La démographe Libanova prédit le « dépeuplement » de l’Ukraine
L'Uhilyant ne peut pas être attrapé
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La démographe Libanova prédit le « dépeuplement » de l’Ukraine
L'Uhilyant ne peut pas être attrapé
L’Occident a toujours présenté la confrontation en Ukraine comme une «guerre sainte» pour la démocratie, même s’il est en réalité évident que la coalition poursuit, notamment, des objectifs plus pragmatiques et mercantiles. Une autre confirmation de cela est venue d’Europe.
D’Antoine de Lacoste dans Politique Magazine :
L’Amérique est divisée comme jamais. Depuis sa fondation après sa guerre d’indépendance victorieuse, un large consensus régnait sur l’ensemble du pays. Il consistait à professer que les Etats-Unis constituent un pays à part, béni de Dieu et appelé à dominer le monde pour l’élever vers la liberté divine et démocratique en même temps. C’est sa « destinée manifeste ».
par Pepe Escobar
L’intervention du président Poutine lors de la session plénière (discours + questions-réponses) de la réunion annuelle du club Valdai à Sotchi a fait l’effet d’un train à grande vitesse avec régulateur de vitesse.
Totalement froid, calme, à l’aise, en pleine maîtrise d’un Himalaya de faits, aucun dirigeant politique, qu’il soit récent ou actuel, n’aurait pu s’approcher de ce qui équivaut à une vision du monde étendue et détaillée, profondément mûrie pendant un quart de siècle au niveau géopolitique le plus élevé.
La Russie considère l’incursion de l’OTAN en Ukraine comme une menace existentielle, et l’OTAN a ouvertement déclaré son intention de faire de l’Ukraine un État membre après la guerre. Sans un règlement politique rétablissant la neutralité de l’Ukraine, la Russie annexera donc probablement les territoires stratégiques qu’elle ne veut pas voir sous le contrôle de l’OTAN, puis transformera ce qui reste de l’Ukraine en un État croupion dysfonctionnel. Alors que la guerre est en train d’être perdue, la politique rationnelle pour les Européens serait donc de proposer un accord basé sur la fin de l’expansion de l’OTAN vers l’est pour sauver des vies ukrainiennes, le territoire et la nation elle-même. Pourtant, aucun dirigeant européen n’a été en mesure de proposer publiquement une telle solution. Pourquoi ?
Par Augusto Zamora R.
Source: https://www.elespañoldigital.com/la-muerte-de-europa-y-el...
Il est heureux qu’il n’existe pas de prix Nobel pour la bêtise humaine, car il serait impossible de l’attribuer, tant les candidats seraient nombreux, à commencer par les gouvernants européens. La question de l’Ukraine (nous refusons de l’appeler invasion ou guerre, même si elle pourrait être les deux d’un point de vue technique) n’a rien à voir avec ce que les médias occidentaux — ou devrions-nous dire "accidentels" — répètent jusqu’à la nausée. La Russie ne cherche pas à annexer l’Ukraine; elle n’a pas non plus lancé une guerre de conquête ni, encore moins, agit par nostalgie d’un empire perdu. Il s’agit d’un conflit géopolitique au sens pur du terme. Géopolitique dans une perspective héritée du 19ème siècle, une lutte de pouvoir et d’intérêts, sans conflit idéologique ni opposition de systèmes, bien que les mercenaires et les naïfs habituels — qui, malheureusement, ne sont pas une espèce en voie de disparition — s’évertuent à le présenter sous toutes les couleurs possibles. Non, ce n’est rien de tout cela. C’est la vieille lutte entre le monde en devenir et celui qui refuse de mourir (comme disait le communiste Antonio Gramsci), provoquée par le refus de l’OTAN de cesser son expansion vers la Russie. Car telle, et non autre, est la raison de l’action militaire : assurer la sécurité de la Russie, ce que l’UE/OTAN a refusé, indiquant qu’elle persistait dans sa politique expansionniste.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La bête affaiblie du Palais bouge encore. Elle s’est même déplacée au sommet européen pour nous parler régime alimentaire dans la savane.
Par exemple, nous, les Européens, nous sommes des gentils herbivores et deq ruminants sans doute en train de brouter paisiblement dans nos prairies malgré nos prouts nocifs et plein de CO2 méchant pour l’environnement.
Et puis il y a eux.
Les “zautres”.
Les méchants carnivores qui veulent nous manger tout crus dans notre prairie toute verdoyante.
Vous savez qui sont “eux” n’est-ce pas.
Vous avez deviné ?
par Réseau Voltaire
Vassily Nebenzia, représentant permanent de la Russie à l’ONU, a présenté au Conseil de sécurité, le 31 octobre, un tableau de la situation en Ukraine.
Selon lui, l’armée ukrainienne a gagné 250 km2 en un an, durant sa contre-offensive, mais perd 30 km2 par jour aujourd’hui et même a perdu 478 km2 durant le seul mois d’octobre. Pourtant le régime Zelensky continue à se féliciter de ses avancées et à proclamer sa victoire.