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géopolitique - Page 386

  • Actualité d’Alexandre Douguine par Georges FELTIN-TRACOL

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    Chers Amis de TV Libertés,

    Cela fait bientôt quatre ans que le philosophe russe Alexandre Douguine est interdit de séjour dans l’ensemble de l’Union dite européenne en raison de ses prises de position interventionnistes contre l’Ukraine. Cette interdiction n’empêche heureusement pas les vaillantes éditions Ars Magna de Nantes de poursuivre et d’amplifier la parution en français des ouvrages du penseur de la « quatrième théorie politique ». Il y en aurait plus de soixante-dix disponibles en russe…

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  • Symboliquement et courageusement, le Parti de la France a manifesté sa solidarité avec la Grèce vendredi soir devant l'ambassade de Turquie

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    Vendredi soir, dans le XVIe arrondissement de Paris, les militants franciliens du Parti de la France se sont rassemblés aux abords de l'ambassade de Turquie afin de marquer symboliquement leur solidarité avec la Grèce envahie par des multitudes de prétendus réfugiés envoyés par Erdogan. 

    Préparé en seulement quelques jours, ce rassemblement visait à rappeler aux Français que, face à l'expansionnisme islamique, une riposte européenne est indispensable.

    Erdogan, en bon mahométan qu'il est, sait que sa mission est de contribuer à l'implantation de l'islam sur toute la planète. Quant à l'Europe, bercée depuis des décennies dans les illusions mondialistes, elle préfère fermer les yeux. Et c'est le peuple helénnique qui paye lourdement ce dénie de réalité.

    C'est afin de montrer aux Grecs que les Français lucides sont à leurs côtés face à l'invasion de leur pays que les nationalistes du Parti de la France ont organisé cette manifestation.

    Synthèse nationale

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  • Dans Politique Magazine : Moscou et Ankara face à face en Syrie et en Libye, par Antoine de Lacoste.

    Kurdes, Turcs, Russes, Syriens, islamistes, Libyens, Américains… L'Orient compliqué est un maelström d'influences, de manœuvres politiques et d'ambitions économiques où tout est possible. Une chose est certaine : l'Europe n'est plus rien en Méditerranée.

    Depuis que les États-Unis renoncent progressivement à être les gendarmes du monde et que l’Europe ne sert plus à rien, la Turquie et la Russie sont les deux nouveaux acteurs majeurs du monde méditerranéen. Ces deux pays sont donc condamnés à s’entendre afin d’éviter d’excessives tensions mais l’exercice relève parfois de l’équilibrisme. C’est notamment le cas dans le nord-ouest de la Syrie, dans la province d’Idleb, et en Libye où chacun soutient un camp opposé.

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  • Le nouveau cycle de la mondialisation

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    Par Laurence Daziano*

    L’épidémie de coronavirus, partie d’un marché de Wuhan, entraîne l’économie mondiale dans un choc d’offre et de demande, aussi majeur que celui du choc pétrolier de 1973. Mais, au- delà de l’effet conjoncturel sur la croissance de l’année 2020, le coronavirus s’inscrit dans une profonde transformation des échanges mondiaux qui ouvre une nouvelle page de la mondialisation dans la prochaine décennie.

    Le coronavirus a démontré l’extraordinaire dépendance des économies occidentales à la Chine. Depuis vingt ans, la production industrielle et manufacturière a été délocalisée en Chine, à un niveau extrême pour certains produits industriels stratégiques, à l’instar des médicaments ou des équipements télécoms. Pékin est désormais la « plaque tournante » de l’assemblage industriel mondial, que ce soit pour un smartphone, une voiture ou une batterie électrique. Le coronavirus a montré la grande faiblesse des chaînes mondiales de valeur, disséminées dans le monde entre plusieurs pays producteurs.

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  • Humiliation d’Erdogan: pourquoi Poutine a-t-il fait poiroter le président turc devant son bureau

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    La dernière rencontre entre les présidents russe et turc a fait l’objet de nombreux commentaires sur les réseaux. Décryptage du vrai et du faux et des conséquences profondes de cette rencontre.

    La salle choisie pour la rencontre du 5 mars dernier au Kremlin ne manquait pas de surprises pour le président turc… Avant même cela, c’est l’attente de la délégation turque, filmée par la télévision russe qui a beaucoup amusée sur les réseaux sociaux. Une attente dans le vestibule qui n’a en fait rien d’anormal. On y voit un Erdogan, livide, isolé, qui finit par s’asseoir, comme on se rend.

    Deux petites minutes qui paraissent interminables

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  • L’ennemi russe ?

    J’évoquais la semaine dernière « l’ami américain ? ». C’est avec le même et important point d’interrogation que je souhaite aujourd’hui dire quelques mots de « l’ennemi russe ? ».
    Les choses ont en effet beaucoup changé pour les hommes de ma génération, dont la jeunesse, et même la maturité, s’était déroulée dans un contexte de guerre froide et de menace communiste permanente, tant extérieure qu’intérieure.

