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géopolitique - Page 727

  • Abdel Bari Atwan, célèbre éditorialiste de la presse arabe: "Certains dirigeants arabes sont pires que Netanyahou" (vidéo)

  • Vidéo choc : opération d’infiltration du Hamas et attaque d’une base israélienne

    Le Hamas s’est battu et a éliminé des soldats. Les sionistes ont tué 1670 personnes depuis le début de l’opération dont 90% de civils.

    http://www.contre-info.com/

  • Gaza : la Bolivie déclare Israël État terroriste

    « Nous déclarons (Israël) État terroriste », a déclaré le président bolivien Evo Morales , indiquant que l’offensive sur Gaza « démontre qu’Israël n’est pas un garant des principes de respect de la vie et des droits élémentaires qui régissent la coexistence pacifique et harmonieuse de notre communauté internationale »

    Après le Brésil et l’Équateur la semaine dernière, le Chili, le Pérou et le Salvador ont quant à eux rappelé mardi  « pour consultation » leur ambassadeur en Israël. Le Chili a notamment qualifié les opérations militaires israéliennes de « châtiment collectif à l’encontre de la population civile de Gaza. »

    http://www.contre-info.com/

  • Avec ou sans sanctions, les affaires des Européens en Russie en souffrance

    Adidas manquera ses objectifs cette année, les fabricants allemands de machines-outils aussi: le mal est déjà fait pour beaucoup d’entreprises actives en Russie, avant même l’entrée en vigueur de sanctions économiques contre Moscou dont l’impact supplémentaire est difficile à évaluer.

    Sur fond de crise ukrainienne, l’Union européenne a décidé d’interdire à partir de vendredi d’exporter certains produits vers la Russie et de bloquer l’accès aux marchés financiers européens à certaines banques russes.

    Mais pour les entreprises implantées en Russie, cela fait déjà des mois que les affaires sont en souffrance, souligne la fédération allemande VDMA des fabricants de machines-outils.

    Pour ce secteur, l’un des plus importants de l’économie allemande, la Russie est un gros client, gourmand en centrales électriques, en machines agricoles. Or les commandes russes de machines avaient déjà plongé au seul premier trimestre de plus de 17%, et l’ensemble des exportations allemandes de 14% vers le pays entre janvier et avril.

    L’Allemagne la plus exposée

    Les sanctions financières imposées à Moscou vont renforcer cette tendance en empêchant potentiellement les clients russes d’accéder à des financements. Qui plus est, le conflit avec la Russie «freine la demande dans plusieurs gros marchés pour notre secteur», expliquait jeudi Ralph Wiechers, économiste de la VDMA.

    En conséquence, les fabricants de machines-outils ne sont plus en mesure d’atteindre leur objectif de production pour cette année, selon la fédération.

    «Parmi les grands pays européens, l’Allemagne est la plus exposée au risque russe», souligne Holger Schmieding, économiste en chef de la banque Berenberg.

    L’équipementier sportif allemand Adidas a nettement revu à la baisse jeudi ses prévisions de bénéfices pour cette année, citant notamment le cours du rouble et les risques pesant sur la confiance des consommateurs en Russie, un gros débouché pour lui, avec plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires annuel.

    Pour le fabricant de baskets, les sanctions – qui visent des technologies sensibles dans l’énergie et le secteur de la défense – n’auront un impact que par leur effet de ricochet sur la conjoncture russe et le pouvoir d’achat des ménages. Et éventuellement par le biais de mesures de rétorsion russes.

    Cela vaut aussi pour beaucoup d’autres acteurs européens, par exemple le distributeur Metro, ou les constructeurs automobiles. Selon Ferdinand Dudenhöffer, expert automobile de l’université de Duisbourg-Essen, ce sont les fabricants généralistes, comme Ford ou Opel, qui seront en première ligne. Le français Renault a jugé cette semaine très difficile d’évaluer l’impact des sanctions.

