La question de Bruno Gollnisch devant la commissions des finances et des affaires européennes de l’Assemblée nationale recevait en audition M. Benoît Coœuré, membre directoire de la Banque centrale européenne, mercredi 13 mai 2015.
Europe et Union européenne - Page 819
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Commission des affaires européennes à l’Assemblée Nationale : audition de Benoît Cœuré
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Bolzano : des présumés réfugiés protestent….
..."nous voulons de l'argent et nous ne voulons pas aller à pied"Leur installation à l'Hôtel Alpi à Bolzano ne leur plait pas à tous. Certains d'entre eux se plaignent "d'un traitement inadéquat" et se demandent pourquoi, l'état italien leur ayant soi-disant promis de l'argent, ils n'ont rien reçu depuis un mois.Ces pseudos réfugiés ignorent qu'en Italie il y a des chômeurs avec 4 enfants qui n'ont pas été payés depuis des mois. D'ailleurs, un d'entre eux s'est suicidé en mars....En outre, ils se plaignent aussi du fait qu'ils doivent parcourir à pied la distance entre l'hôtel et l'endroit où sont servis leurs repas gratuitement, bien entendu. [...] -
Immigration clandestine – Bruxelles rassure l’ONU : « Aucun immigré ne sera renvoyé hors d’Europe »
Federica Mogherini discute actuellement avec l’ONU de la possibilité d’une intervention navale contre les passeurs d’immigrés de la Méditerranée. Double langage difficile à tenir pour celle qui plaide pour la manière forte mais qui assure en même temps que personne ne sera renvoyé à son point de départ.
La politicienne italienne Federica Mogherini, ancien ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement de gauche de Matteo Renzi, est désormais le Haut Représentant de l’Union européenne « pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ».
Lundi, à New York, Mme Mogherini a présenté au Conseil de sécurité les nouveaux plans de l’Union européenne sur « l’urgence migratoire », pour lesquels elle souhaite obtenir le soutien de l’ONU. Elle a tenu avant toute chose à « rassurer » ses auditeurs : « aucun réfugié ou migrant [sic] intercepté en mer ne sera renvoyé contre son gré. Notre première priorité est de sauver des vies et d’éviter de nouvelles pertes en mer ».
Comme aime à le faire la gauche italienne, Mme Mogherini a cité « le pape François, selon lequel “l’histoire des migrants nous fait pleurer et nous fait honte.” Je vous lance un appel pour que nous cessions de pleurer et d’avoir honte », a affirmé le chef de la diplomatie européenne.Ces démonstrations de bons sentiments sont vraisemblablement destinées à amadouer les représentants du Conseil de Sécurité, notamment la Russie et la Chine, par principes réticentes à toute ingérence extérieure dans les affaires des Etats, c’est aussi pourquoi Federica Mogherini a plaidé pour une opération uniquement navale qui permettrait d’arraisonner les bateaux de passeurs.
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TVL : Javier Portella sur la situation politique et migratoire de l'Espagne
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François Asselineau se lâche sur beur FM ! vidéo incroyable.
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Pologne : la gauche disparaît
Lors du 1er tour des élections présidentielles en Pologne dimanche 10 mai, 3 candidats de droite sont arrivés en tête, tandis que la gauche a été proprement éliminée :
- 1er le candidat de Droit et Justice avec 35% (le parti du défunt Lech Kaczyński)
- 2è Plate-forme civique avec 33% pour le président sortant (démocrate chrétien proeuropéen)
- 3è 20% pour l'indépendant Paweł Kukiz droite nationale (il s'est fait remarqué pour son opposition à la fécondation in vitro et à l'adoption par des homosexuels).
Magdalena Ogorek, candidate soutenue par l’Alliance de la gauche démocratique (SLD) mais qui se voulait la représentante de toute la gauche, a recueilli 2,4% des suffrages.
Le 2è tour aura lieu dimanche prochain entre les 2 candidats arrivés en tête.
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Droit d’asile : quand l’enfer est pavé de bonnes intentions
Le président-dictateur général de Bruxelles, qui fait la pluie et le beau temps en Europe, propose d’imposer des quotas d’accueil aux pays européens.
À première vue, la tribune de Bernard Cazeneuve parue dans Le Figaro d’hier sous le titre « La réforme du droit d’asile ne peut plus attendre » pourrait passer pour un retour au réel. La lecture de son texte montre qu’il n’en est rien, alors que, de son côté, Jean-Claude Juncker propose des quotas obligatoires d’accueil aux pays d’Europe.
