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géopolitique - Page 171

  • Scott Ritter : L’Ukraine «capitulera sans condition»

    Le président Volodymyr Zelensky devrait se rappeler comment la Seconde Guerre mondiale s’est terminée pour le Japon, estime l’ancien officier de renseignement américain.

    Le conflit entre la Russie et l’Ukraine se terminera par la capitulation inconditionnelle de Kiev, selon Scott Ritter, ancien officier de renseignement américain et inspecteur en désarmement des Nations unies. 

    Mercredi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé dans un message sur X (anciennement Twitter) que «l’Ukraine ne marchande pas ses territoires, parce que nous ne marchandons pas notre peuple». 

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  • C’est une révolution : le monde dominé par les USA, s’achève sous nos yeux.

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    Bernard Germain

    Cet évènement n’a peut-être l’air de rien pour d’innombrables personnes, mais c’est - selon moi - un évènement absolument historique aux incalculables conséquences à ce jour.

    En effet, du 22 au 24 août 2023 sont réunis en Afrique du Sud, les BRICS. C’est la plus grande réunion des chefs d’État et de gouvernement des pays du Sud des dernières années. Les membres permanents du groupe, à savoir le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, sont réunis pour discuter de questions stratégiques et économiques qui auront des répercussions mondiales.

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (7)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (5)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (6)

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Bellicisme et russophobie médiatiques

    La russophobie : de quoi cette passion collective est-elle le nom ? Bellicisme à outrance, haine de l’Autre au nom du Bien, force du préjugé officialisé, surenchères guerrières et bonne conscience inébranlable, indignation sélective derrière les bons sentiments : la russophobie, autant de passions mauvaises encore une fois au rendez-vous de l’Histoire … comme en 14. À cette différence près que les postures haineuses d’aujourd’hui s’accompagnent d’une certitude : celle de ne pas avoir à payer le prix du sang. Et, autre nouveauté, le discours belliciste se déploie tous azimuts, envahit les coins et les recoins de l’opinion, alors que le pays n’est pas occupé, ni menacé de l’être, ni même officiellement en guerre. Étrange situation que cette mise en condition sans la menace qui la justifierait un tant soit peu.

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  • L'OTAN entre autisme et désengagement

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    par Enrico Tomaselli

    Source: https://www.sinistrainrete.info/geopolitica/26179-enrico-tomaselli-la-nato-tra-autismo-e-disimpegno.html

    Face à l'impossibilité désormais évidente de récupérer ne serait-ce qu'une partie des territoires perdus par l'Ukraine, l'OTAN cherche désespérément une issue qui ne la démolisse pas politiquement. Mais piégée dans sa propre propagande, elle semble en proie à une sorte d'autisme qui l'empêche de voir/d'accepter la réalité stratégique - à la fois celle du conflit et celle du multipolarisme émergent. La conséquence est une impasse dangereuse, qui fera durer la guerre au moins jusqu'à l'année prochaine.

    * * * *

    Le piège de la narration

    Lorsque, après huit ans de guerre civile, le conflit ukrainien s'est finalement transformé en guerre ouverte avec la Russie, l'objectif des États-Unis était d'écraser Moscou par le biais d'une guerre hybride, dont la durée était estimée à moins d'un an. Et, bien sûr, une partie de cette guerre a consisté en une mobilisation sans précédent de la propagande anglo-américaine et de l'appareil médiatique. Si l'on tient compte du fait que le système médiatique, pratiquement dans le monde entier, mais certainement dans les pays occidentaux, est totalement entre les mains d'un petit nombre de producteurs/distributeurs de nouvelles (tous issus de pays de l'OTAN), et que ceux-ci sont à leur tour contrôlés - directement ou indirectement - par les agences de renseignement britanniques et américaines, il est facile de comprendre à quel point cette mobilisation était logique et nécessaire.

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  • BRICS : Un bouleversement géopolitique majeur !

    Le Roi Dollar est-il nu ?

    Plusieurs analystes ont pointé ces derniers temps le fait que les BRICS, rassemblement de pays comprenant le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, avaient dépassé en terme de PIB le G7, groupement des 7 pays les plus industrialisés du monde, à savoir l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni, ainsi que l'Union européenne.

    Un bouleversement géopolitique majeur.

    Le G7 est un regroupement informel de sept économies avancées du monde, à savoir l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni, ainsi que l'Union européenne.

