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immigration - Page 1081

  • [vidéo] Jean Raspail : « Il n’y aura pas de solution sans force ! »

    Jean Raspail répond aux questions de Boulevard Voltaire. L’auteur du Camp des saints revient sur les événements tragiques que la France a connus en 2015 et donne sa vision de l’avenir. Selon lui, les armes parleront.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Face au djihadisme, les tenants du Padamalgam nous enfument

    Ce sont les minorités qui font l’histoire, pas les majorités

    ♦ Un des arguments classiques des tenants du Padamalgam face au terrorisme islamiste consiste à répéter en boucle, pour rassurer les bisounours européens, que « l’immense majorité des musulmans est pacifique ».

    Cette affirmation est malheureusement dénuée de toute portée pratique car elle ignore les réalités de l’histoire. En effet, l’histoire est faite par les minorités agissantes et non pas par les majorités, comme le montrent de nombreux exemples.

    Les révolutions du XXe siècle ont été le fait des minorités

    On estime qu’il y avait en 1917 de 150.000 à 200.000 communistes en Russie, à comparer à une population de 175 millions en 1914. Cela n’a pas empêché les communistes de prendre le pouvoir par la violence, de conquérir le pays ainsi qu’une bonne partie de l’Europe après 1945 et de gouverner pendant 70 ans.

    En 1922, 26.000 chemises noires « marchent » sur Rome, épisode tragi-comique qui va cependant conduire à la nomination de Mussolini comme chef du gouvernement. A cette époque l’Italie comprend un peu plus de 38 millions d’habitants (1). Les fascistes vont cependant diriger sans partage l’Italie jusqu’en 1943.

    En 1933 le parti national-socialiste de Hitler revendiquait 850.000 membres (2), pour une population totale de 65 millions d’Allemands (3). Cela n’a pas empêché les nazis d’imposer leur pouvoir absolu à l’Allemagne et de se tailler par la guerre un empire en Europe qui durera 5 années.

    Et en Algérie aussi

    En 1954, au moment du déclenchement de la Toussaint Rouge, lorsque le jeune FLN organise pour la première fois une trentaine d’attentats, la population de l’Algérie comprend 9,37 millions d’habitants dont 8,5 millions de musulmans (4). Les terroristes, qui frappent aussi des musulmans, ne sont qu’une poignée. Cela n’a pas empêché le FLN d’obtenir l’indépendance de l’Algérie en 1962 et d’imposer un régime qui dure encore aujourd’hui.

    On pourrait multiplier les exemples à l’infini. Tous les bouleversements politiques, indépendantistes, révolutionnaires ou religieux sont le fait de minorités décidées et non pas de majorités. Car les majorités finissent toujours par se rallier ou se soumettre aux minorités.

    Par construction les majorités sont en effet informes et malléables, car elles se composent d’une agrégation de courants divers qui se neutralisent réciproquement.

    La démocratie représentative ne protège pas contre la dictature des minorités

    On objectera que la situation serait différente en démocratie, où les majorités gouverneraient. Mais rien n’est moins sûr, a fortiori dans le cadre de la post-démocratie contemporaine. Les opinions sont en effet susceptibles d’être modifiées par la propagande mais aussi par la ruse et par la violence.

    Edward Bernays, dans un livre célèbre, Propaganda (5), explique ainsi comment le gouvernement américain a utilisé la propagande pour modifier le sentiment majoritairement isolationniste de la population américaine, et justifier l’entrée en guerre des Etats-Unis en 1917 contre les empires centraux (6).

    Comme le montre aussi l’exemple français, le régime parlementaire est en apparence démocratique mais il finit par déboucher sur le régime des partis, qui n’est plus forcément en phase avec l’opinion majoritaire.

    Enfin, une assemblée peut être tyrannisée par une minorité : c’est bien ce qui s’est passé lors de la Révolution Française où les « clubs » – c’est-à-dire des groupuscules radicaux extérieurs à l’Assemblée – imposaient leur loi aux parlementaires, terrorisés par la perspective de se retrouver sur l’échafaud.

