entretiens et videos - Page 484
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Fort de son bilan, Macron ose engueuler les Libanais !
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« Les jugements de Cours vous feront blancs ou noirs »
Maître Frédéric Pichon avocat au Barreau de Paris, a été l’un des défenseurs qui a le plus souvent plaidé en faveur des manifestants anti-mariage pour tous. Il a bien voulu répondre à nos questions sur l'étrange pouvoir des juges.
Entretien par l'abbé G. de Tanoüarn
En tant qu'avocat de toutes les causes et parce que, comme chrétien, vous acceptez de défendre les clients les plus compromettants, je veux dire par exemple ceux qui sont politiquement incorrects, pensez-vous, cher Maître, que, dans certains domaines idéologiquement sensibles, la même loi puisse être appliquée de différentes manières selon les justiciables ? Auriez-vous des exemples à proposer ?
La question n'est pas nouvelle. En son temps La Fontaine pouvait déjà dire « Selon que vous serez puissants ou misérables, les jugements de cours vous feront blancs ou noirs ». Ces cours, ce ne sont pas des cours princières, ce sont des cours de justice, ce sont les tribunaux de l'époque que vise le fabuliste. Certes les juges sont impartiaux, par définition. Mais dans la réalité, tout dépend de quel côté vous vous trouvez. Aujourd'hui qu'ils soient de gauche ou de droite, les gouvernements subissent la pression du politiquement correct notamment par la voie de lobbies puissants (féministes, antiracistes, LGBT, etc.) Lorsque je soutenais il y a plus de 20 ans mon mémoire à l'école du Barreau sur le thème « La liberté d'expression et le respect des croyances religieuses », je relevais déjà l'incroyable inéquité entre les atteintes aux symboles chrétiens tolérés au nom de la laïcité, et la répression qui frappe les atteintes aux autres religions. Les choses n'ont pas changé depuis. Ainsi les Femen ont-elles été relaxées, alors qu'elles ont volontairement dégradé l'une des cloches de Notre Dame (photo) et dans le même temps un agent de sécurité de la cathédrale a été condamné pour violences, simplement parce qu'il a tenté de les expulser ! Dans le même registre, on a vu ces jeunes identitaires qui étaient montés sur le chantier en construction de la mosquée de Poitiers -mosquée appartenant à l'UOIF branche française des frères musulmans - condamnés, pour cela, à des peines de prison avec sursis, à une amende incroyablement élevée ainsi qu'à 5 ans d'interdiction civique. Je crains que les choses n'aillent en s'aggravant.
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Zoom – Gérald Olivier : Donald Tump vs Etat profond, dernière ligne droite
L’expérience Trump : aberration ou révolution ? A moins de 4 mois de l’élection présidentielle américaine, le locataire de la Maison Blanche est aux prises avec des forces invisibles : l’Etat profond. Les victimes du covid-19 et l’agitation autour de la lutte raciale lui font perdre des points dans les sondages d’opinion mais rien n’est perdu. Gérald Olivier, journaliste spécialiste des Etats-Unis et auteur d’un dictionnaire intitulé « Sur la route de la Maison Blanche », revient sur le bon bilan économique et social de « l’expérience Trump » et décrypte les enjeux de ce nouveau scrutin. Pour Gérald Olivier, les choses tourneront mal quelque soit le vainqueur de l’élection…
https://www.tvlibertes.com/zoom-gerald-olivier-donald-tump-vs-etat-profond-derniere-ligne-droite
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Les rendez-vous du Parti de la France en septembre 2020
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Meeting du Parti de la France - Paris - 12 septembre 2020
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Adrien Molin : « Nous avons eu beaucoup de retours positifs sur cette action contre l’insécurité à Bordeaux ! ».

Source : https://www.bvoltaire.fr/
Interview d’Adrien Molin, à l’initiative de la banderole contre l’insécurité à Bordeaux déployée sur l’autoroute : « Ici, c’est Bordeaux, pas Chicago ». Il revient aussi sur les premiers pas du nouveau maire de Bordeaux Pierre Hurmic.
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De Black Lives Matter au djihadisme, entretien avec Pierre Rehov, spécialiste franco-israélien de l’anti-terrorisme, par Alexandre del Valle.

Source : https://www.valeursactuelles.com/
Pierre Rehov est reporter de guerre, réalisateur de documentaires, chroniqueur dans la presse française, israélienne et américaine et romancier. Bien avant que le grand public n'entende parler de "Black Lives Matter" et même que n'éclatent les affaires Floyd aux Etats-Unis et Traoré en France, Rehov avait pressenti l'émergence de ce nouveau "fascisme anti-occidental" rouge-black-vert qui unit des suprématistes noirs, des islamistes et des mouvements d'extrême-gauche décidés à détruire de l'intérieur l'Occident judéo-chrétien.
Alexandre del Valle. Vous vivez entre les Etats-Unis et Israël et connaissez bien le fonctionnement des médias américains pour y avoir été souvent invité, comment expliquez-vous la gigantesque médiatisation autour du mouvement Black Lives Matter ?
Pierre Rehov. Officiellement, BLM serait un « mouvement décentralisé appelant à la désobéissance civile et à des manifestations pacifiques pour protester contre la violence policière que subissent les AfroAméricains ». Rien que de très louable, donc, si ce n’est que la réalité est sensiblement différente. L’organisation est en réalité née en 2013 après l’acquittement de George Zimmerman, un Latino accusé d’avoir tué Trayvon Martin, un Afro Américain qui s’était infiltré dans une résidence et l’avait agressé alors qu’il gardait la propriété. L’affaire serait restée un fait divers, puisqu’il s’agissait d’autodéfense, si des politiciens tels qu’Élisabeth Warren et Pete Buttigieg (démocrates)ne s’en étaient emparés, suivis par des médias de gauche hystériques. Le BLM s’est agrandi en 2014 après la mort de Michael Brown et Eric Gardner, tous deux tués par des policiers blancs au cours d’une arrestation. Dans les deux cas, la justice américaine a suivi son cours normal et a exonéré les policiers des charges de meurtre et de déni de droits civiques, tandis que politiques et médias montaient les affaires en épingle. N’oublions pas que le système judiciaire américain fait appel à des simples citoyens, interviewés et retenus par les deux parties, avant de participer à un grand jury, dont le verdict est retenu par un juge professionnel.
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Interview Piero San Giorgio Paris Juin 2020
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LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE (PMA, CHIMÈRES...)
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Me Gilbert Collard : « Je me demande si mon éviction ne sert pas à masquer l’éviction de Nicolas Bay »

Remaniement au sein du RN : désormais, Gilbert Collard et Nicolas Bay ne feront plus partie de la commission d’investiture du parti. S’agit-il d’une purge ? Ou d’un changement de cap sur les orientations du parti ?
Gilbert Collard, qui avoue lui-même avoir brillé par son absence à cette commission, répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Vous n’êtes plus dans la commission d’investiture du Rassemblement national. Comment vivez-vous cette décision ?
En sept ans, j’ai dû y mettre les pieds une fois. Je ne me sens pas très concerné. J’aurais aimé qu’on me prévienne d’une manière plus policée. C’est toujours déplaisant d’apprendre son éviction même si on s’est de soi-même évincé par la presse. Un mail avait été envoyé, mais ce ne sont pas des manières. Je crois que c’est un peu le procès de l’entourage proche de Marine qui est à faire.