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Les attentats, la prise d'otages à Paris dans la soirée du vendredi 13 Novembre 2015, lesquels ont fait plus de 120 morts et plus d'une centaine de blessés, étalés sur plusieurs lieux d’attentats différents, est un nouveau traumatisme pour le pays, un nouveau traumatisme pour le monde occidendal.
Cet article va essayer de dévoiler voire de dénoncer l'origine du terrorisme qui vient à nouveau de frapper la France !
Le constat
Le président français F. Hollande annonce la fermeture des frontières suite aux attentats / la France est dans un état d'urgence / ceci malgré le programme Vigipirate qui avait été élevé au niveau maximum suite aux attentats de Janvier 2015.
Des refugiés des guerres qui affluent par millions en Europe en cette année 2015, essentiellement en provenance des pays du proche et moyen orient (pays en guerre).
Des frontières sont établies voire fermées dans un bon nombre des pays européens mettant en cause l’accord de Schengen.
Des pays du proche et moyen orient sont mis à feux et à sang, les uns après les autres, par divers groupes terroristes.
Des groupes terroristes qui se sont multiplié ces dernières années.... Terrorisme qui ne s'arrête plus devant nos portes !
Puis il y a la propagande des médias occidentaux pour diaboliser la Russie suivie d'un boycott prononcé de la part de l'Europe envers les Russes suite à la crise / guerre en Ukraine.
Les Questions que les grands médias occidentaux devront se poser :
Malgré le renforcement du plan Vigipirate, malgré les écoutes de la NSA (surveillance généralisé), comment se fait-il que l'état français, ses services secrets n'ont pas pu éviter ces attentats ? Existe-t-il un lien entre tous ces événements dressés dans mon constat, et si OUI quel est-il ? Comment se fait-il qu'il y a des groupes terroristes qui « fleurissent - prospèrent » durant ces dernières années au proche et moyen orient ? Qui finance voire soutient ces groupes terroristes ? Les pays occidentaux jouent-ils un double jeu en prétendant vouloir combattre les terroristes tout en les soutenant, par des "canaux secrets", notamment par l'intermédiaire des pays vassaux comme l’Arabie-Saoudite et le Qatar (les Wahhabites), assurant le financement et l’approvisionnement en armes des terroristes ? Les lois liberticides en France sont-elles adaptées pour combattre le terrorisme et ne serviront-elles pas d'autres intérêts, des intérêts de l’oligarchie financière ?
Une des revendications des terroristes à Paris avait rapidement donné l'orientation des attentats ! "Nous sommes là pour venger nos frères en Syrie" annoncent-ils.
Retour vers l'origine du "terrorisme islamique"
Depuis le terrible échec de la guerre américaine au Vietnam, les Etats Unis ont décidé à ne plus se faire piéger dans ce type de conflit et d'employer d'autres stratégies pour déstabiliser les états pour combattre leurs "ennemis" dans le monde pour rétablir soi-disant leur vision de "démocratie".
Au lieu d'affronter directement les ennemis en envoyant des soldats américains dans des zones de conflit les américains ont décide de soutenir des groupes "dits d'opposition", des groupes terroristes ! Les Etats-Unis ont ainsi ouvert la boîte de pandore.
Zbigniew Brzezinski : "Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979."
"Mais la réalité gardée secrète est tout autre : c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux « opposants du régime prosoviétique de Kaboul ». Et ce jour-là j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques." http://www.voltairenet.org/article165889.html
Remarque : Brezinski est d'origine polonaise, il déteste les Russes."
Toutes ces guerres au proche et moyen orient sont initiées par une politique du "Chaos contrôle", Chaos contrôlé par les les États-Unis et Israël (projet de balkanisation du proche et moyen orient => démantèlement des états par des guerres / des attentats / la division des états en ethnies religieuses les affaiblissent ainsi) ! Toutes ces guerres au proche et moyen orient sont également soutenues par des pays vassaux des Etats Unis ....
