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immigration - Page 1072

  • S’ADAPTER…ou …S’EN ALLER…

    Pieter Kerstens

    1513030302.2.jpgLa volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60’ et constitue un danger pour l’équilibre et l’identité de notre société confrontée à l’Islam conquérant. A tel point que le Système essaye de nous convaincre du bien-fondé de ses chimères avec les slogans farfelus du « Vivr’ensemble » et du « Padamalgam ». Mais partout en Europe, la réalité des faits contredit l’utopie de leur idéologie sectaire.

    Les débats, discussions, polémiques et autres diatribes stériles qui entourent le port ou l’interdiction du voile ne font qu’alimenter le doute dans l’esprit lobotomisé d’une majeure partie de la population.

    Que ce soit à Séville ou à Stockholm, à Brest ou à Budapest, l’interdiction absolue du port de signes ostensibles d’appartenance religieuse en milieu scolaire (privé ou public) est contesté par les islamophiles de toutes origines.

    Mais la Cour Européenne des Droits de l’homme a estimé, le 30 juin 2009, que cette interdiction généralisée était bel et bien compatible avec la liberté de conscience et de religion, inscrite à l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Les chefs d’état et de gouvernement des 27 pays de l’Union Européenne devraient donc appliquer stricto sensu cette décision de l’instance supérieure. Il n’en est rien et l’on constate depuis des années que les fanatiques du hijab, du tchador et même de la burqà trouvent un malin plaisir à augmenter la pression dans l’enseignement et dans l’Administration.

    Alors, soyons clairs : l’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois ! Non de mosquées et de minarets.

    Ce n’est pas parce qu’un cheval naît dans une étable qu’il deviendra une « vache » ; de même pour un agneau qui naîtrait dans un poulailler ne pourra être appelé un « poussin ». Il est urgent d’abolir le droit du sol et de rétablir le Jus Sanguinis !

    Il faut remettre les choses à leur juste place et dans l’hypothèse vraisemblable où des centaines de milliers d’immigrés (qu’ils soient de la première ou de la sixième génération importe peu) refusent toute assimilation, intégration, adaptation et respect de NOS coutumes, de NOS traditions, de NOTRE mode de vie, de NOS règlements et de NOS lois, ils ont le choix de partir AILLEURS, là où cela leur conviendrait mieux.

    En effet, ce n’est pas parce qu’ils ont été « régularisés » puis « naturalisés » que ces allogènes peuvent prétendre maintenant nous imposer LEURS coutumes, LEURS usages, LEURS traditions et LEUR civilisation. Aujourd’hui ils assassinent nos enfants et nos femmes, au nom du « Djihad », en les écrasant avec un camion ou égorgent un prêtre sur l’autel de son église !

    Depuis des décennies, les conservateurs, les libéraux, les démocrates, les socialauds marxistes, les écolos, les trotskystes, les libres penseurs, les laïcistes et les francs-maçons ont vidé les églises pour remplir les mosquées. Ces collaborateurs de l’invasion musulmane nous ont imposé le ramadan, la nourriture hallal dans les cantines scolaires, le bruit des babouches, l’odeur du lait rance et de la viande de mouton avariée.

    Ce sont eux les complices de la 5ème colonne qui occupent les Zones de Sécurité Prioritaire et les quartiers de « non droit ». Ces félons devront être jugés et punis !

    Quant aux sarrasins qui occupent temporairement nos quartiers : PERSONNE NE LES RETIENT !!!

    Si l’on accepte la véracité des faits, 16.000 Congolais ont été expulsés d’Angola en 2 mois, selon une annonce du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l’ONU à Kinshasa (paru in « Jeune Afrique » n° 2544).

    De leur côté, les autorités de la République Démocratique du Congo ont, en 3 mois, rapatrié 50.000 Angolais qui se trouvaient en situation illégale depuis des années.

    Et auparavant, ce sont le Laos, le Koweït, la Birmanie, l’Arabie Saoudite et l’Afrique du Sud qui avaient expulsé, en quelques jours, des dizaines de milliers d’illégaux vivants clandestinement dans ces pays.

