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entretiens et videos - Page 841

  • Livre : Parution : Psychologie du socialisme de Gustave Le Bon

    « La foule (des inadaptés) grossit chaque jourgrâce aux importations d’inadaptables dans notre pays complètement apathique, ayant perdu jusqu’à l’instinct du territoire, l’un des plus essentiels »

    Médecin et sociologue français (7 mai 1841–13 décembre 1931), Gustave Le Bon s’est intéressé au désordre comportemental et à la psychologie des foules. Ses analyses de ont connu un grand succès chez certains leaders politiques

    Pour, Gustave Le Bon, le véritable ennemi de l’ouvrier européen n’est pas le patronat avec ses défauts, c’est notamment le travailleur asiatique avec ses qualités…

    Inéluctablement, malgré la grogne, les décrets, les grèves, les syndicats, les défilés, les séquestrations, le niveau de vie des Euro­péens (surtout des Français), baissera, alors que celui des Orientaux s’élèvera. Les fermetures d’usines, le chômage, la délinquance, la démographie quantitativement démentielle, accentueront la décomposition de notre communauté, courbée sous le joug d’une multitude croissante de fonctionnaires paralysant un nombre toujours plus restreint de producteurs nationaux découragés.

    Pourquoi donc, devant de telles évidences, s’accrocher encore au socialisme, puisque le socialisme n’existe pas, n’a jamais existé, et n’existera jamais ?

    Ses doctrines fumeuses sont construites sur d’infantiles impostures puisqu’elles ne tiennent compte en aucune façon de la nature de l’Homme ni des lois de la Vie. Lois féroces, peut-être, mais qui n’en sont pas moins indispensables à la survie de l’espèce. En effet, dans ce monde animal qui est le nôtre, tout ce qui vit se mange l’un l’autre et, justement, ne vit que grâce à ça. Nous subissons tous, maintenant plus que jamais, la terrible contrainte de la sélection (disons concurrence). Pour supprimer cette sélection, comme s’illusionne le socialisme, il faudrait supprimer l’humanité.

    Dans l’époque phénoménale que nous traversons, quelques hommes de caractère, quelques savants, quelques inventeurs (un pourcentage minime), sont à l’origine de bouleversements techniques fantastiques…

    D’autres hommes, contemporains, que d’aucuns appellent nos frères, vivent à peu près comme nous au quaternaire. Vouloir les fondre ensemble est une utopie mortelle. Dans cette pyramide humaine, et contrairement aux lois de la pesanteur, la masse du dessous dépend de la minorité du dessus. Cette minorité, qui semble anesthésiée, est devenue une sorte de gibier pourchassé de toutes parts par la plèbe comme par l’État.


    Gustave Le Bon lançait un cri d’alarme en constatant (en 1898 !), la multiplication des inadaptés

    Cette foule grossit chaque jour grâce aux importations d’inadaptables dans notre pays complètement apathique, ayant perdu jusqu’à l’instinct du territoire, l’un des plus essentiels. L’armée grandissante de ces inadaptés ne cherchera qu’à détruire l’ordre établi à moins que ne surgisse quelque César à poigne d’acier. L’imposture de l’égalité commence seulement à être ressentie comme le danger mortel et définitif de notre patrie.

    Les rares éléments restés lucides, c’est-à-dire inertes à la chimère mondialiste, sont engloutis sous une masse multicolore, hargneuse et constamment revendicatrice. Malheur à celui qui se distingue de la foule par des qualités particulières, une supériorité quelconque et dont la tête tend à émerger.

    Le clou qui dépasse attire le marteau, dit un proverbe chinois (j’allais dire socialiste)…

    Puisque nous parlons proverbe, en voici un, fait sur mesure pour ce livre. De surcroît, il est russe : « Pour que la confiance soit durable, il faut que le mensonge soit solide. »

    Psychologie du socialisme

    D'autres livres de Gustave le Bon sont disponibles chez le même éditeur:

    La Révolution française et la psychologie des Révolutions

    La Vie des vérités

    Immigration chance ou catastrophe ?