    Risque de débordement

    De manière générale même ceux qui pourraient être touchés directement par celles-ci répugnent à pronostiquer quoi que ce soit. Le pétrolier français Total, qui est en train de construire une usine géante de liquéfaction de gaz naturel en Russie, explique qu’il est «prématuré» d’évaluer l’effet des mesures décidées cette semaine.

    L’énergéticien allemand EON préfère rester muet sur le sujet, de même que Wintershall, filiale du chimiste BASF très implantée en Russie. Chez le conglomérat Siemens, qui exporte vers la Russie trains et turbines à gaz pour 2 milliards d’euros par an, le patron Joe Kaeser ne voit pas d’effet notoire sur les résultats cette année mais ne se prononce pas sur l’année prochaine. Le britannique BP, partenaire du russe Rosneft, s’est tout de même ouvertement inquiété pour «(sa)situation financière et le résultat de (ses) opérations».

    Mais ce n’est pas le manque à gagner des industries sous le coup des sanctions qui pèsera le plus, juge Marcel Fratzscher, de l’institut économique allemand DIW. «Le plus gros facteur de coût c’est l’incertitude» qui diffère commandes et projets d’investissement, ce qui «peut rapidement déborder de secteurs précis à l’ensemble de l’économie», dans une zone euro en convalescence.

    Moscou a également agité cette semaine la menace de prix de l’énergie en hausse, une éventualité qui serait lourde de conséquences pour l’économie européenne. Mais le gros des contrats d’approvisionnement en gaz russe sont des contrats de long terme à prix fixe.

    AFP (via 20 minutes)

    http://fortune.fdesouche.com/349861-avec-ou-sans-sanctions-les-affaires-des-europeens-en-russie-en-souffrance#more-349861

  • Les sanctions d’Obama contre la Russie sont vouées à l’échec

    Une nouvelle Guerre Froide était bien la dernière chose qu’Obama avait encore à l’esprit lorsque la nuit tombait sur le campus universitaire de l’université Lynn, en Floride, le 22 octobre 2012. C’était la nuit des longs couteaux, celle du fameux débat de politique étrangère de la campagne présidentielle, durant lequel Obama a vertement mouché son opposant républicain, Mitt Romney, en ridiculisant son assertion selon laquelle la Russie constituait la plus grande menace géopolitique pour les Etats-Unis au 21ème siècle.

    Voici comment Obama administra sa fameuse rebuffade à Romney : « Monsieur le gouverneur, je suis content que vous reconnaissiez qu’al-Qaïda est une menace, car lorsque que l’on vous demandait, il y a quelques mois, quelle était la plus grande menace pour les Etats-Unis, vous avez répondu la Russie – et non pas al-Qaïda – vous avez dit la Russie. Et les années 1980 n’appellent pas au retour de leur politique étrangère parce que, savez-vous, la Guerre Froide est terminée depuis plus de 20 ans. Mais, Monsieur le gouverneur, lorsqu’il s’agit de politique étrangère, vous semblez vouloir importer la politique étrangère des années 1980 ».

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  • Libye : le bilan BHL / Sarkozy

    Pas foutus de faire respecter la loi dans les « quartiers », ils estimaient établir un ordre nouveau au sud de la Méditerranée. On voit le résultat. En Libye, on en a pendu pour moins que ça.

    C’était il y a trois ans ; autant dire hier pour les médias français, mais une éternité pour le peuple libyen. Le début des « Printemps arabes », l’armée française, bras armé de la démocratie à Tripoli, Kadhafi le monstre et Sarkozy le sauveur. Bon, certaines mauvaises langues prétendent que le premier aurait un peu financé le second à l’occasion de sa campagne présidentielle de 2007. Ce que les gens peuvent être méchants…