    Alors, pourquoi ce qui est possible ailleurs, ne le serait-il pas en Europe ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Ne plus supporter, ne plus tolérer, ne plus accepter, ne plus approuver

    Dans une tribune publiée lundi sur le site duHuffington Post, Manuel Valls a tenu à répondre aux allégations d’une « enquête » du New York Times paru le 2 septembre dans le cadre d’un article intitulé « Regards changés et langues déliées ». Le journal américain a précisé avoir  interrogé paraît-il plus d’un millier de femmes de confession musulmane vivant en France, lesquelles affirment être victimes de discriminations, d’une forme « d’apartheid. » Un article qui « donne une image insupportable, car fausse, de la France, pays des Lumières et pays des libertés » a affirmé le Premier ministre. A dire vrai,  de lumières et de libertés,    ce sont surtout, de manière emblématique, les habitants de Calais qui en sont privés actuellement, abandonnés par les pouvoirs publics face à la marée migratoire qui tente de gagner l’Angleterre. La jungle de Calais concentrerait désormais 10 000 immigrés selon les associations.

    Calais est une ville qui   se paupérise (la fréquentation touristique a chuté de 40% cet été), qui se tiers-mondise, de plus en plus en proie à la violence. Commerçants, routiers et agriculteurs victimes  des dégradations, des menaces, des exactions   des migrants manifestaient hier sur la voie d’accès à l’autoroute . Le site de France Info donnait  la parole  à Frédéric Van Gansbeke, « président du Collectif des entreprises et commerces du Calaisis », » fort d’environ 700 membres » :  » On n’est pas contre les migrants, qui sont des pauvres gens, mais bien contre ce camp . Vous savez, on est très loin d’être des pro-Marine Le Pen. » Très loin alors dans ces conditions  d’obtenir la résolution de ce cauchemar!

    Cette situation calaisienne, (mais Paris connaît  aussi l’arrivée quotidienne  de 400 immigrés illégaux !) n’est pas un sujet  sur lequel MM. Hollande, Cazeneuve et Valls publient des tribunes,  au motif expliquent les grands médias et autres spécialistes progressistes,  qu’il s’agit d’une situation insoluble;  sauf à transporter la jungle de Calais sur les côtes anglaises, c’est-à-dire à laisser passer les flots de migrants,   Albion ayant quitté l’Europe , ou encore à tarir dans les pays d’origine des immigrés concernés  (ici principalement en provenance la corne de l’Afrique, d’Afghanistan), les motifs des départs, ce qui est pour le moins un vaste programme

    Le bon sens commanderait  déjà de les empêcher d’arriver, c’est-à-dire de  rétablir de vraies frontières pour protéger notre pays, et à envoyer un message de fermeté en   expulsant vraiment  les immigrés  illégaux… Plus largement, il conviendrait de  supprimer le regroupement familial, principal pompe aspirante de l’immigration dite légale (200 000 entrées chaque année).  Il y a ainsi, Bruno Gollnisch l’a déjà dit, beaucoup d’indécence  à voir aujourd’hui  Nicolas  Sarkozy et d’autre ténors  de LR,  promettre une fermeté dans  ce domaine qu’ils n’ont pas eu quand ils étaient au pouvoir. Depuis 2007, le bilan hollando-sarkozyste ce n’est pas seulement  deux millions et demi  de chômeurs  (toutes catégories) de plus, mais aussi  deux millions d’immigrés légaux supplémentaires… auxquels s’ajoutent combien de dizaines de milliers de clandestins?

    Faut-il s’étonner alors  du  sondage Ipsos réalisé dans 22 pays  et publié fin août,  soulignant   que les populations  occidentales , européennes, constatent  que l’immigration augmente (78%), seules 20% des personnes interrogées (11% des Français),  affirmant que ladite immigration à  « un impact positif »  pour leur  pays?

    Rien de surprenant non plus  dans la percée enregistrée dimanche  par la  formation anti-immigrationAlternativ  für Deutschland (Afd) pour les élections du parlement du    länder  de Mecklembourg-Poméranie occidentale,  en ex Allemagne de l’Est.  Les sociaux-démocrates duSPD sont arrivés en tête (30%), mais l’Afd avec 21 % des suffrages devance de deux points et humilie   la CDU  de Mme Merkel (élue de cette même région)  qui fait payer à son parti   son immigrationnisme délirant. Les nationalistes du NPD, confrontés à la concurrence de l’Afd,  n’ont réalisé que 3% des suffrages contre 6% en 2011

    Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste  qui n’a trouvé que 275 personnes pour acheter son dernier livre-programme,   a trouvé malin, sur le plateau de i télé,  de railler   Marine Le Pen qui a félicité officiellement l’Afd pour son excellent  score  à l’occasion de sa première  participation  électorale  dans ce länder .  « Cela donne une indication. Marine Le Pen se dit apaisée et salue tous les partis xénophobes d’Europe (…) dit bravo à l’AfD qui est un parti xénophobe ».

