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géopolitique - Page 686

  • Un éditorialiste turc ose un tweet anti-Erdogan… et est licencié

    Il ne fait pas bon vivre en Turquie pour qui attaque verbalement le président sioniste Recep Tayyip Erdoğan. Pourtant le tweet du journaliste est plein de bon sens.

    Le quotidien turc Milliyet a licencié son éditorialiste vedette pour un tweet dans lequel le journaliste mettait en cause la responsabilité du président Recep Tayyip Erdogan dans l’attentat suicide meurtrier de Suruç, attribué au groupe Etat islamique (EI). « Nous avons arrêté notre collaboration avec M. Kadri Gürsel à compter du 22 juillet 2015 à cause de ses positions qui affectent notre environnement de travail », a annoncé la direction de Milliyet dans une courte déclaration citée jeudi par la presse turque.

    Mercredi, le journaliste a dénoncé sur son compte Twitter l’hypocrisie des responsables de la planète qui ont adressé leurs condoléances à M. Erdogan dans la foulée de l’attaque qui a fait 32 morts et une centaine de blessés lundi à Suruç, près de la Syrie.

    « Il est honteux que des responsables étrangers appellent la personne qui est la principale responsable du terrorisme de l’Etat islamique en Turquie pour lui présenter des condoléances après l’attentat de Suruç« , a-t-il écrit sans citer le chef de l’Etat.

     

    L’opposition turque et de nombreuses capitales étrangères reprochent au gouvernement islamo-conservateur, au pouvoir à Ankara depuis 2002, d’avoir fermé les yeux voire encouragé les activités des groupes djihadistes tels que l’EI.

    Ankara a toujours rejeté ces accusations.

    Le quotidien Milliyet est la propriété de l’homme d’affaires Erdogan Demirören, considéré comme un proche du parti islamo-conservateur au pouvoir.

    Source

    http://www.contre-info.com/un-editorialiste-turc-ose-un-tweet-anti-erdogan-et-est-licencie#more-38862

  • L’Occident est en train de «payer le fait d’avoir soutenu le terrorisme»

    Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré lors d’un entretien à la télévision qu’il ne pouvait y avoir de solution politique sur la guerre civile dans son pays tant que «le terrorisme» n’est pas éradiqué.

    Michel Janva

  • Cameron sur le terrorisme islamique : clair et ferme !

    Et Cameron donna l’explication la plus claire du terrorisme islamique et de l’extrémisme jamais osée par un leader politique… mais pourquoi tant de réticences en France à dire la même chose ?

    À travers un discours ferme, David Cameron s’est exprimé lundi 20 juillet sur la lutte contre le radicalisme islamique et le terrorisme. Le premier ministre britannique s’est employé à attaquer certaines explications populaires qui considèrent que le terrorisme est le produit de la pauvreté, du manque d’éducation, voire d’une maladie mentale. Son discours balaye ces arguments en objectant que bien des terroristes avaient grandi dans des familles prospères et suivi un enseignement dans des universités occidentales.

    Alors que la société britannique repose sur un système communautariste, David Cameron n’a pas hésité à pointer du doigt les dangers de la ségrégation qui favorise la diffusion d’une idéologie extrémiste et le processus de radicalisation : Nous devons nous pencher sur le problème de la ségrégation, car lorsque les gens grandissent et sont scolarisés entre eux, sans contact avec des personnes de milieux différents, cela conduit à la division a-t-il précisé, tout en notant « de nombreuses voix musulmanes fortes, positives ».
    Certaines chaînes étrangères sont également responsables de ce fondamentalisme religieux et de la violence qui en découle, à travers la diffusion « de contenu extrémiste » et une large place accordée dans les programmes aux « prêcheurs de haine ».

    Le chef des conservateurs souhaite, d’ici la fin de l’année, responsabiliser les communautés syriennes, irakiennes et kurdes de Grande-Bretagne afin qu’elles se mobilisent de manière explicite contre la violence.
    Intraitable face à l’État islamique, David Cameron a promis d’aider les parents craignant que leurs enfants partent au combat rejoindre Daesh. 700  Britanniques combattraient aux côtés de l’organisation terroriste en Irak et en Syrie. Sur demande des parents, le passeport de leurs enfants pourra leur être retiré afin de les empêcher de quitter le territoire britannique.

    Ce discours de David Cameron tranche avec les propos de Barack Obama, qui, dans son discours de l’état de l’Union le 20 janvier dernier refusait de prononcer les mots islam radical ou islamisme, au grand regret de certains observateurs. François Hollande soutenait en janvier que les musulmans étaient les « premières victimes du fanatisme, du fondamentalisme, de l’intolérance ».