    Psychologie de l’éducation

    Psychologie politique et la défense sociale

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukuyAFyEEmZDawNfs.shtml

  • « TV Libertés est un champ libre pour la liberté d’expression »

    Entretien avec Élise Blaise

    Lancée fin janvier 2014, TV Libertés se distingue de la concurrence en étant ouvertement pour la défense et la promotion de la culture et de l’esprit français au cœur des nations européennes. Élise Blaise, rédactrice en chef et présentatrice, nous raconte les premiers pas de cette chaîne Youtube.

    Un an après, quel bilan faites-vous de l’aventure ?

    Comme dirait Georges Marchais, il est « globalement positif » ! À titre personnel, j’ai rencontré Martial Bild, le directeur des programmes, à l’époque où, comme beaucoup d’étudiants, je travaillais le week-end avec mon père. Au fil des discussions, j’ai appris qu’il recherchait des journalistes pour lancer le projet : j’ai posé ma candidature et sauté dans le train en marche. C’était au mois de novembre 2013. Le 30 janvier 2014, tout était prêt pour la grande première, et voilà un an que nous diffusons quotidiennement nos vidéos sur Youtube.

    On dit que ce ne fut pas toujours facile…

    Au départ, c’était une véritable épopée ! Nous sommes partis de rien ou presque. 

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  • Marine Le Pen envoie du lourd dans « Der Spiegel »

    Dans un entretien au quotidien Allemand Der Spiegel Marine Le Pen a dit quelques vérités sur l’Allemagne mais aussi sur l’UE et la crise Ukrainienne.

    Je ne suis pas un propagandiste du Front National et reste très sceptique sur la sincérité de son programme politique comme sur les orientations idéologiques de sa base militante et électorale, mais lorsque des paroles vraies sont prononcées il faut le souligner.

    Madame Le Pen a ainsi le courage de dire certaines choses, courage qui fait malheureusement défaut aux deux partis de gouvernement PS et UMP. Elle a ainsi remis l’Allemagne à sa place en affirmant dans son entretien au Spiegel que la politique économique Allemande était « nuisible pour tous les autres pays », ce que tout le monde admet depuis plusieurs années,y compris le FMI, à savoir que les excédents commerciaux Allemands fondés sur la compression de la demande interne et la déflation salariale, nuisent à l’ensemble de l’économie européenne et creusent les déficits commerciaux de ses partenaires.

    La présidente du Front National a également souligné que les politiques d’austérité imposées par l’Allemagne et son orthodoxie budgétaire, allaient « conduire à l’explosion de l’Union Européenne. »

    Enfin, il faut souligner la prise de position courageuse sur la crise Ukrainienne qui va à contre courant de la pensée unique médiatique et du bloc impérialiste américain. Marine Le Pen a ainsi affirmé avec justesse que l’Europe était « responsable de la crise en Ukraine », se démarquant de toute la propagande de l’OTAN, mais aussi que :

    L’Europe marche à la houlette des Etats-Unis en présentant la Russie sous un faux jour

    Elle a également appelé l’Europe à « se forger sa propre opinion au lieu de voir le monde avec les yeux des Etats-Unis », qui ne cherchent qu’à  « élargir leur sphère d’influence dans le monde, surtout en Europe ; ils défendent leurs intérêts à eux et pas les nôtres. »

    Ah, si seulement Madame Le Pen pouvait prêter sa paire de c….. à la serpillère qui nous sert de président…

    http://lesmoutonsenrages.fr/2014/06/02/marine-le-pen-envoie-du-lourd-dans-der-spiegel/

  • «Pour ceux qui rallient le FN, il y a la possibilité, en dix ans, d’être élu et de faire carrière»

    C’est ce qu’analyse Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, après le ralliement au FN de deux élus d’arrondissements UMP de Marseille…

    Deux élus d’arrondissements UMP de Marseille, Karim Herzallah et Caroline Gallo, ont annoncé lundi qu'ils rejoignaient le Front national. Un ralliement minimisé mardi par Jean-Claude Gaudin, maire UMP de Marseille. Comment comprendre ces transfuges politiques ? Eléments d’analyse avec Jean-Yves Camus, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), spécialiste de l’extrême droite…

    Le ralliement au Front national est-il un phénomène récent et fréquent ?