    Front National  qui selon M. Cambadélis est un   « parti souverainiste xénophobe, et qui provoquerait, s’il était au pouvoir en France, un bazar total, une crise phénoménale, et qui provoquerait en Europe aussi une très grande crise puisque leur objectif c’est de sortir de l’Europe, de la zone euro.  » Toujours la même rengaine, les mêmes peurs et fantasmes agités  depuis trente ans par  les cadres de la gauche et de la droite du Système pour empêcher toute alternative, rester dans l’entre soi confortable pendant que la France décline, encore une minute monsieur le bourreau…

    La formule de Saint-Augustin  est  connue: « À force de tout voir, on finit par tout supporter. À force de tout supporter, on finit par tout tolérer. À force de tout tolérer, on finit par tout accepter. À force de tout accepter, on finit par tout approuver. »   Souhaitons que nous soyons arrivés à l’heure ou les  Européens, les Français décident de  ne plus supporter, tolérer, accepter , approuver les oukases de l’euromondialisme.

    http://gollnisch.com/2016/09/06/ne-plus-supporter-ne-plus-tolerer-ne-plus-accepter-ne-plus-approuver/

  • La réaction, c’est la (sur)vie

    Pour sa grande rentrée politique, à la veille d’une campagne qui s’avère décisive à plus d’un titre, Marine Le Pen a tenu samedi un discours très offensif à Brachay (Haute-Marne). Une allocution placée sous le signe de la reconquête de notre indépendance, de nos libertés, de nos souverainetés trop souvent bradées, foulées aux pieds par  le Système, le  parti de l’étranger. « Je ne reconnais aucun pouvoir étranger sur le peuple français, je ne crains ni n’ai prêté aucune allégeance à aucune puissance du monde » a déclaré la présidente du FN qui a rappelé la promesse de la tenue d’un « référendum sur l’appartenance à l’Union européenne. (…) Français, nous pouvons redevenir un peuple libre, fier, indépendant, nous pouvons rendre à la France sa vraie place dans le monde! ».

    Marine, « libre par rapport au Qatar qui achète tout et tout le monde », aux « banques et multinationales« , « à l’Union européenne ou à l‘Allemagne qui la domine », n’a pas manqué de pointer un « personnel politique soumis aux Qataris ou aux Saoudiens ». Elle s’est arrêtée sur le cas emblématique d’un Nicolas Sarkozy qui, « début août », « a fait un déplacement secret au Maroc pour rencontrer le roi d’Arabie saoudite et l’assurer de sa bienveillante amitié. Il (Sarkozy, NDLR) se voudrait le champion médiatique de la lutte contre l’islamisme radical, il a été faire allégeance au promoteur mondial du wahabbisme. »

    « Tous mes adversaires ont contribué à l’effondrement de la France », a-t-elle dit. « Comment porter un diagnostic clair quand on est soi même responsable du désastre (…). Ils espèrent que les Français oublieront leurs échecs, mais désolée, nous serons là pour les rappeler », ne sommes-nous pas davantage victimes de nos politiques que des événements eux-mêmes ? ».

    Faire un bon diagnostic nécessite bien sûr de savoir nommer correctement les choses, d’oser appeler un chat un chat. Bref de de ne pas participer à ce concours de dissimulation, de langue de coton, de mensonges sémantiques qui pollue le discours de la classe politico-médiatique… et qui explique d’ailleurs largement son rejet par des Français de moins en moins dupes.

    Ainsi, nous l’avons déjà constaté, la quasi totalité des assassins et/ou des criminels agissant au nom d’une haine  de la France plus ou moins maquillée et « légitimée » par une   idéologie islamo-djihadiste, sont très souvent décrits comme des fous, des déséquilibrés.  Bref des pauvres types privés de raison, leur folie les exonérant d’une réelle responsabilité…contrairement bien sûr au cas d’un « de souche » qui serait accusé sans circonstances atténuantes   de racisme violent.

    Les deux Marocains, fichés S,  expulsés de France la semaine dernière, et qui préparaient des attaques dans des lieux publics à Metz (Moselle), selon le quotidien marocain Assabah,  n’ont pas eu droit à un jugement sur leur équilibre psychologique. En revanche, comme de bien entendu, l’individu qui a poignardé et « blessé sérieusement » la semaine dernière un policier dans un commissariat du centre de Toulouse en déclarant « en avoir marre de la France« ,  souffrait de « troubles psychiatriques » selon les médias.

