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Europe et Union européenne - Page 815

  • Immigration, le référendum slovaque dont les médias ne vous parleront pas – « La Slovaquie n’est pas l’Afrique », clame le peuple

    Slovaquie n'est pas l'Afrique

    L’immigration semble partout s’imposer comme le sujet du moment.

    Un accord de coopération en matière d’asile signé le 21 juillet 2015 entre la Slovaquie et l’Autriche prévoit que 500 « réfugiés » qui séjournent au centre d’accueil de Traiskirchen en Autriche seront transférés en Slovaquie où ils seront hébergés dans un bâtiment désaffecté au sein de l’Université technique slovaque située à  Gabcikovo.

    Gabcikovo se trouve en Slovaquie. à la frontière Sud-Ouest du pays, proche de l’Autriche, dans une région de langue hongroise.

    Mais le maire de  Gabcikovo ne l’entend pas de cette oreille.  Le dimanche 2 août 2015, il a donc organisé un référendum dont les médias du système se garderont bien de vous parler.

    La question était simple et demandait si la population de cette municipalité de 5.100 habitants était d’accord d’accueillir 500 immigrés.

    La réponse a été aussi claire que la question. Les 50 % de participation des habitants nécessaires à la validité du référendum ont été largement atteints et les habitants ont dit « Non » à 97 %.  

    http://www.medias-presse.info/immigration-le-referendum-slovaque-dont-les-medias-ne-vous-parleront-pas-la-slovaquie-nest-pas-lafrique-clame-le-peuple/36597

  • Des paysans et de la terre de France

    Depuis le bon roi Henri IV le Vert Galant, « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » comme aimait à le dire son excellent ministre Maximilien de Béthune duc de Sully.

    Le labourage était alors ce qui correspond aujourd’ hui à l’ agriculture : c’ est à dire la culture des plantes et des céréales ; le pâturage était donc ainsi ce qui correspond aujourd’ hui à l’ élevage des animaux et essentiellement et plus particulièrement les ovins tels les moutons et les caprins ainsi que et surtout les bovins et les équidés le plus souvent dans les prairies ou en alpages à proximié. Les lapins, les volailles et les cochons étaient élevés dans des espaces clos réduits et même ces derniers accédaient fort peu aux prairies réservées aux ovins, caprins, équidés et bovins… même s’ il arrivait que la nature permit aux volailles et, en particulier aux palmipèdes, de parcourir lesdites prairies, voire d’ accéder aux eaux courantes pour les derniers.
    Dans notre monde moderne post-industrialisé et tertiarisé, l’ agriculture est vouée à la disparition par la république préférant la mal-bouffe aussi artificielle qu’ importée et que dire de l’ élevage si ce n’ est qu’ il est déjà en cours d’ extinction par la volonté républicaine préférant les produits étrangers ? Autant dire que l’ agriculture française est dans une situation d’ impasse fort catastrophique et que l’ élevage se trouve d’ ores et déjà en situation désastreuse. Voilà la détresse républicaine.

    Aujourd’ hui, je vais traiter de ce dernier à l’ occasion des journées d’ actions multiples des éleveurs en cette fin juillet 2015, laissant à plus tard l’ agriculture à moins qu’ un autre contributeur à Euro-Reconquista s’ y attelle.
    In limine, à titre historique, il convient de rappeler qu’ il y a encore cinquante, soixante ans, la plupart des agriculteurs étaient aussi éleveurs et vice-versa. Au demeurant, la plupart des exploitations se livraient à une agriculture diversifiée allant des grandes cultures des céréales aux petites cultures des légumes et à l’ arboriculture en particulier des arbres fruitiers ainsi que la vigne jusqu’ à l’ élaboration du vin sans oublier l’ indispensable bois fournissant matériaux et combustible ; de même, la plupart des exploitations se livraient à un élevage diversifié allant des bovins et des équidés aux ovins et caprins mais aussi aux volailles de toutes sortes jusqu’ aux lapins, sans omettre plusieurs cochons au minimum par exploitation et même les simples particuliers en élevaient souvent un ou deux par an. En bref, les agriculteurs-éleveurs étaient généralistes et, non seulement étaient en autosuffisance permettant l’ autarcie au moins alimentaire voire plus mais, même en cas de contrariétés climatiques et/ou naturelles, de mauvaises saisons ou années, d’ épidémies et autres fléaux, ils étaient si diversifiés dans leurs activités que les pertes de certaines de ces dernières étaient largement compensées par les bénéfices des autres. La sagesse paysanne expliquait qu’ il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier.

    Certes, il existait déjà des exploitations plus spécialisées : dans certaines grandes cultures, les maraichages, le tabac, la vigne… les équidés, les bovins, les caprins, les ovins, les porcins… mais aussi les canards, les oies… mais elles demeuraient l’ exception et celles-ci étaient viables car il arrivait aussi que des exploitations généralistes fassent appel à des spécialistes… notamment dans l’ élevage… par exemple pour les saillies par des étalons des haras ou pour les poulinages par des juments dans les jumenteries… mais les exploitations demeuraient dans l’ ensemble très autonomes y compris malgré ces collaborations ponctuelles. Les exploitations étaient alors rentables et les paysans, ainsi qu’ étaient alors appelés les agriculteurs et les éleveurs, gagnaient bien leur vie sur le plan financier et constituaient un important patrimoine, malgré la tronçonneuse d’ abattage qu’ était déjà le code civil républicain, alors même que les paysans étaient très nombreux et employaient une main d’ œuvre très nombreuse créant le lien social qui nous fait si cruellement défaut aujourd’ hui et animant ainsi nos campagnes riantes assurant une excellente occupation du territoires jusque dans les endroits les plus reculés. Le nom même de paysan démontrait même à quel point ils étaient inséparables de leurs terres et de la France même : très attachés à leurs terres comme à la France royaume du Fils aîné de l’ Eglise, ils étaient l’ essentiel dans tous les sens du terme de la France et des Français et donc se situaient parmi les plus honorables et honorés et donc récompensés pour leur labeur.

    Certes, à cette époque bénie et que certains qualifieront, de fort mauvaise foi, d’ imaginaire, il n’ y avait ni crédit agricole ou patate, ni mutualité sociale agricole… ni même de groupama… et pourtant les exploitations et les paysans étaient prospères et se développaient sans cesse… se modernisant constamment pour rendre la France non seulement autosuffisante mais aussi exportatrice. Les paysans connaissaient alors une vieillesse digne et heureuse dans le respect qui leur était dû et au milieu de leurs familles ; ils ne finissaient pas leurs vieux jours dans la misère du fait d’ une retraite symbolique versée en échange de très lourdes cotisations durant 4 et 5 décennies voire plus. L’ agriculture et l’ élevage étaient le pétrole vert de la France. Ah, il n’ y avait pas non plus de politique agricole européenne… et les étrangers n’ envahissaient alors pas la France pour s’ y voir attribuer force allocations de toutes sortes sans jamais y travailler.