    En post-démocratie, les minorités gouvernent et les majorités se soumettent

    La post-démocratie contemporaine est même justement le régime où les minorités imposent leur projet et leurs intérêts à la majorité de la population. Et nous vivons dans ce régime.

    En Europe occidentale, la « construction européenne » a été imposée par la propagande et par la ruse à une majorité rétive. En France, le projet de constitution européenne, bien que rejeté par référendum en 2005, a été imposé sous forme du Traité de Lisbonne, ratifié par le Parlement en 2008. Ailleurs on a fait revoter les électeurs jusqu’à ce qu’ils approuvent le projet présenté par l’oligarchie…

    De même tous les sondages portant sur les questions « sociétales » ou migratoires montrent que la majorité de la population affirme des positions qui vont à l’encontre de la politique conduite par les gouvernements, qui consiste justement à ne se préoccuper que des revendications minoritaires.

    Bref, comme nous le savons depuis les Grecs, la démocratie représentative ne protège en rien contre la tyrannie des minorités (7).

    Le terrorisme vise à soumettre les majorités par la violence

    Pour en revenir à la menace djihadiste, le propre du terrorisme est de sidérer, par la terreur, la population visée. Son objectif est donc d’abord politique et moral, et non pas guerrier. Mais au cas d’espèce la cible est double : la population européenne, bien sûr, mais aussi la population musulmane.

    Les médias de propagande nous serinent en effet qu’au plan mondial la majorité des victimes du djihadisme seraient des musulmans, mais cela ne doit pas nous rassurer, bien au contraire : d’abord parce que la majorité des victimes en Europe n’est pas musulmane ; ensuite parce que le djihadisme a aussi pour but de soumettre les musulmans en Europe, tout comme le FLN visait à imposer sa ligne révolutionnaire et sanglante aux musulmans d’Algérie.

    Et force est de constater que ce projet semble en marche.

    La soumission des musulmans d’Europe

    Non seulement les terroristes sont comme des poissons dans l’eau dans les banlieues de l’immigration ; non seulement on ne compte pas les tweets provocateurs en leur faveur émis par les « jeunes » ; mais on n’a pas bien vu les musulmans d’Europe se désolidariser clairement des djihadistes.

    Car prétendre, comme M. Boubakeur, que les terroristes « ne peuvent se réclamer de l’islam » ne répond pas à la question.

    En France, lors des grandes marches de janvier 2015, on n’a pas vu non plus beaucoup de « barbus » et de femmes voilées dans les cortèges. Et ceux qui déposent des bougies en mémoire des victimes du terrorisme ou fixent un drapeau tricolore à leurs fenêtres sont rarement des musulmans (8). Comme ceux qui conspuent les minutes de silence sont rarement des juifs, des orthodoxes ou des chrétiens.

    Affirmer, comme le font les médias de propagande, que les terroristes ne sont qu’une minorité ne doit donc pas nous rassurer.

    Les majorités en post-démocratie sont toujours silencieuses car réduites au silence ou à l’abstention par les oligarques. Et les minorités djihadistes sont déjà en train de préparer au surplus leur future Soumission.

    Michel Geoffroy26/04/2016

    Notes :

    1. Données de 1920.
    2. Les Collections de l’Histoire, n° 18 de janvier.
    3. Recensement de juin 1933.
    4. Annales de géographie, n° 347 de 1956.
    5. Ed.Bernays, Propaganda, Zones, La Découverte 2007.
    6. Laquelle entrée en guerre aura au demeurant des conséquences historiques incalculables en Europe.
    7. Comme le montre l’exemple suisse, la démocratie participative est sans doute plus solide.
    8. Une situation bien différente de ce qui s’est passé aux Etats-Unis après le 11 septembre 2001 où les musulmans américains tenaient au contraire à manifester bruyamment leurs sentiments patriotiques.