    Quant à Mehdi, ex militaire français « radicalisé »,  parti en Syrie  du côté  des  djihadistes,  et qui vient de comparaître devant le tribunal correctionnel pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’actes de terrorisme »,  il serait lui aussi victime de ses débordements emotionnels. Le site du Parisien nous explique ainsi que « l’expert psychologue qui l’a examiné a estimé que la religion avait envahi son énergie physique et psychique (sic). Un surinvestissement susceptible de traduire un certain trouble identitaire. Selon l’expert psychiatre, c’est également pour répondre à des questions existentielles que Mehdi s’est totalement engagé dans l’idéologie religieuse ». Qu’en termes délicats ces choses là sont dites…

    Aujourd’hui des hommes de gauche comme Jacques Julliard, « historien des gauches, éditorialiste à Marianne » ou l’écrivain et essayiste Pascal Bruckner, tous deux connus pour leur hostilité vis-à-vis de l’opposition nationale, établissent cependant (partiellement) peu ou prou un  diagnostic fait  bien  avant eux par le FN ou des intellectuels droitiers et/ou réactionnaires.

    Le 26 août dans les colonnes du Figaro,  M. Julliard notait qu’on avait assisté « en l’espace de deux ou trois ans, à la plus incroyable inversion de presque tous les signes distinctifs de la gauche, ceux dans lesquels traditionnellement elle se reconnaît et on la reconnaît. » « (La laïcité) « est devenue suspecte à une partie de l’extrême gauche intellectuelle, qui a repris sans vergogne à son compte les errances de Nicolas Sarkozy sur la prétendue laïcité ouverte. Car la laïcité de papa, dès lors qu’elle s’applique à l’islam, et non plus au seul catholicisme, apparaît soudain intolérante, voire réactionnaire. Pis que cela, elle charrierait avec elle de vagues relents de revanche catholique! Depuis que l’Église s’y est ralliée, elle serait devenue infréquentable! ».

    « La République à son tour est devenue suspecte. N’a-t-elle pas une connotation presque identitaire, souchienne disent les plus exaltés, pour ne pas dire raciste? N’est-elle pas le dernier rempart de l’universalisme occidental contre l’affirmation bruyante de toutes les minorités? (…). Il ne reste plus qu’à faire entrer le dernier suspect : c’est le peuple lui-même! (…). La récusation du peuple par les bobos, qu’ils soient modérés, façon Terra Nova, ou extrémistes, façon islamo-gauchiste, est un fait politique de grande importance (…) ».

    « Il y a quelque chose d’insolite dans le néo cléricalisme musulman qui s’est emparé d’une frange de l’intelligentsia. Parce que l’islam est le parti des pauvres, comme ils le prétendent ? Je ne crois pas un instant à ce changement de prolétariat. Du reste, allez donc voir en Arabie saoudite si l’islam est la religion des pauvres. Je constate plutôt que l’islamo-gauchisme est né du jour où l’islamisme est devenu le vecteur du terrorisme aveugle et de l’égorgement. »

    « Pourquoi cette conversion? » s’interroge Jacques Julliard. « par haine du christianisme », car « il est singulier de voir ces âmes sensibles s’angoisser des progrès de la prétendue islamophobie, qui n’a jamais fait un mort, hormis les guerres que se font les musulmans entre eux, quand les persécutions dont sont victimes par milliers les chrétiens à travers le monde ne leur arrachent pas un soupir ». Mais aussi parce que « l’intelligentsia est devenue, depuis le début du XXe siècle, le vrai parti de la violence. Si elle préfère la Révolution à la réforme, ce n’est pas en dépit mais à cause de la violence. Sartre déplorait que la Révolution française n’ait pas assez guillotiné. »

    Pascal Bruckner lui aussi invité à s’exprimer dans Le Figaro (le 20 mai dernier), qui a confessé dans le passé certaines de ses erreurs de jugements, rêve également d’une gauche introuvable, retrouvant la passion de la France française et désireuse de protéger son identité et son peuple.