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    http://fr.novopress.info/190911/cameron-terrorisme-islamique-clair-ferme/#more-190911

  • L'argent saoudien pour exporter l'islamisme

    Lu ici :

    S"Selon quotidien américain The New York Times, qui trié et étudié des dizaines de milliers de documents diplomatiques saoudiens révélés par le site WikiLeaks, l'Arabie Saoudite investit "des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier". [...]

    Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume".

    D'après Usama Hasan, chercheur en études islamiques à la fondation Quilliam à Londres, cité par new York Times, "il s’agit de milliers et de milliers d’organisations militantes et religieuses (...) directement ou indirectement financées par eux" à travers le monde.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 17 députés français se rendent en visite officielle en Crimée, dans un contexte de crise agricole due aux sanctions russes.

    C’est à l’initiative du député républicain, Thierry Mariani, que  dix-sept parlementaires (dont 3 sénateurs) sont partis mercredi pour Moscou. Thierry Mariani, Nicolas Dhuicq, Jacques Myard, Yves Pozzo Di Borgoainsi que la plupart de leurs compagnons de voyage, sont des récidivistes; en septembre 2014 ils s’étaient déjà rendus en Russie en compagnie de 14 parlementaires pour assurer le Kremlin de leur soutien dans la crise ukrainienne. Ils ont, comme la fois précédente, rencontrer Sergeï Narychkine, le Président de la Douma. L’originalité, cette fois-ci, tient au fait qu’ils se sont rendus en Crimée. Le rattachement de la Crimée à la Russie, selon la volonté de ses habitants, avait été le prétexte aux séries de sanctions que l’Occident a depuis, fulminées contre la Russie.

    Christine Dalloz, Yannick Moreau tous les deux Républicains, et Jérôme Lambert (RRDP) sont les nouveaux venus, cette année.

    Les parlementaires étaient en Crimée ce jeudi et y resteront demain. Il ont confié au Courrier de la Russie qu’ils militent pour une « Grande Europe, [dans laquelle] nous sommes de toute façon « condamnés » à travailler avec la Russie. L’affaire ukrainienne est un cancer qu’il faut stopper, et pour cela, il faut garder le contact. »

    Un voyage qui rappelle également la visite de parlementaires français à Damas, reçus par Bachar-el-Assad: quatre députés en février 2015, parmi lesquels Jacques Myard, et tout récemment, le parlementaire chrétien-démocrate, Jean-Frédéric Poisson .

    L’Ukraine veut interdire son territoire aux députés…

    Thierry Mariani ajoute : « la Crimée est historiquement russe. Point final. On ne lutte pas contre l’Histoire. Et si quelqu’un estime qu’il s’agit d’une violation du droit international, eh bien, je suis très fier, à 56 ans, de commencer une carrière de délinquant international ! » A propos d’une éventuelle interdiction d’entrée en Ukraine, il précise: « Je connais bien l’Ukraine et j’y étais encore il y a un mois, à titre personnel, afin de rédiger un rapport pour l’Assemblée nationale. J’attendrai que le pouvoir actuel – dont, à mon avis, les jours sont comptés – tombe et je retournerai en Ukraine lorsqu’un nouveau gouvernement sera en place.»

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  • Occident, il est temps de secourir l’Orient chrétien !

    Originaires d’Europe de l’Est, de France, des États-Unis ou du Canada, ils ont décidé de répondre à l’appel des chrétiens d’Orient en ralliant des groupes de combat.

    Ils se prénomment Mathieu, Bastien, Martin, Stan, Tim ou Brett, ils sont étudiants, anciens militaires, chômeurs, associatifs ou simples aventuriers improvisés. Originaires d’Europe de l’Est, de France, des États-Unis ou du Canada, ils ont décidé de répondre à l’appel des chrétiens d’Orient en ralliant des groupes de combat comme cette milice chrétienne du nom de Dwekh Nawsha. Certains sont croyants, d’autres athées. Ces derniers s’enrôlent plus aisément dans les rangs des YPG (Yekîneyên Parastina Gel) ou Unités de protection du peuple, de tendance marxiste, militant pour l’autodétermination du Kurdistan syrien.