    De très nombreux paysans… plus de huit millions en 1950… soit plus de 20 % de la population française… alors de moins de 40 millions d’ habitants… et des troupeaux de une vache à quelques vaches… une vingtaine de vaches étaient déjà un très grand troupeau… les troupeaux de plus de cent têtes étaient rarissimes… un troupeau de cent moutons était déjà un très grand troupeau… laissons de côté les chevaux très nombreux mais essentiellement destinés à la traction… à chaque fois de très nombreux domestiques de ferme et ouvriers agricoles spécialisés… bergers, chevriers, pâtres… en moyenne, une douzaine pour un troupeau de cent moutons par exemple… une demie-douzaine pour une vingtaine de vaches et bien plus s’ il s’ agissait de vaches laitières… ceci sans compter que toute la famille était aussi très impliquée dans l’exploitation… tous les enfants du chef d’ exploitation mais aussi très souvent les frères et sœurs et leurs conjoints et tous en vivaient fort bien…

    Aujourd’ hui, un troupeau de 500 moutons est un petit troupeau et n’ emploie plus que deux personnes au maximum dans le meilleur des cas : les deux conjoints. Rares sont les troupeaux de moins de cinquante vaches… la moyenne est au dessus de 80 têtes et les troupeaux de plusieurs centaines de têtes sont très nombreux… il existe même des troupeaux de plus de mille têtes… mais un homme seul suffit jusqu’ à une centaine de têtes et le conjoint s’ y met s’ il s’ agit de laitières… deux à quatre pour plusieurs centaines de têtes… une demie-douzaine suffit pour plus de mille têtes… ne parlons pas des porcins dont l’ élevage est hyperindustrialisé avec un homme pour plusieurs centaines de têtes ! En résumé, l’ élevage est de plus en plus intensif, industriel et accéléré… et nécessite des investissements de plus en plus lourds afin de limiter la main d’ œuvre générant ainsi de plus en plus de chômage… parfois au détriment de la qualité… celle-ci alourdissant considérablement le coût de production quand elle est privilégiée… et, dans tous les cas, l’ endettement galopant conduit à d’ autant plus de faillites que la baisse des prix est accentuée par la concurrence étrangère souvent de moindre qualité. Et les faillites entraînent les suicides : le monde paysan aujourd’ hui réduit à moins de 100000 exploitations, pour environ 60 millions de Français de souche française et européenne et plus de 20 millions d’ afro-arabo-mahométans, est surreprésenté parmi les suicidés.

    Pour compromettre l’ élevage français, tout a été organisé depuis plusieurs décennies pour faire disparaître les éleveurs du circuit de distribution et de leur accès au réseau de bouchers indépendants lesquels sont aussi en cours d’ extinction au demeurant… des bouchers qui n’ ont plus le droit d’ abattre eux-mêmes les bêtes dont ils vendent la viande obtenue à leur clientèle comme il était de tradition. Cette exclusion du réseau de distribution est due à l’ apparition de nouvelles réglementations le plus souvent justifiées par de soit-disants impératifs d’ hygiène, de salubrité, de qualité et de protection des consommateurs… en voilà une belle logorrhée maçonnique satanique mondialiste ! Cela a commencé par les abattoirs au départ : point de rencontre et d’ équilibre entre éleveurs et bouchers… abattoirs municipalisés (le socialisme municipal !) puis privatisés et enfin passés entre les mains de groupes financiers… le nœud gordien serre alors les éleveurs à la gorge ! Je n’ évoque même pas les grands marchés nationaux aux bestiaux qui ne font plus que vivoter dans le meilleur des cas depuis la fin du XXe siècle… En effet, le suivi vétérinaire et l’ informatisation des troupeaux jusqu’ à l’ identification de chaque individu le composant ont abouti à la négation même de facto sinon formelle de ces marchés… et les prix sont fixés aux producteurs par les groupes détenant les abattoirs d’ abord et non pas par les producteurs eux-mêmes !!! D’ où des prix payés aux éleveurs bien inférieurs aux coûts réels de production… Au demeurant, les quelques abattoirs coopératifs paysans sont gérés comme des centres de profit autonomes, indépendants, et écrasent leurs membres producteurs pour ne se soucier que de leurs propres intérêts.

    Même si l’ essentiel de la chaîne des intermédiaires a disparu aujourd’ hui du fait des groupes détenant les abattoirs comme du fait des centrales d’ achat de la grande distribution constituant ensemble un circuit court, le réseau de bouchers indépendants étant aujourd’ hui dérisoire… les bouchers professionnels étant désormais salariés pour la plupart des enseignes de la distribution. Résultat : les enseignes de la distribution et leurs centrales d’ achat poussent aussi à la baisse des prix afin de préserver leurs marges et les conforter. La collusion est totale entre les abattoirs et la distribution. Et la qualité est la grande oubliée car la baisse des prix en est la plus grande ennemie tant pour produire à des prix toujours plus bas la qualité est toujours sacrifiée. Mais peut-on encore parler de qualité ?

    En effet, quels que soient les efforts consentis par les producteurs pour élever des animaux de très grande qualité alors même qu’ ils n’ y sont guère incités par le prix qu’ ils obtiennent en retour, la qualité la meilleure possible est mise à mal, annihilée, anéantie par l’ abattage halal généralisé et imposé pour complaire aux disciples de la religion d’ amour, de tolérance et de paix issue de ce manuel du parfait sale môme qu’ est le coran de ce chamelier pseudo-prophète pédocriminel et antisémite connu sous le sobriquet mahomet ! En effet, l’ abattage rituel mahométan par égorgement sans étourdissement et sans mort immédiate conduit à une très longue et atroce agonie provoquant une évacuation des viscères et de l’ œsophage par la gorge entaillée provoquant ainsi la prolifération bactériologique dans toute la carcasse avec d’ énormes risques sanitaires subséquents ainsi que l’ explique fort justement le docteur Alain de PERETTI, vétérinaire à Bordeaux. Or il y a là dans l’ abattage rituel mahométan d’ énormes et très nombreux enjeux politiques et financiers.
    Politiques d’ abord car il s’ agit de satisfaire les malsaines exigences de plus de 15 millions de mahométans occupant la France qui sont sensés être d’ excellents électeurs républicains et même socialistes… il s’ agit aussi de maintenir un semblant de tranquillité à défaut de paix dans les quartiers. Plus encore, il s’ agit de lécher les babouches du fellagha bouteflicka, de l’ émir du Qatar et du roi d’ Arabie qui privatise la plage publique de Vallauris et en interdit l’ accès au public y compris aux Français !

