des grands spécialistes du communisme, écrivant à propos du premier qu’il est « le seul événement européen du XXe siècle qui puisse être comparé aux deux autres génocides, le génocide arménien et la Shoah ». Même lorsqu’il n’y eut pas génocide (selon les critères stricts de définition), la préméditation des crimes de masse fut une constante dans les régimes communistes, car l’éradication nécessaire de la superstructure culturelle des sociétés, afin d’en créer une nouvelle, justifiait d’exterminer des classes sociales entières, à commencer par les paysans, souvent très attachés à leur petite exploitation et porteurs de valeurs traditionnelles. Félix Dzerjinski, le sinistre fondateur de la Tchéka, la police politique soviétique, justifiait les tueries massives en estimant qu’« il n’existe pas des individualités contre-révolutionnaires mais des classes entières contre-révolutionnaires ». Ainsi, aux millions de koulaks ukrainiens déportés et assassinés par Staline s’ajoutèrent les masses de paysans tués par Mao, Hô chi Minh et par beaucoup d’autres dirigeants criminels.

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  • Coronavirus – Michel Onfray : “Le gouvernement a choisi la pire stratégie”

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    Michel Onfray a donné son avis sur le début de la crise : « pas de stratégie, c’est la stratégie libérale, laissez faire, laissez passer, pas de frontières »

    Découvrez cet extrait tiré de l’émission “L’Heure des Pros 2” (CNews) du 23 mars 2020.

    https://fr.novopress.info/217232/coronavirus-michel-onfray-le-gouvernement-a-choisi-la-pire-strategie/

  • Jean-Pierre Chevènement et Alexandre Devecchio : le monde face au réveil des peuples

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-pierre-chevenement-et-alexandre-devecchio-le-monde-face-au-reveil-des-peuples/

  • Que ferons-nous de cette épreuve ?

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    Par Sylvain Tesson

    Le général Gallet avait commandé la lutte contre l’incendie de Notre-Dame. Il pourrait être chargé de diriger une cellule de crise au temps du virus. Dans les deux cas, lutte contre la propagation. On dit d’ailleurs : « confiner un feu ». Un plan blanc a été déclenché. Médecins, soignants et infirmiers se pressent aux postillons comme les pompiers aux flammes. Ils montent au front, vêtus de blanc. Ils ne décrochent pas. L’héroïsme n’a pas changé de défini- tion : sacrifice de soi. La nation se rend compte qu’elle dispose de ces corps qui acceptent de « sauver ou périr ». Nos sociétés sont bien outillées pour les catastrophes. Ainsi des époques. Dans l’histoire de France, il y a eu des temps bâtisseurs (XIIe siècle), conquérants (Premier Empire), artistiques (Belle Époque). À présent, nous sommes doués pour éteindre les brasiers. La dégradation de l’ordre ancien s’accompagne de l’augmentation des moyens d’urgence. Reconnaissons cela à la modernité : nous savons nous activer sur les décombres. Définition du progrès : amélioration des services de réparation du désastre.

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  • Comment l'agriculture intensive tue les sols

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    « Nous jouons actuellement l'avenir de notre civilisation »

    L’agriculture intensive est dans une impasse. Elle a fondé ses rendements sur l'épuisement progressif des sols. Elle est humainement et écologiquement insoutenable. Avec elle, les sols sont à l'agonie. Depuis plus de trente ans, Claude et Lydia Bourguignon alertent le monde agricole sur cet état de fait d'abord au sein de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) puis en dehors des sentiers battus et rebattus par les agronomes officiels, là où la terre revit. Leur certitude : « Il faut repenser l'agriculture de fond en comble. »

    Le Choc du mois : Pouvez-nous dire en quelques mots en quoi consiste un sol? Comment fonctionne-t-il ?

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  • Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Le Professeur Didier Raoult a répondu au Parisien hier. Cela donne un certain nombre de saillies assez drolatiques – et un solide mépris pour la caste jacassante, qu’on ne saurait lui reprocher!

    Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.

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  • JT de la Dissidence n°3 : Lapierre et la trahison de Macron/ Radio Franche/Dissidence et Coronavirus