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Après les révélations hallucinantes de la commission d’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015 et en particulier au Bataclan, on est en droit de s’interroger sur l’intérêt de cette vaste opération sentinelle qui mobilise aujourd’hui 10 000 hommes sur le territoire national.
Voilà ce que nous dit l’Obs, après écoute des échanges radio entre les autorités et les policiers sur le terrain : « (…) le soir du 13 novembre, à 22h22, sur les ondes de la radio réservées aux policiers chargés de surveiller l’agglomération parisienne. L’un des interlocuteurs est un agent de la brigade anti-criminalité (BAC) arrivé parmi les premiers devant le Bataclan juste après le début de la tuerie.
Un autre fonctionnaire, un commissaire qui passait devant la salle de spectacle en voiture, est déjà là et a pris l’initiative d’y entrer, arme au poing, et d’ouvrir le feu sur un terroriste qu’il a tué. Mais le policier qui parle à la radio ne peut que sécuriser les abords de la salle de concert, son équipement et son arme ne lui permettent pas de rentrer.
(…)Les militaires sont au nombre de 8. Eux aussi se sont arrêtés devant le Bataclan en entendant la fusillade, alors qu’ils allaient relayer une équipe chargée de surveiller des bâtiments situés non loin de là. Les militaires n’ont toujours pas le feu vert pour tirer. Les victimes ne seront secourues que plus tard, sans l’aide de l’armée.[....]
De plus en plus de musulmans rejettent les lois de la République.
Le grand moraliste Michel de Montaigne jugeait la religion musulmane en des termes peu amènes :« Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garces d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmiéler et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit. »
Si nous devrions nous garder de tout anachronisme forcément malheureux – la Renaissance ne pouvant être comparée à notre époque —, il est certain que les humanistes européens, qu’ils soient du XVIe ou du XXIe siècle, ne peuvent que regarder avec circonspection les interprétations littérales du Coran.
Tandis que nos médias s'écharpent sur une petite phrase de Nicolas Sarkozy concernant nos ancêtres les Gaulois, les immigrés entrent massivement dans notre pays. Interrogé dans Présent, Jean-Yves Le Gallou estime :
"Je n’ai pas d’estimations précises de la population extra-européenne présente en France. En revanche, nous avons une très bonne approximation des naissances non européennes grâce aux statistiques de dépistage de la drépanocytose, une maladie rare qui peut affecter les enfants non européens. 21 % des naissances n’étaient pas européennes en France en 2001, 37 % des naissances ne l’étaient pas davantage en 2015 (observez la vitesse de progression) et 66 % – oui, vous avez bien lu, les deux tiers – ne l’étaient pas en Ile-de-France. Contrairement à ce qu’affirment les désinformateurs et à ce que feignent de croire les autruches, le Grand Remplacement n’est pas un fantasme, c’est un fait. Un fait démographique d’abord, un fait civilisationnel ensuite."
Un fait promu par la super classe mondiale. On apprend aujourd'hui que :
Le milliardaire américain George Soros va consacrer 500 millions $ à des intiatives d'aide aux migrants
BNP Paribas lance un plan de soutien aux migrants (mais je doute que les agences de la BNP logeront des immigrés...).
Le divorce entre les peuples d'Europe et leurs dirigeants est une réalité bien connue. L'actualité ne fait encore une fois que le confirmer.
