
Certaines statistiques sonnent comme des gifles pour nos gouvernants européistes et mondialistes, toujours si certains de la supériorité de leur politique. Ainsi de la révision des perspectives économiques du Royaume-Uni. Le Monde, peu suspect d’excessive sympathie pour le Brexit, est bien obligé de le reconnaître : « L’économie britannique (est) finalement nettement plus solide qu’annoncé », annonçait le quotidien du soir sur son site le 4 septembre. Les Echos titrait aussi le 1er septembre : « La révision des chiffres du PIB (Produit intérieur brut) place le Royaume-Uni parmi les meilleurs élèves en Europe ».