    Financiers ensuite car l’ estampillage hallal est le privilège des mosquées de Paris, Evry et Lyon qui en ont le monopole national et emploient une armée de sacrificateurs aussi certifiés que sanguinaires et sauvages… au demeurant, certainement s’ agit-il pour eux d’ une activité temporaire mise à profit à titre d’ entraînement à l’ égorgement et à la décapitation des kouffars blancs et judéo-chrétiens dans le Pré Carré ! Mais l’ enjeu financier est bien plus lourd car l’ animal abattu en mode hallal est alors directement et immédiatement frappé d’ une taxe imanesque de 0,15 euro au kilo… certes, pour un agneau de 10 kilos, cela ne fait que 1,50 euro… et pour un taureau d’ une tonne 150 euros… mais ces chiffres sont à multiplier par des dizaines de milliers de têtes ! D’ où une immense manne financière pour le financement des mosquées et de l’ armement des disciples de la prétendue ratp, l’ imanerie déversant la manne financière dans les mosquées. Certes, cette taxe ne frappe pas les porcins pour l’ instant. Pour l’ instant car cela ne saurait tarder au vu des colossaux montants en jeu.

    Certains penseront que ce pronostic, hélas à très court terme, est une pure exagération, une fantasmatique vue de l’ esprit de votre serviteur car les mahométans ne consomment pas de porc qui est stipulé haram, c’ est à dire interdit contrairement au hallal c’ est à dire autorisé en bédouin des déserts d’ Arabie. Qu’ ils se détrompent donc car les mahométans ne consomment que certains morceaux des animaux abattus hallal : donc ils ne payent que ce qu’ ils consomment… or tout le reste devrait être passé en pertes et grèverait lourdement les bénéfices des opérateurs d’ abattage qui seraient alors amplement déficitaires… les morceaux qui ne sont donc pas consommés par les mahométans sont donc fourgués aux Blancs judéo-chrétiens… y compris aux agnostiques et aux athées au demeurant ! Ce qui les conduit tous à financer personnellement à leur insu -même de leur plein gré ce bon gré mal gré- et les mosquées et l’ armement des mahométans !
    Certains -les mêmes !- objecteront qu’ il s’ agit là d’ une vénielle égratignure à la laïcité républicaine sur laquelle il convient de fermer les yeux en raison de prétendus nécessaires accommodements raisonnables… qu’ ils se détrompent aussi car la laïcité républicaine est en fait l’ allahicité bien comprise ! En effet, les abattoirs pratiquant le hallal, en fait l’ immense majorité car ceux restant à la pratique de l’ étourdissement et de la mort immédiate se font de plus en plus rares chaque jour dans le royaume du Fils aîné de l’ Eglise mis en coupe réglée par la république véritable parti de l’ étranger, n’ abattent pas en hallal que les bêtes destinées aux mahométans mais abattent en hallal toutes les bêtes y transitant, y compris celles destinées aux non-mahométans : en effet, pour respecter les normes sanitaires de l’ abattage traditionnel avec étourdissement et mort immédiate, il faudrait désinfecter toute la chaîne d’ abattage après l’ abattage hallal ce qui serait d’ un coût financier faramineux… de plus, les sacrificateurs certifiés par les mosquées s’ y opposeraient au nom de la pureté de l’ abattage hallalisé et pour augmenter la collecte de l’ impôt hallal dont bénéficient les mosquées et le jihad dont l’ inénarrable cazevide affirme, toute honte bue, que le prôner n’ est pas un délit même au prix de la décapitation d’ un chef d’ entreprise, d’ un vol massif d’ explosifs dans un arsenal militaire de Miramas et de l’ utilisation d’ une faible partie de ces explosifs dans l’ explosion de plusieurs cuves d’ une usine Seveso LyondellBasel à quelques dizaines de kms sur l’ étang de Berre ! Afin donc d’ éviter ces coûts financiers de mise aux normes de l’ abattage traditionnel ainsi que les foudres des services vétérinaires sommés de passer sous les fourches caudines en regardant ailleurs par le détournement de la tête et en fermant les yeux voire les narines, toutes les bêtes sont alors abattues en mode hallalique y compris celles entièrement destinées aux non-mahométans ainsi rançonnés au profit des mahométans et de leurs mosquées comme de leurs arsenaux clandestins. Tout ceci explique pourquoi il n’ existe aucun traçage relatif au mode d’ abattage qu’ il soit traditionnel ou hallal car il faut à tout prix fourguer le hallal aux non-mahométans tout en donnant entièrement satisfaction aux mahométans !

    Comme le démontre fort bien le docteur vétérinaire Alain de PERETTI, l’ abatage hallal fait énormément baisser la qualité des viandes ainsi débitées en sus d’ escroquer les consommateurs non-mahométans. Ainsi donc, aux enjeux politiques et financiers, il s’ ajoute aussi des enjeux sanitaires conditionnant la santé publique à laquelle l’ abattage hallal porte gravement atteinte. Il est donc logique que les prix de la viande soient orientés à la baisse en raison de cette perte de qualité or, dans l’ actuel ciircuit de la viande, la baisse des prix ne peut être pratiquée qu’ à l’ encontre des producteurs qui n’ ont aucune prise après la production car abattoirs et enseignes de la distribution préservent leurs marges et les confortent malgré tout. La baisse de prix est d’ autant plus forte que les consommateurs non-mahométans n’ accordent plus de confiance dès qu’ ils constatent la réalité de la baisse de qualité en raison de l’ abattage hallal dont on se rend très facilement compte par la rareté du sang restant dans les viandes en cause et leur texture d’ autant plus sèche et désagréable alors même que les risques sanitaires encourus augmentent d’ autant plus que, si le mode de préparation de la viande dans la cuisine arabe impose des cuissons très longues par mijotage, le mode de préparation de la viande dans la cuisine occidentale et d’ autant plus moderne réduit la saisie à un très court instant du fait notre goût pour la viande saignante bleue piu juste à point : toutes les bactéries demeurent donc actives au lieu d’ être brûlées. Actuellement, nous allons droit à une crise sanitaire majeure et frappant prioritairement nos personnes âgées et les jeunes enfants sans défenses immunitaires sans que les autres adultes soient à l’ abri de nombreuses maladies contagieuses pour autant. La baisse de qualité entraîne la mévente d’ autant plus que le pouvoir d’ achat des Français est aussi orienté à la baisse. Ceci sans omettre la très forte augmentation de l’ IMC (Indice de Masse Corporelle) due aux difficultés de digestion, voire aux contaminations bactériologiques… en clair l’ obésité et les maladies gastriques… or le seul coût annuel de l’ obésité s’ élève à plus de 54 milliards d’ euros en France. Et cette obésité n’ est qu’ un simple dommage collatéral auquel il faut ajouter des pertes de productivité engendrées par la consommation hallal du fait d’ endormissements fréquents après ingestion générant donc d’ innombrables heures de non-travail en sus de celles consacrées à la coranerie et ceci sans compter les très nombreuses et nauséabondes flatulences que le hallal impose à ses adeptes évacuant ainsi force Co2 et autres gaz à effets de serre et dont les verts écologistes proimmigrationnistes et proclandestins ne se soucient guère fort curieusement… mais il y a là des visées clientélistes électoralistes très républicaines… générant l’ herpès !