Mais, soixante ans après son décès, certains gouvernements ne semblent pas avoir intégré cette vérité et persistent à commettre les mêmes fautes sur la base des mêmes calculs erronés s’attendant, à chaque fois, à des résultats différents. . Il est prouvé que l’ingérence étrangère dans les affaires intérieures des États ne mène qu’à leur destruction, engendrant opportunément les crises humanitaires et le chaos, les transformant en usines de fabrication d’extrémistes et de terroristes. . C’est exactement ce qui s’est passé quand ils ont détruit l’Irak, la Libye, en Syrie, au Yemen et d’autres pays. C’est exactement ce qui se passe depuis qu’ils nous ont expédié Daech, Jabhat al-Nosra, Khorassan et d’autres encore ; le terrorisme possédant désormais un État ou un Khalifat, comme certains se plaisent à le qualifier.
Malgré cela, les mêmes gouvernements ayant enfreint la logique qui veut que les mêmes causes produisent les mêmes effets, insistent à appliquer la même recette empoisonnée en Syrie et à user des mêmes slogans mensongers, en dépit des dévastations consécutives à leur ingérence, dont l’ampleur est reconnue par tous, y compris les planificateurs. Témoin en est la dernière sortie de l’ex-premier ministre de Grande Bretagne, Tony Blair, nous avouant vingt-deux ans après l’invasion de l’Irak par les États-Unis qu’elle s’était fondée sur des « informations fausses » et mensongères.
Et nous voici, quatorze années après l’attaque terroriste sur le World Trade Center à New York, bien obligés de constater que les stratégies appliquées dans le cadre de la « Guerre contre le terrorisme » ont créé cent Ben Laden au lieu d’un, et des dizaines d’organisations ayant adopté l’idéologie d’Al-Qaïda dans plusieurs pays au lieu d’une seule en Afghanistan, le terrorisme s’étant propagé jusqu’aux pays de ses créateurs et promoteurs jusqu'à en France, jusqu'à Paris !
Une courte vidéo de 13 minutes avec Michel Collon qui évoque Zbigniew Brzeziński 2 fois dans cette vidéo.
Zbigniew Brzeziński fait partie des gens qui ont élaborée entre autres le projet américano / sioniste de la balkanisation du proche et et moyen orient ...
. Lisez Zbigniew Brzeziński [ “Le Grand Échiquier”, 1997.] Il se vante, notamment, d’avoir fait tomber l’Union Soviétique grâce aux légions islamistes d’Al-Qaïda en Afghanistan financé par les États-Unis dans les années 80. . L’Occident, en tête de liste États-Unis et Israël, a inventé le terrorisme islamique globalisé et l’instrumentalise en fonction de ses objectifs géostratégiques.
Michel Collon - L'OTAN est une association de criminels
Parce que la paix n’est pas assez capitaliste, parce que la paix contrarie les rêves de grandeur d’une élite paranoïaque dont les citoyens n’ont manifestement jamais la possibilité de se débarrasser, que ce soit ici en Occident ou en Orient, les États-Unis et Israël cherchent à précipiter le monde dans une guerre permanente et généralisée, dont la Syrie, après la Libye et avant le Liban et l’Iran, n’est que la préfiguration accablante de ce qui nous attend : un monde où l’Empire règne sur le chaos, « car il vaut mieux dominer des ruines que ne pas dominer du tout » !?!