Les "migrants" encore et toujours
Les mois passent et l'invasion de l'Europe par les pseudo-migrants continue de plus belle. Qui s'en étonnera ? Seuls les idiots pouvaient penser que ceux qui l'ont promue allaient reculer. L'oligarchie mondialiste n'abandonnera jamais son dessein profond: la destruction de l'Europe comme puissance et celle de ses peuples. Ecoutez-les! Il faut en accueillir toujours davantage mais surtout les répartir le plus largement possible afin que plus aucun endroit de ce continent ne soit épargné. Le pape François vient d'ailleurs (encore une fois) de se poser en champion des migrants, lui qui, exemplaire, va héberger au sein du Vatican deux familles! Son dernier appel est sans équivoque :
"Que chaque paroisse, chaque communauté religieuse, chaque monastère, chaque sanctuaire d'Europe accueille une famille"
Oligarchie catholique et oligarchie mondialiste main dans la main pour nous détruire; nous avons l'habitude. Le financier apatride Georges Soros, qui nous voue une haine rabique comme chacun sait, vient encore de débloquer 500 millions de dollars pour les "besoins spécifiques des migrants, des réfugiés et des communautés d'accueil". "Je vais investir dans des start-up, des sociétés établies, des initiatives sociales et des activités fondées par les migrants et les réfugiés eux-mêmes" explique ce grand ami de l'humanité (qui cherche en outre d'autres investisseurs dans son projet afin d'accélérer notre déclin).
Heureusement, les faits sont têtus et l'opinion publique européenne n'est pas entièrement dupe de la situation. Cologne ou Calais sont deux noms qui parlent bien plus qu'un long discours. De plus, on n'en finit pas de découvrir l'ampleur de la manipulation que le Système a ourdie. Dernier exemple que j'ai relevé : de pauvres migrants qui ont quitté leur pays d'origine à cause des inhumaines persécutions qu'ils y subissaient y retournent pourtant... pour y passer leurs vacances ! On vient en Europe se poser en victime (ça marche toujours!), profiter du pognon (normal, on y obtient tout!) tout en retournant de temps à autre au soleil. La vie est belle.
« Selon une enquête de l'hebdomadaire allemand Die Welt am Sonntag, des réfugiés enregistrés en Allemagne, et à ce titre bénéficiaires d'allocations, feraient de courts séjours dans leurs pays d'origine. On note parmi ces destinations la Syrie, l'Irak et l'Afghanistan. Autant de pays dont certains ressortissants obtiennent le statut de réfugié en Occident compte tenu des dangers et des persécutions dont ils pourraient être victimes en y vivant. »
Pour contrer l'invasion, les initiatives fourmillent de plus en plus. De simples citoyens ou associations (à l'image du LiEn ou de l’association des maires « ma commune sans migrants » présidée par Steeve Briois) font un utile travail local pour saper le projet mondialiste; à un niveau supérieur, ce sont les pays d'Europe de l'Est qui, au sein de l'UE, tentent de combattre la marée humaine de pseudo-réfugiés. La Bulgarie, soutenue par la Hongrie, va ainsi bientôt doter sa frontière avec la Turquie d'une clôture de barbelés de 259 kilomètres! Victor Orban le dit clairement : c'est là que se joue « l'avenir de l'Europe » et non à Bruxelles !
La Scandinavie trahie par ses élites
L'avenir de l'Europe ne semble pas non plus se jouer en Scandinavie... à en juger de la sombre situation d'un pays comme la Suède, dictature multiculturelle encore pire que ce que nous connaissons en Europe de l'ouest. Je reprends ce qu'en dit le site breizatao:
« Ce laboratoire à ciel ouvert a absorbé jusqu’à la dernière goutte le poison de la psychopathie gauchiste: ethno-masochisme, féminisme pro-musulman, athéisme nihiliste, invasion migratoire du tiers-monde, etc. L’élite au pouvoir dans ce pays est lancée dans la destruction totale de la Suède comme nation historique. »
En témoigne ce clip issu d'une organisation caritative alliée au gouvernement afin de tuer la Suède à petit feu. On y voit « la nouvelle société » dans toute sa splendeur tolérante et ethnodestructrice.
«Les Norvégiens sont aussi des immigrés originaires de l'Afghanistan, du Pakistan, de la Pologne, de la Suède, de la Somalie et de la Syrie», a martelé le roi, avant d'ajouter, laissant peu d'ambiguïté quant à son parti-pris en faveur de l'ouverture du pays aux migrants : «Notre "chez-soi" est là où notre cœur est. Il ne peut pas toujours se situer à l'intérieur des frontières d'un pays.»