    Alors, confrontés aux réalités et soucieux des terroirs français longuement façonnés selon le dessein de Dieu, les éleveurs français veulent obtenir une forte hausse des prix à la production car, à juste titre, ils veulent vivre décemment de leur travail et non pas être des assistés à coups d’ aides sur impôts payés par les cons tribuables français ainsi exclus de la consommation de la viande de qualité du fait des multiples réductions de leur pouvoir d’ achat dues aux marges considérables des abattoirs et des enseignes de la distribution comme au scélérat impôt hallal. Au demeurant, les éleveurs français participent énormément et bénévolement à l’ entretien des espaces naturels qui font la richesse intrinsèque et indépassable de la France : à ce titre, ils devraient être rémunérés en compensation de cette lourde charge qui profite à tous les Français et la moindre des choses est qu’ ils soient exemptés de tous impôts directs et indirects et de toutes taxes. Par ailleurs, outre qu’ ils n’ auraient jamais dû accepter de baisser leurs prix et donc leurs marges jusqu’ à les faire disparaître et ce au prix du chômage et de l’ esclavage moderne, ils doivent refuser de livrer leurs bêtes aux abattoirs hallal et ils doivent exiger à la fois le traçage de l’ abattage traditionnel de leurs bêtes dans tous leurs morceaux ainsi que le traçage de l’ abattage hallal des bêtes dans tous leurs morceaux afin d’ assurer une parfaite et sincère information des consommateurs qui retrouveraient ainsi confiance tant dans les producteurs et leurs produits qu’ à l’ égard des intermédiaires. Les éleveurs français doivent cesser toute coallahboration et participer au combat contre la mahométisation de la France et des Français. Au demeurant, les Français judéo-chrétiens constituent toujours l’ essentiel des consommateurs de viande et ce malgré les plus de 15 millions de mahométans occupant le Pré Carré. Enfin, l’ Etat et les collectivités publiques doivent être contraintes à n’ acheter que des produits 100 % français directement aux seuls producteurs français sous peine de lourdes condamnations pour coallahboration et participation à la mahométisation.

    Il appartient aussi aux consommateurs d’ être responsables et de devenir même des consommacteurs vérifiant les étiquettes et les décryptant, exigeant une information claire, complète, objective, précise et sincère et surtout n’ hésitant pas à boycotter tout ce qui est hallal combattant énergiquement et sans relâche contre la coallahboration et la mahométisation de la France avec tous les authentiques Français. Y compris à boycotter tous les produits de l’ entreprise traître labeyrie par exemple qui se targue de fabriquer du foie gras hallal ce qui est une énorme aberration, voire une hérésie et un outrage incommensurable et impardonnable à la gastronomie française justifiant le peloton d’ exécution pour tous ses dirigeants et commerciaux.

    Au demeurant, il existe déjà de très nombreux éleveurs français, de bovins et d’ ovins principalement, qui intègrent l’ abattage, la découpe, la composition de lots de différents morceaux de viande de poids variables en fonction des familles clientes et la distribution directe par points sectoriels aux familles clientes inscrites et ce à intervalles réguliers et libres : la traçabilité est ainsi parfaite du producteur au consommateur grâce à ce circuit ultracourt direct avec la garantie d’ une très haute qualité aux prix les plus justes tant pour les producteurs que pour les consommateurs, les producteurs bénéficiant ainsi de prix bien plus élevés rémunérant correctement leur travail et la plus value apportée et les consommateurs bénéficiant malgré tout de prix bien plus bas leur permettant de bien mieux s’ alimenter à moindre coût. Nombreux sont les producteurs et les consommateurs à entrer en contact sur le réseau d’ entraide catholique traditionaliste MISSA accessible sur http://www.missa.fr dans toutes les provinces de France et de Navarre.

    Chacun aura remarqué que les dommages subis par les éleveurs du fait des loups et des ours n’ a pas été évoqué ici et ce pour trois raisons. D’ abord, parce que ces dommages créés par une centaine d’ ours et un millier de loups pour impressionnants qu’ ils apparaissent sur l’ instant sont en fait très limités tant eu égard au nombre de prédateurs qu’ en regard de l’ importance des troupeaux concernés. Ensuite, il est très aisé pour les éleveurs de renforcer le nombre de chiens, notamment patous, en protection des troupeaux et en affectant les bergers et les pâtres nécessaires à ces troupeaux, ce qui réduira considérablement le chômage structurel ce qui augmentera le pouvoir d’ achat et donc de consommer des viandes de qualité. Enfin, même si les éleveurs n’ ont pas vocation à nourrir exclusivement et intégralement les lupidés et les ursidés, les bêtes qu’ ils perdent du fait des attaques de leurs troupeaux par ces derniers leur sont entièrement payées à un prix intéressant et anticipé avant croissance et vente aux abattoirs par les associations environnementales subventionnées par les directions départementales de l’ Agriculture devenues directions départementales des territoires et cette vente vente anticipée génère une utile trésorerie rapidement acquise. Ainsi, les éleveurs ne visent nullement en réalité loups et ours dans leurs réclamations mais les loups et les ours sont les catalyseurs de leur vif mécontentement amplement justifié et de leur réel désespoir face aux énormes charges qui leur sont imposées par l’ état rps, véritable herpès nuisant à la France et à tous les Français, et aux abus d’ entente et de position dominante des groupes d’ abattoirs et des enseignes de la distribution par leurs centrales d’ achat ravageant toute la filière productive de l’ élevage. Les loups et les ours ont l’ énorme mérite de révéler au grand jour tous ces problèmes et de faire jaillir la nécessaire riposte des éleveurs tout en demeurant, loups comme ours, les témoins vivants de l’ immense et incomparable travail d’ entretien des espaces naturels, ruraux et montagnards, par les paysans de France. A titre subsidiaire, loups et ours imposent paradoxalement les droits naturels de chasser et de posséder toutes sortes d’ armes pour tous les Français en général et pour les paysans en particulier, et ce sans aucune obligation de déclaration préalable ni de droit au contrôle par la gueuse. Cela augmenterait considérablement la sécurité de tous les Français et contribuerait à la diminution de la délinquance et de la criminalité comme c’ est le cas aux USA grâce au second amendement à la constitution américaine garantissant le droit de détenir armes et munitions des citoyens américains.