D’un coté, le gouvernement étasunien de Barack H. Obama a transgressé ouvertement le droit international en soutenant d’une manière active et en l’armant une insurrection et une guerre civile contre le gouvernement de Bachar el-Assad en Syrie. De l’autre, ce même gouvernement étasunien fait mine de considérer illégitime l’organisation terroriste de l’État Islamique (EI), soutenue de l’extérieur par la mouvance sunnite, et déclare vouloir la “dégrader et la détruire” à l’aide de bombardements. . Si un gouvernement étranger voulait détruire un pays et le mettre en ruines, ce serait probablement la chose à faire, car c’est ce que le gouvernement étasunien a fait au cours des dernières années en soutenant les protestations contre le gouvernement syrien et en fomentant un soulèvement contre ce même gouvernement, selon le modèle des révolutions colorées que la CIA a parrainées dans plusieurs autres pays (révolution des roses en Géorgie en 2003, orange en Ukraine en 2004 et en 2014 et des tulipes au Kirghizistan en 2005, etc.). Pour cette raison, on peut dire que le gouvernement américain a facilité, directement et indirectement, la montée de l’extrémisme islamique au Proche Orient, dans l’espoir que ce dernier réussisse à renverser le régime séculier de Bachar al-Assad. http://www.mondialisation.ca/la-situation-confuse-en-syrie-face-a-letat-islamique-ei/5476863
La France a été frappé dans son cœur, à Paris, des innocentes victimes sont de nouveaux morts, …. des victimes qui allongent la longue liste des victimes qui fuyant les zones des guerres et mettant l'Europe et l'occident devant ses responsabilitées.
Il est important pour moi de dénoncer les instigateurs, les causes, qui ont permis que le terrorisme se développe dans le monde et qui risque de bientôt frapper la Russie, pays qui combat le terrorisme depuis le soutien de Al-Qaïda par les américains en Afghanistan.
« La folie c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent »,disait Einstein.
L’occident doit arrêter sa politique du pompier pyromane dont les grands médias sont coresponsables !
Bataclan : 82 morts<. Plusieurs hommes armés à visage découvert font irruption et ouvrent le feu,aux cris de "Allah Akbar", dans la salle de spectacle du Bataclan où se produit le goupe de blues américain Eagles of Death Metal. Une prise d'otages de près de trois heures.
Stade de France : 4 morts. Une première explosion se produit à 21H20 aux abords du Stade de France. Le président français François Hollande, qui assistait à un match de football France-Allemagne, est immédiatement évacué, les entrées et sorties du stade sont bouclées. Trois explosions retentissent au total autour de l'enceinte sportive. Une personne est morte, ainsi que trois terroristes.
Rue de Charonne : 18 morts. Un homme dit avoir entendu des tirs pendant "deux, trois minutes", "des rafales".
Rue Alibert : au moins 12 morts. Un peu plus au nord, une fusillade éclate à l'angle des rues Bichat et Alibert, sur la terrasse du restaurant Le Petit Cambodge.
Rue de la Fontaine au roi : au moins cinq morts. A quelques centaines de mètres du Bataclan, rue de la Fontaine au roi, la terrasse d'une pizzeria, La Casa Nostra, est visée. Cinq personnes sont abattues par plusieurs rafales d'une "mitrailleuse automatique".
Boulevard Voltaire : un mort. Une attaque a également eu lieu boulevard Voltaire, pas très loin du Bataclan. Le terroriste est mort.
Bachar Al-Assad, que des députés doivent rencontrer aujourd'hui, a déclaré :
"La France a connu hier ce que nous vivons en Syrie depuis 5 ans".
"Eagles of Death Metal défendait sur scène devant 1500 personnes son nouvel album Zipper Down («braguette baissée»). Un disque qui à en croire les membres du groupe aurait le mérite de «stopper le réchauffement climatique» et de«guérir le problème de la faim dans le monde». Parce que, comme l’explique Jesse Hughes, «il n’y a aucun souci qui ne peut être résolu en baisant un cul». Bref, un état d’esprit très poil à gratter qui n’est sûrement pas pour déplaire à Charlie Hebdo. [...]
Pour Le Point, le choix du Bataclan ne serait pas forcément une cible au hasard. La salle de concert située boulevard Voltaire, là même où les chefs d’État ont défilé le 11 janvier dernier après l’attaque de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher, serait régulièrement menacée par des groupes radicaux car ses propriétaires sont juifs et que plusieurs organisations juives ont pour habitude de s’y rassembler. Comme l’explique le site de l’hebdomadaire, des membres de Jaish al-Islam, l’Armée de l’Islam, soupçonnées de l’attentat qui a coûté la vie à une étudiante française au Caire en février 2009, voulaient ouvertement la prendre pour cible en 2011. Plusieurs sites israéliens ont ainsi rappelé qu’Eagle of Death Metal s’est produit dans l’État hébreu cet été, malgré les appels au boycott du groupe."