Plus globalement, le suzerain a affirmé que les Norvégiens étaient notamment «des femmes qui aiment les femmes, des hommes qui aiment les hommes», mais aussi des personnes qui «croient en Dieu, en Allah, en tout et en rien».
Les animaux à la rescousse !
La seule barrière à l'installation des hordes de réfugiés serait-elle la défense de l'environnement ? Enfin, tout dépend de quel environnement l'on parle... ASteinfort, paisible bourgade du Luxembourg peuplée de 5000 âmes, doit se construire un village d'accueil pour migrants depuis quelques mois... mais, horreur !, des chauve-souris intolérantes (et en plus protégées!) vivent sur l'emplacement de ce futur Calais luxembourgeois ! Une association locale a ainsi réussi à faire retarder les travaux en demandant une étude environnementale afin de protéger les chauve-souris qui, il est vrai, sont chez elles!
Restons chez nos amis les volatiles et écartons-nous de notre sujet de base en évoquant cette belle initiative qui nous vient des Pays-Bas. Pour lutter contre le fléau représenté par les drones, la police néerlandaise a choisi une méthode archéofuturiste : les aigles! « Les animaux seront appelés à la rescousse quand les drones poseront un danger pour la population, lors d'un événement particulier, comme une visite d'État, ou s'ils volent trop près d'un aéroport. » Il serait stupide de ne pas les utiliser car « les aigles voient les drones comme des proies et l'interceptent en vol avant d'aller se poser là où ils se sentent en sécurité, le drone toujours entre leurs serres »... Une centaine de policiers va être entraînée au maniement de l'oiseau impérial et des pays comme la France ou l'Allemagne seraient déjà intéressés pour imiter cette idée novatrice.
La France toujours au top !
Je ne pouvais pas terminer cet article sans évoquer la grandeur de notre pays par le biais de François Hollande. Celui-ci, détesté et raillé par toute la France (et une bonne partie du monde), n'en souffre pas le moins du monde dès qu'il est jugé par ses pairs. En effet, la fondation américaine Appeal of Conscience lui a décerné le titre d' «homme mondial de l'année» et a loué « son leadership dans la sauvegarde de la démocratie et de la liberté dans un moment d'attaques terroristes et pour sa contribution à la stabilité et à la sécurité mondiales ». Traduisons. L'oligarchie le félicite pour avoir été un infatigable agent de l'anti-France et un serviteur zélé du projet mondialiste et droit-de-l'-hommiste. Mais, que savons-nous de cette fondation qui le décore de si belle manière ? Appeal of Conscience a été:
« Fondée en 1965 par le rabbin Arthur Schneier, survivant de la Shoah et rabbin de la Park East Synagogue de New York, la fondation Appeal of conscience promeut "la paix, la tolérance, et la résolution des conflits ethniques". »
Le récit d’un soldat syrien survivant fait froid dans le dos. La coalition américaine a lancé une attaque qui a fait au moins 62 morts et une centaine de blessés, contre l’armée régulière syrienne à Deir ez-Zor, alors que les USA viennent de s’engager à faire respecter une trêve. Les USA plaident l’erreur, mais le témoignage d’un rescapé de l’attaque ne laisse que peu de doute sur l’intention de tuer:
Un survivant de la « bavure » perpétrée en Syrie par les avions de la coalition internationale témoigne sur Life.ru. Il doute fort que l’attaque menée par les avions de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis fût une erreur :
