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immigration - Page 1014

  • Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !

    Ce sont les statistiques officielles sur l’immigration, rendues publiques hier, qui le disent, et Le Monde qui en livre le détail : l’an dernier, la France a « délivré 4,6 % de premiers titres de séjours de plus que l’année précédente » et les « sorties forcées du territoire » ont enregistré « une baisse de 16,3 % » : « La France a délivré 227 550 premiers titres de séjour en 2016, soit 4,6 % de plus qu’en 2015 », et ceux qui se présentent comme des réfugiés « en ont été les premiers bénéficiaires, puisque quelque 32 285 leur sont revenus, soit 41 % de plus que l’année d’avant. »

    Quant à ce qu’on appelle les « éloignements forcés », il « globalement plongé de 16,3 % » pour ne concerner que 12 961 personnes…

    Pïre encore : la Direction générale des étrangers de France (DGEF) « comptabilise plus de 2,3 millions de titres en cours de validité au 31 décembre, soit 20 % de plus qu’en 2010. Ce sont surtout les documents provisoires qui ont explosé (+ 26 % en six ans), pour atteindre quasiment 250 000 ».

    « Pourtant, ajoute Le Monde, les naturalisations, notamment par décret, continuent leur remontée engagée en 2012, avec le quinquennat Hollande. En 2016, 68 067 personnes en ont bénéficié (10,6 % de plus qu’en 2015) »…

    http://fr.novopress.info/

  • Udo Ulfkotte avait annoncé l’effondrement prochain de l’euro et la spoliation des épargnants, conduisant à la guerre civile

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    Udo Ulfkotte, journaliste allemand décédé le 13 janvier 2017, avait prédit quelques prochaines catastrophes : 

    « Un jour ou l’autre la situation va exploser ici. Il suffit d’une étincelle. Quand l’euro, cette monnaie qui fait penser à l’argent du Monopoly, va s’effondrer et dévorer les économies des épargnants, tout va partir dans tous les sens ici. Je conseille aux musulmans de faire leur valise très rapidement et de quitter le pays pour toujours quand cela va arriver… »

    « (…) le détonateur principal sera l’effondrement de l’euro, quand les Allemands vont devoir payer avec leurs épargnes les dettes incroyables d’autres Etats membres. Arrivé à ce stade on n’aura plus d’argent pour les retraités et pour les masses de musulmans qui vivent de l’aide sociale. «  

    http://www.medias-presse.info/udo-ulfkotte-avait-annonce-leffondrement-prochain-de-leuro-et-la-spoliation-des-epargnants-conduisant-a-la-guerre-civile/67935/

  • Saint-Denis : derniers Français avant liquidation

    8780-20170118.jpgLe reportage d’« Enquête exclusive » de Bernard de la Villardière diffusé dimanche soir sur M6 « Les derniers Français de Saint-Denis », est un instantané d’horreur de ce que nos politiques ont laissé s’installer à force de laxisme, de sympathie idéologique et de clientélisme religieux. 

    Saint-Denis dans le 93 où se trouve la basilique qui abrite les tombeaux des rois de France, est la ville qui compte le plus d’immigrés par habitants. Plus de 130 nationalités différentes. Entre terrorisme (c’est à Saint-Denis que les tueurs du Bataclan ont trouvé refuge) supermarché de la drogue et salafisation des quartiers, les derniers Français vivent dans un territoire occupé.

    Des librairies coraniques, des boucheries et des restaurants halal, des dizaines de boutiques islamistes vendant burqua, voile intégral, niqab (le port du niqab est interdit dans l’espace public en France mais sa vente est autorisée), des instituts de beauté avec des salles spécialisées pour les femmes voilées et services conformes aux lois de l’islam : « On ne fait pas l’épilation des sourcils, madame », précise « l’esthéticienne » voilée à la journaliste de M6. C’est « haram » (péché) et « interdit par La Mecque » auprès de laquelle elle s’est renseignée… La majorité des autres commerces ont fermé, remplacés par les coiffeurs afro et les esthéticiennes charia-compatibles. C’est dans ce Molenbeek français, que le « cerveau » du massacre de masse du 13 novembre Abdelhamid Abaaoud, a pu se cacher plusieurs jours.

