Au fil du temps, la Russie remplacera complètement ses armes et l’armée peaufinera sa cohérence, en s’appuyant sur son expérience riche et durement acquise dans la conduite d’un conflit armé mécanisé et manœuvrable.
géopolitique - Page 173
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L’OTAN est nerveuse : les Russes s’arrêteront-ils aux frontières de l’Ukraine ?
Critical Threats affirme que l'armée russe, après une victoire imminente dans la Région militaire Nord, deviendra plus puissante et plus moderne.L’armée russe victorieuse à l’extrémité de la Région militaire Nord disposera d’une expérience de combat inestimable et sera numériquement nettement plus nombreuse que les troupes russes avant le début de 2022.L’économie russe se rétablira progressivement à mesure que les sanctions s’atténueront inévitablement, et Moscou a déjà créé des mécanismes efficaces pour contourner ou atténuer celles qui subsistent. -
La défaite de l'Ukraine
Markku Siira
Source: https://markkusiira.com/2023/12/08/ukrainan-havio/
Les nouvelles en provenance des champs de bataille de l'Ukraine sont toujours mauvaises pour le régime de Kiev. Malgré les tentatives précédentes de nier les faits, l'Occident commence lentement à accepter que la contre-offensive tant médiatisée s'est soldée par un désastre. L'Ukraine ne publie pas de chiffres sur ses pertes militaires, mais selon des estimations indépendantes, elle a perdu jusqu'à 100.000 hommes dans son offensive ratée.
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La chute de l’Empire d’Occident
dimanche 19 juillet 2009, par André Waroch
L’heure est à l’homme nomade, au sans-patrie, au citoyen du monde. L’heure est à celui qui n’a d’autres attaches que celles qu’il peut emporter du jour au lendemain dans sa valise. Le monde de demain appartient à ceux qui sauront ne plus encombrer leurs errances terrestres, voire spatiales, d’un quelconque « terroir », archaïsme dont l’exaltation fleure bon son populisme rance.
Voilà le discours, à peine caricaturé, tenu par un certain nombre d’intellectuels venus de la gauche ou de l’extrême gauche et convertis au « libéralisme », c’est-à-dire, pour être plus précis, au libre-échangisme mondialisé. C’est une traversée moins rude qu’il n’y paraît, les fondamentaux idéologiques de ces intellectuels ne subissant, entre ces deux rives, que fort peu de dommage.
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Hanoï et Pékin s’accordent pour ne pas « succomber aux idées subversives de l’Occident »
C’est un article du Monde (source ici) qui titre de manière assez énigmatique « Hanoï et Pékin s’entendent pour empêcher la région de succomber aux idées « subversives » de l’Occident » !
Rien que ça.
Mais qu’est-ce donc que les idées « subversives » de l’occident rejetées par la Chine, comme par le Vietnam, mais aussi par la Russie et une grande partie du monde comme par exemple les pays musulmans également. Qu’est-ce qui pourrait donc provoquer un rejet d’ampleur planétaire et transcendant de nombreuses cultures et religions.
On se demande bien.
Le président chinois Xi Jinpinget le secrétaire général du Parti communiste vietnamien Nguyen Phu Trong viennent de se retrouver lors d’un sommet important à Hanoï.
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Diplomatie du conflit israélo-palestinien | Idriss Aberkane
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Les pôles: nouveaux enjeux géostratégiques (partie 2)
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Et si on relisait le Choc des Civilisations de Samuel Huntington et ses prédictions ? « La question est de savoir si l’Europe et l’Amérique deviendront des sociétés déchirées entre des communautés distinctes »
(…)
Deuxième prédiction : l’islam. Avant même les attaques du 11 Septembre, Huntington prévoyait la résurgence du conflit millénaire entre l’islam et l’Occident. « Certains Occidentaux, comme le président Bill Clinton, soutiennent que l’Occident n’a pas de problèmes avec l’islam, mais seulement avec les extrémistes islamistes violents. Quatorze cents ans d’histoire démontrent le contraire », écrit Huntington, ajoutant : « Au XXe siècle, le conflit entre la démocratie libérale et le marxisme-léninisme n’est qu’un phénomène historique superficiel en comparaison des relations sans cesse tendues entre l’islam et le christianisme. » Il prédisait que celles-ci allaient s’accentuer au XXIe siècle, du fait du désir de revanche postcolonial des pays musulmans et des prétentions universalistes arrogantes de l’Occident.
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Un acte de guerre de l’UE contre la Russie
Le 14 décembre 2023, le Conseil des chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne a décidé d’ouvrir des négociations d’adhésion avec à la fois l’Ukraine et la Moldavie.
• L’Ukraine est un pays en guerre. L’opération militaire spéciale russe a été lancée en application de la résolution 2202 du Conseil de Sécurité1 afin d’appliquer les Accords de Minsk qu’elle valide et la déclaration des présidents Petro Porochhenko, François Hollande et Vladimir Poutine, ainsi que de la chancelière Angela Merkel qui s’en sont portés garants. Pourtant l’UE assimile cette opération de police à une «agression» en «violation manifeste de la Charte des Nations unies».
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La 47e brigade mécanisée d’élite ukrainienne encerclée et à court de munitions : des fronts critiques s’effondrent
par Military Watch Magazine
La 47e brigade mécanisée d’élite de l’armée ukrainienne stationnée dans la ville d’Avdiivka, dans la région contestée de Donetsk, a été encerclée et contrainte de faire face à une pénurie croissante de munitions, selon plusieurs rapports provenant de sources ukrainiennes et occidentales. Des rapports britanniques indiquent que la brigade était censée attaquer une colonne russe avant de rejoindre l’infanterie d’assaut sur le flanc nord d’Avdievka, mais n’y est pas parvenue en raison d’un manque de munitions.
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Nos gentils voisins ukrainiens
Nota : ce texte est traduit d’un article paru en Roumanie
Quelques motifs pour ne pas plaindre les Ukrainiens
En 1918 ils ont souhaité officiellement l’annexion de la Bessarabie et seule la présence de l’armée roumaine, soutenue par la France et la Grande Bretagne, les a obligés à retirer leur demande.
En 1945 ils ont réitéré leur demande mais ont été obligés d’annuler encore une fois, sur pression de la part de Staline (cette demande était en contradiction avec les accords de Yalta).
En 1992 ils ont participé à la guerre en Transnistrie, aux côtés des troupes russes et contre les roumanophones, dans le but d’obtenir la séparation de cette région pour ensuite l’annexer (dans la suite de leurs demandes concernant la Bessarabie)