les avions ont poussé la barbarie jusqu’à abattre les soldats syriens blessés avec des mitrailleuses. Un avion de reconnaissance a d’abord survolé les positions de l’armée syrienne, peu après des chasseurs ont lancé une attaque, a raconté ce militaire syrien au site Life.ru. « Nous avons pensé que l’avion menait la reconnaissance des positions de Daech. Mais peu après nous avons été attaqués par les chasseurs de la coalition qui ont frappé nos chars, véhicules blindés et pièces d’artillerie. Ils achevaient avec les mitrailleuses nos soldats qui tentaient de se réfugier dans les ruelles. Chaque chasseur a tiré sur nous au moins trois missiles. J’ai vu de mes propres yeux la mort d’environ 100 soldats. Ils ont pilonné nos soldats battant en retraite. Beaucoup ont péri. De nombreux blessés ne pouvaient pas bouger », a-t-il précisé. Aussitôt après le raid aérien, les djihadistes sont partis à l’assaut des positions des militaires syriens.« l’État islamique a attaqué nos positions, nos soldats ont été capturés. J’ai eu l’impression qu’il y avait un accord entre les Etats-Unis et Daech. Les terroristes étaient en liesse, ils tiraient des coups de feu en l’air comme s’ils fêtaient quelque chose », a ajouté le militaire. «Il ne pouvait y avoir aucune erreur!» (Source)
Des soldats capturés qui vont payer très cher la traîtrise américaine.La colère du Kremlin et les protestations de Damas ont obligé Washington à réagir qui plaide un bombardement « involontaire ». Le spécialiste de la Syrie, Bassam Tahhan, explique pourquoi cette explication ne tient pas la route, dans la vidéo ci-après.
Sur le site de La Tribune, Romaric Godin a jugé sévèrement le bilan du sommet européen extraordinaire de Bratislava qui s’est tenu vendredi et qui » devait relancer l’UE après le Brexit« . « De ce point de vue, c’est une défaite complète. » « Dans la capitale slovaque, personne n’était d’accord sur rien. Rien n’aura donc été décidé d’autre que la défense d’un statu quo dont on sait pourtant les dangereuses limites (…) Tout se passe désormais comme si les dirigeants européens considéraient encore que le Brexit était unebonne leçon pour ceux qui sont tentés de sortir et qu’il va permettre de réutiliser l’argument du chaos et de la peur pour calmer les mécontentements. » Propagande qui ne fonctionne plus malgé les consignes des grands partis, le journaliste rappelant que » le vote britannique sur le Brexit a montré combien une partie de la population, parmi la plus fragilisée par la mondialisation, estimait que l’UE n’était pas en état de les défendre. Ce sont les ouvriers anglais et gallois qui n’ont pas écouté les consignes des Travaillistes qui ont fait basculer le vote. » Il remarque encore que « pas un mot » n’a été dit lors de ce sommet « sur une éventuelle réflexion concernant la zone euro et sa réforme, pourtant considérée après la crise grecque de l’été 2015 une priorité. En réalité, la poussée d’AfD en Allemagne interdit le dossier tout autant que celle du FN en France. »
Alternative pour l’Allemagne (AfD) de Frauke Petry qui, dans une ville comme Berlin, qui lui est sociologiquement très peu favorable, a confirmé sa percée dimanche aux élections régionales. La gauche reste majoritaire, mais avec avec 14,2 % des voix (dont 27 % de celles des ouvriers) les nationaux auront des élus et talonnent la CDU d’Angela Merkel (17,6 % des suffrages). Celle-ci vient d’admettre de manière très confuse et alamabiquée qu’elle avait peu être commis une erreur dans sa décision d’accueillir de manière démentielle une immigration non européenne torrentielle.
Difficile de faire plus con…venu, Céline Boff dans 20 minutes, sans grande finesse, tente d’expliquer ce vote national par la fait que des deux côtés du Rhin, « face à un monde ouvert et globalisé, l’AfD et le FN invitent leurs peuples respectifs au repli sur soi » (sic). Isabelle Bourgeois, chargée de recherche au Centre d’information et de recherche sur l’Allemagne contemporaine (Cirac) confirme : « Ces deux mouvements demandent aux citoyens de penser national.Logiquement, ces partis sont donc eurosceptiques. Ils pointent également du doigt l’étranger (…) mais ils s’appuient sur une réalité très différente : Un million de réfugiés ont été accueillis en Allemagne, contre moins de 20.000 en France. Outre-Rhin, l’accueil des migrants est une difficulté concrète, ce qui n’est pas le cas en France ».
