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La guérilla afro-musulmane frappe à Viry-Châtillon
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Philippe de Villiers : « L’islam est incompatible avec la civilisation française »
« L’islam est incompatible avec la civilisation française », a affirmé Philippe de Villiers, invité ce matin de RTL à l’occasion de la parution aujourd’hui de son ouvrage, Les cloches sonneront-elles encore demain ? (Albin Michel), cri d’alarme contre l’islamisation de la France.
Une génération politique, a-t-il expliqué, celle de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, « a du sang sur les mains », notamment « parce qu’ils ont installé au cœur de notre nation une super-nation qui s’appelle l’oumma, c’est-à-dire la communauté des croyants de l’islam », et que nous devons maintenant faire face à « une contre-société islamique qui nous pose évidemment les plus grands problèmes ». Des « populations de plus en plus nombreuses sont en train de faire sécession », elles sont « un peuple dans le peuple ».
Pour Philippe de Villiers, « l’islam est incompatible avec la République, incompatible avec la civilisation française », incompatible avec l’égalité entre les hommes et les femmes, incompatible avec la liberté – celle de changer de religion par exemple, et incompatible avec la fraternité, « puisque, dans l’islam, la fraternité s’arrête à la communauté des croyants, c’est-à-dire aux musulmans ».
« Nous sommes devant une conquête démographique », a poursuivi Philippe de Villiers, évoquant un plan des Nations Unies (« le plan secret des élites »), qui est celui de la « migration de remplacement ».
« Il n’y a pas de compromis possible avec l’islam », a-t-il asséné, appelant à « défendre notre civilisation », sinon « le vide sera rempli par les islamistes ». Et Philippe de Villiers d’enfoncer le clou : « Il y a des musulmans modérés, il n’y a pas d’islam modéré. »
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François Hollande: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain"
Dans Un président ne devrait pas dire ça..., un livre enquête de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, les auteurs rapportent des propos tenus par François Hollande. Même si l'explication donnée est un peu tordue, cette citation évoque un peu le Grand remplacement (qui n'existe pas), non ?
"(...) Alors que chacun sait que ce n'est pas la conception de la laïcité, reprend-il. Je pense que, le sujet, il est par rapport aux Français : qu'est-ce qui fait que nous sommes, en France, même si nous habitons des territoires différents, liés par quelque chose qui nous dépasse ?" [...] Il ose une formule choc: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain."
"Parce que, développe-t-il, d'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal. Finalement, quel est le pari que l'on fait ? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement. Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société."
Il y a une autre manière de comprendre cette citation :
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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La « crise des migrants » : une opération menée par Bruxelles avec l’aide des médias et des ONG
Lazlo Foldi, ancien directeur des opérations des services de renseignement hongrois,a déclaré que la « crise des migrants » est uneopération menée par Bruxelles avec l’aide des médias et des ONG contre les Etats-nations afin d’instaurer une Europe multiculturelle à l’issue d’une guerre de quatrième génération.
L’opération actuelle prend trois formes.
« L’une est une attaque politique formelle venant de Bruxelles, l’autre est une attaque diffuse à travers les médias « mainstream », bien sûr les grands médias occidentaux, mais aussi une part des médias hongrois qui sont financés de l’extérieur. »
La troisième est une attaque « concrète », sur le terrain, organisée par des « organisations civiles », qui, sous couvert d’aide humanitaire, instrumentalisent les migrants.
Lazlo Foldi prend pour exemple les images milliers de migrants (sept mille) qui se sont rués cette semaine sur les barrières posées à la frontière entre la Serbie et la Hongrie. Ces migrants n’ont pas eu l’idée tout seuls de porter des pancartes rédigées en anglais à l’intention des caméras, ni de chanter leur exigence de traverser la frontière, juste après le résultat du referendum hongrois. Ils n’ont pas eu non plus l’idée de foncer soudainement sur le point de la frontière le plus proche de Belgrade : ils ont affirmé aux cameramen de télévision que des « civils européens » d’organisations humanitaires leur avaient appris qu’après le referendum « les Hongrois auraient compris et ouvriraient leur frontière ». Une fausse nouvelle soigneusement calculée pour provoquer cette marée humaine et pouvoir en diffuser l’image grâce aux télévisions occidentales. Pour l’ancien patron des opérations du renseignement, ce n’est qu’une énième désinformation menée par les « humanitaires » pour instrumentaliser les migrants.
Sans opération militaire ni effusion de sang, il s'agit d'une guerre psychologique dont le premier ressort est la mauvaise conscience de l’Occident, soigneusement semée et cultivée grâce à la repentance. Elle vise la soumission de populations préalablement travaillées, pour qui la notion d’ennemi n’existe pratiquement plus.