Cazeneuve constate le drame humain qui se joue en Méditerranée, et le relie assez lucidement au chaos libyen. Il poursuit en ces termes : « Ni l’Europe ni la France ne peuvent rester aveugles à cette réalité. C’est pourquoi il est plus que jamais urgent de moderniser notre système de l’asile, afin de nous donner les moyens d’accueillir sereinement ceux qui relèvent de notre protection. » Et c’est là que les choses se gâtent.
Car le ministre se garde de définir ceux qui ont besoin de notre protection… Évoquant ensuite la saturation des centres d’accueil, de même que l’allongement du délai de traitement des procédures administratives, il ne propose évidemment pas une politique de fermeté, mais une « solution » typiquement socialiste : le gouvernement « a créé 4.000 places supplémentaires en CADA en deux ans et se fixe l’objectif d’en ouvrir 5.000 de plus d’ici à 2017, afin que ce type d’hébergement soit enfin la norme pour les demandeurs d’asile accueillis en France. » En clair, face à la déferlante migratoire (que, sans crainte de la contradiction, le ministre réfute par ailleurs), ouvrons plus grand les guichets d’accueil.
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Nigel Farage reste à la tête de l'Ukip
Lu ici :
"Le comité exécutif de l'Ukip, parti que Farage a cofondé en 1993, n'entendait cependant pas se passer aussi longtemps de son charismatique leader : il a refusé d'entériner la démission de Farage, qui reste donc de fait à la tête du parti.
"Comme promis, Nigel Farage a remis officiellement sa démission en tant que leader de l'Ukip au parti. Elle a été refusée à l'unanimité par les membres du comité (...) Sur ces bases, Nigel Farage a retiré sa démission et reste président de l'Ukip"Nigel Farage va désormais concentrer ses efforts pour que le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne promis par le premier ministre David Cameron pour 2017 soit organisé plus tôt, « avant Noël 2015 », réclame-t-il.
Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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L'UE veut imposer des quotas de migrants
L'Union Européenne montre au quotidien sa volonté de ne respecter ni la volonté des peuples ni la souveraineté des nations qui la composent :
"L'équipe Juncker veut mettre en place un «mécanisme de distribution» pour les seuls réfugiés qui «ont clairement besoin d'une protection internationale», d'après le document de travail consulté par Le Figaro. Pour chacun des pays de l'UE, la clé de répartition tiendrait compte du PIB, de la population, du taux de chômage et du nombre de demandeurs d'asile déjà volontairement pris en charge.
Ce serait un système temporaire, face à l'urgence, en application de l'article 78.3 du traité de Lisbonne. Mais l'ambition est affichée de pousser plus loin, dès la fin de l'année: un système «permanent», «automatique» et «obligatoire» de transfert à travers toute l'Europe des échoués de la Méditerranée et autres demandeurs méritant l'asile, selon les textes en préparation. Ces quotas, quel que soit leur nom, sont de la dynamite politique."
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Tensions en Macédoine après la mort de vingt-deux personnes dans des affrontements
La police macédonienne a affirmé dans la soirée du dimanche 10 mai avoir mis fin à une opération lancée la veille contre un groupe d’insurgés d’origine albanaise qui a fait 22 morts et 37 blessés à Koumanovo, dans le nord du pays, à la frontière avec le Kosovo.
« L’opération est achevée. Le groupe armée est neutralisé. La zone est sous le contrôle de la police », a déclaré àun porte-parole des forces de l’ordre, Ivo Kotevski.
Les assaillants, présumés albanais et décrits comme « terroristes » par le gouvernement, sont venus « d’un pays voisin » pour attaquer « les institutions de l’Etat » dans la région de Koumanovo, à une quarantaine de kilomètres au nord de la capitale macédonienne, Skopje.
Ces incidents inquiètent l’ensemble des Balkans. L’Union européenne s’est également déclarée « profondément préoccupée » par ces violences, qui réveillent la crainte d’un conflit similaire à celui de 2001, qui avait opposé les rebelles albanais aux autorités de l’ex-république yougoslave de 2,1 millions d’habitants, à majorité slave orthodoxe.
Koumanovo en état de siège
Dimanche matin, des combats sporadiques s’étaient poursuivis dans cette ville à majorité albanaise musulmane. Des troupes d’élite, des transports de troupes blindés, des policiers casqués et portant des gilets pare-balles avaient bouclé la localité, où étaient retranchés les membres du groupe. Des hélicoptères des forces de l’ordre survolaient la ville.
La suite sur Le Monde.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tensions-en-Macedoine-apres-la