Madame Bourgeois n’a sans doute pas encore réalisé que la France n’a pas attendu la crise migratoire de ces derniers mois pour accueillir sur son sol une immigration de peuplement parfois agressive, revendicative, prosélyte, rétive à nos moeurs, à notre culture, qui a transformé nombre de nos villes et de nos quartiers, en a changé le « climat » et l’aspect, ce qui inquiète légitimement nos compatriotes.
Inquiets, les Russes le sont aussi certainement en cette période de récession économique, mais ils ont réaffirmé dimanche leur confiance dans la majorité au pouvoir lors des élections législatives. En 2011 l’opposition, les ONG financées par les Etats-Unis, diverses officines mondialistes et l’UE avaient crié à la fraude, des manifestations avaient eu lieu pour dénoncer des tricheries. Les 330 observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) avaient consigné de nombreuses irrégularités dans le déroulement de ce scrutin.
Pour couper court, Vladimir Poutine a placé cette fois à la tête de la commission électorale centrale l’ex-déléguée aux droits de l’Homme auprès du Kremlin, Ella Pamfilova, en lieu et place deVladimir Tchourov, devenu la bête noire de l’opposition. Même de l’avis de la presse la plus hostile, le scrutin de dimanche s’est déroulé sans accroc ni contestation susceptible d’ altérer la sincérité du résultat.
Une opposition à Poutine si peu crédible et populaire que la participation à ce scrutin était sensiblement en baisse dimanche (47,8% des électeurs ont voté, contre 60% en décembre 2011) . Les anti Poutine des partis Parnas et Iabloko n’ont recueilli que des scores symboliques. Le parti du président, Russie Unie a obtenu pour sa part la majorité absolue avec 54,3% des voix, et devrait passer de 238 siéges à 338 sièges sur les 450 sièges de la Douma, la chambre basse du Parlement.
Le Parti libéral démocrate (LDPR) du dirigeant nationaliste Vladimir Jironovski augmente score de trois points (13,3%), le Parti communiste (PC) en perd cinq (13,5%), la petite formation soutenant le gouvernement, Russie Juste, gagne son ticket d’entrée à la Douma ( 6,2%).
Une Russie poutinienne qui est, si ce n’est toujours, du moins souvent présentée sous un jour sombre, voire comme un des piliers de l’Axe du Malpar les médias Français relayant la propagandeprogressiste de différents lobbies, de la Maison blanche et de Bruxelles. Il est reproché à la Russie sa défense du patriotisme et des valeurs traditionnelles, son retour sur la scène internationale contrariant le jeu des anglo-saxons, son engagement en faveur d’un monde multipolaire…
Il y a neuf ans déjà, le professeur Georges Nivat, slaviste de renommée internationale, co-traducteur avec son épouse agrégée de russe des textes de beaucoup des dissidents du régime soviétique pour les éditions de l’Age d’Homme, aujourd’hui directeur de l’extension genevoise de l’université Lomonossov de Moscou, s’ inquiétait de ce fossé entre la Russie et l’Europe.
Le choc du Mois rapportait ses propos: « Le temps du désir russe d’Europe ne correspond plus désir européen de Russie« , relayant « le doute qui saisit une certaine élite russe. Observant l’Europe de l’Ouest, les médias russes font leurs gros titres quand il s’agit de pointer la grave évolution due à l’immigration depuis des pays et des peuples non européens. Certains spécialistes prédisentun effondrement et en concluent même que la Russie a intérêt à se tenir à l’écart. Pessimiste Georges Nivat prévient: il n’est pas sûr qu’aujourd’hui l’amour soit au rendez-vous.«
Autant dire que la décennie qui vient de s’écouler, les quinquennats Sarkozy puis Hollande, la soumission de l’Allemagne aux diktats mondialistes, celle plus générale de l’Europe de Bruxelles à l‘Otan, aux Etats-Unis, aux dogmes cosmpolites, l’implication de nos dirigeants dans les drames du Proche-Orient ne peuvent que renforcer les craintes russes.