    L’adjoint au maire communiste, Hakim, « fervent musulman », est « engagé au quotidien pour défendre sa communauté et sa ville cosmopolite dont il est très fier ». « C’est un plus, on apprend beaucoup et c’est festif », clame-t-il au milieu des youyous assourdissants des femmes voilées du dernier mariage qu’il vient de célébrer. Festif, comme peuvent en témoigner les médecins et les infirmières de l’hôpital de Saint-Denis qui n’arrivent pas à faire face ni aux nombreuses victimes des agressions et des règlements de compte de la ville la plus criminogène de France, ni aux revendications communautaristes chaque jour grandissantes : une femme voilée enceinte exige que le médecin qui pratique son échographie soit une femme. La préfecture refuse de donner les chiffres de la délinquance à Saint-Denis. Selon l’hôpital : sept à dix victimes d’agression et de règlement de compte par jour.

    Les derniers Français, minorité invisible au sein de la cité historique, se retrouvent au fond d’une cour d’immeuble, dans un petit bar à vin, dernier bastion de la résistance, pour pouvoir consommer de l’alcool et de la charcuterie entre eux le dimanche. Ils sont contraints de se cacher pour éviter la « police métissée » qui les harcèle.

    Saint-Denis est l’une des dernières villes de France de plus de 100 000 habitants encore dirigée par le Parti communiste. En 2016, Didier Paillard, maire PCF de 2004 à 2016, a laissé sa place à Laurent Russier, communiste. Ces maires pratiquent une politique ouvertement clientéliste à l’égard de la communauté musulmane. Dernier cadeau : une mosquée géante de 7 millions d’euros prochainement édifiée, financée pour 800 000 euros par l’Arabie saoudite.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/202815/saint-denis-derniers-francais-avant-liquidation/

  • LES CORSES VONT CHERCHER LES ISLAMO/RACAILLES DANS LEURS QUARTIERS.....

  • Ils ont semé la terreur à Juvisy-sur-Orge

    6a00d83451619c69e201b7c8c9ac2f970b-800wi.pngUne bande d’une vingtaine ou d’une trentaine de voyous armés, notamment de sabres, a semé la terreur dans un quartier de Juvisy (94) dans la nuit de samedi à dimanche. Si aucun blessé n’est à déplorer, le bilan est lourd : une vingtaine de voitures ont été endommagées, vitres ou rétroviseurs brisés, et deux portes de halls d’immeuble ont été fracturées. Les vandales se sont également introduits dans un appartement qu’ils ont saccagé, alors que le locataire s’y trouvait avec un bébé.

    Suite à cette soirée de violence, la police a interpellé sept mineurs originaires d’Athis-Mons dans la nuit. Ils auraient été relâchés à l’issue de leur garde à vue ce dimanche soir, avec une convocation devant un juge pour enfants.

    Robin Reda, le maire (LR) de Juvisy-sur-Orge, déclare « Il y a beaucoup de personnes âgées ici, elles sont terrorisées. » 

    Mais il n'y a pas que les personnes âgées qui sont terrorisées. Sophie indique :

    « On a peur qu’ils reviennent, qu’ils recommencent et qu’ils commettent plus de dégâts, qu’ils s’en prennent à nous directement ».

    Alexis, 20 ans :

    « je porterai tout le temps une matraque sur moi désormais. On est bien obligé de trouver des moyens pour se défendre. Il n’y a pas eu de blessés, mais la prochaine fois ? Ce sont des fous furieux, ils terrorisent un quartier, ils saccagent nos voitures. Au lieu de se reposer le week-end, on a dû déposer plainte, appeler nos assurances… C’est dégoûtant et révoltant. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un député allemand, opposé à la politique migratoire, quitte le parti de Merkel

    Les patriotes n’ont plus de place dans la formation politique de la chancelière.