Plusieurs fusillades ont donc éclaté à Paris dans différents endroits de la capitale, très fréquentés un vendredi soir. Les attaques ont touché les Xe et XI arrondissements. Des explosions ont également été entendues au stade de France et une prise d’otages a dégénéré dans la salle de spectacle du Bataclan. Le dernier bilan fait état de 120 morts et plus de 200 blessés, dont 80 graves. Huit assaillants sont morts, dont sept en se faisant exploser.
Sur France Info, un jeune homme qui était au Bataclan a raconté que les assaillants ont tiré en plein dans la foule en criant “Allah Akbar”. Un autre témoin a etntendu les terrorites islamistes dire aux otages : “C’est la faute de Hollande, c’est la faute de votre président, il n’a pas à intervenir en Syrie”.
Il s’agit bien d’attaques terroristes sans précédent avec pour la première fois en France des actions kamikazes. François Hollande a décrété l’état d’urgence sur l’ensemble du territoire.
Nous sommes en guerre. Et ceux qui ont laissé se développer l’immigration et l’islamisation portent une lourde responsabilité dans ce chaos…
La Turquie n’est évidement pas étrangère à l’intensité du flux de migrants venant de ses côtes. La Grèce commence à le dénoncer timidement…
Le trafic de migrants au départ de la Turquie est une opération « organisée » qui fonctionne au vu et su de tous, a affirmé vendredi le ministre grec de la politique migratoire, Iannis Mouzalas, appelant la Turquie à y mettre fin.
Côté turc, « vous pouvez voir des images » montrant « en plein jour des villages entiers se rassembler pour voir des réfugiés être embarqués par des trafiquants dans des bateaux » à destination des îles grecques, a lancé le ministre dans une conférence de presse.« Il n’y a rien de secret », a-t-il affirmé, citant des images de la station Kanal 7 de Cesme, une localité située sur les côtes occidentales turques, en face de l’île grecque de Chios. La Turquie doit faire de preuve de « la volonté de stopper les flux », a-t-il insisté. Il s’est toutefois défendu d' »accuser » la Turquie, où le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, doit se rendre le 17 novembre pour discuter des moyens de « limiter » les passages, comme le réclame l’Union Européenne. La Grèce a exclu des patrouilles communes avec la Turquie au vu du différend bilatéral sur les limites territoriales en Egée, mais « nous demandons que Frontex (agence de surveillance des frontières externes de l’UE, ndlr) aille jusqu’aux côtes turques « , a avancé le ministre.
La Grèce s’était jusque là gardée d’épingler ouvertement l’inaction voire la complaisance de la Turquie envers l’industrie migratoire qui prospère depuis des mois sur ses côtes.
Mais Athènes, mise elle même sous pression par l’UE pour stopper les flux et prendre en charge les arrivants sur son sol, s’impatiente des lenteurs européennes à convaincre Ankara de coopérer
CHRONIQUE D'ÉRIC ZEMMOUR, publiée dans l'édition du 12 novembre 2015 du Figaro
« Un réquisitoire contre la politique d'immigration suivie depuis trente ans par la droite comme par la gauche. Un témoignage de l'intérieur du système. Implacable. » Il s'agit de Décomposition française, le dernier ouvrage de Malika Sorel-Sutter, en librairie à dater du 16 novembre. Et il s'agit surtout de la trahison des élites politiques françaises. Trahison d'une ampleur inimaginable. Qui fait frémir. Et pourrait bien finir par entraîner de la part du peuple français dans ses profondeurs, au fur et à mesure qu'il en aura pris la pleine conscience, une réaction de rejet qui, comme l'a déclaré Nicolas Dupont-Aignant, hier matin, aux journalistes de France-Inter, en balayera tous les protagonistes. Ce qui nous différencie de Zemmour ? C'est que - sans nier que la République a pu en différentes circonstances, incarner le patriotisme français - l'universalisme, le multiculturalisme, l'utopie d'un peuple hors sol et hors Histoire, sont, selon nous, l'essence même de ce régime et n'en sont pas des accidents. Mais cela est un autre débat. Lafautearousseau
Un réquisitoire contre la politique d'immigration suivie depuis trente ans par la droite comme par la gauche. Un témoignage de l'intérieur du système. Implacable.