Une Russie avec laquelle il faudra pourtant s’entendre, dialoguer et avec laquelle nous avons des choses à partager et à bâtir assure Bruno Gollnisch. Il est certain que Marine Le Pen élue à l’Elysée, les relations franco-russes prendraient un nouveau départ.
Bernard Antony commente les estivales du FN à Fréjus :
"Disons d’emblée qu’il y a au moins un point sur lequel nous approuvons totalement sa ligne, parce qu’elle est, il est vrai, la nôtre depuis toujours, la sortie de l’Union Européenne. « Sortons de cette Europe-là ! » fut et demeure en effet le slogan que nous lançâmes. Rien que cela justifiera peut-être l’an prochain un vote positif.
Sur la question majeure de l’avenir de l’islam en France, le discours de Marine n’a guère tranché avec beaucoup d’originalité sur la commune ritournelle de « l’islam compatible avec la République ». Propos superficiel ignorant à la fois la nature fondamentale de l’islam et l’expérience que l’on en a à partir des 50 pays où s’exerce aujourd’hui sa pleine domination plus ou moins coercitive ou cruelle.
Marine, irréductiblement jacobine, n’a pas non plus tenu des propos de clarification sur les rapports des lois religieuses, des lois de la République et de la loi morale universelle. En effet les lois particulières aux religions ne sauraient être imposées à tous (charia – observances talmudiques – commandements de l’Église…). En revanche, les lois de la République ne sauraient bafouer la loi naturelle. Et notamment, pour ce qui est du respect de la vie innocente.
Marine demeure donc décevante pour ce qui est de l’exigence de remplacement de la loi Veil par une loi d’accueil à la vie.
Sur la question de l’éducation, les propos tenus par son invité, l’enseignant Jean-Paul Brighelli, méritent un accueil nuancé. On ne peut le suivre sur sa péremptoire condamnation du « chèque-éducation », selon lui « idée pseudo-libérale et totalement dénuée de sens ». On ne peut dire en si peu de mots autant d’absurdités sur la question !
La formule du « chèque-éducation » est appliquée avec bonheur dans certains pays. Ce n’est pas une idée « pseudo-libérale » mais fondamentalement une réforme de liberté de l’éducation et d’égalité fiscale. Mais elle va certes à l’encontre de l’idéologie jacobine étatiste, à l’origine de tous les totalitarismes.
Sur les questions majeures de l’indépendance nationale et de l’identité, l’Institut du Pays Libre approuve donc globalement les propositions du FN. Mais il regrette sur les questions « sociétales » des positions semblant baigner toujours plus, peut-être pour récupérer des voix à gauche, dans une sorte de marinade archéo-jacobine."
Bernard Antony interviendra samedi 24 septembre au Parc des Expositions à Orange aux côtés de Stéphane Blanchonnet, Jean-Pierre Maugendre, Guillaume de Tanouärn, Ivan Rioufol, Gabrielle Cluzel, Cécile Edel, Béatrice Bourges, Jean-Claude Martinez à l'occasion du Forum de l’Union des Droites organisé par Jacques Bompard.
Cela date d’il y a un an mais n’a pas été très ébruité et est toujours d’actualité.
Evidemment, la Banque, tout comme le Medef, a intérêt à voir la France submergée de ce nouveau sous-prolétariat.
Mais de la à oser afficher aussi nettement son goût pour les prétendus réfugiés, il y avait un pas que vient de franchir BNP Paribas, comme on peut le voir sur son site et sur ses comptes sur les réseaux sociaux :
La question migratoire a éclipsé toutes les autres problématiques politiques s’imposant à nos contemporains. Parmi les différents défis que nos sociétés européennes doivent relever, cette dernière suscite le plus de polémiques. L’antagonisme politique fondamental oppose désormais des Mondialistes à des Identitaires. Les premiers sont ultradominants. Leurs sensibilités vont d’un mondialisme intégral dissolvant les identités historiques dans une sorte de Tour de Babel métissée, à l’assimilationnisme de rupture avec le lignage d’origine. Entre les deux, beaucoup prônent la coexistence de communautarismes unis par un patriotisme contractuel.