    http://www.polemia.com/face-au-djihadisme-les-tenants-du-padamalgam-nous-enfument/

  • La Bavière contre la suppression des visas pour les Turcs

    A l’approche de la suppression des visas pour les près de 80 millions de citoyens turcs, le ministre président de Bavière exprime ouvertement ses inquiétudes. Selon des propos rapportés par le journal Die Welt, Horst Seehofer, qui est aussi président de la CSU, l’allié bavarois du parti CDU d’Angela Merkel, craint que la levée des visas ne conduise à importer en Allemagne les troubles internes de la Turquie. Car la Turquie poursuit ses dures répressions contre sa minorité kurde, et une partie des populations civiles bombardées par les forces d’Erdogan pourrait être tentée par l’émigration.

    Seehofer a également critiqué l’annonce de l’accélération des négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE car, a-t-il expliqué, cela fait croire à Ankara que l’Allemagne et les autres nations européennes veulent de la Turquie dans l’UE.« Nous, à la CSU, nous n’en voulons pas », a précisé le leader bavarois.

    Dans ce contexte, les déclarations du ministre des Affaires étrangères polonais, Witold Waszczykowski, la semaine dernière à Ankara, ont de quoi surprendre : « Nous voulons voir la Turquie dans un avenir proche comme membre de l’Union européenne », a annoncé le ministre, qui a aussi exprimé le soutien de son pays à la suppression des visas. Même s’il s’agit probablement pour la Pologne d’obtenir le soutien des Turcs et des Américains pour des bases militaires de l’OTAN en Europe centrale pour se protéger contre la Russie, on ne s’attendait pas à de telles déclarations de la part d’un pays qui s’oppose, avec le groupe de Visegrad, à l’immigration de masse et à l’islamisation de l’Europe.

    Et ce d’autant plus que la Turquie est en train d’élaborer une nouvelle Constitution que le président du parlement d’Ankara a déclarée mardi vouloir être islamique et non plus laïque. « Nous sommes un pays musulman, c’est pourquoi il nous faut une constitution religieuse », a déclaré Ismail Khraman, de l’AKP, le parti du président Erdogan. Pour le secrétaire général de la CSU bavaroise, Andreas Scheuer, l’adoption par la Turquie d’une constitution islamique reviendra pour elle à claquer la porte de l’Europe. Espérons qu’il ne se trompe pas.

    Olivier Bault

     Article paru dans Présent n° 8598 daté du 29 avril 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Afrique du Sud : 400 000 Blancs vivent dans des bidonvilles

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Selon un récent article du Daily Mail, 10 % de la population blanche vit aujourd’hui dans la pauvreté, dans 80 bidonvilles, souvent sans eau courante, électricité, ni accès aux soins. Beaucoup sont sans emploi. Leur nombre a énormément augmenté depuis l’abolition de l’apartheid, où « politique de développement séparé », en 1994. C’est le résultat de la politique gouvernementale de « discrimination positive » en défaveur des Blancs des classes populaires. Les entreprises qui n’engagent pas assez de non‑Blancs sont pénalisées.

    Manifestement, l’Afrique du Sud n’en a pas fini avec la « discrimination ». Le ministre sud‑africain des Sports a menacé, lundi, d’annuler la candidature de la Fédération de rugby à l’organisation de la Coupe du monde 2023. La raison ? L’équipe n’a pas atteint l’objectif de « mixité » raciale. Peu importe donc la qualité des sportifs. Sous la pression du gouvernement, l’équipe devra donc inclure au moins sept joueurs « non blancs » parmi les 31 sélectionnés pour le Mondial 2015, avec objectif de 50 % de joueurs non-blancs d’ici à 2019.

    http://fr.novopress.info/200711/afrique-du-sud-400-000-blancs-vivent-bidonvilles/

  • Le remède suisse – Antigone chez les Helvètes, d’Oskar Freysinger

    Ex: http://www.lesobservateurs.ch
    4245636773.jpgOui, Oskar Freysinger idéalise le pays qui a accueilli son père, immigré autrichien, dit Slobodan Despot dans son avant-propos d'éditeur du dernier livre d'Oskar Freysinger.Ce que je crois, c'est que les lois non écrites sont très présentes dans l'imaginaire collectif des Suisses, écrit Eric Werner dans la post-face.

    Tous deux, aussi bien Slobodan Despot qu'Eric Werner, s'accordent au fond pour dire qu'Oskar Freysinger dit trop de bien de la Suisse, parce que la Suisse telle qu'il la voit ne serait pas réelle. Mais ils ajoutent que cela les change de ceux qui en disent du mal ou la déconstruise, indéfiniment...

    Oskar Freysinger voit en la Suisse un modèle métaphysique: elle recycle les imperfections dans un mouvement d'ensemble capable de produire un espace-temps sensé, qui croît et qui sert l'humain. C'est en lisant Le temps d'Antigone, l'essai d'Eric Werner, que cette idée génératrice de la Suisse est apparue à Oskar Freysinger et lui a inspiré le sien.

    En Suisse, on sait que l'homme est imparfait, qu'il faut le prendre tel qu'il est et non pas tel que l'on voudrait qu'il soit. En Suisse, on transpose l'essence dans l'existence, c'est-à-dire qu'on découvre en soi les lois immuables qui s'y trouvent, les lois non écrites, qui sont le contraire des lois humaines inspirées par l'hybris.

    Un de ces lois non écrites, dikè, qu'Antigone oppose à Créon, est qu'il faut enterrer les cadavres: Ce n'est que lorsqu'on les libère définitivement de leur enveloppe charnelle par la mise en terre que les morts trouvent le repos et que les vivants sont apaisés[...]. Or, la Suisse est précisément l'endroit où les cadavres sont rapidement mis sous terre, de quelques natures qu'ils soient.

    Les Suisses ont en effet appris de l'histoire et continuent d'en apprendre: Ils ont compris qu'après un conflit, il faut faire cesser le chenit (terme suisse qualifiant le désordre) le plus vite possible et enterrer les cadavres du passé pour se donner un futur. Ce sens des réalités leur vient de leur proximité avec la nature, dont ils ont su dès l'origine se faire une alliée.

    Ainsi les lois suisses viennent du terrain, restent proches du terrain et sont au service du terrain: elles sont d'autant plus respectées par les Suisses que soit elles sont agréées par eux, soit elles émanent de leur volonté. En quelque sorte elles concilient les contraires: Antigone exerce le rôle de Créon en restant Antigone!

    Sont caractéristiques de ce pragmatisme et de l'exception suisse:

    - le fédéralisme: S'étant donné le temps d'observer la nature, vivant près d'elle, ils s'inspirèrent de l'harmonie qui la caractérise, soignèrent le fédéralisme, trouvèrent un compromis acceptable entre le collectif et l'individu, dont l'un est le reflet de l'autre, comme l'arbre est le reflet de la forêt.

    - la neutralité: La Suisse, le pays où les cadavres sont enterrés au plus vite, s'est dès lors [depuis que l'idée de neutralité perpétuelle et armée s'est ancrée dans l'esprit suisse] engagée par ses bons offices à évacuer les cadavres des autres et, à travers la Croix-Rouge, à soigner les blessés pour diminuer le nombre de morts.

    - la résistance à créer un homme nouveau: L'homme ne devait pas être "nouveau", ne devait pas changer et devenir un autre, il lui suffisait de devenir lui-même au-delà de son ego, de sa soif de pouvoir, de son désir de s'approprier le monde, de ses angoisses.

    - le refus de vouloir sauver le monde à partir d'une théorie ou d'une idéologie, qu'elle soit égalitariste et collectiviste ou élitaireLes Suisses préfèrent partir du concret, de la réalité. Ce n'est pas le discours qui fonde leur réalité, c'est la réalité qui leur parle d'une manière mystérieuse.

    - la liberté de la Suisse: Sa liberté ne consiste pas à faire ce qu'elle veut, mais à faire ce qui est juste, à vouloir ce qui est juste. Or ce qui est juste ne provient pas de l'obéissance à un Dieu imposé, ce n'est pas dicté ou imposé à l'homme par un dogme, c'est Zeus en lui qui le lui révèle, son moi profond.

    - la séparation des pouvoirs: les horlogers suisses ont d'abord inventé la double séparation des pouvoirs, verticale et horizontale, symbolisée par les deux branches d'une croix suisse parfaitement symétrique: pouvoir législatif, juridique et exécutif pour la barre horizontale, communes, cantons et Confédération pour ce qui est de la barre verticale, cette verticalité symbolisant l'histoire dans laquelle les collectivités et leur territoire plongent leurs racines.

    - la subsidiarité, qui, avec le fédéralisme, garantit l'équilibre entre le centre et la périphérie tout en maintenant un esprit de solidarité par le soutien de l'entité supérieure à l'entité inférieure, lorsque c'est nécessaire, mais sans que les prérogatives mutuelles ne soient remises en question.

    - le système bicaméral, qui maintient ce système fédéraliste et subsidiaire: Chaque canton, quelle que soit sa grandeur, possède le même nombre de représentants au Conseil des Etats. [...] Et cela est accepté par la société civile, parce que ça fonctionne et que ça maintient les équilibres entre la Suisse urbaine et la Suisse des campagnes, entre le centre et la périphérie, la plaine et la montagne. En Suisse, la différence est considérée comme un garant de la diversité et non comme une injustice.

    - le Conseil fédéral, gouvernement collégial constitué de sept ministres représentant les sensibilités majeures du pays: Ainsi toute prise d'otage, même temporaire, de la totalité du pouvoir par un seul courant devient impossible. Les ministres, ne pouvant exercer un pouvoir absolu, sont contraints de s'entendre entre eux, de trouver des compromis, de maintenir les équilibres.

    - le référendum, pouvoir d'arbitrage du peuple, et l'initiative populaire , pouvoir de proposition du peuple, qui sont des correctifs à la mécanique.

    Le modèle suisse, qu'Oskar Freysinger qualifie de métaphysique, est une mécanique qui a fait ses preuves, mais qui suppose de ne pas être malmenée pour bien fonctionner: Une roue qui tournerait trop vite ou dans le mauvais sens déséquilibrerait le mécanisme et menacerait l'équilibre du système. Voilà pourquoi, paradoxalement, l'un des plus ardents défenseurs du système, Christophe Blocher, en fut éjecté après une législature, car il affolait les rouages et représentait donc un corps étranger à son fonctionnement.

    Cette mécanique de précision n'est donc pas à l'abri de dangers tels que:

    - le monde virtuel, qui représente une fuite devant le réel

    - la déconstruction du langage et de la culture, qui se traduisent par la perte du sens critique, indispensable pour que le citoyen puisse jouer son rôle de haute surveillance, de contrôle et d'opposition

    - une vision du monde, qui s'opposerait aux principes fondateurs de la Suisse

    - le voisinage d'une Union européenne, qui, elle, n'a jamais vraiment enterré ses cadavres et qui est saisie par l'hybris

    - la non-intégration dans cette mécanique qui est vie, donc mouvement, des éléments fluctuants du réel, qui ne peuvent être humanisés que par l'application des lois d'Antigone au quotidien.

    Ce qui fait l'exception suisse, ce n'est donc pas tel ou tel rouage de cette mécanique bien réelle, si une métaphysique la sous-tend, mais son ensemble, qui est compliqué et singulier, et qui fonctionne mieux que bien d'autres, s'il n'est pas parfait, la preuve étant d'ailleurs qu'il est vulnérable, comme toute oeuvre humaine...

    Francis Richard

    Le remède suisse - Antigone chez les Helvètes, Oskar Freysinger, 96 pages, Xenia 

    suisseCH-98845998.jpg

    Livres précédents:

    Le nez dans le soleil Editions de la Matze (2009)

    Antifa Tatamis (2011)

    Garce de vie Editions Attinger (2012)

    De la frontière Xenia (2013)

    Dédicaces le 29 avril 2016 de 17:00 à 18:30 à la Librairie Payot de Sion

    Publication commune Lesobservateurs.ch et Le blog de Francis Richard

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/04/27/le-remede-suisse-antigone-chez-les-helvetes-d-oskar-freysinger.html

  • Le coût de l’immigration irrégulière en France en 2015 supérieur au budget 2016 de la Santé

    Le coût de l’immigration irrégulière en France représenterait 1,38 milliards d’euros selon Jean-Paul Gourevitch, spécialiste des migrations à qui l’association Contribuables Associés a confié la rédaction d’un rapport. Cemontant est supérieur au budget alloué en 2016 par l’État au ministère de la Santé (1,251 milliard) . C’est le double du budget consacré au sport et à la vie associative ( 617 millions d’euros).

    Ce rapport cinglant (disponible ici en intégralité), qui épingle la gestion de l’immigration par la France, est la 34ème étude de l’association ; une étude qui dresse un panorama complet de l’évolution des flux migratoires en 2015 en Europe.

    Source Breizh-info

    http://www.contre-info.com/le-cout-de-limmigration-irreguliere-en-france-en-2015-superieur-au-budget-2016-de-la-sante

  • Un prophète


    Jean Raspail, un prophète, a donné un entretien émouvant dans le cadre du colloque de l'Institut Iliade​ du 9 avril dernier.
    Pour lui, l'avenir s'annonce très sombre si les peuples européens ne se réveillent pas violemment.
    Dans cet entretien, il salue particulièrement la mémoire de Jean Cau et constate que la Droite est morte car "elle n'est pas dicible".
    Voici un constat qui rejoint le nôtre :
    "Il y a bien longtemps que la droite a perdue la bataille culturelle pour de bon.
    Sidérée par les attaques sur sa "xénophobie", son "antisémitisme" ou sa "réhabilitation du vichysme", la droite est morte depuis 68 et ne signifie rien d'autre pour des jeunes générations que la sécurité, le capitalisme et un peu plus de dureté sur la question migratoire."
    Pour mémoire, sur Jean Cau : http://www.ventscontraires.fr/2016/01/le-texte-entretiens-souvenirs-avec-jean.html

  • Hofer en tête en Autriche : un vote identitaire contre l’invasion migratoire

    Minute-27-avril-2016-Couv.jpegSi Norbert Hofer (FPÖ) est arrivé largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle en Autriche, c’est que l’invasion migratoire est la préoccupation principale des Autrichiens. C’est ce qu’explique l’hebdomadaire Minute dans une longue analyse du scrutin, qui montre également les limites de la comparaison entre le FPÖ et le Front national et mérite d’être lue dans son intégralité. Nous n’en publions ici que ce bref extrait.

    En 2015, un million de migrants sont passés par là !

    « Pourquoi les Autrichiens ont-ils été plus d’un tiers à voter soudain pour le candidat du FPÖ ? En termes politologiques, quel a été le déterminant de leur vote ? Pas l’Union européenne. Encore moins la crise économique dans un pays où les effets de la crise sont amortis et où le taux de chômage (lorsqu’il est calculé sur les mêmes bases dans toute l’Union européenne), s’élève à 5,8 %, soit moitié moins qu’en France et 3e meilleur taux de toute l’UE, où le chômage (calculé par Eurostat en février 2016) va de 4,5 % en Allemagne à 24,5 % en Grèce.

    « Plus d’un tiers des Autrichiens – et encore plus parmi les jeunes électeurs, dans un pays où l’on peut voter à partir de 16 ans – a voté pour le candidat du Parti de la liberté pour la raison principale que l’Autriche a accueilli, l’an dernier, 90 000 migrants, ce qui, vu de France, peut paraître raisonnable, mais qui n’est pas considéré comme tel dans un pays de 8,5 millions d’habitants – qui, en prime, a vu transiter l’an dernier un million de migrants !

    « C’est ce qu’exprimait le 20 avril, à quatre jours du scrutin, le jeune ministre conservateur de l’Intégration et des Affaires européennes – il n’a pas trente ans – Sebastian Kurz dans les colonnes du quotidien italien Il Messaggero, dans le but de faire comprendre l’urgence de contrôler sérieusement les passages aux frontières extérieures de l’Union : “L’Autriche a accueilli 90 000 migrants l’année dernière, plus de 1 % de la population. Ce qui, rapporté à la population de l’Italie, signifierait plus de 600 000 personnes…“

    Un scrutin clairement axé sur l’immigration

    « Comme le relève Le Monde en des termes choisis, le scrutin a eu lieu “dans le contexte orageux de l’arrivée des migrants“ : “Le président sortant SPÖ, Heinz Fischer, n’a sans doute pas servi son camp, en affirmant que le nombre des demandes d’asile déposées en Autriche en 2015 “avait dépassé celui des naissances“, alimentant la peur de la population, face à des flux que la politique du gouvernement semble incapable de maîtriser, faute de consensus européen.“ Etrange aveu, de la part du Monde, que certaines informations devraient être cachées lorsqu’un scrutin important est en vue… […]

    « Si le FPÖ est passé de 20,1 % aux dernières élections législatives, en 2013, à 36,4 % au premier tour de la présidentielle deux ans et demi plus tard, c’est queNorbert Hofer et le FPÖ ont fait campagne sur la question de l’immigration. Un sondage réalisé l’an dernier à la sortie des urnes dans une région du nord du pays est particulièrement éclairant. A la question : “Quels sont les sujets dont vous avez particulièrement discuté avant d’aller voter ?“, 85 % des électeurs du FPÖ ont déclaré avoir parlé “des réfugiés et des demandeurs d’asile“, et le sujet arrivait en tête chez tous les électeurs de tous les partis. Avant l’insécurité. Avant le pouvoir d’achat. Avant même la santé, sujet pourtant majeur dans les conversations. »

    http://fr.novopress.info/200668/hofer-en-tete-en-autriche-vote-identitaire-contre-linvasion-migratoire/

  • Photographie truquée sur les migrants : de la pure propagande médiatique

    Photo de migrants :

    photo_migrants_truquee.jpg

    Cette photographie d’un naufrage en mer Egée qui remonte à décembre 2015 circule depuis des mois sur les réseaux sociaux. Un syndicat de police italien, Co.I.S.P, vient de lancer un pavé dans la mare de l’humanitarisme « radical chic ». Pour les policiers, il s’agit ni plus ni moins que d’une vulgaire « propagande médiatique ».

    En effet, pour qui regarde la photographie attentivement, sans des yeux larmoyants, il apparaît clairement qu’un des migrants est debout dans l’eau, pendant que les autres fatiguent à rester à flots.

    Aussi de trois choses l’une se demandent les policiers :

    • soit cet homme est haut de 7 mètres,
    • soit il marche sur l’eau comme Moïse,
    • soit on se moque de nous.

    A votre avis ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.ilgiornale.it/news/cronache/foto-dimostra-sui-migranti-ci-prendono-giro-bufera-sul-coisp-1251048.html

    http://www.medias-presse.info/photographie-truquee-sur-les-migrants-de-la-pure-propagande-mediatique/53496