Théorie du complot. Complotistes. On connaît la rengaine. Dès qu'un livre, un article, un propos mettent en cause les élites, politiques, économiques, artistiques, médiatiques, la réplique cingle, immédiate et imparable : « Théorie du complot. Complotiste. » L'ouvrage de Malika Sorel est une réplique à la réplique ; la preuve par neuf - à la fois témoignage et analyse - de la réalité : « L'un de nos malheurs réside dans le fait que beaucoup de nos élites ne sont pas fières de la France… Ce que j'ai observé chez nos élites est plutôt le résultat d'un cocktail de désinvolture, de cynisme, et d'indifférence envers la nation. »
Le livre de Malika Sorel n'est pas sans défauts. Il est foisonnant ; hésitant entre l'ordre chronologique et thématique, entre témoignage personnel et analyse théorique ; accumulant extraits d'émissions de radio ou de télévision, citations, anecdotes, dans un style qui manque parfois d'élégance. Un air de déjà-vu, déjà lu, qui gâche l'originalité du propos. Mais l'essentiel est ailleurs. Il se dégage de cet ouvrage une sincérité, une authenticité, qui n'empêche nullement la hauteur de vue. Cette femme, née en France, de parents algériens, ayant passé son enfance en Provence, a reçu une brillante formation scientifique d'ingénieur. Elle aurait pu être Malika, après Rachida, Rama, Fadela, Najat, ou Myriam, toutes ces femmes dont nos présidents raffolent et font des ministres et des vedettes médiatiques.
Mais Malika n'a pas voulu jouer ce jeu pervers de victimisation et de discrimination positive, de casting et de carriérisme. Elle a souhaité, Malika, devenir française à l'ancienne, en s'assimilant. Mal lui en a pris. Nos élites ne mangent plus de ce pain-là : « Dans la bouche de nos élites politiques, médiatiques et intellectuelles, le terme “populaire” ne renvoie plus aux Français de souche, tout comme “jeunes” ne désigne pas leurs enfants ou petits-enfants.» Malika a cru que Villepin serait son grand homme, avant de l'entendre reprendre l'antienne de la victimisation. Elle a vu Nicolas Sarkozy tenter de détruire la République indivisible, avant que Simone Veil ne lui interdise in extremis sa réforme constitutionnelle qui aurait inscrit la diversité dans le marbre. Elle a été membre du Haut Conseil à l'intégration que le gouvernement Ayrault supprimera pour défense excessive de la laïcité. Elle a entendu une conseillère du président Hollande lui jeter d'un ton rogue : « Nous avons besoin d'optimisme.»