Schématiquement, le spectre va de Soros à Soral ; de Terra Nova au Front national 2.0. En face, les Identitaires sont attachés aux déterminismes biologiques et sociaux issus de milliers d’années d’histoire. Mais ils sont encore fragiles et peu nombreux, cette posture étant très récente.
Pour les uns, cette immigration est bénéfique. Elle favoriserait la croissance économique ; elle suppléerait au déclin de la natalité des Français ethniques ; elle dynamiserait notre société, etc. Pour les autres, elle est une catastrophe car perçue comme un Grand Remplacement des populations historiques et donc la disparition programmée des peuples européens et de notre civilisation.
Relevons au passage que cette immigration allogène fut initiée dès l’avènement de la Ve République. La politique inaugurée par le tandem Charles De Gaulle/Michel Debré est suffisamment explicite sur ce point, provoquant même un scandale lors de l’affaire des Enfants de la Creuse. Près de 2.000 orphelins réunionnais furent alors déportés en France européenne et placés dans des fermes. Dans le même esprit, sous la gouvernance de Valéry Giscard d’Estaing, des femmes africaines furent mariées à des paysans français esseulés. Et c’est loin d’être tout.
Le constat est qu’aujourd’hui cette immigration allogène et leurs descendants réunissent entre douze à quinze millions d’individus (métis compris), majoritairement des jeunes, sur le territoire de la France européenne. Beaucoup sont parfaitement intégrés. On pensera aux Afro-Antillais, aux Asiatiques, à beaucoup d’Africains, aux Hindous, etc. En revanche, une partie non négligeable de Maghrébins génère quelques difficultés… (1).
Pourquoi la spécificité maghrébine ?
Délicat de discuter publiquement dans le contexte actuel sur les spécificités maghrébines. L’omerta est de mise dans la sphère publique. En revanche, dans l’espace privé, le débat est plus libre, même avec des quidams d’outre-Méditerranée. Notons que parmi ces Maghrébins beaucoup ne soulèvent aucune difficulté, qu’ils soient juifs, arabes ou kabyles. Ils vivent à côté de nous et avec nous. Certains d’entre eux – on pense bien évidemment à l’irremplaçable Eric Zemmour – s’assument comme les hérauts de la race blanche chrétienne. Mais d’autres sont irréductibles. Dans mon enfance, la vox populi qualifiait ces gens ingérables de « crouilles » (2).
Le fait est que, depuis des centaines d’années, les côtes du Maghreb furent le siège d’une piraterie réduite au XIXe siècle. Ce sont les descendants de ces pirates, dont l’économie reposait sur le pillage, que nos dirigeants ont installés dans nos villes, hier, et maintenant dans nos campagnes. Trois minutes de conversation honnête avec un Maghrébin musulman bon père de famille suffisent à s’en convaincre. Nous eûmes cette conversation alors qu’on m’avait volé un beau vélo (pneux Schwalbe Marathon Plus récents, freins hydrauliques Magura, selle Brooks en cuir noir, etc.), pourtant bien cadenassé, en plein jour dans une rue animée de Paris et réputée sûre. Lui en parlant, il m’avoua connaître un compatriote organisateur d’un réseau dédié à cette activité fort lucrative. Sa gêne était plus que sensible.