    Comme M. Julliard, il note que « toute l’ultra-gauche est encore habitée par le rêve totalitaire, celui de la révolution totale. En perte de vitesse pendant vingt-cinq ans après la chute du communisme, années durant lesquelles elle a remâché son amertume, elle a reçu avec le 11 septembre 2001 un formidable coup de pouce. Elle peut enfin conjoindre son ressentiment avec celui de l’islamisme (…) Les bombes, les attentats suicides renouent avec la stratégie des mouvements insurrectionnels. Toute l’ultra-gauche est fascinée par la puissance éruptive du djihadisme. Cette alliance a été théorisée par le Socialist Workers Party (des trotskistes) en Angleterre : sous certaines conditions, l’alliance avec les musulmans même rétrogrades est nécessaire pour ébranler la forteresse capitaliste. Ce qu’on a raté avec les prolétariats, le tiers-monde, on va le réaliser avec ce monothéisme sacrificiel dont les fidèles forment un prolétariat de substitution. C’est ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme. »

    Mais si les victoires idéologiques, culturelles, précèdent toujours les victoires politiques comme l’a théorisé Antonio Gramsci, le mouvement de balancier se porte désormais vers des positions défendues, tenues de longue date par l’opposition nationale, sous l’effet du choc du réel qui triomphe toujours des errements plus ou moins criminels, des utopies plus ou moins venimeuses.

    M. Bruckner constate que « quand Le Monde et Libération essayent de dresser une liste des intellectuels de gauche, ils n’en trouvent pas ou très peu. Les colonnes vides remplacent celles qui, dans les années 1970, débordaient de noms puisque les deux termes étaient synonymes (…). Cette gauche qui est en train de perdre le magistère de la pensée n’a d’autres ressources que de qualifier les déviants de réactionnaires. Mais est réactionnaire à leurs yeux celui qui prend en compte la complexité des choses et se refuse à réduire le réel à une seule idée, un seul slogan. Cette injure doit devenir un titre de fierté. » Si Pascal Bruckner se met à parler comme Bruno Gollnisch ! Oui la réaction c’est la vie ! Et celle de notre peuple dans les années décisives à venir, la condition même de sa survie.

    http://gollnisch.com/2016/09/05/la-reaction-cest-la-vie-2/

  • Imposture antiraciste : La haine occultée de la racaille envers les Asiatiques

  • La police de la charia en France

    Ancienne conseillère régionale d'Ile-de-France, Céline Pina avait dénoncé, en 2015, le salon de «la femme musulmane» de Pontoise. Elle écrit dans Le Figarovox :"À Toulon ce dimanche, deux hommes se sont fait agresser et frapper sous les yeux de leurs enfants, par une bande de jeunes issus de la cité dite «sensible» des Œillets, simplement parce que les femmes qui les accompagnaient étaient en short.

    Toujours à Toulon, le 13 juin 2016, une jeune fille de 18 ans s'était faite insulter et menacer dans le bus de la ligne 3, par une bande de fille de son âge parce qu'elle portait un short.

    Aux cris de «putes» et «vas-y mets-toi toute nue», les jeunes hommes sont venus exercer une police de la vertu que l'on croyait impossible sous nos latitudes. Dans le cas de la jeune fille en short, qui a raconté son agression sur Facebook, à la question «pourquoi vous me traitez de pute parce que je porte un short alors qu'un homme peut se balader torse nu en plein centre-ville sans que personne n'y trouve rien à redire?», les jeunes femmes ont répondu «ben parce que t'es une femme, faut se respecter, sale conne.» Ces gardiennes sourcilleuses de la pudeur des femmes, mais peu de la chasteté de leur vocabulaire par ailleurs, ont tout dit: un homme on doit le respecter, une femme doit se respecter.

    On ne saurait plus clairement exprimer l'injonction à intégrer l'assignation à la pudeur comme une norme sociale et l'autocensure comme une norme comportementale. Une assignation à la pudeur qui plonge ses racines dans l'hypersexualisation du corps féminin et qui explique le rejet du corps de la femme, vu comme intrinsèquement impur et sale.

    La question du burkini, la multiplication des voiles intégraux, l'agression des femmes en short et le tabassage de leurs compagnons participent de la même logique. Faire du corps de la femme, un enjeu social et politique, un marqueur de la progression d'une idéologie au sein de la société. Dans les deux cas, c'est au nom de la transgression d'une «pudeur», érigée en norme pour la femme, que les agresseurs sont passés à l'acte. [...]"

    Michel Janva

  • Tremblay-en-France et son restaurateur qui s'excuse devant le « politiquement correct »...