Malika avait tout faux, puisqu'elle croyait en la France qu'elle aimait d'amour. « Il y a dans l'assimilation une dimension magique, comme dans l'amour. » Malika a assisté à des comités interministériels où chacun rivalisait d'inventivité immigrationniste ; où les Français étaient sommés de s'habituer aux mœurs des étrangers ; où l'immigration était présentée comme la solution à tous nos maux. Où les professeurs, policiers, médecins, les médias, avaient intérêt à améliorer leur « interculturalité ». Elle a écouté les commissaires européens comme les représentants des États membres vanter une Europe multicultuelle comme l'avenir radieux du continent européen ; et réclamer que les programmes scolaires de tous les pays s'y adaptent. On comprend mieux, à la lire, où a été puisée la réforme des programmes de Najat Vallaud-Belkacem. Elle a entendu une élue socialiste demander au premier ministre qu'on « décloisonne les femmes de polygames » pour qu'elles vivent plus à l'aise dans des appartements séparés. Elle a entendu Jean-Louis Borloo manger le morceau du « grand remplacement » : «Il faut bien que les Français, on ait en tête une chose, c'est que l'avenir du pays se joue là, dans les banlieues. Pourquoi ? Parce que le taux de natalité de ces quartiers est deux fois plus élevé que sur le reste du territoire national. »
Elle a vu les auteurs d'un rapport gouvernemental effacer subrepticement une phrase tirée de l'enquête Pisa 2012 : « Plus préoccupants encore, les écarts entre les élèves issus de l'immigration et les autres demeurent très importants, même corrigés des variables socio-économiques.» Et faire comme s'ils n'avaient pas entendu que dans les concours d'accès à la fonction publique : « C'est à l'écrit sur copies anonymes que les élèves de l'immigration échouent.» Et pas du fait des discriminations à l'oral ! Elle a compris que c'était pour cette (fausse) raison pourtant que Sarkozy avait supprimé l'épreuve de culture générale de nombreux concours administratifs. Elle a observé « la crème de la crème » du Conseil d'État, faire assaut de subtilité juridique pour autoriser le voile à l'école, pour les élèves d'abord, et puis pour leurs mères qui accompagnent les sorties scolaires, ou permettre aux maires de contourner la loi de 1905 pour construire toujours plus de mosquées. Elle a entendu Erdogan recommander à ses nationaux immigrés de bien conserver des prénoms turcs pour leurs enfants alors que la France n'exigeait plus des prénoms français sur son territoire. Elle a entendu Éric Besson, officiellement ministre de l'Identité nationale d'un gouvernement de droite, proclamer en 2010 : « La France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage. »
Malika a tout compris. Nos élites ont mis au rencart le peuple français, pour une utopie universaliste de citoyens du monde. « Nous vivons la mise en minorité progressive du peuple autochtone sur ses propres terres. C'est le simple jeu de l'arithmétique, et cela, les élites politiques le savent… Nous ne sommes plus dans un régime de solidarité nationale, mais dans celui, imposé par le haut, d'une solidarité internationale… Politique du dernier arrivé, premier servi. » Non, ce n'est pas un complot, c'est pire, c'est la réalité. Malika est venue, a vu, et a été vaincue. Mais au moins, au bout de cet itinéraire, qui pourrait s'intituler « Illusions perdues », Malika sait. Elle sait que nos élites savaient. Et qu'elles ont voulu ce que, désormais, nous savons. •
Le reportage de RussiaToday (le seul qui fut objectif) :
Ce dimanche, une grande manifestation était organisée à Calais pour protester contre l’invasion migratoire et l’idéologie mondialiste qui ont pris en otage toute une ville où s’amassent chaque jour davantage d’immigrés clandestins, et ce avec la complicité totale du gouvernement Valls et de ses relais locaux.
Plusieurs centaines de personnes se sont ainsi rassemblés pour marcher contre le Grand Remplacement dans cette ville emblématique, derrière notre banderole « Remigration ». Plusieurs mouvements étaient présents : Sauvons Calais, Pegida France, l’English Defence League, le Parti de la France, et, évidemment, la Dissidence Française.
Une poignée d’illuminés gauchistes tentèrent, non sans mal et usant d’invectives et de menaces, de perturber le bon déroulement de cet évènement : fort heureusement (pour eux), les forces de l’ordre (dont on aura noté à plusieurs reprises des signes évidents de soutien à notre endroit) ont tenu à distance les nervis d’extrême-gauche dont l’un fut d’ailleurs interpellé après avoir tenté de s’en prendre à nos militants.
Retrouvez ci-dessous les photos et vidéos, ainsi qu’une brève revue de presse autour de cet évènement.
C’est décidément le syndrome de la boîte de Pandore. Après avoir poussé le gouvernement allemand à ouvrir grand les vannes de l’immigration, voilà que le patronat teuton appelle à l’aide pour gérer la crise.
En ce moment, on se sent clairement abandonnés par l’Europe » dans la gestion de l’invasion migratoire, a déclaré Ulrich Grillo, le président de la Fédération de l’industrie allemande (BDI) à l’occasion du forum économique franco-allemand organisé à Berlin par « Les Échos » et « Handelsblatt ».