    Si les valeurs et les convictions qui guident l’action politique sont invariables, les situations changent, et les analyses honnêtes doivent en tenir compte, afin toujours de rechercher la vérité.

    Où est la « déstabilisation » ?

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  • L’ami américain ?

    Impeachment

    Le procès en destitution du Président Trump devant le Sénat américain s’est achevé par un acquittement attendu. Les médias français (pas « Présent » bien sûr) n’ont fait que relayer complaisamment les accusations des démocrates : il aurait lors d’une conversation téléphonique tenté de faire pression sur le président ukrainien, pour essayer d’obtenir des informations sur le fils de Joe Biden, vice-président des États-Unis sous Obama, et sans doute l’un de ses plus sérieux adversaires. On ignorait que l’action politique devait toujours et partout rester un monde de « Bisounours », d’où toute préoccupation électorale devrait être bannie… Ce que presque tous les médias ont « oublié » de dire, c’est que le premier à avoir pratiqué cette forme d’ingérence n’est autre que… Joe Biden lui- même, qui, lorsqu’il était vice-président, avait tenté d’obtenir des autorités ukrainiennes qu’elles couvrent les agissements de son fils, suspecté de délits économiques ! En réalité, toute cette affaire ne prouve qu’une chose : C’est que la gauche, (aux USA : le parti démocrate), n’admet jamais le verdict des urnes : là-bas comme ailleurs, si elle gagne les élections, elle exerce le pouvoir. Si elle les perd, elle essaye de jouer le troisième tour dans le domaine médiatique, judiciaire ou social. Ici, la destitution n’avait aucune chance d’être votée, compte tenu de la majorité républicaine au Sénat. Mais les démocrates tablaient sur une « délégitimisation » de M. Trump, dont ils espèrent recueillir les fruits lors de la prochaine élection présidentielle…

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  • Humilié par Poutine, Erdoğan roule des mécaniques contre la Grèce et l’Union européenne

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    Jeudi dernier, Erdoğan est allé à Moscou s’agenouiller devant Poutine, comme d’autres se rendirent jadis à Canossa. Une dépêche de l’agence chinoise Xinhua révélait que « commentant des informations selon lesquelles Vladimir Poutine, , Angela Merkel et le Président français Emmanuel Macron [auraient pu] se rencontrer vendredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a répondu que le président russe avait d’autres projets ce jour-là ». En termes moins diplomatiques, Poutine aurait refusé tout net qu’Erdoğan soit accompagné de Macron et Merkel. Information confirmée dimanche, sur France 24, par la journaliste de Libé Hala Kodmani. À quoi pourraient donc servir ces deux-là ? Quelle part ont-ils pris au conflit ? Quelle influence leur reste-t-il dans la région ? La mine penaude, lâché de toutes parts, Erdoğan dut accepter sans sourciller les conditions de son vainqueur, baissant les yeux comme l’enfant terrible en passe de recevoir la fessée de son maître.

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  • Moyen-Orient : la souveraineté méprisée, par Christian Vanneste.

    La  offre l’exemple caricatural du mépris de la souveraineté érigé en dogme géopolitique. Il y a, dans ce pays, un État toujours représenté officiellement à l’ONU. Celui-ci a été réduit au rang de « régime » par les médias occidentaux, et son président décrit constamment comme le bourreau de son peuple pour avoir réprimé une révolte qui, dès 2011, a pris un tour armé et violent avec le massacre de policiers.

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  • Hillary Clinton devant le juge

    Hillary Clinton devant le juge

    Tandis que les tentatives de poursuites contre Donald Trump font chou blanc, un juge fédéral a ordonné à l’ancienne secrétaire d’État et candidate à la présidence Hillary Clinton d’effectuer une déposition sous serment, pour la première fois, dans le cadre de son utilisation d’un compte de messagerie privé pendant son mandat au Département d’État. Hillary Clinton avait auparavant soumis une déclaration écrite sous serment sur son utilisation du courrier électronique, mais la déposition – si elle a lieu – serait la première qu’elle devra soumettre à un interrogatoire.

    Au cours de ses quatre années au Cabinet du président Barack Obama, Clinton s’est appuyée sur un compte de messagerie et un serveur privés pour ses messages professionnels et personnels. Cette pratique a conduit à des controverses qui a troublé sa candidature à la présidentielle de 2016. En réponse aux questions de la presse pendant la campagne et dans la déclaration sous serment, Clinton a déclaré qu’elle avait conservé le compte privé et le serveur après avoir pris ses fonctions de secrétaire d’État en 2009 par souci de commodité. Le FBI a enquêté, mais il a trouvé des dizaines de messages dans son compte qui, selon les responsables, contenaient des informations hautement classifiées.

    En plus de la déposition de Clinton, le juge a déclaré qu’il exigerait le dépôt de l’ancien chef de cabinet de Clinton, Cheryl Mills.

    https://www.lesalonbeige.fr/hillary-clinton-devant-le-juge/