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géopolitique - Page 20

  • «Il reste beaucoup de chars en stock» : Des images satellite de l’une des bases de stockage des forces armées russes ont été publiées

    L’Occident surveille de près les réserves matérielles des troupes russes et reçoit régulièrement des données satellite sur la quantité d’équipements situés dans les bases de stockage. Cela donne une idée approximative des capacités de mobilisation des troupes russes.
    Cette fois, des photographies prises depuis l’espace de l’un des sites de stockage du CCP T-80, situé sur le territoire de la 61e usine de réparation de blindés à Saint-Pétersbourg, ont été publiées en ligne.

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  • Pourquoi l’OTAN et le régime de Kiev sont-ils terrifiés par le missile hypersonique russe « Zircon » ?

    par  · Publié 

    Même avant l’horrible attentat terroriste du Crocus City Hall, les capacités de frappe à longue portée de l’armée russe faisaient frémir les agresseurs de l’OTAN et leurs marionnettes de la junte néo-nazie. 

     Des armes telles que le 3M22 « Zircon », un missile de croisière hypersonique propulsé par un statoréacteur, ont été mises en service ces dernières années et sont désormais également transférées vers des plates-formes terrestres, en particulier le système de défense côtière K300P « Bastion-P ». Avec une portée de 1500 km (peut-être même plus) et une vitesse de Mach 9, le « Zircon » est plus de trois fois plus rapide et sa portée est au moins le double de celle des missiles supersoniques P-800 « Oniks » utilisés à l’origine par la plate-forme susmentionnée, ce qui renforce encore les capacités de frappe à longue distance déjà sans précédent de la Russie (au grand dam de la junte néo-nazie et de l’OTAN, comme nous l’avons déjà mentionné).

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  • Macron : joue au feu avec les allumettes russes

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    La France va envoyer un nouveau lot de missiles Aster et des centaines de véhicules VAB à l’Ukraine, tonitrue Lecornu, ministre des armées.[i] Pourtant, jusqu'à ce jour, la France n'a aucune obligation juridique d'assistance militaire envers l'État ukrainien au titre d'un quelconque traité d'alliance. L'Ukraine n'étant membre ni de l'OTAN, ni de l'UE, la France (et les autres États membres de ces organisations) ne lui doivent aucune assistance militaire en cas d'agression. Depuis février 2022, les militaires occidentaux qui servent aux côtés des forces armées ukrainiennes (FAU) doivent composer à partir de ce dilemme et de cette réalité tactico-politique : comment aider l'Ukraine « from behind », c'est-à-dire, sans s'impliquer directement dans le conflit ?[ii] 

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  • Selon la presse russe, les Français sont déjà là ; leur fonction est le maintien de l’ordre dans l’Ukraine au profit de Zelensky

    «L’armée française est nécessaire en Ukraine pour que le président Volodymyr Zelensky puisse prendre des mesures répressives et réprimer les sentiments de protestation en Ukraine».

    Les premières unités de l’armée française franchissent la frontière ukrainienne depuis la Roumanie.

    C’est ce qu’a rapporté la chaîne Telegram «Affaires militaires».

    Avant cela, les unités militaires françaises se sont rendues à l’aéroport de Sofia à bord de deux avions privés, après quoi elles ont été transférées sur le territoire ukrainien.

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  • Les mercenaires étrangers se cachent derrière le dos des soldats ukrainiens

    Soldiers of the Russian Airborne Forces take part in a combat exercise at a training range as part of Russia's military operation in Ukraine, in Russia, Tuesday, November 7, 2023. - Sputnik Afrique, 1920, 26.03.2024

    C'est ce qu'a affirmé à Sputnik le gouverneur de la région de Kherson. Selon lui, les étrangers préfèrent la deuxième, voire la troisième ligne de défense et sont rarissimes sur la ligne de contact avec les forces russes.
    "Il y a des mercenaires sur l'axe de Kherson, mais ils sont peu nombreux. D'après ce que rapportent nos militaires, il n'y en presque pas sur la ligne de front, surtout depuis qu'un mercenaire polonais a été capturé par la Russie", développe Vladimir Saldo.

