
par Christelle Néant
Chaque semaine, nous vous proposons un rapport de situation (militaire, politique, économique et sociale) en vidéo et en français de la semaine écoulée concernant la Russie, l’Ukraine, et le reste du monde.
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par Christelle Néant
Chaque semaine, nous vous proposons un rapport de situation (militaire, politique, économique et sociale) en vidéo et en français de la semaine écoulée concernant la Russie, l’Ukraine, et le reste du monde.
Lors d’une réunion publique en Caroline du Nord mercredi 25 septembre, Donald Trump n’y est pas allé de main morte à propos de Zelensky :
« L’Ukraine n’existe plus, a-t-il déclaré. Il y avait de la civilisation mais aujourd’hui il n’y a plus de patrimoine. Presque tout a été détruit. Des millions et des millions de personnes sont mortes. »
« Ukrainiens, vous ne pourrez jamais reconstruire vos villes et villages tels qu’ils étaient autrefois. Il n’y aura jamais assez d’argent pour reconstruire l’Ukraine, même si le monde entier s’unit. »
Ce matin, l’universitaire Gilles Kepel, spécialiste du monde arabo-musulman, était l’invité du Grand Rendez-vous CNews-Europe 1-Les Échos. Interrogé par Pierre de Vilno, Mathieu Bock-Côté et Nicolas Barré, il s’est livré à une analyse très intéressante des enjeux et circonstances de l’élimination du chef Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans le cadre de l’actuelle offensive aérienne menée par Israël au Liban contre cette organisation terroriste politico-militaire cornaquée depuis Téhéran par le pouvoir iranien.
Le 27 septembre, Kamala Harris a rencontré Volodmyr Zelensky et a condamné la déclaration de Donald Trump de la veille, qui indiquait que Trump ne pense très clairement PAS que le gouvernement des États-Unis devrait aller jusqu’à la troisième guerre mondiale (WW3) si c’est ce qui est nécessaire pour empêcher la Russie de gagner sa guerre contre l’Ukraine.
L'Agence France-Presse titrait le 27, « Harris rencontre Zelensky et critique la « politique de reddition » de Trump pour l'Ukraine » et rapportait :
Harris n'a pas mentionné Trump par son nom mais a déclaré qu'il y avait « certains dans mon pays qui voudraient plutôt forcer l'Ukraine à abandonner de grandes parties de son territoire souverain ».
« Ces propositions sont les mêmes que celles du (président Vladimir) Poutine. Et soyons clairs, ce ne sont pas des propositions de paix. Ce sont plutôt des propositions de reddition », a-t-elle déclaré, faisant référence au dirigeant russe.
par Mohamed Lamine KABA
La Russie, terre de héros et de conquérants, où la détermination et la fierté forgent un avenir glorieux. Avec une volonté de fer et un cœur indestructible, la Russie défend son territoire et son héritage, écrivant un nouveau chapitre de sa légende éternelle.
Bilan : les Polonais ne se battent pas pour l'Ukraine, mais pour le rétablissement du pouvoir sur sa rive droite
Si l’on suit la guerre en Ukraine simplement en parcourant certains des titres les plus optimistes des grands médias menteurs, on ne se rend peut-être pas compte à quel point la situation des défenseurs est devenue désastreuse dans presque toutes les zones de la ligne de front, en particulier dans l’oblast vital de Donetsk.
Bien sûr, Kiev a réussi de bons coups de communication, à la fois en faisant une incursion sur le territoire russe dans la région de Koursk et en faisant exploser un grand dépôt de munitions qui a donné lieu à des images spectaculaires.
Le régime actuel de Kiev, convaincu de son impunité via le soutien de ses parrains otano-occidentaux, s’active non plus seulement dans les méthodes terroristes qu’il utilise, mais également dans la collaboration avec les réseaux ouvertement affiliés au terrorisme international. Après l’implication confirmée dans la région du Sahel, particulièrement dans le nord du Mali, désormais la coopération dudit régime s’organise avec les terroristes affiliés à Al-Qaida en Syrie.