Europe et Union européenne - Page 177
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Retour sur la manif du 24 : Pour Une Europe Qui Protège
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Les censeurs politiquement très orientés à gauche sont prêts à tout pour conserver leur hégémonie
Carla Montet -
Les parlementaires européens vivent hors du réel, portés par une sorte de ministère de la propagande qui les maintient au pouvoir.
Avec des sanctions suicidaires contre la Russie, puis l'explosion des gazoducs, nous avons pris conscience de l'ampleur de leur soumission aux USA. Nous savions déjà que le Parlement Européen était profondément infiltré par Soros, mais ce qui se passe depuis la guerre en Ukraine arrive encore à surprendre les plus désabusés.
Les empires médiatiques européens sont au service de l'idéologie progressiste, leurs journalistes filtrent les informations dans ce sens; les nouvelles qui nous arrivent quotidiennement de la guerre en Ukraine en sont un exemple flagrant.
Mais le train-train de l'armée des fact-checkers et des algorithmes censeurs vient d'être bouleversé par le rachat de Twitter par Elon Musk, qui a restauré les comptes de personnes ayant exprimé des opinions dérangeantes aux yeux des progressistes.
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Plafonnement du prix du pétrole russe: la Russie cessera de livrer du pétrole aux pays européens (Moscou)
par Modeste Dossou.
Alors que les pays européens soutenus par les Etats-Unis, ont procédé au plafonnement du prix du pétrole russe, les réactions de la part des Russes ne se sont pas fait attendre. Au Kremlin on refuse d’accepter cette mesure et du côté des représentations c’est la fin des livraisons de brut russe à l’Europe.
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Viktor Orbán : « Les sanctions contre la Russie ne nous ont pas rapprochés d’un millimètre de la fin de la guerre »
BI - Dans son allocution radiophonique habituelle du vendredi matin sur Kossuth Rádió, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a parlé du prix économique des sanctions, de l’évolution de la situation concernant les fonds européens retenus par la Hongrie et de la crise migratoire qui se profile à l’arrière-plan.
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Une analyse de la « démocratie illibérale » de Viktor Orbán
Cet article est publié dans le cadre d’un partenariat avec la revue The European Conservative. Les opinions, analyses, commentaires développées dans le texte n’engagent que son auteur.
La « démocratie illibérale » est aujourd’hui une expression très utilisée et traditionnellement condamnée par les progressistes, les gens de gauche et les « conservateurs » à l’américaine. Nombre d’entre eux la considèrent comme une attaque non seulement dirigée contre les valeurs d’aujourd’hui, mais aussi contre le cadre libéral – considéré comme une protection contre la tyrannie – sur lequel seraient fondés les systèmes politiques occidentaux et qui trouve son origine dans la période prémoderne. De quelque manière que ce soit, implicite ou explicite, beaucoup ont déclaré que la vraie démocratie ne peut être que libérale.
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Vu des États-Unis : « L’Europe montre un lien clair entre immigration et criminalité »
Sur le média :
RealClearPolitics (RCP) est un site Web américain d’informations politiques et un agrégateur de données de sondage, créé en 2000 par John McIntyre, ancien trader en options, et Tom Bevan, ancien chargé de clientèle d’une agence de publicité. Le site présente une sélection d’articles d’actualité politique et d’articles d’opinion provenant de diverses publications, ainsi que les commentaires de ses propres contributeurs. Le site est très en vue pendant les saisons électorales pour son agrégation des données des sondages.
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L’Union européenne gèle 13 milliards destinés à la Hongrie : un avertissement aux pays tentés par la dissidence ?
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L'UE tire la sonnette d'alarme contre la concurrence déloyale des États-Unis. Mais ils sont sourds à Rome
Augusto Grandi
Un peu moins de 400 milliards de dollars de subventions pour soutenir les industries vertes américaines dans le cadre de la loi sur la réduction de l'inflation. Et même à Bruxelles, ils se réveillent de leur léthargie servile envers Washington. A Bruxelles, mais pas à Rome. Un atlantisme toujours présent, aveugle et absolu. "Les États-Unis", a expliqué Tonino Pikula, député européen et chef de la commission des relations transatlantiques, "poursuivent un programme national protectionniste et discriminatoire envers leurs alliés".
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Guerre en Ukraine : le malheur des Européens fait la prospérité de l’Amérique de Biden
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La Commission européenne recommande de geler 7,5 milliards de fonds européens destinés à la Hongrie
Les réformes engagées par Viktor Orban n'auront pas suffi selon Bruxelles. Sous la pression du Parlement européen, la Commission européenne a recommandé ce 30 novembre de geler 7,5 milliards d'euros de fonds de cohésion destinés à la Hongrie et 5,8 milliards du plan de relance tant que des réformes en matière de justice et de lutte anticorruption n'auront pas été correctement menées. Les Etats membres ont jusqu'au 19 décembre pour se prononcer à la majorité qualifiée.