
Berlin explique cette décision par « la forte pression migratoire actuelle vers l’Allemagne » ainsi que par « la suspension persistante des transferts de Dublin par certains États membres », dont l’Italie.
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Berlin explique cette décision par « la forte pression migratoire actuelle vers l’Allemagne » ainsi que par « la suspension persistante des transferts de Dublin par certains États membres », dont l’Italie.
Au programme ce soir, le point sur les aides à l’Ukraine.
L’Union européenne dépense désormais près de 132 milliards pour le pays de Volodymyr Zelensky, soit près du double de l’aide américaine.
Interrogée sur France 2, Marion Maréchal a déclaré :
« Si Jordan Bardella aujourd’hui a changé d’avis et évolué, et qu’il est prêt à travailler et à se mettre autour de la table avec des gens de LR […], avec Reconquête !, moi, j’ai envie de dire : « Allons-y, parlons-en » ».
Elle est allée jusqu’à se dire « à disposition », rappelant que
« le fondement même de [l’]engagement [de Reconquête], c’est de défendre depuis toujours cette coalition et cette alliance des différents partis et hommes de droite ».
Le gouvernement britannique a annoncé ce mardi 12 septembre qu’il comptait désormais recourir aux controversés tests osseux pour déterminer l’âge des migrants prétendant être des mineurs.
L’immigration illégale, la lutte prioritaire du Royaume-Uni. Dans le cadre d’un ensemble de nouvelles dispositions qui seront présentées au Parlement dans la semaine, le gouvernement britannique a annoncé ce mardi l’usage de tests osseux pour déterminer l’âge des migrants prétendant être mineurs.
Toutes les associations sous perfusion s’inquiètent :
« Cela a été un choc. Une surprise totale », glisse, encore étourdi, Nick Aiossa, le directeur par intérim du bureau européen de Transparency International, l’une des grandes ONG qui lutte pour l’Etat de droit et contre la corruption sur le continent. Fin juin, l’Open Society Foundation (OSF), créée par George Soros, a décidé de tourner le dos à quarante ans d’investissements dans la société civile au cœur de l’Europe, et de réorienter ses financements vers l’Ukraine, la Moldavie, les Balkans et le sort des Roms.
Sur plus d’un point, je marque mon accord avec mon ami français Guillaume Faye. Nous avons effectivement besoin d’une utopie positive, d’autant plus que la définition de celle-ci correspond à celle du mythe, telle qu’elle nous a été léguée par Georges Sorel : le mythe est le but des efforts déployés. Le mythe est réalisable mais sa réalisation est difficile et exige beaucoup d’efforts pour arriver au succès dans la lutte, exige aussi le sacrifice de soi mais non pas avec cette joie triste des chrétiens dévorés par les lions, plutôt avec l’extase dionysiaque. Le mythe est une projection du pouvoir, générée par des hommes rares qui forgent une conception de l’avenir. Avant de vouloir, il faut créer un projet, susciter l’émergence d’une vision du monde.
Le mythe est donc un bon atout. Les sceptiques nous diront cependant que nos mythes n’inspirent plus que nous-mêmes. Et parmi ces mythes, il y a la conception fausse d’une Europe unie.
Extrait d’un entretien donné par Marion Maréchal au JDD :
Vous avez rallié Éric Zemmour après avoir quitté la politique. Que répondez-vous à ceux qui doutent de votre engagement ?
Dix ans après ma première élection comme députée puis présidente d’un groupe de 40 élus à la région PACA, je suis aujourd’hui maman de deux filles et j’ai fondé une école d’enseignement supérieur. Je crois fondamentalement que la politique peut changer les choses à condition que les Français élisent des hommes et des femmes qui fassent preuve de cohérence ; si je reviens comme candidate aux élections européennes, c’est avec une expérience plus grande et une volonté plus forte que jamais. […]