    Que ces informations puissent être utiles au plus grand nombre de Français soucieux de leur santé, de leur pouvoir d’ achat et du respect dû à la France royaume du Fils aîné de l’ Eglise et non pas chasse gardée de la république authentique parti de l’ étranger. Tous les Français doivent respecter et soutenir les paysans de France en les privilégiant dans leurs achats, de préférence dans leurs exploitations ou dans leurs propres points de distribution ou encore dans les réseaux auxquels ils participent hors de l’ emprise des enseignes de la distribution et des groupes d’ abattoirs. Tout Français qui se respecte est un paysan soit parce qu’ il travaille au plus près de la terre et qu’ il en vit, soit par un de ses très proches aïeux, tel un grand-père ou une arrière grand-mère, et le respect dû à ses ancêtres étant sacré n’ a pas de limite. Quatre métiers sont nobles par-dessus tous les autres : celui de l’ enseignement (educatores), celui de la terre (labores), celui des armes qui défend la terre des ancêtres (bellitores), et celui du Service de Dieu, la prêtrise (oratores) à qui incombe aussi l’ enseignement et les soins aux malades. La France sans ses paysans perdrait toute son indépendance et serait à la merci de l’ étranger en tout et pour tout comme le souhaitent les républicains, socialistes en particulier, or l’ herpès nous gangrène déjà et détruit davantage la France jour après jour et réduit les Français en esclavage. La croisade de reconquête passe par l’ arrêt de la coallahboration et de la mahométisation de la France et des Français. S’ il est un combat que la Cercle Légitimiste de France entend mener victorieusement, c’ est bien celui de la défense des intérêts des paysans et des Français de France.

    Rejoignez le Cercle Légitimiste de France auprès de fcdc@bbox.fr ou par téléphone au 06 04 08 46 36.

    Louis Ferdinand Marie Athanase CORTES de CONQUILLA
    Cercle Légitimiste de France

    https://euro-reconquista.com/site/spip.php?article759

  • Utilisation de la loi anti-terroriste contre les opposants à la dénaturation du mariage ?

    C'est l'idée d'un député britannique, rejoignant les déclarations de Bernard Cazeneuve lors du vote de la loi sur le renseignement :

    "Mark Spencer souhaite que les professeurs qui exposent leur position sur le mariage traditionnel tombent sous le coup desExtremism Disruption Orders (EDO), pris par David Cameron et Theresa May au nom de la lutte contre la radication des djihadistes.

    Dans sa lettre, Mark Spencer, député de Sherwood dans le Nottinghamshire, se veut rassurant : les professeurs chrétiens seront toujours « parfaitement autorisés » à exprimer leur avis sur le « mariage » homosexuel… mais seulement dans « certaines situations ».

    Le député explique exactement ce qu’il préconise : « Les EDO ne vont pas servir à limiter (la liberté d’expression) mais plutôt à la garantir : ce sont ceux qui cherchent à empêcher les autres d’exprimer leurs croyances qui seront visés. Laissez-moi vous donner un exemple, à propos duquel un grand nombre d’électeurs m’ont écrit – le mariage gay dans les écoles. » Le député poursuit en insistant sur le droit des professeurs à exprimer leur position sur le sujet. Il précise en revanche que la loi doit viser les professeurs qui expliqueraient que le « mariage » homosexuel est un « faux » mariage à leurs élèves…"

    Le terrorisme LGBT c'est maintenant.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui veut la fin des peuples européens ?

    Les politiques d'immigration aberrantes menacent l'existence des peuples d'Europe. Faut-il y voir une fatalité ou une conséquence voulue ?

    L'écrivain Renaud Camus a appelé l'évolution démographique vers laquelle tend rapidement notre pays « le grand remplacement », Il en a récemment donné à nos confrères de l'Action française la description suivante : « Un peuple était là, stable, occupant le même territoire depuis quinze ou vingt siècles. Et tout à coup, très rapidement, en une ou deux générations, un ou plusieurs peuples se substituent à lui, il est remplacé, ce n'est plus lui. (...) On peut penser à une sorte de taylorisme tardif, généralisé : au début ce sont les pièces qu'on change, ensuite ce sont les hommes et finalement les peuples. »

    Selon Camus, ce « grand remplacement » procéderait donc d'une volonté. Il lui a été reproché, y compris par Marine Le Pen, de succomber au mythe du complot « Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste, déclarait la présidente du Front national auJournal du Dimanche en novembre 2014. Je pense de manière plus pragmatique que l’immigration est utilisée depuis trente ans par les grands milieux financiers pour peser à la baisse sur les salaires, avec une grande efficacité si j'en crois les derniers chiffres. »

    Alain Griotteray dénonçait déjà ce calcul en 1984, dans son livre Les immigrés, le Choc(1). Le grand patronat français, expliquait-il, a vu dès le début des années 1960 « un volant de "main d'œuvre flexible ", facile à aller chercher, souple d'emploi, faiblement syndiquée et peu exigeante en matière de salaire. » Georges Pompidou, premier ministre, devait l'expliquer clairement devant l'Assemblée nationale, le 3 septembre 1963 : « L'immigration est un moyen de créer une certaine détente sur le marché du travail et de résister à la pression sociale. »  A l'époque, les entrées de travailleurs étrangers sur le territoire français concernaient déjà jusqu'à 200 000 personnes par an.

    Marine Le Pen n'a donc pas tort ; mais a-t-elle complètement raison ? L'autorisation du regroupement familial en 1976 (Giscard d'Estaing étant président et Jacques Chirac premier ministre), peut, certes, s'expliquer par des motifs humanitaires et le souci de ne pas éloigner les travailleurs immigrés de leurs familles restées au pays. Mais cela n'explique pas les discours officiel cherchant à convaincre les citoyens que l'immigration est « une chance pour la France » (Bernard Stasi en 1984) ; que sans elle, la France serait « un pays vieillissant de quarante millions d'habitants, dont le niveau de vie serait beaucoup plus bas qu'il ne l'est aujourd'hui » (Jacques Attali, mars 1997) ; que « les racines de l'Europe sont autant musulmanes que chrétiennes » (Jacques Chirac, octobre 2003) ; qu’ « il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage » (Eric Besson, ministre de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy, janvier 2010) ; que  « la France est l'un des plus vieux pays d'immigration d'Europe » et que « notre pays ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans cette multiplication de talents et d'atouts » (François Hollande, décembre 2014) ; et autres calembredaines...

