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Foutons les dehors !!
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Attaquer, oui, mais en tête ! par Gabriele ADINOLFI
Que l’Institut Iliade non seulement existe, mais qu’il soit en unissant dynamisme et qualité, réussissant à impliquer des effectifs importants (ainsi, plus de mille participants payants lors d’une réunion tenue en avril 2016), est l’une des meilleures nouvelles de ces dernières années.
Une nouvelle tellement bonne que, dans l’édification du projet européen tripartite (think-tank,existentialisme militant et écomomie) que j’anime, j’ai tenu à affirmer immédiatement une volonté de collaborer de manière organique et dans le respect mutuel.
Iliade a, entre autres qualités, celle de concentrer les meilleures énergies et de leur donner une visibilité meilleure que celle qu’elles ont dans leur pays d’origine ou en Europe, comme c’est le cas pour l’Autrichien Philip Stein, dont le texte, résumé dans Il Primato nazionale, qui exprime une thèse que nous pourrions qualifier de « rupture », mais recoupant pleinement la ligne d’Iliade, sera publié en France dans la revueKrisis, très proche d’Alain de Benoist.
Thèse de rupture, disions-nous, que l’on pourrait résumer de la façon suivante : « C’en est assez des nationalismes du passé; construisons l’Europe ! »
Je partage la critique que Stein fait aux souverainistes nationaux-populistes et qui recoupe parfaitement celle qu’a présenté, lors de la dernière rencontre de Polaris, le 23 mars 2016 à Milan, Gérard Dussouy, auteur de Fonder l’État européen contre Bruxelles, édité en Italie par Controcorrente. Non seulement je partage cette critique, mais, en somme, je pousse un soupir de soulagement en remarquant que tout ce que j’affirme depuis 2002, souvent seul contre ceux qui m’entourent, est en train de s’imposer.
Et si c’est en train de s’imposer, c’est pour trois raisons :
La première provient du fait qu’une certaine Foi est toujours présente, je dirais une Fidélité à l’Idée qui enflamma les peuples et les guerriers durant un court siècle, une Idée qui s’appela Europe et ne pourra jamais s’appeller autrement.
La seconde est que les forces réactionnaires, comme à chaque fois, manquent de hauteur et de perspectives, parce que l’Histoire nous enseigne que l’on ne revient jamais en arrière et que chaque tentative pour la bloquer se révèle un accélérateur de la décadence. Il ne faut pas chercher à la bloquer, mais à en changer le signe. Telle est la leçon qui revient régulièrement depuis l’époque de César, alors que chaque Sainte-Alliance, quant à elle, lorsqu’elle veut restaurer le passé, ne sert en fait que les intérêts des Rothschild. De sorte que, qui joue contre l’UE – que personne n’entend ici défendre -, comme ceux qui s’opposaient à Napoléon, ou comme la droite anti-mussolinienne, se retrouve immanquablement à chanter sur une partition du CFR dans le chœur des banques anglo-américaines.
Enfin, il existe un troisième motif, souvent non avoué, parce que l’on craint de plus en plus d’utiliser des termes faisant référence aux racines, qui veut que, dans les rapports démographiques actuels et avec les continuelles menaces biologiques, on ne peut trouver la force de faire face que si on la recherche dans la profondeur des temps, dans les origines, dans nos racines, soit autant dans le Mythe que dans la Préhistoire. Une force ancestrale que l’on retrouve, dès lors que le passé renoue avec l’avenir.
Cela signifie-t-il qu’il faille en finir avec l’esprit du Risorgimento, avec l’italianité, avec la Nation ? Absolument pas, puisque la démarche proposée est au contraire la seule qui, à mon avis, soit en mesure de faire renaître ces valeurs, assassinées il y a soixante-treize ans. La Nation n’est pas seulement le fait de frontières, et moins encore d’institutions, qu’elle précède largement. L’italianité est identifiable au moins huit siècles avant l’Unité et, si l’on va plus au fond, on ne réussit pas à définir exactement quand elle a commencé à se manifester, exprimant une version gréco-méditerranéenne du proto-germanisme latin et une interprétation de la Romanité qui fut, et est, synonyme de Ius, d’Imperium, de Civilisation et d’Europe.
Dans l’ère des satellites, qui ont produit l’effet « temps zéro », qui ont imposé un nouveau Nomos à la géopolitique dont il a bouleversé les canons, dans l’ère de la mondialisation et de l’explosion démographique, il est impossible de concevoir une quelconque souveraineté sans adosser celle-ci à un espace vital, à une force démographique coordonnée dans le cadre d’une unité militaire, monétaire et fiscale, mais aussi et surtout à la maîtrise d’une gestion satellitaire. Par conséquent, si l’on doit parler de souveraineté, on doit aussi lui donner des fondements solides, ce qui n’est possible que dans une dimension européenne.
Le point à souligner est que, en construisant l’Europe, nous devrons prendre garde d’abandonner les préjugés démocratiques du fédéralisme et du consensus intergouvernemental. On n’est pas ici dans un système d’équivalence généralisée : le poids historique et matériel de chaque composante n’est pas le même que celui d’une autre. Par conséquent, nous devrons être conscients que, pour révolutionner l’Europe dans le bon sens, il faudra le faire en s’appuyant sur les vocations éternelles et stables. La construction de l’Europe autour de l’axe romano-germanique, où la conscience de Rome (celle de l’Antiquité, et non celle d’aujourd’hui) apporte la lumière à la vitalité germanique, demeure, encore et toujours, notre presque unique espoir de survivance. Un axe qui prend sa source dans cette philosophie grecque que la Romanité s’est appropriée. Et qui doit s’affirmer sous une forme qui, ni fédérale, ni du XIXe siècle, se situe pleinement dans la logique de l’Imperium, laquelle sous-tend une unité indestructible, en même temps que la pleine autonomie des peuples, en dehors de toute référence à des institutions formelles. C’est ainsi que, dans la conception impériale, l’indépendance des individus, des communautés, des régions et des nations en vient à être exaltée. À tout ceci, j’ai dédié un essai de la collection « Orientations et Recherche », appelé justementL’Europe, qui répond de manière systématique aux questions qui se posent concernant la façon de bâtir un programme et d’agir en conséquence, ainsi que le premier des Cahiers Lansquenets, justement appelé « Imperium », traduit en quatre langues.
Enfin, il n’y a que l’Europe impériale qui nous restituera aussi l’Italie.
Pour toutes ces raisons, en m’appuyant sur les directions majeures définies par Stein et Dussouy, et avant eux par Drieu La Rochelle, Adriano Romualdi et Jean Thiriart, j’invite à cesser d’attaquer l’Allemagne et de la confondre avec l’ensemble de l’UE. Elle est, en effet, la seule puissance qui puisse nous permettre de réaffirmer notre droit à survivre et, pourquoi pas, à dominer, et représente également le seul point sur lequel pourrait s’appuyer un levier visant à nous émanciper de la tutelle des États-Unis, bien plus que la Russie, laquelle, tout au plus, cherche à se débrouiller dans le chaos actuel, et qu’il faudrait convaincre, voire même contraindre, d’être un prolongement de l’Europe plutôt que le garant de l’équilibre d’un nouveau Yalta.
Cela ne signifie pas que nous ne devions renoncer à combattre la technocratie de l’UE, avec cette excuse que – ne le répétez pas à Salvini et à la Meloni – l’on pourrait trouver bien pire; au contraire, cela doit nous conduire à nous enrôler vraiment pour la ligne de front, à révolutionner l’Europe et à chasser ceux qui, tels les « prétendants » de l’Odyssée, banquettent à proximité d’Aix-la-Chapelle. Étant précisé que, ce n’est pas en lui disant « Non » que l’on combat ce que l’on refuse, mais en affirmant autre chose, non pas, notons-le bien, comme une alternative éventuelle, mais comme la seule solution possible. Et laisser ce soin à d’autres reviendrait à leur laisser le choix de la réaction.
D’où mon choix sur le plan symbolique : alors que presque tous mettaient un « X » sur le drapeau de l’UE, comme on le fait pour un panneau « Défense de fumer », j’ai fait dessiner un autre drapeau, où les étoiles forment une croix celtique.
Pour attaquer, oui, mais en tête !
Gabriele Adinolfi
• D’abord mis en ligne sur le site personnel de l’auteur (http://fr.gabrieleadinolfi.eu), le 26 avril 2016.
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Mobilisation contre la profanation de Verdun par le rappeur antiblanc BlackM
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Les réfugiés chrétiens persécutés par les musulmans : cela se passe en Europe !
Persécutés au Moyen-Orient, les chrétiens orientaux qui fuient les massacres, les réductions à l’esclavage et les égorgements des fous d’Allah, des combattants au drapeau noir ne trouvent pas la paix en Europe ! Ils se retrouvent soumis aux persécutions, moins meurtrières, mais persécutions tout de même, dans les fameux camps de « réfugiés » contrôlés et habités en majorité par les mahométans. !
Insultes, vexations, coups, menaces de mort, 90% des réfugiés chrétiens y sont confrontés dans les centres d’hébergement et d’accueil, selon une enquête menée en Allemagne par l’ONG Open Doors Germany qui a présenté un rapport à Berlin au titre significatif :« Persécutions des chrétiens en Allemagne ». Les différentes associations de défense des droits humains parlent de 40 000 réfugiés chrétiens soumis aux persécutions dans les camps. Selon le responsable de l’association, Markus Rode, ces chiffres ne sont que « la pointe émergée de l’iceberg ».
Parmi les épisodes cités, celui des chrétiens qui ont refusé de prendre part à des prières collectives imposées par les musulmans dans les centres ont été menacés. Selon Paulus Kurt du Centre allemand pour les Chrétiens d’Orient, certaines familles ont décidé de repartir dans leur pays d’origine à cause de ces persécutions actives en Europe. Et d’après, Karl Hafen ,de l’International Society for Human Rights, des chrétiens qui ont fui l’État islamique à Raqqa, ont retrouvé leurs persécuteurs syriens à l’intérieur des camps de réfugiés.
Malheureusement, à cause des autorités politiques et religieuses qui veulent imposer aux peuples européens le Grand Remplacement au nom d’une nouvelle humanité plus belle, plus bonne, plus tout, ces persécutions systématiques de chrétiens par les musulmans, non plus en terre d’Islam mais en terre chrétienne, sont trop souvent enterrées.
Pourtant c’est une véritable persécution des chrétiens orientaux qui existe bel et bien dans les camps de réfugiés en Allemagne et certainement dans tous les centre d’accueil disséminés dans toute l’Europe. Mais le dire, l’écrire, en parler, c’est porter atteinte au bien-fondé de l’idéologie multi-culturaliste, multi-religieuse, multi-ethnique défendue par tous les humanitaristes et philanthropes modernes, pape François en tête…
Les utopies sont terribles !
Francesca de Villasmundo
http://www.occhidellaguerra.it/germania-profughi-cristiani-perseguitati-nei-campi/
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« Gloire à Allah » sur les bus londoniens… et d’autres villes
Sous couvert de campagne humanitaire envers les réfugiés syriens, le lendemain même de l’élection de Sadiq Khan, l’association Islamic Relief, une ONG d’aide internationale, avec l’accord de la société londonienne, va placarder les flancs de 640 bus d’un énorme « Subhan Allah ». En français : Gloire à Allah. Pendant deux mois, c’est-à-dire durant toute la durée du ramadan. Aucun risque, dans ces conditions, d’échapper aux nouveaux repères…
Des bus islamisés à Londres, mais pas seulement… Manchester, Leicester, Birmingham, Bradford ne seront pas en reste.
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Général Pinard-Legry : « Il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis »
Le général Henry Pinard-Legry, interviewé par l’hebdomadaire Minute sur les attaques répétées contre les militaires français sur leur propre sol, estime qu’« il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis », et non pas comme des criminels de droit commun – quand ils ne sont pas déclarés « irresponsables au moment des faits » comme l’islamiste qui avait tenté d’égorger un militaire à La Défense.
Extrait de cet entretien avec le président de l’Association de soutien à l’armée française (Asaf) :
« Minute » : Les agressions contre des militaires se multiplient. Quelle est votre réaction ?
Général Henri Pinard-Legry : Sur le fond, c’est logique qu’on s’en prenne aux soldats de l’opération Sentinelle. Certains partent en Syrie et en Irak, d’autres s’attaquent à des soldats français en mission sur le territoire national.
Le vrai problème est le suivant. Les agresseurs de soldats seront jugés pour coups et blessures, comme n’importe quel voyou. Pourtant, il faut les traiter comme des ennemis, puisque nous sommes en guerre. Mais, comme il n’y a pas eu de déclaration de guerre, on ne peut pas les juger dans le cadre d’un tribunal spécial comme collaborateur, par exemple. On a en face de nous un ennemi qui agit en ennemi. Il faut donc un traitement et un cadre juridique adapté.
Pour les soldats, quelle riposte est possible ?
Cette question pose le problème des conditions d’emploi des armées sur le territoire national et des limites de l’utilité de la présence des militaires. Sur le moment, c’est toujours compliqué de riposter avec un Famas au milieu d’une foule. D’où la réflexion en cours : est-ce qu’on doit utiliser les militaires comme des vigiles ? Est-ce que ce n’est pas du « gaspillage » d’utiliser les militaires comme simples supplétifs des forces de sécurité ?
Je crois, au contraire, qu’il faut identifier les domaines de compétences dans lesquelles les armées pourraient compléter le travail des forces de sécurité intérieure. C’est une question d’optimisation de la ressource.
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Face aux allogènes, la police viennoise conseille aux femmes de se teindre les cheveux en brun
Après avoir été volée et tabassée par quatre Afghans, une jeune autrichienne est allée porter plainte. C’est à cette occasion que la police lui a donné des conseils avisés.
Jugez plutôt : « Après l’attaque, ils (la police) m’ont dit que les femmes ne doivent pas être seules dans les rues après huit heures du soir. Ils m’ont donné un autre conseil, que je colore mes cheveux en noir et que je ne m’habille pas de manière aussi provocatrice ».
Plutôt que de lutter contre la délinquance allogène, c’est donc à nos femmes de changer leur comportement pour éviter les agressions.
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Allemagne : Le Congrès fondateur du parti anti-immigration décide que “l’islam n’a pas sa place en Allemagne”
Le parti “Alternative pour l’Allemagne” tenait son congrès fondateur ce week-end à Stuttgart. L’occasion pour le parti de droite nationale d’inscrire l’opposition à l’islamisation dans son programme.“L’islam ne fait pas partie de l’Allemagne”Le manifeste adopté par les 2000 congressistes présents affirme que “l’islam ne fait pas partie de l’Allemagne”. Une prise de position en forme de réponse à Angela Merkel, au plus bas dans les sondages, qui avait affirmé que “l’islam faisait partie de l’Allemagne”. Le parti entend ainsi interdire les minarets, les appels à la prière, les voiles ou encore remettre en question l’impôt qui finance les activités religieuses en Allemagne. Le parti est désormais représentés dans 8 états régionaux sur 16 et aborde les élections législatives de 2017 avec 14% des intentions de vote.“Patriotisme libre et sain”Le chef du parti, Jörg Meuthen, a présenté l’AfD dans son discours d’ouverture comme représentatif d’un “conservatisme moderne et d’un patriotisme libre et sain”, ajoutant que la culture de l’Allemagne était ancrée dans les valeurs “chrétiennes et occidentales” et non pas l’islam. Les membres du parti ont également approuvé un engagement à défendre les frontières allemandes, la sortie de l’euro ou encore le rétablissement du service militaire obligatoire. Ils ont également condamné “l’idéologie du multiculturalisme” et réaffirmé les valeurs de la famille traditionnelle comme de la culture nationale allemande. -
Déjà 1000 inscrits pour Le Rendez-Vous de Béziers de Robert Ménard
« Nous sommes déjà 1 000 inscrits au Rendez-vous de Béziers des 27, 28 et 29 mai organisé par Boulevard Voltaire et Valeurs actuelles », se réjouit Robert Ménard, parlant d’une affluence qui « confirme, s’il en était besoin, l’urgence ressentie par un nombre grandissant de patriotes et d’électeurs de droite à se retrouver et à se rassembler pour peser dans la campagne de 2017 ».
A la liste déjà publiée d’une quarantaine d’intervenants vient de s’ajouter le nom d’Oskar Freysinger, l’homme qui incarne en Suisse la résistance à l’islamisation et par ailleurs spécialiste des questions de sécurité et de formation. Oskar Freysinger, conseiller d’État, sera présent à la table ronde sur l’Europe. « Un Suisse qui parle de l’Europe ?, interroge Robert Ménard. Oui, car l’Europe ne commence pas et ne s’arrête pas à l’Union européenne, elle est un continent et une civilisation. »
Nouvel invité également, Axel Rokvam, fondateur des Veilleurs, qui vient de confirmer sa présence à la table ronde sur la famille.
Robert Ménard affirme en outre que « de nombreuses personnalités politiques seront présentes à Béziers ». Leurs noms ? « Nous les révélerons à quelques jours de l’ouverture. Préparez-vous à des surprises ! »
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Journal du Mardi 10 Mai 2016 : Terrorisme / L’Allemagne récolte la tempête