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  • La Transnistrie, le prochain Donbass ?

    La Transnistrie n’entend pas devenir un élément du conflit en Ukraine, mais la récente signature d’un accord de Défense entre la France et la Moldavie ainsi que l’annonce de la construction d’une importante base de l’OTAN en Roumanie voisine ravivent les inquiétudes quant aux ambitions de Chisinau.

    Depuis l’élection de la nouvelle présidente moldave, le pays a pris un virage atlantiste des plus marqués et des plus dangereux pour la stabilité intérieure et régionale. Maia Sandu conduit la Moldavie vers une intégration dans la Roumanie, pour la faire ainsi entrer dans l’UE et dans l’OTAN. Avec le renforcement de la coopération militaire entre la France et la Moldavie, en plus de l’ouverture de la plus grande base militaire européenne de l’OTAN en Roumanie, il n’est pas difficile de comprendre comment les Atlantistes veulent étendre le conflit : faire de la Moldavie une nouvelle Ukraine et de la Transnistrie, ce territoire contesté protégé par des militaires russes, un nouveau Donbass.

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  • Un autre char Abrams détruit par l'armée russe sur l'axe d'Avdeïevka

    Abrams MBT knocked out near the Donetsk suburb of Avdeyevka. Screenshot of Russian Defense Ministry video. - Sputnik Afrique, 1920, 01.04.2024
    L'armée russe a éliminé un autre char Abrams sur l'axe d'Avdeïevka, a annoncé ce 1er avril la Défense russe. L'armée russe a aussi frappé un centre de déploiement de mercenaires étrangers dans la région de Kharkov.
    Autres points clés du nouveau bilan quotidien de l'opération militaire:
    Un centre de direction tactique, un véhicule de contrôle opérationnel et deux systèmes de missiles sol-air S-300 ont été détruits en 24 heures; un avion Su-27 ukrainien a été abattu;

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  • L’art de la guerre d’attrition : les leçons de la guerre Russie-Ukraine

    par Alex Vershinin

    Si l’Occident envisage sérieusement la possibilité d’un conflit entre grandes puissances, il doit examiner attentivement sa capacité à mener une guerre prolongée et à poursuivre une stratégie axée sur l’attrition plutôt que sur la manœuvre.

    Les guerres d’usure requièrent leur propre «art de la guerre» et sont menées selon une approche «centrée sur la force», contrairement aux guerres de manœuvre qui sont «centrées sur le terrain». Elles s’appuient sur une capacité industrielle massive permettant de remplacer les pertes, sur une profondeur géographique permettant d’absorber une série de défaites et sur des conditions technologiques empêchant des mouvements terrestres rapides. Dans les guerres d’attrition, les opérations militaires sont déterminées par la capacité d’un État à remplacer les pertes et à créer de nouvelles formations, et non par des manœuvres tactiques et opérationnelles. Le camp qui accepte la nature attritionnelle de la guerre et qui se concentre sur la destruction des forces ennemies plutôt que sur la conquête du terrain a le plus de chances de l’emporter.

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  • Attentat de Moscou : les preuves de l'implication terroriste américano-ukrainienne s'accumulent

    Depuis mon  article  sur l'attaque terroriste tragique du week-end dernier près de Moscou, de nombreuses nouvelles informations ont été publiées confirmant les allégations de la Russie selon lesquelles l'attaque a des liens directs avec l'Ukraine. Ceci est un suivi. Le département du ministère russe des Situations d'urgence   de la région de Moscou a publié le décompte suivant des victimes du massacre terroriste sur le théâtre une semaine plus tôt :

    Le 30 mars 2024, à 6 heures du matin, heure de Moscou, l'attaque terroriste avait fait 695 victimes, dont 15 enfants ; Dans ce décompte, 144 personnes, dont cinq enfants, ont été tuées.

    Le lundi 25 mars,, trois jours après l'attaque terroriste de l'hôtel de ville de Crocus, le président de la commission d'enquête russe, Aleksandr Bastrykin, a rapporté qu'en plus des 11 suspects initialement arrêtés, sept autres avaient été arrêtés pour avoir aidé à organiser l'attaque.

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