par Marco Bersani.
Ce dénouement a été préparé en plusieurs étapes.
La première s’est produite le 9 octobre, lorsqu’une gestion « irréfléchie » de l’ordre public à Rome a permis à des groupes néofascistes de prendre d’assaut le siège national de la CGIL, après l’avoir annoncé deux heures plus tôt depuis le podium de la Piazza del Popolo.