    Cela n'explique pas non plus le maintien d'une politique délibérément malthusienne (avortement, contraception...) dans « un pays vieillissant », ni le refus d'établir des statistiques sur l'immigration, ni l'instauration de la préférence étrangère sous l'intitulé « discrimination positive », ni la multiplication des lois prétendument « antiracistes » bridant la liberté d'expression... Et cela n'explique pas davantage que toute l'Europe subisse le même phénomène, que la commission de Bruxelles, dont le président Jean-Claude Junker militait au mois de mai pour faciliter l'immigration légale, voudrait « élaborer une approche proactive de l'immigration », afin que celle-ci ne soit plus « perçue comme un fardeau à porter plutôt que comme une chance à saisir » (Rapport du groupe de réflexion au Conseil européen sur l'avenir de l'UE à l'horizon 2030).

    « Complot » ou pas, voilà de quoi se demander qui veut la dissolution des peuples européens, et à quelles fins.

    Hervé Blzien monde & Vie 2 juillet 2015

     

    I .Alain Griotteray, Les Immigrés, le choc. Pion, 1984

  • Scandale du Planning familial : la commission européenne interpellée

    Le député européen slovaque Miroslav Mikolášik est intervenu auprès de la Commission européenne, soulignant que le Planning familial reçoit également de l’argent de l’Union européenne :

    M« La vidéo est devenue virale avec presque 2 millions de vues en trois jours. Le Planning familial est, dans le monde, le plus gros prestataire en matière d’avortement. C’est aussi le bénéficiaire principal des fonds européens pour l’aide au développement. Comme le rapport de l’European Dignity Watch l’a révélé en 2012, ces fonds sont largement utilisés hors de l’Europe, notamment dans des pays où l’avortement est illégal. »

    « Est-ce que la Commission est au courant de ces pratiques et des preuves vidéos publiées par le Centre for Medical Progress, qui montrent l’implication directe des centres du Planning familial dans le trafic de parties du corps humain ? Est-ce que la Commission va condamner ces pratiques et suspendre toutes les aides directes et indirectes aux centres du Planning familial, à ses projets et ses programmes, jusqu’à ce que les autorités américaines aient réalisé une enquête complète sur cette affaire ? »

    Michel Janva

  • Non, le passage à l'euro ne rend pas plus riche!

    Le journal polonais Rzeczpospolita se penche sur le dernier rapport de la Banque centrale européenne (BCE) selon lequel le passage à la monnaie unique européenne n'a ni amélioré le niveau de vie dans la zone euro, ni réduit les écarts entre les pays riches et les pays pauvres.

    En instaurant en 1999 la monnaie unique européenne dans 11 pays de l'UE, les initiateurs de ce projet espéraient que cela aiderait à égaliser les niveaux de vie entre les pays de la zone euro, écrit Rzeczpospolita, citant le rapport de la BCE.

    En effet, le niveau de vie a augmenté dans les pays ayant adhéré à la zone euro en 2004 et en 2007, notamment en Estonie, en Lettonie, en Lituanie et en Slovaquie. Cependant, estiment les auteurs du rapport, ce n'était pas le passage de ces pays à l'euro qui a donné cet effet positif, mais leur adhésion à l'Union européenne.

    La situation dans les pays sud-européens ayant adopté la monnaie unique ne s'est pas améliorée. Les plus pauvres de ces pays sont soit restés au même niveau qu'il y a 17 ans (l'Espagne et le Portugal), soit retombés à un niveau encore plus bas (la Grèce). En 1999, l'Italie, par exemple, figurait parmi les Etats les plus riches de l'Union européenne, alors que maintenant, le niveau de vie y est inférieur à la moyenne.

    Lire la suite: 

  • Un virage qui se dessine sur l'immigration

    Deux pages d'accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.

    Le samedi 1er août c'était :"L'immigration, principale préoccupation des Européens", avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.

    Ce lundi 3 août au matin c'est : "Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression".

    L'affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd'hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.

    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l'Espagne et du Maroc ? Que l'Europe du sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D'excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des "migrants", – avez-vous remarqué l'invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd'hui même à Paris, on découvre qu'un lycée désaffecté du 19earrondissement a été envahi malencontreusment par des "chances pour l'Europe". Ses occupants illégaux viennent compliquer l'existence tranquillement dépensière d'un des centres de pouvoir les plus infectés d'idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l'équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : "Ce n'est pas en envahissant un équipement public qu'on trouve de l'hébergement", explique-t-on, si j'en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment "on" obtient gain de cause.

    On nous dit que "la Mairie de Paris refuse également de céder au 'chantage inadmissible'des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l'aménagement d'un gymnase pour s'y installer." "On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police", – réfléchissez, réfléchissez, ‑ mais la situation est claire : "le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution." Bien sûr, dira-t-on, c'est la version du Figaro, pas trop favorable à l'insupportable Hidalgo.

    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n'est sans doute pas pour demain.

    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d'Européens d'ouvrir les yeux : on observe dans toute l'Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de"populismes" – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens, – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c'est toujours l'opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C'est aussi l'opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s'ils n'évoluent pas c'est enfin l'opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.

    Ce qui s'est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l'un comme l'autre bon marché de l'intérêt du pays, et de l'opinion profonde du peuple, pour ne s'intéresser qu'à leur petit billard politicien.

    Ce temps n'est plus. Le billard post-mitterandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n'intéresse plus qu'eux-mêmes et les petits marquis des médias.

    Il paraît donc temps, en France et dans toute l'Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu'ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l'Histoire du continent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • La Catalogne bientôt indépendante ?

    Le président de la Catalogne espère transformer les élections régionales anticipées en plébiscite sur l’indépendance de la région à moyen terme.

    Les indépendantistes catalans veulent jouer le tout pour le tout. En anticipant d’un an les élections régionales, dont la date a été fixée lundi au 27 septembre, le président catalan, Artur Mas, espère accélérer le processus vers une souveraineté irréversible.
    Bien que le texte d’organisation des élections régionales se garde de toute référence à l’indépendance, le président espère une sorte de feu vert en vue d’obtenir à moyen terme la sécession de la région, qui pèse 20 % du PIB national.

    Madrid, qui s’oppose farouchement au processus indépendantiste, n’a cessé, par l’intermédiaire des tribunaux, de faire avorter les différentes initiatives de l’Exécutif catalan, dont le référendum d’autodétermination.
    Interdit par Madrid et sans valeur légale, le scrutin du 9 novembre 2014 avait obtenu 80 % de « oui » pour l’indépendance, pour 40 % de participation. Un bon score pour un scrutin libre.
    Artur Mas, le président de la région, a assuré à l’avance que le décret d’organisation des élections régionales serait « juridiquement inattaquable », mais

    Politiquement, l’élection constituera un plébiscite pour la liberté et la souveraineté de la Catalogne

    a-t-il annoncé.