    Un député, en désaccord profond sur la politique migratoire, quitte le parti de la chancelière allemande Angela Merkel tout en gardant son mandat.

    Le député de la CDU Erika Steinbach claque la porte, car elle est en désaccord profond avec la politique d’ouverture des frontières de la chancelière Angela Merkel. Représentante de l’aile nationaliste de la CDU, Erika Steinbach reproche également au parti sa dérive vers les idées ambiantes de gauche.

    Dans une interview accordée au Welt am Sonntag, elle déclare : « Voterais-je actuellement pour la CDU ? Non. Entrerais-je de nos jours à la CDU ? Non. Par conséquent, je ne peux honnêtement que tirer la conclusion de quitter la CDU. » Elle estime qu’en ouvrant les frontières en 2015, Angela Merkel a bafoué les règles juridiques : « Le fait que durant des mois des personnes non identifiées aient franchi les frontières en bus ou en train n’était pas une exception, mais une mesure volontaire allant à l’encontre de nos règles légales et des traités européens. L’Office fédéral pour la migration et les réfugiés a identifié des milliers de passeports comme étant falsifiés, sans que les conséquences juridiques prévues en soient tirées.

    Aucune autorité fédérale ne se permettrait de sa propre initiative une telle ignorance de notre droit. Une volonté politique se trouve là derrière. » Erika Steinbach estime qu’Angela Merkel n’a pas respecté la loi, également, dans le domaine du sauvetage de l’euro et du tournant énergétique.

    Elle ne désire pas rejoindre, pour le moment, le parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) mais espère que cette formation politique entrera au sein du Parlement national à l’issue des élections législatives de septembre 2017.

    Madame Steinbach est née en 1943, en tant qu’Erika Hermann. En 1972, elle a épousé le chef d’orchestre Helmut Steinbach et a adhéré à la CDU en 1974. Elle siège depuis 1990 au Parlement en tant que député d’une circonscription de Francfort-sur-le-Main, la capitale de la Hesse. En 1991, elle a voté contre la reconnaissance de la ligne Oder-Neiße comme frontière avec la Pologne et a déclaré : « On ne peut pas approuver un traité qui sépare une partie de notre patrie. » Entre 1998 et 2014, elle a dirigé l’Association des personnes déplacées, qui se donne pour vocation de défendre les intérêts des personnes expulsées des territoires de l’Est au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

    Erika Steinbach s’est distinguée au cours des derniers mois par ses prises de position ainsi que par un tweet portant l’inscription « Deutschland 2030 » (Allemagne 2030), accompagné d’une photo montrant un enfant blanc entouré d’enfants de couleur qui lui demandent « D’où viens-tu donc ? »

    Le départ de ce député bénéficie à l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui compte en son sein de nombreux déçus de la CDU et qui voit, ainsi, confirmer le fait que les patriotes n’ont plus de place dans la formation politique de la chancelière. Le député européen de l’AfD Beatrix von Storch invite, sur Twitter, Erika Steinbach à rejoindre l’AfD.

    http://www.bvoltaire.fr/lionelbaland/depute-allemand-oppose-a-politique-migratoire-quitte-parti-de-merkel,306730

  • Pour Orbán, les Droits de l’Homme ne doivent pas impliquer le suicide national

    Hongrie – Le gouvernement hongrois va plus loin dans son opposition à l’immigration extra-européenne, illégale comme légale. Viktor Orbán a de nouveau prononcé un discours fort, s’exprimant contre le «suicide national» et le gouvernement a annoncé sa volonté de mettre fin aux obligations d’État permettant d’acquérir des visas permanents.

    Devant 532 gardes-frontières fraîchement entrés en fonction, Viktor Orbán a expliqué le jeudi 12 janvier, que leur travail consistera à protéger les frontières de la Hongrie et la sécurité de tous les Hongrois « et celle de toute l’Europe aussi, comme cela a été le cas de la nation [hongroise] pendant des centaines d’années ».