Cette guerre non déclarée, cette invasion sans armes, ne rencontre en conséquence que très peu de résistance. Et les rares individus qui songent à se défendre sont montrés du doigt et exclus d’une société dont le principe de base est qu’il est exclu d’exclure. Ce qui fait que les anticorps sont éliminés par l’organisme avant de pouvoir agir contre les bacilles qui envahissent ledit organisme.
Pour Lazlo Foldi, l’objectif de l’Union européenne et de tout le complexe institutionalo-médiatique qui relaie l’idéologie mondialiste, est de « transformer l’Europe en un système multiculturel au-dessus des nations ».
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Viry-Châtillon, suite...
Ce mardi 11 septembre, l'écoute de la matinale de France info, et plus particulièrement du 7-9 de Fabienne Sintès, s'est révélée extrêmement instructive.
Pour les pessimistes, les défaitistes, les dépressifs et tous ceux qui ont mal au foie, c'était mi-hallucinant, mi-terrifiant d'entendre ces personnes qui parlaient de la « prison à ciel ouvert » qu'était cette monstruosité de Cité de la Grande Borne (au passage, quel architecte et quel gouvernement insensés ont-il pu concevoir, et laisser construire, une horreur criminogène pareille ?)
Pour nous, qui ne sommes pas « optimistes » mais, plus sérieusement, hommes et femmes de foi et d'espérance en l'avenir de notre pays - qui en a vu d'autres - la tentative d'assassinat perpétrée contre les policiers ne fait que nous donner raison, et montrer la justesse de notre analyse.
Une analyse que, d'ailleurs, le précédent roi du Maroc, Hassan II, avait faite, en nous prévenant, lui qui était - comme aujourd'hui son fils, Mohammed VI - « Amir-el-Moumini », « Commandeur des Croyants », et qui savait donc de quoi il parlait lorsqu'il parlait de l'Islam et des musulmans : vous n'intégrerez pas les marocains, peut-être la première génération, mais la deuxième, la troisième, vous n'y arriverez pas, dit-il en substance dans les deux très courtes vidéos* que nous vous suggérons d'écouter (2'41 et 0'57) ...
L'erreur première vient de 1975, du regroupement familial, et de l'erreur-folie initiale de Chirac Premier ministre et de Giscard président. Dès ces sinistres "Décrets Chirac", plus de 700.000 étrangers sont entrés en une seule année, leur nombre grimpant à 200.000 puis, maintenant, 300.000 par an. Sans compter, bien sûr, les clandestins. Il y a 31 ans entre 1975 et 2016 : le compte d'étrangers reçus est facile à faire. Mais, pourquoi les reçoit-on, pour « quoi faire », puisque, dans les cités où ils vivent, le chômage - notamment des jeunes - dépasse les 60% ? Sauf dans les activités très lucratives des divers trafics (drogue, armes, oeuvres d'art, autos-motos, prostitution...), qui génèrent - à la cité La Castellane de Marseille par exemple - mais partout en France aussi - un chiffre d'affaires de 90.000 euros PAR JOUR : les immigrationnistes vont-ils nous dire encore longtemps que ces étrangers-là - à qui on a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que cela en faisait des Français - sont « venus faire les travaux que les Français ne veulent pas faire » et que ce sont eux qui « vont payer nos retraites » ? Si tel était le cas, à 90.000 euros de gain par jour dans chaque cité de Marseille et de France, ni le gouvernement ni plus personne ne devrait avoir la moindre inquiétude sur l'état de nos finances, de nos Caisse de Retraites, de Sécu et autres...
Il n'y a qu'une seule chose à faire : traiter la cause du mal, et pas seulement, dans l'urgence, ses conséquences; remonter aux sources, et reconnaître que l'on s'est dramatiquement trompé en 1975; que Chirac et Giscard ont mené le pays sur une voie qui conduit à sa désintégration; arrêter toute nouvelle importation d'étrangers, à qui l'on n'a de toute façon rien à offrir; changer nos lois et entamer, sans délai, une politique de déchéance massive de nationalité pour tout acte de délinquance, quel qu'il soit, commis par une personne dont l'acquisition de la nationalité s'est faite à partir de 1975; déchéance suivie d'une expulsion immédiate, et bien sûr définitive, du territoire.