Histoire des pirates d’Afrique du Nord
Les côtes nord de l’Afrique furent depuis des temps immémoriaux le repère de Barbaresques. Ils vivaient de rapines, razziant tout ce qui était razziable autour d’eux, y compris chez les Maghrébins laborieux. Bien évidemment, leurs déterminismes personnels sont la conséquence de cette adaptation à ces pratiques économiques. Au même titre que les paysans sont généralement petits car… « la terre est basse », les pillards doivent posséder des caractéristiques spécifiques pour prospérer. Se développa alors sur les côtes d’Afrique du Nord une population aux spécificités adaptées à cette économie. Notons que des Européens en rupture de ban encadraient ces pratiques. Ces renégats dirigeaient ces indigènes. Ainsi un Hollandais fameux, Jan Janszoon alias Mourad Rais, pilla l’Islande en 1627 et l’Irlande en 1631. Le butin convoité par ces razzias était, entre autres, des esclaves blancs vendus sur les marchés d’Orient.
Pendant longtemps, l’Ordre de Malte verrouilla la Méditerranée occidentale, mais sa destruction pendant les guerres napoléoniennes permit ensuite à ces pirates de prendre toutes les initiatives contenues jusqu’alors. La réaction fut forte. Les grandes puissances maritimes allèrent détruire les bases de cette piraterie maghrébine. Les premiers à agir furent les Américains pendant les « Guerres barbaresques » de 1801 à 1815. Puis, en 1816, une flotte britanico-néerlandaise bombarda Alger, mais sans intervention terrestre. Celle-ci sera finalement opérée sous Charles X. En 1830, l’intervention française en Afrique du Nord signe l’arrêt définitif de l’activité de ces pirates. Mais la culture de piraterie subsiste. Relevons aussi que cette piraterie, partout dans le monde, fut instrumentalisée par tel ou tel prince selon ses intérêts du moment. Les pirates devenaient alors corsaires. En Afrique du Nord, beaucoup agissaient pour le compte de l’empire ottoman. La montée des Etats-nations et la révolution industrielle engendrant un accroissement des échanges ruineront cette activité dont elle contrariait le développement.
Avec les indépendances, les nouveaux dirigeants d’Afrique du Nord voulurent eux aussi les annihiler. Face à des autorités françaises avides d’immigrés, ils ne retiendront pas les descendants de ces pirates qui pourront alors rapiner chez nous. Maintenant, on les répand sur tout le territoire. Ces trois minutes de conversation avec ce Maghrébin « bon père de famille » permirent de vite comprendre pourquoi ces individus sont ingouvernables. Au Maghreb, Ils s’en sont débarrassés avec élégance. Au Maroc, un Européen se promènerait plus en sécurité dans les quartiers les plus chauds qu’en France dans une cité « populaire ». C’est dans cette population irréductible que doit maintenant se recruter cette « caillera » tentée par le djihad. Cela amène cette connaissance marocaine m’ayant éclairé à ne plus aller à la mosquée, alors même que la sonnerie de son portable est l’appel du muezzin. C’est dire.
Quel rôle ont joué nos dirigeants ?
Nos dirigeants se sont-ils fait duper par plus malins qu’eux en acceptant des descendants de pillards sur notre sol, ou bien ont-ils agi sciemment pour conforter les rapports de domination sociale dont ils bénéficiaient ? L’installation de migrants en Europe, aujourd’hui, répond-elle à la même démarche ? L’oligarchie instrumentalise-t-elle la piraterie et le terrorisme sur notre sol comme les princes le firent hier ? On aimerait en savoir plus.
Frédéric Villaret Septembre 2016
Notes :
1/ Immigration et délinquance : ce que l’on sait, ce que l’on croit savoir http://www.liberation.fr/france/2014/12/12/immigration-et-delinquance-ce-que-l-on-sait-ce-que-l-on-croit-savoir_1161343
2/ « Crouille »:
-abréviation de crouillat, emprunté à l’arabe maghrébin (‘a) khuya, « mon frère » ; terme de politesse fréquent en Afrique du Nord, altéré en crouille ; -de mauvaise qualité, décevant. Mais aussi coquin, d’un enfant qui a l’œil qui brille de malice : « avoir l’air (d’une) crouille » ; -terme injurieux et raciste pour désigner un Nord-Africain.