    Si beaucoup seront refoulés lors des tests de recrutement, ces volontaires ne sont pas sans rappeler leurs glorieux prédécesseurs français, étudiants pour la plupart, ayant rejoint en 1975 les Phalanges chrétiennes du Liban, au plus fort de la guerre civile qui étreignait cet îlot chrétien en terre d’islam. À l’époque, les phalangistes de Bachir Gemayel s’opposaient aux Palestiniens, plus nombreux et armés par Moscou et ses satellites communistes. La geste de ces jeunes ne manquait pas de panache. Elle eut son héros, le valeureux Stéphane Zanettacci, fauché par une grenade alors qu’il marchait vers le camp forteresse de Tel al-Zaatar, ce qui lui valut un requiem entonné, en sa mémoire, par toute une génération de militants :

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  • La Turquie bombarde des bases de l’État islamique

    La Turquie a finalement décidé de s’en prendre à l’État islamique en menant vendredi deux séries de frappes aériennes contre des positions djihadistes en Syrie, alors que la police a mené un vaste coup de filet antiterroriste dans tout le pays.

    Ces premiers raids aériens de la Turquie marquent un tournant dans la politique syrienne du régime conservateur turc, longtemps accusé par ses alliés de fermer les yeux, voire de soutenir les organisations radicales en guerre contre le régime de Damas. Ils ont été ordonnés en représailles à l’attaque menée jeudi par un groupe de combattants djihadistes contre un poste avancé de l’armée turque près de Kilis. Un sous-officier turc a été tué et deux autres soldats blessés.

    Il est utile de rappeler que la Turquie constitue le principal point de passage des recrues djihadistes vers la Syrie.

     


    Turquie face à l'EI : pourquoi le pays… par lemondefr

    http://fr.novopress.info/

  • Encore un drone américain qui s’écrase en Irak

    C’est ce qui s’appelle une preuve irréfutable par un selfie. Le Pentagone a été obligé d’admettre qu’un de ses drones s’est bien écrasé en Irak après qu’une photo d’un Irakien posant fièrement devant l’engin ait fait le tour des réseaux sociaux.

     

    Le drone, un modèle Gray Eagle pour être exact, s’est écrasé ce 20 juillet près de Samarah, à 350 km au sud-est de Bagdad. Cette région est précisément le centre d’une bataille féroce que se livrent l’armée irakienne et les éléments de Daesh.

    Très vite des photos de l’appareil sont apparues sur Twitter.

    Devant l’évidence de ces images qui ont enflammé les réseaux sociaux, l’armée américaine n’a plus d’autre choix que d’admettre le crash de ce MQ-1C, d’une valeur de 40 millions de dollars tout de même, tout en précisant que le drone était non armé.

    Les images indiquent également que le corps de l’appareil ne comporte aucun impact, excluant par conséquent l’hypothèse qu’il aurait été abattu en plein vol.

    Selon le magazine Air Force Times, «le drone effectuait une mission de combat quand il s’est écrasé. Rien n’indique que des civils ont été blessés ou des biens endommagés sur le site de l’accident. Le Predator n’a pas été abattu par des tirs ennemis, mais il n’y a aucune information sur la façon dont le drone s’est écrasé. Les enquêteurs devront déterminer les circonstances de cet accident».

    Ce n’est pas la première fois qu’un tel incident se produit. Déjà en mars dernier, un drone américain s’était écrasé en Syrie.

    Source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFZZpAVFZyXQEXiAJ.shtml

  • En Russie, des députés français dénoncent les sanctions

    La délégation des parlementaires français arrivée jeudi à Moscou a rencontré le président du chambre basse du parlement russe Sergueï Narychkine avant d’entamer leur visite en Crimée. Le Quai d’Orsay estime que ce territoire est «occupé», la raison pour laquelle le ministre Laurent Fabius a déconseillé aux parlementaires d’entreprendre ce voyage.

    Le président de la délégation, député «Les Républicains» et coprésident de l’association du «Dialogue Franco-Russe», Thierry Mariani a raconté que le but de ce voyage en Crimée était de découvrir la situation réelle sur place.

    «Certains d’entre nous estiment que le retour de la Crimée [au sein de la Russie] est parfaitement logique, d’autres veulent se faire une idée de l’état d’esprit des habitants, parce que ne pas comprendre l’état réel de choses est le pire de ce qui peut arriver».

    Le député croit que la reprise du dialogue entre Moscou et Paris sera bénéfique pour les deux parties.

    «Tout comme plusieurs autres députés, ceux qui se trouvent ici maintenant sont hostiles aux sanctions». «Les producteurs agricoles français protestent, les éleveurs protestent aussi. Les sanctions touchent aux intérêts de la Russie, mais ils touchent aussi directement aux intérêts des agriculteurs français». «Cela souligne la stupidité de la politique des sanctions provoquée par les Etats-Unis».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html