Cela videra nos prisons et règlera le problème de la sur-population carcérale; cela mettra fin à l'explosion exponentielle de toute sorte de trafics évoqués plus haut : ils continueront, certes, jusqu'à la fin du monde, mais avec une intensité et une ampleur qui auront tellement diminué que les forces de police « normales » et les moyens de justice « normaux » suffiront à les « traiter »; cela fera également diminuer d'intensité le risque terroriste, qui ne disparaîtra pas, lui non plus, comme par enchantement, mais qui redeviendra moins difficile à combattre, alors que, si l'on continue comme cela, dans peu de temps, l'état d'urgence deviendra la norme et la « vie normale » ne sera plus qu'un lointain souvenir. •
* Hassan II donne les raisons de son opposition à l'intégration
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/10/12/viry-chatillon-suite-5859140.html
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Dehors!
L’Express publie aujourd’hui des extraits du livre des journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Un président ne devrait pas dire ça, condensé de leurs conversations avec François Hollande. Le président de la république, est-il rapporté, affirme qu’en cas d’affrontement Marine Le Pen-Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle, en mai 2017, il voterait Sarkozy sans hésiter. « Oui, moi je le ferais. J’irais, pour voter contre Le Pen. Il faut se rappeler, c’était déjà très dur pour moi d’appeler à voter Chirac en 2002 (…). S’il fallait appeler à voter Sarkozy, on le ferait ». Une solidarité antinationale qui ne fait que confirmer que le vrai clivage en ce début de millénaire est bien entre défenseurs des identités et des souverainetés nationales d’un côté et euro mondialistes, atlantistes de l’autre. Faut-il s’étonner de la même façon du refus, puis de la valse-hésitation de M. Hollande sur l’opportunité de recevoir Vladimir Poutine – sa visite à Paris pour l’inauguration d’un centre orthodoxe était prévue le 19 octobre - au motif qu’il n’entend pas desserrer l’étau militaire sur les milices islamistes anti Assad, à Alep comme ailleurs?
Une attitude pusillanime, de soumission à Washington, humiliante pour notre pays, qui n’a bien sûr pas échappé à M. Poutine qui, cruellement, a déclaré qu’il restait « disposé à visiter Paris lorsque le président Hollande se sentira à l’aise »… MM. Hollande, Ayrault parlent de crimes de guerre pour définir les frappes aériennes russes. Toutes choses dont ils ne soufflent mot quand leurs amis saoudiens notamment soutiennent les égorgeurs, bombardent les populations au Yémen, exécutent à tour de bras…
Même hypocrisie, même faux-semblant dans l’annonce de Manuel Valls hier, réagissant à la dramatique agression au cocktail Molotov, faite pour tuer, de policiers par des racailles, des coupeurs de route à l’africaine, de la cité plurielle de la Grande Borne samedi dans l’Essonne. Le Premier ministre a évoqué la généralisation de tenues ignifugées pour les forces de l’ordre, de dispositifs anti-caillassage et/ou de blindages sur les voitures de police évoluant dans les quartiers babélisés. Les Français attendent autre chose d’un gouvernement confronté aux violences des bandes ethniques sur fond d’un terrorisme se nourrissant de la même haine de la France et des Français.
On l’a appris ces dernières heures par un article du Parisien, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, était visé « pour le symbole » par un projet d’attentat qui devrait être commis par une jeune convertie à l’islamisme, Sarah Hervouët. Celle-ci a été interpellée le 8 septembre en compagnie d'Amel Sakaou et Inès Madani par l’antiterrorisme, pour leur lien avec le djihadiste «français» Rachid Kassim opérant en Syrie, dans le cadre de la préparation supposée d’une attaque aux bonbonnes de gaz.
Toutes vérités qui ne sont pas bonnes à dire ? Ainsi Marie-Christine Arnautu, chef de l’opposition FN au conseil municipal de Nice s’est vu refuser sa tribune qu’elle dans le Journal des quartiers: « Nous avions décidé de consacrer cet espace à la dénonciation des propos de l’imam d’une des mosquées du quartier, Abdelkader Sadouni, ainsi qu’aux rapports que Christian Estrosi entretient avec celui-ci » a précisé Marie-Christine.
L’imam Sadouni est au cœur d’une polémique depuis la publication d’un entretien accordé par cet imam algérien vivant à Nice dans le journal italien Il Giornale, le 21 juillet 2016. Un entretien ou les propos suivants ont été notamment rapportés: « S’il y a des attentats, c’est la faute de la laïcité des Français» « La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de l’utilisation publique de symboles religieux sont les motifs qui poussent ces jeunes à se sentir exclus de la communauté nationale et à décider de partir pour s’unir à qui ils retiennent être comme eux. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse beaucoup de jeunes au combat. Tant que les mosquées seront si peu nombreuses, tant que leur construction causera des protestations, tant que les musulmans seront discriminés, alors ces réactions existeront. »
A suivre ce « raisonnement » ce serait donc par une immigrations-islamisation accrue que les musulmans pourraient s’intégrer dans une France…islamisée. Précisons que M. Sadouni a déclaré avoir été « piégé » par le journaliste et que ses propos avaient été « déformés ». Il aurait porté plainte contre ce journal, propriété du frère de Silvio Berlusconi.