    Aujourd’hui ? Aujourd’hui le chaos. À en croire l’agence Reuters : « En raison de l’insécurité à Tripoli, l’ambassade américaine a été évacuée ce samedi. 70 diplomates ont été transférés en Tunisie. Pour les habitants de Tripoli, cette situation de guerre replonge la ville à l’été 2011 lorsque les insurgés anti-Kadhafi avaient repris la capitale. “On manque de fioul, depuis une semaine. Il y a une pénurie d’eau. Il n’y a plus d’eau dans les robinets. […] La différence avec 2011, c’est qu’on était sûrs qu’on n’allait pas avoir un canon sur la tête”, rapporte un habitant. »

    Dans le même temps, selon Le Parisien : « Plus de cent morts en deux semaines d’affrontement, des combats qui s’intensifient près de Tripoli et à Benghazi. […] La Libye est entrée dans un conflit d’autant plus menaçant qu’il présente des dimensions multiples, mélangeant facteurs locaux et internationaux. »

    Il est donc un peu loin, le temps où Bernard-Henri Lévy posait devant les photographes, lors du Festival de Cannes, flanqué de deux « démocrates » libyens d’opérette, affublés de lunettes noires et de keffiehs, façon Dupond et Dupont dans les aventures de Tintin au pays de l’or noir. Même silence radio chez les protagonistes de l’époque, cette UMP donnée pour être parti de gouvernement ; voire chez les socialistes d’alors, et pas seulement ceux victimes de l’ouverture sarkozyste, qui applaudissaient la politique de la canonnière.[...]

    Nicolas Gauthier

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libye-le-bilan-BHL-Sarkozy

  • Il a tout fait pour se retenir…

     Mais le responsable des réfugiés palestiniens pour l’ONU n’a pas pu.

    (Suite au nouveau bombardement d’une école dans la bande de Gaza)

    http://www.contre-info.com/

  • Israël, Palestine, la guerre et l’horreur de l’homme sans le Christ

    Le conflit israélo-palestinien est d’une extrême complexité. Il trouve son origine dans des causes historiques, raciales, nationales, ethniques, religieuses, etc… Toutes les lectures simplistes d’une telle tragédie sont les fruits d’une idéologie.

    Un petit retour en arrière honnête demande d’abord de rappeler que l’Etat d’Israël est une fabrication d’après guerre, concrétisation de l’idéologie sioniste qui se fait très pressente dés la fin de la première guerre mondiale. Mais à cette époque, la Palestine est colonie britannique, il n’est donc pas question d’y installer un état.

    La seconde guerre mondiale modifie le cours des événements : l’heure est à la décolonisation. Les persécutions subies par les juifs en Europe semble apporter un argument décisif aux sionistes : il serait nécessaire de rétablir un état juif qui puisse protéger les juifs. C’est naturellement sur Jérusalem et la terre ancestrale du peuple juif que les sionistes jettent leur dévolu.

    Un Etat, construit de toute pièce, se retrouve fondé en quelques mois sur une terre alors occupée par les Palestiniens : qu’à cela ne tienne, ceux-ci sont chassés, et s’en suivent alors différents guerres et conflits. Les Palestiniens se retrouvent aujourd’hui parqués pour la majorité dans la bande de Gaza, sans Etat et sans autre ressources que celles qui passent au compte goutte selon le bon vouloir de l’Etat hébreux.

    Le fait est qu’aujourd’hui il y a une situation réelle : des générations de juifs ont grandi en Israël, une société vit là, qui existe et qui elle aussi veut défendre ce qu’elle considère comme sa terre. Il y a là un antécédent sur lequel il est impossible de revenir de façon pragmatique. Il est vrai aussi qu’Israël continue, malgré toutes les paroles données et les différents engagements publics, de construire des colonies en territoire palestinien.

    Cette guerre qui se prolonge depuis des décennies ne peut être autre chose qu’une vaste horreur : si la guerre n’est jamais belle et si elle constitue toujours une tragédie affreuse, elle peut être menée avec plus ou moins d’honneur et de morale. Ce conflit en est totalement dénué, car les protagonistes adhèrent dans leur majorité à des religions ou des idéologies qui leur permettent toutes les extrémités.