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (7)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (5)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (6)

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Bellicisme et russophobie médiatiques

    La russophobie : de quoi cette passion collective est-elle le nom ? Bellicisme à outrance, haine de l’Autre au nom du Bien, force du préjugé officialisé, surenchères guerrières et bonne conscience inébranlable, indignation sélective derrière les bons sentiments : la russophobie, autant de passions mauvaises encore une fois au rendez-vous de l’Histoire … comme en 14. À cette différence près que les postures haineuses d’aujourd’hui s’accompagnent d’une certitude : celle de ne pas avoir à payer le prix du sang. Et, autre nouveauté, le discours belliciste se déploie tous azimuts, envahit les coins et les recoins de l’opinion, alors que le pays n’est pas occupé, ni menacé de l’être, ni même officiellement en guerre. Étrange situation que cette mise en condition sans la menace qui la justifierait un tant soit peu. Étrange phénomène qu’une rhétorique de guerre sans guerre directe.

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  • «Les Américains sont le problème de tout le monde»

    par Recent Reliable News

    La plupart des pays du monde se sont rangés du côté de la Russie, tandis que les États-Unis sont devenus un pays paria. C’est l’avis de la France à la veille de la réunion des BRICS.

    À Johannesburg, on achève les préparatifs du sommet des BRICS, qui débutera demain, le 22 août, tandis que l’UE fait le point sur la politique pro-américaine des autorités actuelles.

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  • Une « Histoire de la guerre d’Espagne »… pour mieux comprendre la guerre d’Ukraine

    Une « Histoire de la guerre d’Espagne »… pour mieux comprendre la guerre d’Ukraine

    Et si s’intéresser à un conflit passé pouvait nous aider à mieux comprendre un conflit présent ? C’est l’avis de Camille Galic dans le texte ci-dessous.
    Polémia

    Le 23 juillet dernier en Espagne, le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez provoquait des législatives anticipées dans l’espoir de rebondir après un scrutin régional désastreux pour son parti mais perdait son pari : le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) était en effet devancé par le Parti Populaire (PP), lequel n’avait toutefois pas obtenu la majorité absolue espérée avec son allié Vox, réputé par les médias d’ultra droite et auquel des sondages sans doute truqués promettaient un score mirifique, ce qui a effrayé beaucoup d’électeurs. Toujours en fonction car la situation ne s’est toujours pas décantée, Pedro Sanchez a pris sa revanche le 17 août avec l’élection de sa candidate, la socialiste Francina Armengol, à la présidence du Congrès des députés grâce aux voix des sept députés de Junts per Catalunya (JxCat, Ensemble pour la Catalogne), parti représentant le courant le plus dur du nationalisme catalan et dirigé de Bruxelles où il vit exilé depuis 2017, après l’échec d’une tentative de sécession de la Catalogne, par le leader indépendantiste Carles Puigdemont.

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (6)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (5)

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Une guerre depuis longtemps voulue par Kiev et Washington

    Loin de toute spéculation dite «complotiste», c’est le conseiller et porte-parole du président Zelensky, Oleksei Arestovitch qui en donne le détail. Remarquons que ses propos furent tenus trois ans avant l’entrée des forces russes en Ukraine, et quatre ans après les accords de Minsk. Voici ce qu’il déclarait le 18 mars 2019, dans une interview à la chaine ukrainienne Apostrof TV : «[…] Notre prix pour rejoindre l’OTAN est une grande guerre avec la Russie […]». Anticipant sur la guerre avec la Russie, il déclarait encore : «Dans ce conflit, nous serons très activement soutenus par l’Occident. Armes. Equipement. Assistance. De nouvelles sanctions contre la Russie. Très probablement, l’introduction d’un contingent de l’OTAN. Une zone d’exclusion aérienne. […]. Autrement dit, nous ne la perdrons pas»1. Déclaration qui prouve, s’il en était besoin, qu’aucun accord n’a jamais été envisagé avec les populations du Donbass et qui confirme que cette guerre, qui allait sacrifier l’ensemble des Ukrainiens, a bel et bien été voulue par Kiev et son tuteur américain plusieurs années avant l’attaque russe de février 2022. Cette attaque ne fera que révéler crûment cette dépendance.

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  • LA CONTRE-OFFENSIVE UKRAINIENNE POSE LA QUESTION DE LA SURVIE DE L’OTAN

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    Essayons de prendre du recul par rapport à la boucherie en cours. Au-delà du massacre jusqu’au dernier Ukrainien, il convient de se rappeler que ce conflit est avant tout lié à des questions politiques.

    Les dieux punissent les mortels en exauçant leurs vœux, la vieille malédiction grecque a finalement la vie dure.

    Les dirigeants occidentaux, alignés sur le quarteron de néoconservateurs au pouvoir à Washington voulaient piller la Russie. Seul souci, cet immonde individu nommé Vladimir Poutine avait redonné une colonne vertébrale au pays et sa faiblesse des années 1990 s’estompait chaque jour davantage. Face à cette situation deux stratégies étaient possibles :
    – Faire le dos, rond, attendre les conflits de succession au retrait de V.Poutine et jeter de l’huile sur le feu. Il fallait attendre et cette stratégie fut donc rejetée.

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