Pour autant, le Niçois et Conseiller régional FN Philippe Vardon, à l’origine d’une pétition d’environ 10 000 signatures en faveur de la fermeture de la mosquée d’Abdelkader Sadouni, garde en sa possession certains posts Facebook de cet imam datant d’il y a deux ans (et aujourd’hui supprimées…) qui, déjà, « expliquent le djihad par l’absence de construction de mosquées en France et par l’islamophobie ambiante » et « émettent des doutes sur la réalité des vidéos d’égorgements deDaech » .
Bruno Gollnisch l’affirme, tous les Français d’origine musulmane ne se reconnaissent pas dans les propos des propagandistes islamistes, et exigent eux aussi la fin d’un laxisme et d’un immigrationnisme criminels qui conduisent à la guerre civile, au chaos multiconflictuel et multiculturel. Une très grande majorité des Français partagent, parfois sans le savoir, les analyses et les vœux de l’opposition nationale sur ces questions. La lutte contre le fléau du terrorisme et de la délinquance-guérilla antifrançaise passe par l’application du programme du FN: démantèlement des mosquées et autres centres culturels salafistes, expulsions des immigrés radicalisés et délinquants, peines lourdes et exemplaires contre les voyous agissant (ou non) au nom du djihad… Et plus largement refonte du Code de la nationalité, fin du regroupement familial, inversion des flux migratoires dont la poursuite interdit mécaniquement toute assimilation, fin de la repentance et de l’enseignement de la haine de la France jusque dans les manuels de l’Education nationale, interdiction des ingérences étrangères dans nos banlieues, sur fond de complaisances coupables, contaminant jusqu’au sommet de l’Etat, avec certaines pétromonarchies prosélytes…
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Deux France
Oui, deux France : celle de Vincent, 28 ans, qui était fier de porter l’uniforme et qui le paye de sa vie. Et celle de la Grande Borne, l’un des endroits les plus dangereux du pays, 3 600 logements pour environ 12 000 habitants, le quartier d’enfance d’Amédy Coulibaly, notamment, le tueur de l’Hyper Cacher.
Vincent est entre la vie et la mort. Brûlé à 30 % au visage, aux mains et aux poumons, ce jeune adjoint de sécurité a été grillé vif dans son véhicule de police samedi par des assaillants de la cité de la Grande Borne qui ont bloqué les portières tandis qu’il hurlait à l’intérieur. Ces tueurs hyperviolents, aux mœurs de barbares, Cazeneuve les a qualifiés de « sauvageons », il est dans les aventures de Fripounet et Marisette. Toujours cette volonté de minimiser, ce déni, ce handicap à ne jamais nommer ni identifier l’ennemi et finalement à ne jamais le combattre à la hauteur de ce qu’il est. Que fait-on de « sauvageons » ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ?
Vincent travaillait chaque jour pour passer son concours de gardien de la paix. Ses collègues disent qu’il était particulièrement fier de porter l’uniforme de la police française. Face à lui une autre France : celle des cités, gangrenées par les trafics et l’islamisme. La France de la Grande Borne.
« Ces individus ont voulu tuer vos collègues, je vous l’atteste », a déclaré Manuel Valls sur les lieux de l’agression, comme pour contrebalancer l’effet désastreux des déclarations de Cazeneuve. Avant d’avancer cette réplique digne du Père Noël est une ordure : « Il n’y a pas de zone de non-droit, il y a des territoires particulièrement difficiles » (cf. : « Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile. »)
Si vraiment il n’y a pas de zones de non-droit, pourquoi plutôt que de surveiller une caméra de surveillance régulièrement attaquée à la meuleuse, la police en force (et avec des ordres clairs) n’est-elle pas allé chercher les racailles qui frappent et dépouillent les automobilistes à ce carrefour depuis des années ? Puis qui foncent se réfugier dans la cité avec leur butin sans qu’il n’y ait jamais d’interpellation. « Aucune interpellation » a rappelé la mairie centriste. Pourtant tout le monde sait qui ils sont.