    Les nationalistes catalans considèrent ce scrutin comme « plébiscitaire » : si la liste indépendantiste l’emporte, même avec une courte majorité, Artur Mas a prévenu qu’il n’y aura plus de retour en arrière ; les autorités catalanes se donneront alors six mois à Madrid pour « bâtir les piliers du nouvel État » (tribunal suprême, fisc, ambassades…).
    « Nous sommes préparés », répète Artur Mas. Depuis plusieurs mois, son équipe travaille à la création d’une administration parallèle capable d’assurer le fonctionnement d’un futur État. Fin juillet, le gouvernement catalan a présenté son modèle d’administration fiscale en cas de sécession, et donné son aval à un décret-loi facilitant la transformation d’un institut de crédit public en une banque centrale de Catalogne. Il a aussi renforcé son réseau diplomatique afin de gagner à l’étranger des soutiens à sa cause.

    De son côté, l’État central brandit l’article 115 de la Constitution, qui permet de transférer les prérogatives locales au niveau central : une humiliation pour les Catalans.

    Nous ne tolérerons aucune propagande indépendantiste durant la campagne, nous exigeons le respect de la neutralité

    a averti le chef du gouvernement, Mariano Rajoy, qui craint comme jamais un triomphe souverainiste. Une perspective réelle depuis que les partis indépendantistes de droite comme de gauche ont surmonté leurs divisions pour faire front commun aux régionales.

    manif independance catalogne 01

    Manifestation d’indépendantistes catalans

    Leur liste, « Ensemble pour le oui », comprend le parti d’Artur Mas, Convergencia Democratica (CDC, conservateur), Esquerra Republicana (ERC, gauche), la deuxième force politique régionale, et d’influentes associations nationalistes ayant organisé des manifestations massives ces dernières années. Avec l’appui du petit parti anticapitaliste CUP, indépendantiste aussi, les formations de la liste comptent obtenir la majorité absolue au parlement régional, suffisante selon elles pour procéder à la séparation d’avec le reste de l’Espagne.

    Pour saisir l’enjeu de ces élections du 27 septembre, il faut revenir en arrière. En 2010, le Tribunal constitutionnel espagnol a annulé, à la demande du parti conservateur espagnol, le PP, plusieurs dispositions essentielles du Statut de la région adopté en 2006 et qui donnait plus d’autonomie à la Catalogne. Cette décision a provoqué une poussée indépendantiste dans la région, qui est déjà une communauté autonome depuis 1978.
    Elle dispose d’un gouvernement et un parlement propres. En outre, les autorités catalanes ont en charge les tribunaux, la police et l’éducation. La région qui pèse pour 20 % du PIB espagnol, ne dispose cependant pas de l’autonomie financière ; les catalans ont le sentiment de payer pour les autres et les coupes budgétaires ont encore accentué le sentiment séparatiste et celui d’être réprimés par le gouvernement central de Madrid.

    Les Catalans ont fini par en avoir assez se voir bafoués et méprisés par leur État. Si l’on ne peut que les saluer pour cela (à quand le tour des Français ? ), il convient aussi de souligner que cette possible indépendance irait dans le sens des forces centrifuges qui visent à démanteler les Etats-Nations au profit des régions… une politique activement soutenue par Bruxelles.

    http://fr.novopress.info/191226/catalogne-bientot-independante/#more-191226

  • Union européenne : Le plan secret de Bruxelles pour des sorties « ordonnées »

    Il semble que la Commission prépare en coulisse un plan permettant à d’éventuels États membres de se retirer de l’Union Européenne d’une manière ordonnée. Une éjection pure et simple n’étant guère possible juridiquement, la Commission mettrait donc au point une sorte de procédure de divorce. Tout comme l’est déjà l’entrée dans l’UE, la sortie serait financée par les contribuables.

    Selon le site Euractiv, généralement bien informé, les travaux de rédaction d’un tel contrat de divorce ont d’ores et déjà été lancés. Euractiv s’appuie sur des sources anonymes au sein de la Commission. De cette façon, les États sortants pourraient être congédiés avec une espèce d’indemnité de départ.

    La Commission ne serait donc pas restée les bras ballants devant le désastre grec

    Des États-membres tels que la Grèce ou que la Grande-Bretagne pourraient prétendre à un “soutien“ de la part des États restants dans l’UE, “s’ils se décident à quitter la famille de manière ordonnée“. La procédure serait liée à la réalisation de certaines conditions bien définies (“benchmarks“), “similaires à celles du processus d’entrée [dans l’UE]“.

    Les modalités, selon les sources auxquelles se réfère le site, devraient correspondre à “celles de l’élargissement [de l’UE]“. Lors de l’élargissement, les pays entrants ont en effet bénéficié d’aides substantielles au cours des années précédant l’entrée, afin de leur permettre d’arriver à satisfaire ce que l’on appelle les critères de convergence.

    Ce développement constitue une innovation dans l’UE

    Jusqu’à présent, les Traités ne prévoient aucune possibilité de sortie (NdT : ceci est inexact, il existe bel et bien un article prévoyant le cas). Ainsi, la Grèce eût-elle quitté l’euro qu’elle serait restée dans l’UE, créant une situation certes complexe sur le plan légal, mais qui serait restée du domaine du possible.

    La situation aurait été peu claire non seulement sur le plan juridique, mais encore sur le plan financier –  un cas de figure dont la Commission, assez raisonnablement, souhaite empêcher l’apparition. Une chose, d’abord, est claire:  la Commission renoncerait ainsi à l’idée d’une appartenance irrévocable à l’Union Européenne.

    Une reconnaissance officielle de ce changement de ligne ne doit évidemment pas être attendue, puisqu’il s’agit ici d’un dossier extrêmement sensible. On ignore si les gouvernements français et allemands sont impliqués dans l’élaboration de ce plan, on ignore même s’ils en ont eu vent.(NdT : cette phrase doit se comprendre à la date de parution de l’article en allemand, le 25 juillet.)

    Quelques jours plus tôt, Mediapart avait révélé que le ministre des Finances allemand, Wolfgang Schäuble, passait pour avoir offert au gouvernement d’Alexis Tsipras un soutien de 50 milliards d’euros en cas de Grexit. Schäuble aurait en effet proposé à l’Eurogroupe la possibilité d’une sortie temporaire de la Grèce de la zone euro.