     4083700128.jpgLe samedi 27 août, un restaurateur de Tremblay-en-France a refusé de recevoir dans son resto des femmes voilées : il a eu parfaitement raison; il a eu, par contre, parfaitement tort d'ajouter « tous les musulmans sont des terroristes ».  Tort aussi de dire ensuite aux médias qu'il regrettait son geste.

    Nous, nous disons : tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais, pour l'heure, tous les terroristes sont des musulmans. Et nous ne sommes pas prêts de retirer ce propos, et de plier le genou devant l'intelligentsia bobo-gaucho, devant le diktat du politiquement correct. 

    Et merde au « parti immigrationniste ! ». Comme Léo Ferré chantait « merde à Vauban ! »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Allemagne : Angela Merkel battue par l'AFD

    D'après les premières estimations :

    "C'est un revers pour Angela Merkel. Le parti anti-migrants allemand AfD est arrivé avec environ 21% en deuxième position lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale, dans le nord-est du pays, devançant la CDU de la chancelière, selon des sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote. 

    Les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête avec environ 30%, soit cinq points de moins qu'en 2011. Le parti d'Angela Merkel, pourtant élue de la région, se classe donc troisième avec de 19 à 20% des voix, selon les sondages des chaînes publiques ARD et ZDF. 

    Tout lien avec la politique migratoire d'Angela Merkel ne serait qu'un malheureux hasard...

    Philippe Carhon

  • Le burkini, un défi lancé à la France et l’Europe (article paru dans L’Action Française n°2938 du 01 septembre 2016)

    L’affaire des arrêtés municipaux anti-burkini, dans le lourd contexte des attentats de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray, est révélatrice d’un dérèglement profond de la société française et européenne, comme des institutions censées la structurer. Bien loin d’être anecdotique, cette affaire ne peut évidemment se réduire au simple débat stérile d’un port vestimentaire. Elle est foncièrement politique et, de plus, caractéristique d’un vice rédhibitoire affectant le droit comme la justice.

    Dans un article publié dans Le Figaro (18 août), le sociologue québécois Mathieu Bock-Côté écrivait très justement que « la querelle du burkini [...] ne porte pas que sur un morceau de vêtement » ; de son point de vue, c’est « un des signes visibles d’une forme d’agressivité identitaire à l’endroit des sociétés occidentales » : « La question du burkini, autrement dit, révèle l’impensé culturel de nos sociétés. C’est ce que disait à sa manière Henri Guaino en soutenant qu’elle posait moins un problème à la laïcité au sens strict qu’un problème de civilisation. »

    Pourrir la vie des gens

    Dans un entretien accordé au même quotidien (26 août), la philosophe Catherine Kintzler se montre plus explicite : « Il ne suffit pas de ramener le port du “burkini” à un simple geste communautariste au sens social. Cela va bien plus loin et touche le domaine politique. [...] Une fois de plus, dans un contexte aggravé, on a affaire à une tentative de banalisation du totalitarisme islamiste. Ce burkini est très récent, personne ne s’y trompe – on se demande même ce que les islamo-totalitaires vont encore inventer pour pourrir la vie des gens. » En effet, seuls les aveugles volontaires se refusent obstinément à accepter de voir ce qu’ils voient. Une telle attitude emprunte à la fois au sectarisme idéologique le plus obtus comme à la tentative désespérée de tromper derechef le réel par une rhétorique aussi éculée qu’inefficiente.

    Le Conseil d’État a tranché

    Le Conseil d’État, par son ordonnance du 26 août, dans un juridisme éthéré propre à l’intégrisme normativiste et procédural en cours au Palais-Royal depuis une bonne quinzaine d’années, balaye d’un geste hautain l’argument retenu par les premiers juges fondé sur « l’émotion et les inquiétudes résultant des attentats terroristes, et notamment de celui commis à Nice le 14 juillet dernier » ; celles-ci « ne sauraient suffire à justifier légalement la mesure d’interdiction contestée », laquelle « a ainsi porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle ». Le style direct et assez inhabituel des attendus des juges du tribunal administratif de Nice, particulièrement circonstanciés et motivés , faisait encourir à leur ordonnance le risque avéré de la cassation. Qu’on en juge : « Dans ce contexte, le port d’un vêtement sur les plages pour y afficher, de façon ostentatoire, des convictions religieuses susceptibles d’être interprétées comme relevant de ce fondamentalisme religieux, est d’une part, non seulement de nature à porter atteinte aux convictions ou à l’absence de convictions religieuses des autres usagers de la plage, mais d’être ressenti par certains comme une défiance ou une provocation exacerbant les tensions ressenties par la population à la suite de la succession d’attentats islamistes subis en France. »