    Il y a toujours eu des ralliements, des volte-faces, et ce à tous les échelons. Un exemple avec les élections législatives de 1986, au scrutin proportionnel, qui voit 35 députés FN entrer à l’Assemblée nationale. Jean-Marie Le Pen propose des listes «Rassemblement National», qui ressemble à ce qu’a fait Marine Le Pen avec le «Rassemblement bleu marine». Avec le «Rassemblement national», Jean-Marie Le Pen accroche quelques élus d’autres partis qui ont ensuite été élus députés sous l'étiquette FN. Cependant, le ralliement n’a pas duré. Après que Le Pen affirme en 1987 que «les chambres à gaz sont un point de détail de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale», beaucoup partent. 

    Ces ralliements sont-ils en augmentation depuis que Marine Le Pen est présidente du FN ?

    Il y a une hausse du nombre des transfuges, qui rejoignent d’ailleurs plus facilement le Rassemblement bleu marine que le Front national, à l’instar [du député] Gilbert Collard. Une remarque cependant, à propos des deux élus marseillais: Ce sont deux mandats modestes, et cette information ne va pas déplacer les montagnes. Dans tous les cas, les transfuges jouent leur va-tout. C’est un chemin sans retour vers le Front national.

    Quel est le profil type du transfuge au Rassemblement bleu marine et au FN ?

    Aux municipales de mars 2014, une trentaine de candidats issus d’autres partis politiques ont été investis par le FN. Une partie de ces candidats vient des mouvements de Philippe de Villiers et de Nicolas Dupont-Aignan, là où la porosité est la plus grande. C’est un choix rationnel et économique de rallier un parti qui connaît une dynamique électorale, pour bénéficier d'une perspective de débouchés politiques.

    Qu’espèrent ceux qui rallient le Front national ?

    Ces personnes ont l’espoir d’un gain politique. Le FN offre une capacité importante aux candidats d’être investis et de bénéficier d’une trajectoire ascensionnelle. Prenez par exemple Ayméric Chauprade, qui n’avait aucun mandat électif avant d’être propulsé chef de liste en Ile-de-France FN aux européennes, et qui a été élu. Sophie Montel, elle aussi députée européenne, et que personne n’attendait il y a encore deux ans d’être face à face au PS lors de la législative partielle du Doubs. Pour ceux qui rallient le FN, il y a la possibilité, en dix ans, d’être élu et de faire carrière.

    Entre les historiques, la génération Marine Le Pen et les nouveaux venus, comment le parti maintient-il une cohérence idéologique ?

    Le FN est une palette politique hétéroclite, à la direction très centralisée. On a pu retrouver côte à côte des royalistes et des républicains, des collabos et des résistants, quelques gaullistes, des traditionalistes, des pieds-noirs... Même si les nouveaux venus, à l’image de Sébastien Chenu, ne sont pas toujours bien accueillis, les membres du FN sont portés par une dynamique politique et par une vision binaire du monde: «Eux contre nous». Par ailleurs, quand on est détenteur d’un mandat, on veut le garder... et donc on reste dans l’aventure FN.

    notes

    Propos recueillis par Anne-Laëtitia Béraud

    source : 20 minutes : lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EukFyEVlypQkAcICFj.shtml

  • Entrevue avec Frédéric Encel : printemps arabe, Mali, Syrie, Israël, Palestine,