    « Les attentats terroristes, les émeutes, la violence, le crime, les conflits ethniques et culturels nous montrent tous que ceux qui viennent ne veulent pas vivre notre vie », a déclaré Orbán aux gardes-frontière. « Ils veulent continuer à vivre leur vie, simplement avec un niveau de vie européen, nous les comprenons, mais nous ne pouvons pas les laisser entrer en Europe. Aucun Droit de l’Homme ne prescrit le suicide national ».

    Les demandeurs d’asile seront désormais détenus dans des camps fermés

    La détention systématique des migrants arrivant dans le pays sera mise en place, a expliqué Viktor Orbán le vendredi 13 janvier, lors de son discours hebdomadaire à la radio publique. « Nous avons rétabli la détention systématique dans le cas de ceux dont la demande d’entrée en Europe n’a pas encore été légalement approuvée ». « Tant qu’il y a un verdict en suspens – dans leurs demandes d’asile -, ils ne peuvent pas se déplacer librement en Hongrie », a déclaré le premier ministre hongrois.

    Sous la pression de Bruxelles, l’agence des Nations unies pour les réfugiés et la Cour européenne des droits de l’homme, la Hongrie a suspendu en 2013 la pratique de la détention des demandeurs d’asile. Les camps fermés sont une des demandes principales du Jobbik, portée par le vice-président du parti et maire d’une petite ville à la frontière avec la Serbie, László Toroczkai, depuis le début de 2015. Il avait été également le premier à demander la clôture aux frontières de la Hongrie.

    « Depuis, il y a eu des actes de terrorisme en Europe occidentale, » a déclaré M. Orbán vendredi. « Tout règlement juridique qui facilite les actes de terrorisme doit être modifié dans l’intérêt de notre propre légitime défense ». Il s’est dit conscient que cela « va ouvertement contre l’UE », prenant le risque d’un conflit ouvert avec Bruxelles,une fois de plus.

    La fin des bons d’État permettant les visas illimités

    Il y a trois mois, le projet d’amendement constitutionnel contre les quotas obligatoires de migrants, proposé par le parti de gouvernement Fidesz, a échoué en raison du boycott surprise du vote par le parti populiste de droite Jobbik, qui voulait ajouter au projet de loi la suppression du programme de bons d’État. Ces obligations permettent aux non-citoyens de l’UE d’acheter un permis de séjour permanent Schengen.

    Des discussions très dures ont eu lieu au parlement hongrois entre le gouvernement conservateur national Fidesz et le populiste de droite Jobbik sur ce sujet. Les menaces pour la sécurité, les soupçons de corruption élevée et la trahison envers les Hongrois – qui rejettent l’immigration non-européenne – constituaient les principaux arguments du Jobbik.

    Finalement, le gouvernement suspendra le programme pour une durée indéterminée, affirmant que ces obligations ne sont plus nécessaires puisque l’agence de notation Moody’s a amélioré la cote de solvabilité du pays. Plusieurs scandales de corruption liés à ces obligations ont marqué 2016 et il est très probable que le gouvernement ait voulu mettre fin à ce programme qui s’est avéré être un échec. Par conséquent, plus aucune demande pour des permis de résidence via l’achat de bons d’État ne sera acceptée à partir du 1er avril.

    http://visegradpost.com/fr/2017/01/14/pour-orban-les-droits-de-lhomme-ne-doivent-pas-impliquer-le-suicide-national/

  • Les dirigeants d’une association d’aide aux immigrés envoyés devant le Tribunal pour détournement de fonds

    L’association SAFFIA (Solidarité aux femmes et familles d’ici et d’ailleurs) – dont l’objectif principal est d’accompagner des personnes étrangères ou issues de l’immigration – est soupçonnée de détournement d’argent public.

    Cette association située rue de Châteaudun, à Fives, avait été créée en 1990 et assurait des permanences dans les mairies de quartier. L’association SAFFIA était également membre de la Codrese, instance préfectorale chargée d’étudier les dossiers de sans-papiers.

    Ses responsables étaient consultés pour des rapports parlementaires ou du Haut Conseil à l’Intégration.

    Et, bien entendu, cette association bénéficiait de plantureuses subventions accordées par la municipalité, le conseil régional, le Département et l’Etat.

    Mais à partir de 2013, Tracfin, organisme de lutte contre le blanchiment, signale des mouvements de fonds suspects entre le compte bancaire de SAFFIA et celui de sa directrice.

    Celle-ci percevait un salaire confortable de 5 000 euros net. Ce qui ne lui aurait pas suffi. 

    Les enquêteurs la suspectent d’avoir perçu indûment 148 000 euros depuis 2010.

    Le frère de la directrice est également soupçonné d’avoir perçu un salaire de 1 000 euros mensuels depuis 2011 pour un emploi fictif.

    Par ailleurs, des activités sur base desquelles étaient accordées les subventions n’auraient en réalité pas existé.

    « Rien n’a été vérifié : il y a des choses à revoir dans le contrôle des subventions, juge la même source. On est sur une escroquerie de grande ampleur : plus c’est gros, plus ça passe ! »

    Les détournements monteraient à plusieurs centaines de milliers d’euros selon la PJ.

    La présidente, la directrice et son frère seront jugés le 3 février par le tribunal correctionnel. 

    http://www.medias-presse.info/les-dirigeants-dune-association-daide-aux-immigres-envoyes-devant-le-tribunal-pour-detournement-de-fonds/67818/

  • Propagande médiatique : Cédric Herrou, le passeur de migrants dépassé

    Source : OJIM – « Propagande médiatique : Cédric Herrou, le passeur dépassé »

    C’est le « buzz » médiatique de ce début d’année 2017 : le procès de 2 passeurs de migrants à la frontière franco-italienne. Dès le 23 novembre, l’avocate de l’un des 2 prévenus l’annonçait à un journaliste de 20 minutes : leur procès est « à dimension nationale ». « Parce qu’aujourd’hui les citoyens français ne savent plus s’ils ont le droit ou non d’accorder une aide humanitaire », avance Maitre Binimelis. Les journaux, les radios et les sites internet d’information ont consacré de nombreux articles sur ce sujet.

    Cédric Herrou vers la sanctification

    Les titres des articles sur Cédric Herrou, l’un des 2 prévenus, sont laudateurs à l’image des propos de l’invité des « matins » de France Culture le 6 janvier. Serge Slama, maître de conférences en droit public à Nanterre, parlant des actes de Cédric Herrou, cite Edward Snowden et Michel Rocard « qui a dénoncé la torture en Algérie ». Pour Le Parisien on parle de « Huit mois de prison requis contre un agriculteur qui avait aidé des migrants ». Pour Euronews, c’est « le procès de l’agriculteur qui aide les réfugiés. Il est jugé pour avoir porté assistance à des migrants près de la frontière franco-italienne ». 20 Minutes parle d’un « militant du camp de migrants poursuivi pour « aide au séjour » ».

    Notre héros de la semaine aura même droit à un duplex lors de l’Émission politique de France 2 jeudi 5 janvier, dont l’invité était l’ancien premier ministre et candidat à l’élection présidentielle, Manuel Valls. Le camp du bien a trouvé une nouvelle figure. À lire les titres de la presse, notre héros du jour se serait limité à aider des personnes en difficulté.
    Un faux naïf ?

    Mais qu’a fait précisément Cédric Herrou pour être à ce point médiatisé ?

    Le Figaro nous informe que « Cédric Herrou était, justement, poursuivi pour avoir aidé des étrangers à entrer en France puis les avoir hébergés dans une colonie de vacances désaffectée de la SNCF ».

    L’Obs liste les poursuites dont M. Herrou est l’objet : « aide à l’entrée, à la circulation et au séjour de personnes en situation irrégulière, et occupation illicite de propriété privée ». Le Monde nous indique que « Cédric Herrou a transporté plus de 200 migrants depuis six mois ».

    Dans un autre article, L’Obs, dans sa rubrique de storytelling dédiée aux migrants, lui laisse la parole. « En 2015, j’ai commencé à prendre des migrants en stop à Vintimille pour les conduire chez moi. » « Les arrivées ont continué et l’on s’est retrouvé avec 58 personnes à la maison. Mon jardin s’est transformé en camping avec des caravanes, un cabanon, et j’avais casé plein d’autres personnes dans les maisons aux alentours. Un peu perdus et pris au dépourvu, nous avons décidé d’ouvrir un squat désaffecté qui ne dérangeait personne ».

    À Marianne, Cédric Herrou précise : « Avant le squat, il y avait 58 personnes chez moi. J’avais pris la décision de ne plus les passer parce que je pensais que j’étais responsable de l’afflux des gens chez moi. Avec l’association Roya Citoyenne et avec le soutien d’autres associations humanitaires, on a décidé alors d’ouvrir un lieu pour les héberger, on a choisi la colonie de vacances car le lieu était ouvert et ne prenait pas l’eau ».

    Comme le fait remarquer un commentaire de l’article sur le site de Marianne, « Il s’est senti envahi. Il reconnait même implicitement que sa conduite faisait appel d’air. Alors débordé par sa conduite irréfléchie, il se reprend. Il occupe un centre abandonné. Il viole le droit à la propriété privée. Il outrepasse une nouvelle fois les lois de son propre pays ».

    L’Obs le reconnait, les structures d’accueil, à peine créés, sont saturées. Cela n’empêche pas l’agriculteur de déclarer à L’Obs : « je ne regrette rien et je continuerai ». Il ajoute lors du duplex avec M. Valls, « Vos frontières ont blessé des femmes, des enfants, des familles ». « Des familles qui se sont fait persécuter dans leur pays par une politique européenne, mondiale ».

    Malgré le nombre impressionnant de passages relevé par Le Monde , pas un article ne fera le lien avec les activistes anti-frontières de la mouvance No border, dont le journal Regards a fait une présentation à la frontière franco-italienne en septembre 2015. Tout comme on ne trouvera pas davantage d’analyse sur la prétendue persécution par l’Europe, dans leurs pays, d’Érythréens et de Soudanais qui selon C. Hérrou, serait à l’origine de migrations. Seul un contributeur de Marianne aura relevé les contradictions du passeur dépassé par le mouvement qu’il a lui-même suscité. Dépassé mais bien complice.

    http://fr.novopress.info/202772/propagande-mediatique-cedric-herrou-le-passeur-de-migrants-depasse/#more-202772

  • Le Figaro Magazine titre sur « cette France abandonnée aux islamistes »

    A la une du Figaro Magazine de cette fin de semaine : « Cette France abandonnée aux islamistes », à l’occasion de la parution du livre Une France soumise, les voix du refus (Albin Michel), dont il publie les « bonnes feuilles ». Les pages consacrées à ce livre-événement dirigé par Georges Bensoussan, auteur, en 2002, de l’ouvrage Les Territoires perdus de la République, est précédé d’un article d’Alexandre Devecchio, dont nous publions ci-dessous des extraits.

    9782226396068-j-227x350.jpg« C’est un pays qui change de visage. Ici, un essaim de robes noires se forme dans le paysage bariolé d’une cour de récréation. Là, les commerces traditionnels disparaissent un à un au profit des boucheries halal et des magasins ethniques. Ailleurs, les juifs et les Blancs, interdits de séjour, font leurs valises. Ce pays n’est pas l’Algérie de Boualem Sansal dans Gouverner au nom d’Allah. C’est le pays de Voltaire en passe de devenir la France de Houellebecq. Une France soumise. Les voix du refus (Albin Michel), dirigé par Georges Bensoussan avec l’aide de Charlotte Bonnet, Barbara Lefebvre, Laurence Marchand-Taillade et Caroline Valentin, en dresse un tableau saisissant. Un magistral ouvrage d’histoire immédiate qui regroupe les témoignages de plus de 70 acteurs de terrain (enseignants, médecins, infirmières, policiers, maires, hauts fonctionnaires, etc.). Une réalité plus effrayante que la fiction imaginée dans Soumission.

    » En France, la charia s’est invitée au coin de la rue. Les islamistes progressent, non par le sommet, mais par le bas. Ils ne visent pas la conquête du pouvoir institutionnel mais la conquête de la société. Leur stratégie est celle de la contamination lente et oblique. Ils grignotent une cité, un quartier (bientôt une ville ?) et se taillent des enclaves à l’intérieur du territoire où ils imposent leurs marqueurs politico-religieux pour mieux faire régner leurs propres lois et leur vision du monde. Le phénomène n’est plus circonscrit à quelques quartiers, l’islamisme s’est propagé dans toute la France au point que, pour les auteurs, le pronostic vital de notre vieux pays est engagé. Une contre-société salafisée, qui hait ce que nous sommes, a grandi en notre sein. Elle menace désormais de faire exploser notre cohésion nationale, de bouleverser nos modes de vie et d’effacer notre héritage culturel. […]

    « A lire l’essai dirigé par Georges Bensoussan, les territoires perdus de la République sont en passe d’être gagnés par les islamistes. « Ce qui n’était que “vaguelettes” il y a vingt-cinq ans s’est transformé en lames de fond », résume Elisabeth Badinter, qui a préfacé l’ouvrage. Si Les Territoires perdus de la République était un cri d’alarme, Une France soumise est un cri de désespoir. « On sort de ce livre découragé et même accablé », reconnaît Alain Finkielkraut. Impossible de ne pas songer à L’Etrange Défaite, de Marc Bloch.

    « Barbara Lefebvre, qui a codirigé le livre avec Georges Bensoussan, l’affirme : « Un monde est peut-être en train de se terminer, celui d’une France laïque, républicaine et libre, et il y a une incertitude angoissante et, pour certains, désespérante quant au monde qui est en train de naître », analyse-t-elle. « L’espérance, c’est le désespoir surmonté », disait Bernanos et ce livre peut être lu comme un manuel de résistance. « Notre sous-titre, Les Voix du refus, dit aussi ce qui nous a frappés chez nombre d’interlocuteurs : la volonté de combattre en dépit de ce que beaucoup ressentent comme le “terrorisme intellectuel” venu d’une coterie parisienne restreinte et socialement privilégiée, analyse Bensoussan. Chez plusieurs interlocuteurs, on sent émerger l’esprit d’une résistance clandestine, comme réprouvée et qui se sait telle. »

    « La force d’Une France soumise, au-delà de son implacable constat, est de faire entendre la voix des sans-voix. Ceux qu’on n’entend jamais, abandonnés par une hiérarchie professionnelle qui ne veut pas de vagues, lâchés par des politiques clientélistes prêts à tous les accommodements déraisonnables pour gagner une élection, accusés d’être des menteurs ou des salauds par des commentateurs hors-sol. Comme Héloïse et Marcel, ces infirmiers en région parisienne qui, dans un hôpital gangrené par le communautarisme, lutte au quotidien pour soigner tous les patients sans distinction d’origine et de religion. « Rester travailler à l’hôpital est pour nous un acte de résistance. Nous ne savons pas encore combien de temps nous tiendrons car l’un comme l’autre nous habitons aussi dans des quartiers où la religiosité ostentatoire progresse à grande vitesse. Dans les deux situations, professionnelle et personnelle, nous ne voulons pas céder notre place, parce que rien ne justifie que nous désertions. » « La France m’a accueillie, m’a aidée à donner un avenir à mes enfants », poursuit Héloïse avant de conclure par ce qui devrait être le slogan de tous nos politiques : « Je ne me résigne pas à voir cela disparaître. »

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