    Euractiv prétend également avoir eu connaissance de cette offre de Schäuble faite à Bruxelles. Les sources anonymes citées par Euractiv présentent Schäuble comme un “authentique Européen“, qui n’aurait rien contre la Grèce en particulier. Schäuble serait parti du postulat qu’un Grexit aurait été “cohérent avec l’idéologie de Syriza“. Il aurait voulu, toujours selon ces sources, encourager le gouvernement grec à sauter ce pas.

    Et de fait, cette solution aurait eu davantage de sens que celle, finalement adoptée, d’un programme très dur d’austérité

    Ce programme contraint le gouvernement grec à augmenter les impôts, réduire les pensions, et mettre sous tutelle auprès d’un Treuhand-Fonds (un fond contrôlé par les instances européennes) une part significative des actifs de l’État grec, destinée à être privatisée.

    Schäuble aurait fait cette proposition déjà au moment du référendum du 5 juillet. 35 milliards d’euros seraient provenus de ce que l’UE doit attribuer à la Grèce d’ici 2020, et les 15 restant auraient correspondu au renoncement, par la BCE, des coupons par elle perçus sur son stock d’obligations grecques.

    Schäuble a pourtant, semble-t-il, été pris par surprise, et ce, de deux côtés

    De l’un, Tsipras aurait refusé son offre, au motif qu’une majorité de Grecs souhaite – aux dires des sondages – rester dans l’euro. De l’autre côté, Schäuble aurait rencontré une opposition massive de la part tant de la BCE que du FMI : Les deux institutions auraient en effet subi des pertes financières sur leurs actifs grecs.

    Elles auraient toutefois pu être compensées par de l’argent provenant des contribuables européens, et il est possible que cela aurait diminué leur opposition à la solution du Grexit, étant donné qu’elles n’auraient plus subi de pertes.

    Il n’en serait pas moins resté que les sommes prêtées par les États européens à la Grèce, à hauteur de 240 milliards d’euros, auraient été perdues. La quote-part allemande de ces sommes est de l’ordre de 80 milliards.

    Au vu des exigences irréalistes contenues dans le plan d’austérité, et au vu du refus du FMI de continuer sa participation au financement tant que n’aura pas été consentie une réduction massive du fardeau de la dette grecque, les observateurs considèrent en général que l’option du Grexit est toujours sur la table.

    Le « contrat de divorce » sur lequel planche la Commission pourrait vraisemblablement être beaucoup plus facile, et beaucoup plus rapide, à mettre en œuvre que ne le seraient l’application et la surveillance d’un nouveau programme du Mécanisme Européen de Stabilité.

    Deutsche-wirtschafts-nachrichten.de

    http://fortune.fdesouche.com/387925-union-europeenne-le-plan-secret-de-bruxelles-pour-des-sorties-ordonnees#more-387925

  • Alerte rouge en Ukraine

    L’Ukraine pourrait bien imploser dans les semaines qui viennent : on observe ces jours-ci de vives tensions et des révoltes aussi bien à Kharkov qu’à Odessa, en Bessarabie et chez les Turcs gagaouzes chrétiens; sans oublier l’Ouest : Lviv et la Ruthénie.

     

    L’Ukraine est ensanglantée par une guerre civile que son gouvernement a suscitée et entretenue, puis qui s’est installée ; paralysée par son rêve chimérique euro-atlantiste ; effrayée de son effondrement économique et social : elle a perdu un million de ses meilleurs cadres partis ailleurs (principalement en Russie), et des réfugiés en Pologne… Les emprunts récents ne servent qu’à rembourser les intérêts des prêts antérieurs. L’Ukraine est encore dépendante de la Russie pour le gaz et même pour l’électricité (mais ne sait pas comment les payer). Et les désertions sont massives dans l’armée officielle, concurrencée par les groupes armés privés.

    Le pays est détruit.

    Toutefois, la géopolitique américaine pourrait sembler évoluer, enfin, dans le bon sens. En effet, Obama, depuis sa Maison-Blanche, assiégé par le Congrès et le Sénat républicains, en quête d’image pour la postérité et pour valoriser son prix Nobel de la paix, s’est déjà rapproché de Cuba et de l’Iran. Le président américain ne s’était-il pas vu attribuer le prix Nobel de la paix 2009 « pour ses efforts extraordinaires (sic) en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples », ainsi que l’a mentionné le jury du prix à Oslo ? En mai dernier, l’ambassadeur américain en Russie, John Tefft, a déclaré que Washington n’envisageait pas pour le moment de fournir des missiles antichars Javelin à l’Ukraine. Autrement dit, il s’agit d’entraver les mains de l’inquiétant Porochenko et de contrer les déclarations fougueuses des faucons républicains (McCain). Obama sait que Kiev ne résisterait pas à la folie de se servir de ces missiles, contraignant les Russes à s’impliquer directement.

    Inversement, de nouvelles sanctions unilatérales ont été décidées le jeudi 29 juillet par les États-Unis, qui invoquent la nécessité de « renforcer l’efficacité de celles décrétées auparavant ». Désormais, 11 personnes physiques et 15 personnes morales de plus figurent sur la liste des personnes et des entreprises sanctionnées par les États-Unis : ces sanctions ne seront levées qu’après la mise en œuvre des accords de Minsk visant le règlement de la situation dans le Donbass. Cependant, les juristes quasi unanimes dénoncent les sanctions contre les personnes physiques qui n’ont pas pu bénéficier du principe du contradictoire, ni d’une procédure respectueuse des droits de la défense, selon les principes de la Convention européenne des droits de l’homme sur le droit à un procès équitable.

    Les Russes annoncent, eux, des sanctions ripostes « asymétriques ». Encore contre les Européens ?

    Dans ce statu quo indécis, ce serait le rôle de la France que de montrer, de toute urgence, le chemin d’une diplomatie active et positive, en bonne intelligence avec la Russie. L’appel solennel de ce jour lancé par deux députés, MM. Dupont-Aignan et Mariani, à livrer les Mistral à la Russie sera-t-il compris par M. Hollande? Pour l’Ukraine, il faudrait viser une régionalisation interne s’appuyant sur les aspirations des populations. Et la recherche d’un statut d’association économique équilibrée entre Russie et Européens de l’Ouest.

    Mais si – comme tout conduit à le redouter – la crise ukrainienne s’aggravait et devenait incontrôlable, le gouvernement français actuel devrait répondre de sa responsabilité dans un drame historique. Et il est sans nul doute aussi à craindre que les Français, eux-mêmes, en souffrent. Nos agriculteurs-éleveurs le savent, qui ont déjà acquitté un douloureux tribut.

    Henri Temple

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFlyZulpZEOBVxcgD.shtml