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immigration - Page 1069

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

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  • Un policier et sa femme assassinés chez eux par un jeune Maghrébin islamiste

    Un commandant de police et sa compagne ont été tués lundi soir à leur domicile à Magnanville, dans les Yvelines, devant leur enfant de 3 ans.

    L’assaillant, Larossi Abballa, connu de la justice française, a été abattu lors de l’assaut du Raid.

    Ce djihadiste était un jeune maghrébin de 25 ans. Il était connu des services de police et résidait à Mantes-La-Jolie, a précisé BFM TV.

    Larossi Abballa avait notamment été condamné en 2013 pour “association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes”. La filière jugée s’était donner pour but de favoriser le recrutement en France, la formation physique et idéologique et l’envoi au Pakistan de jeunes volontaires pour le jihad armé.

    Larossi Abballa avait alors écopé de 3 ans de prison, dont 6 mois avec sursis, et mise à l’épreuve pendant deux ans, précise BFM TV. Il avait alors été jugé avec sept autres prévenus. Dans la nuit, l’État islamique a revendiqué le double meurtre des policiers des Yvelines et affirmé que l’auteur des assassinats était un de ses combattants.

     
  • L’Etat Islamique revendique l’attaque d’Orlando

    Alors que le bilan de la tuerie de la boîte de nuit sodomite d’Orlando est porté à 50 morts, l’agence de communication « Amaq » revendique l’attentat.

    Revendication ENG

     
  • DES MAINTENANT : RETENEZ CETTE DATE

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    On en reparle...

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  • Ivan Rioufol : À Nice, la charia ne passera pas

    Dans ce billet d'humeur qu'on ne peut qu'approuver [Figarovox, 8.06] Ivan Rioufol réagit au récent incident survenu à Nice : une serveuse a été frappée par deux hommes pour avoir servi de l'alcool pendant le ramadan.

    Les féministes, les démocrates, les républicains, la gauche, la droite ... ont-ils si peu à dire devant les intimidations de l'islam radical qui veut imposer la charia ? Cette fois, c'est une serveuse d'un bar du centre de Nice qui a été violemment agressée par deux hommes, lundi au premier jour du ramadan, parce qu'elle servait de l'alcool. L'un d'eux, en arabe : « Tu devrais avoir honte de servir de l'alcool en période de ramadan (…) Si j'étais Dieu, je t'aurais pendue ». Elle (musulmane, pratiquant aussi le ramadan) : « Tu n'es pas Dieu pour me juger ». Les deux hommes feignent de partir, puis l'un revient et gifle à toute volée la jeune femme qui s'effondre. Elle explique à l'Obs : « Ce n'est pas parce que je sers de l'alcool que je n'accomplis pas mon devoir. Si je le fais c'est parce que je suis serveuse. En Tunisie, j'exerçais le même métier et je n'ai jamais eu le moindre problème. Je ne pensais pas qu'en France, pays de libertés, je puisse être agressée pour ça ». Les indignés ne se bousculaient pas, ce mercredi, pour dénoncer cette violence machiste et obscurantiste, dont l'un des auteurs serait de surcroit un étranger en situation irrégulière. Il est vrai que cette terreur intégriste est déjà le quotidien des cités françaises gagnées par le salafisme et par l'emprise des Frères musulmans. Cela fait des années que la République, désarmée et conciliante avec les minorités, recule devant ce totalitarisme islamiste qui a pour objectif revendiqué de dominer l'Occident droit de l'hommiste, y compris sur son propre sol. Les féministes de salon, qui le 15 mai annonçaient face au sexisme : « Nous ne nous tairons plus », sont de ces innombrables tartuffes qui rampent devant l'islam politique, qui se comporte de plus en plus comme en terrain conquis. Qu'attendent-elles pour déclarer, à la barbe des illuminés : « La charia ne passera pas ! ».

    Ce renoncement à résister au nazislamisme, soutenu par une extrême gauche qui voit dans le musulman le nouveau damné de la terre, est évidemment la pire des solutions pour éviter l'affrontement civilisationnel. A ce compte, en effet, la France millénaire est vouée à disparaître à terme sous un multiculturalisme laissé à la loi du plus fort, du plus brutal. Ce sont ces risques que je décris, dans La guerre civile qui vient (Editions Pierre-Guillaume de Roux, mars 2016). Si les médias audiovisuels maintiennent l'omerta sur mon essai, je constate que Gérald Darmanin, maire LR de Tourcoing (nord), partage pour sa part l'analyse. Il déclare (l'Opinion, lundi) : « Non seulement la guerre civile couve mais, si elle advient, est sera la pire de toute : elle sera religieuse ». Il serait loisible de discuter ce point : je crois cette guerre davantage politique que religieuse, dans la mesure où elle défend un projet de société cohérent défendu par un islamo-gauchisme qui consolide ses alliances. Mais Darmanin à raison, quand il met en garde contre la montée en puissance des exigences communautaires, qui se multiplient dans l'indifférence des politiques. C'est ainsi que vient d'être lancée, sous les encouragements d'Edwy Plenel (Médiapart), Téléramadan, « la revue des musulmans qui en ont marre de s'excuser d'exister ». Ses promoteurs (dont Mouloud Achour, ex-animateur sur Canal +) écrivent : « Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel (…). Nous sommes le Grand Remplacement d'un système archaïque (…) ». Renaud Camus ne dit pas autre chose. Au fait, Téléramadan prendra-t-elle la défense de la jeune femme humiliée par ces brutes?   

    Ivan Rioufol 

    Ivan Rioufol est éditorialiste au Figaro. Retrouvez ses chroniques sur son blog.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Il veut faire cesser des insultes anti-françaises, il est poignardé !

    Le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France.

    Si les faits sont importants, l’analyse des données apporte souvent plus de matière.

    C’est ce qui transparaît dans un article du Parisien du 8 juin : « Mardi 17 mai, vers midi, alors qu’il voyageait dans une rame de la ligne 4 du métro, un usager a tenté de faire cesser les agressions verbales d’un individu virulent qui tenait des propos anti-français envers un passager. »

    L’intérêt de cette phrase est triple. Elle démontre que le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France. Il faut être L’Obs ou Libé pour récuser ce phénomène. Le passager qui a subi ces insultes a préféré se taire et ne pas répondre aux attaques verbales. On le sent, dans le métro comme ailleurs : la peur règne sur la ville et nombreuses sont les personnes qui préfèrent rester silencieuses plutôt que d’être traitées de racistes ou de prendre un mauvais coup. A contrario, on peut encore être optimiste : il s’est trouvé un irréductible « Gaulois » pour refuser l’invective en faisant fi des risques.

    Le gouvernement a souvent donné des Légions d’honneur pour moins que cela !

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  • Ne dites plus « grand remplacement » mais « dynamique de peuplement » !

    Le « grand remplacement » ? Quel « grand remplacement » ? Scandalisée par la récente couverture du Figaro Magazine sur Saint-Denis, qualifiée de « Molenbeek-sur-Seine », deux militantes politiques déguisées en journalistes, Sihame Assbague et Widad Ketfi, viennent de livrer à Acrimed une prétendue « contre-enquête » sur la préfecture de Seine-Saint-Denis, présentée comme un modèle de «  travail de journalisme de terrain ». La bonne blague !

    Parmi les très nombreuses critiques que Sihame Assbague et Widad Ketfi portent sur le reportage du Fig Mag figure celle d’avoir écrit qu’il devient difficile de trouver de la viande qui ne soit pas halal à Saint-Denis. Faux ! s’exclament-elles, car « en se renseignant, auprès des Dionysiens ou de Google » (sic), on trouve une charcuterie tout près de la mosquée et… « au moins deux autres boucheries vendant de la “viande non halal“, un peu plus loin dans la ville » ! « Un peu plus loin » comment ? Au bout de la ligne de bus ? Deux boucheries traditionnelles donc – on n’ose écrire « normales »… – dans une ville de plus de 100 000 habitants et il faudrait se réjouir ?

    Fières de leur trouvailles sur Google, Sihame Assbague et Widad Ketfi écrivent alors :

    « Ce qui se “cache“ derrière le marché du halal, ce n’est pas la main invisible du “grand remplacement islamique“ mais celle de… l’offre et de la demande mue par des dynamiques de peuplement s’expliquant, elles-mêmes, par des facteurs historiques, sociaux et politiques. »

    Mais dites, Mesdames, cette « dynamique de peuplement », n’est-ce pas justement ce qui entraîne le « grand remplacement » ? Vous avez quatre heures.

  • Ramadan : une élue FN porte plainte pour menaces de mort sur les réseaux sociaux

    Dimanche 5 juin, Isabelle Surply, conseillère régionale et responsable du canton de Rive-de-Gier au FN Loire a relayé sur Twitter « un message d’un internaute mécontent des hommes politiques qui souhaitent un bon ramadan aux musulmans, où il parlait d’eux en les traitant de collabos ».

    Depuis, explique l’élue, « j’ai reçu un nombre de réactions incroyables, des menaces de me tuer, me défigurer, me violer. Même des menaces sur mon fils ». Devant cette déferlante, Isabelle Surply a déposé plainte ce vendredi 10 juin au commissariat du 2e arrondissement de Lyon.

    Le Progrès


    Marianne : Souhaiter un « bon ramadan » aux musulmans ? Un acte de « collabo », relaie cette élue FN

    http://www.fdesouche.com/739441-ramadan-une-elue-fn-porte-plainte-pour-menaces-de-mort-sur-les-reseaux-sociaux

  • Indigènes de la République : le pire des partis

    Qu’il y a-t-il de pire que ce PiR, improprement auto-dénommé ?

    Une des adhérentes (Aya Ramadan ; tout un programme…) du Parti des indigènes de la République a cru bon de se féliciter de l’attentat à Tel Aviv, qui a fait quatre victimes et cinq blessés, le 8 juin :« Dignité et fierté ! Bravo aux deux Palestiniens qui ont mené l’opération de résistance à Tel Aviv. »

    Des propos ignominieux n’ayant aucunement ému Manuel Valls (ni Bernard Cazeneuve), plus prompt, en d’autres occasions, à dissoudre le mouvement extrême-droitiste de Serge Ayoub présumé impliqué dans le décès de l’extrême-gauchiste Clément Méric.

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