Europe et Union européenne - Page 222
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Hervé Juvin interpelle le ministre Franck Riester sur la relocalisation
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Il serait temps que les Français le comprennent : malgré les ronds de jambe d’Emmanuel Macron, l’Allemagne n’est pas un allié fiable.
L’Allemagne se montre manifestement trop complaisante avec la Russie dans la crise ukrainienne, répète-t-on à Kiev. Mais l’accusation circule également dans plusieurs capitales occidentales, y compris… à Berlin, où une partie de l’opposition au gouvernement d’Olaf Scholz en profite pour souligner certaines contradictions de sa politique étrangère. Or, Paris se veut plus discret pour ne pas entraver la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne, tant vantée par Emmanuel Macron.
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Contre Bruxelles, Carlos Tavares annonce le chaos social. Et s’il avait raison ?
Ce 18 janvier, le patron du jeune groupe automobile Stellantis n’a pas mâché ses mots à l’encontre de la politique industrielle imposée de la Commission européenne. Il lui adresse – par le biais d’une interview faite à Paris et publiée simultanément par quatre journaux européens (Les Échos, Handelsblatt, Corriere della Sera, El Mundo) - une sévère mise en garde quant aux conséquences sociales graves que risque d’entraîner son plan de décarbonation de l’industrie automobile par le tout électrique.
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Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités
Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, et notamment à certaines décisions de la Cour de justice de l’UE, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités. Ce n’est pas tout, l’exécutif communautaire menace également de prélever cet argent sur les fonds du plan de relance européen en cas de retard.
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CE QU'IL MANQUE AU PATRIOTISME FRANÇAIS
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Le discours de Macron au Parlement européen
Mercredi, le chef de l’Etat a prononcé devant les eurodéputés réunis à Strasbourg le traditionnel discours marquant le lancement de la présidence tournante de l’UE, que la France exercera jusqu’au 30 juin. Une intervention, à vrai dire, sans grande surprise, puisque Emmanuel Macron y a une fois de plus manifesté son européisme absolu, en défendant un projet qui ne fera qu’accentuer encore un peu plus la mainmise de Bruxelles sur notre pays. Des propositions dont la toxicité n’a cependant pas échappé à une partie de l’opposition, droite nationale en tête, qui n’a pas hésité à interpeller le président en plein Parlement européen.
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Macron, président de l’UE : le fiasco – JT du jeudi 20 janvier 2022
Au programme ce soir, une entrée en matière compliquée pour Emmanuel Macron à Strasbourg. Alors qu’il devait présenter sa vision de la présidence française de l’UE, il a été accueilli par l’hostilité et la colère de certains journalistes.
Également dans l’actualité, la nouvelle journée de grève dans les écoles. Alors que les enseignants et les parents n’en peuvent plus des protocoles décidés par Jean-Michel Blanquer, le ministre est au cœur d’une polémique qui le ridiculise.
Et puis nous partirons ensuite aux Etats-Unis, où les mesures sanitaires s’allègent aussi peu à peu dans de très nombreux Etats.
https://www.tvlibertes.com/macron-president-de-lue-le-fiasco-jt-du-jeudi-20-janvier-2022
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Jordan Bardella à Emmanuel Macron : « votre mandat (…) , pour la France comme pour l’Europe, il est vital qu’il reste unique »
Le député européen du Groupe Identité et Démocratie au Parlement européen Jordan Bardella, a tout sauf mâché ses mots à l’égard du chef de l’Etat.
A la suite du discours d’Emmanuel Macron à la présidence française du conseil de l’Union européenne, Jordan Bardella a respecté sa promesse, celle de « parler d’immigration » au président.
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Jordan Bardella : « L’Union européenne est un gigantesque racket financier et une passoire »
Le président par intérim du Rassemblement national et député européen est intervenu sur CNews dans Morandini live, pour décrire le contenu de son intervention face à Emmanuel Macron. Le président de la République est ce mercredi à Strasbourg pour son discours sur la présidence française du conseil de l’union européenne.
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Pourquoi la présidence européenne sera le tombeau du président Macron
Lors de son discours d’intronisation à la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), Emmanuel Macron répondra à la question : « Qu’est-ce qu’être européen ? », selon Le Parisien de ce 18 janvier. De Strasbourg, le président de la République, en pleine campagne électorale même s’il n’est toujours pas candidat, parlera une vingtaine de minutes. Il devrait balayer la souveraineté européenne, la réforme de la zone euro, les transitions écologique ou numérique. Les sondages d’opinion ne sont pas très vaillants depuis quelques jours, à l’image du sondage Cluster17-Marianne où il apparait à 22,5%, en recul de 0,5 point sur la vague précédente. Macron compte sur son podium européen pour redonner du souffle à une campagne qui commence à en manquer.