Mais pour cela il faudrait entrer dans les quartiers et déranger les trafiquants de drogue de la Grande Borne parfaitement connus des services de police, qui dealent des centaines de kilos de stupéfiants chaque semaine. A tel point qu’on nous prévient que malgré la gravité des faits, la tâche des enquêteurs de police « s’annonce d’ores et déjà délicate », dans un quartier « sensible », « où prévaut la loi du silence ».
Les deux syndicats policiers affiliés à la CFDT, le SCSI et Alternative-Police rappellent qu’« il existe toujours des zones de non-droit en France, aux mains de gangs délinquants et criminels ». Eux-mêmes se demandent « si les forces de l’ordre ont vraiment les moyens de pénétrer ces quartiers pour y rétablir la sécurité ».
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 11 octobre 2016
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Policiers brûlés à Viry-Châtillon : Passé un certain seuil de violence, autoriser la police à tirer. A balles réelles ...
Les deux fonctionnaires les plus gravement blessés effectuaient leur mission de surveillance lorsque « une dizaine d’individus s’en sont pris à eux avec des jets de cocktails Molotov » sur leur voiture de police. Photo AFP
Trop, c'est trop ! Deux riveraines du carrefour où a eu lieu la tentative d'assassinat des policiers ont été interrogées sur BFM : l'une explique que pour aller à la grande surface d'à côté, elle fait un grand détour en partant d'abord vers l'autre côté de la ville, pour ne pas utiliser « son » carrefour; la seconde dit simplement « on a peur ». Voilà, non pas la France, mais l'état dans lequel le Système a mis la France ; nuance ! Pour ce qui est des policiers, l'un des deux brûlés a été plongé dans un coma artificiel, et son pronostic vital est engagé.
Bien évidemment, aucun nom, aucun visage, à part celui des deux riveraines : les autres personnes interrogées ont un accent qui dit suffisamment leur origine; et on parle de « jeunes ». On a compris...On ne peut plus continuer comme cela. On ne peut plus continuer à entendre le sinistre trio Hollande-Valls-Cazeneuve débiter leurs rodomontades aussi grandiloquentes qu'inutiles : « rien ne sera toléré », mais chaque jour c'est pire; « les coupables seront arrêtés », mais de plus en plus de violences se produisent, maintenant presque chaque jour; « tout sera fait », mais tout empire...Pour que cela cesse, il n'y a pas trente-six mille solutions : les voyous, délinquants, terroristes-assassins doivent être prévenus et recevoir ce genre de message : attention, au-delà d'un certain seuil de violence - par exemple s'il y a jet de cocktaisl Molotov ou blocage de portières pour empêcher les policiers de sortir d'un véhicule en feu - la police, les policiers tireront. Ils tireront à balles réelles. Ils tireront pour mettre hors d'état de nuire. C'est ce qu'ils font déjà, d'ailleurs, en face des terroristes : ils tuent des assassins avant que les assassins ne les tuent.Et que ceux qui ne veulent pas de cette mesure ne viennent pas se plaindre, après, si la violence augmente et si, d'aventure, ils en sont un jour victimes.Réagissons, ou ne nous plaignons pas ! -
Conférence Dextra : Vendredi 14 octobre, « Immigration, que faire ? » Par Jean-Yves Legallou
Ce vendredi 14 octobre, mr Legallou nous parlera des problématiques de immigration.Nous vous attendons nombreux pour cette conférence d’importance dans notre actualité !Le lieu vous sera confirmé ultérieurement. -
Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal?
C'est la question que Robert Ménard souhaite poser à ses administrés le 8 janvier 2017 dans le cadre d'une "consultation locale pour avis".
Robert Ménard est néanmoins conscient que c'est l'Etat qui décide :
"Dans un contexte économique difficile, l'arrivée prochaine de migrants, probablement dans le centre-ville, n'est pas sans conséquence sur notre commune. Que ce soit par l'augmentation du nombre d'enfants scolarisés ou par l'atteinte à la redynamisation du centre-ville", détaille la proposition que soumettra le maire.
"Le but de la municipalité, avec cette consultation et les affiches, est de dire la vérité aux Biterrois, c'est-à-dire que l'État a décidé d'imposer, sans daigner consulter le conseil municipal et le maire, l'installation de nouveaux migrants dans le centre-ville de Béziers. Le maire n'est pas d'accord avec cette manière de fonctionner et il souhaite poser la question aux Biterrois"
Cette annonce a été accompagnée d'une nouvelle campagne d'affichage dans les rues de Béziers...qui provoque la colère de la bien-pensance :
Midi-Libre publie une photo pour illustrer cette campagne d'affichage qui montre qu'ils sont déjà là :