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  • Les États-Unis entrainent le monde vers le chaos et la tyrannie pour ralentir leur déclin

    L’Empire américain est doublement engagé, au plan économique et monétaire d’une part et au plan stratégique et géopolitique d’autre part, pour tenter de ralentir son déclin, dans une entreprise systématique de destruction de ses adversaires comme des ses supposés « alliés ».

    Au plan économique et monétaire, les manipulations domestiques et internationales auxquelles se livrent les USA (via leur Federal Reserve et leurs grandes banques « too big to fail ») sur la plupart des paramètres (statistiques faussées) et des actifs (monnaie, taux d’intérêt, actions, obligations, etc. « dirigés ») ne sont plus à démontrer, de telle sorte qu’il n’y a plus un seul marché libre dans le monde entier dont on puisse connaitre précisément la situation réelle !

    Quant au plan stratégique et géopolitique, les USA, visant à empêcher toute alliance entre l’Europe et la Russie (toujours leur obsession du contrôle du « heartland » eurasien !) comme à saboter l’émergence de toute solution pacifique au Moyen Orient avant que ce soit le tour de l’Asie, installent des conflits régionaux qui nécessairement prendront suffisamment d’ampleur pour qu’ils auto-détruisent les États qui s’y laissent entrainer. [...]

    Nous ne nous prononçons évidemment pas sur le point de savoir qui a raison ou a tort dans ces conflits (les Israéliens ou les Palestiniens, les Russes ou les Ukrainiens) mais seulement sur la méthode employée par les USA pour les créer et les envenimer dans le seul but d’empêcher toute coexistence pacifique internationale selon la pratique vieille comme le monde consistant à diviser pour régner.

    D’ailleurs, les USA se moquent évidemment des Israéliens comme des Ukrainiens, qui ne sont que des pions sur leur échiquier, ce qu’ils visent c’est la déstabilisation la plus radicale possible et par tous moyens de l’ensemble des pays arabes du Moyen Orient et de la Russie, en grande partie pour éviter de perdre leur contrôle direct ou indirect des ressources gazières et pétrolières internationales qui sonnerait le glas de leur pétrodollar.

    Ce qui n’est pas nouveau puisque les guerres, les dissimulations et les provocations américaines (qui ont tué des centaines de milliers de personnes) en Afghanistan, Irak, Syrie, Libye, Soudan, ex-Yougoslavie, etc., ont amplement démontré tout cela. Sans oublier l’intérêt plus récemment manifesté par les USA de faire cesser les achats de gaz et de pétrole russes par l’Union européenne, qui pourrait alors constituer un nouveau marché pour les exportateurs de gaz et de pétrole de schistes US permettant ainsi de rentabiliser cette technique qui ne l’est pas encore, tout en accroissant la dépendance globale de l’Europe vis-à-vis des USA et en renchérissant très fortement le coût de l’énergie en Europe (ce qui la fera se tenir « tranquille » et permettra ensuite à Washington de s’occuper du « cas » chinois !).[...]

    Il n’y a rien à attendre de l’ONU, de l’OSCE et autre « machin » (pour reprendre l’expression gaullienne) qui ne servent à rien dans la prévention ou la résolution des conflits puisque, comme la plupart des autres organisations internationales (FMI, Banque mondiale, etc.), elles sont alignées sur les USA (sur le territoire desquels elles sont généralement installées et qui payent l’essentiel de leur budget ou bien obtiennent la majorité de leurs droits de vote).

    Nous allons donc assister à de plus en plus de coups tordus [...] et au développement de conflits de toutes natures dans l’ensemble Afrique, Moyen Orient, Balkans, Caucase, Europe, Russie, dont les USA espèrent rester relativement indemnes puisque leur « pays-continent » largement sanctuarisé (sauf du terrorisme international) en est suffisamment éloigné. Mais qui nécessairement provoqueront chez eux une rechute en récession, laquelle est probablement à leurs yeux secondaire par rapport au risque de perdre leur hégémonie mondiale.

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