    Ordre public contre laïcité

    Surtout, les magistrats n’ont pas hésité à mettre l’accent sur le principal motif retenu par les édiles de Villeneuve-Loubet et de Cannes (et, par extension, bien qu’en dehors du champ de compétence de cette juridiction, de la quelque trentaine de communes ayant édicté le même type d’arrêtés), à savoir la préservation de l’ordre public qui, en droit public français, se conjugue traditionnellement en plusieurs modes : bon ordre, tranquillité, hygiène, sécurité, moralité et même dignité humaine. Il ne s’agit donc pas uniquement de sauvegarder le principe de laïcité qui, quoi qu’on dise aujourd’hui, se définit d’abord et avant tout comme la saine distinction du temporel et du spirituel, de l’État et de l’Église, du politique et du religieux, et non comme une égale coexistence des religions entre elles sous arbitrage prétendument “bienveillant” de l’État. De ce strict point de vue, en République, la laïcité ainsi entendue s’expose constamment au risque d’être immolée sur l’autel de l’opportunisme politique, son relativisme intrinsèque pouvant conduire l’État à privilégier telle ou telle chapelle selon les vents contraires de ses intérêts à court terme ou de ses caprices électoralistes. Le laïcisme républicain repose sur une conception rationaliste du droit naturel que Grotius formulait déjà en ces termes : « etiamsi daremus[...] non esse Deum » – suivre les règles comme si Dieu n’existait pas. Il s’ensuit une application viciée du droit comme un détournement de la justice idéalement arrimée à la satisfaction du bien commun. Le Conseil d’État se déconsidère chaque fois davantage quand il perd de vue, à dessein, ces gouvernails de l’utilité sociale. Comme le percevait le juriste Michel Villey, le but assigné « au droit et à l’État apparaît purement terrestre, purement mondain », sans déférence pour l’héritage ni souci de l’avenir.

    Conserver l’ordre social

    Sans qu’il fût nécessaire de légiférer sur cette question, à l’instar de la prohibition de la burqa dans l’espace public – ainsi que l’exhortait un Florian Philippot –, le traitement politique du burkini devait logiquement passer par une appréhension préalable des faits concrets à l’aune des circonstances locales. Ce que firent les juges niçois, conformément à une jurisprudence des plus classiques, forgée, pour l’essentiel, sous la République, la troisième du nom, la plus irréligieuse qui fût. Interdire le burkini sur la plage n’était pas une fin en soi, mais devait principalement tendre à conserver l’ordre social déjà passablement ébranlé par les attentats.

    Libertés et justice

    Arc-boutés à une vision hémiplégique et racornie du droit naturel, les juges du Conseil d’État se sont bornés à voir dans ces proscriptions municipales des atteintes aux « libertés », sans égard pour la justice proprement dite, laquelle commandait précisément, selon ce qu’écrivait Aristote dans ses Politiques, d’embrasser « l’ordre naturel des choses » et d’accorder à chacun son dû, pour le bien de la cité et non au bénéfice de quelques communautés, le droit n’existant exclusivement que dans les rapports entre citoyens. En exégète averti du Stagirite, Michel Villey expliquait que « l’observation de la nature est donc plus que l’observation des faits de la science moderne » ; « elle n’est pas neutre et passivement descriptive, elle implique le discernement actif des valeurs » (La Formation de la pensée juridique moderne, 2003). Il va de soi que ces “valeurs” sont tirées non d’une quelconque abstraction platonicienne (en terme plus contemporain, elles n’auraient rigoureusement rien de “républicaines”), mais d’une humble et patiente observation de la nature et, en particulier, celle de l’homme, animal politique fait pour vivre dans cet écosystème politique qu’est la cité. Les ferments de division d’icelle sont, dès lors, voués à être bannis ou, a minima, réduits au silence, attendu qu’« il y a des barbares » (au sens antique du terme) « que l’on voit ne pas parvenir au même degré d’épanouissement de la nature humaine, qu’atteignent au contraire les civilisés », observait encore Michel Villey.

    Aristide Leucate

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  • Christine Tasin à Radio Courtoisie : L'arabe à l'école