Fallait pas les inviter, serait-on tenté de leur répondre en pariodant Michel Muller. « C’est pourquoi je lance un appel à nos amis européens, et nos amis français : il faut que nous soyons soudés ! » rajoute Ulrich Grillo. En clair, totalement débordés par la situation qu’ils ont encouragée à créer, les patrons allemands espèrent bien se défausser sur leurs « partenaires » européens.
L’Allemagne, qui attend au bas mot un million de demandeurs d’asile cette année, se sent très seule dans cette crise. Le gouvernement essaie de rétropédaler dans la choucroute, évoquant d’abord la possibilité que les « migrants » ne restent qu’un an sur le sol germanique, puis remettant en cause le principe du regroupement familial et enfin en réintroduisant le règlement de Dublin, qui prévoit un renvoi des demandeurs d’asile vers les pays européens où ils se sont enregistrés en premier. Elle l’avait suspendu le 25 août pour les réfugiés syriens. Bref, nous avons ouvert la boîte de Pandore, mais à vous de gérer les conséquences…
Les Allemands n’en sont toutefois pas encore à se demander sérieusement si c’était une bonne idée au départ. La France traîne des pieds pour accueillir tous les « réfugiés » surnuméraires dont l’Allemagne ne veut pas ? c’est la faute au Front National, « Cette nouvelle France laide se fait honte à elle-même, à ses principes et à son histoire », écrivait cette semaine la « Süddeutsche Zeitung ». Mais bien sûr. Et le rôle du gouvernement français, déterminant pour que l’Union européenne décide, contre la résistance des pays de l’Est, la répartition de 160.000 réfugiés que souhaitait Berlin ?
« La France prend toute sa responsabilité dans la crise migratoire. Nous n’avons ni de leçons ni de considération particulière à recevoir de qui que ce soit. » a affirmé mardi au forum des deux quotidiens Matthias Fekl, qui, après ses déclarations contre les négociations opaques du TAFTA, semble être l’un des seuls de ce « gouvernement » à tenir son rang et sa place.
Il a donc rappelé à nos « amis » allemands à quel point les politiques françaises et germaniques étaient liées au sein de l’UE alors qu’Angela Merkel a pris seule la décision d’ouvrir en grand les vannes de l’immigration débit septembre. Il a aussi souligné que la France a longtemps été le premier pays d’accueil d’étrangers en Europe et qu’elle est en première ligne dans la lutte contre le terrorisme.
Quant au patronat français, il a souligné qu’avec la démographie et le chômage structurellement massif que connaît notre pays, le besoin en main-d’œuvre n’est pas le même chez nous qu’outre-Rhin. Bref, on ne peut que se féliciter de cette fin de non-recevoir. Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Les périodes d'élections sont souvent propices aux sorties des professionnels de la politique. Cette fois, c'est madame la ministre de l'éducation nationale qui s'y colle, sur le thème de la sacro-sainte mixité sociale. Un terme inventé par les sociologues, il y a quelques années, pour expliquer qu'il faut "mélanger" les gens, les riches avec les pauvres, les jeunes avec les vieux, les catholiques avec les bouddistes etc.
Mme Najat-Belkacem a donc proposé un énième plan destiné, selon elle, à sauver la république, rien que cela ! Il s'agirait de réformer (encore ?) les cartes scolaires pour favoriser le brassage des populations dans les grandes villes. Car c'est bien connu, quand vous mettez ensemble un môme de médecin, un d'ouvrier, un gamin de trafiquant de drogues ou un rejeton de migrant, ils fraternisent et font la fête tous ensemble. Shinyhappy people. Enfin, vu des beaux quartiers parisiens, comme il se doit...
Une farce de plus, en fait. Tout le monde connait les causes de la ghéttoisation de nombreux quartiers et des écoles publiques. L'auteur de l'article, qui a passé la moitié de sa vie en HLM, peut en témoigner. Quartiers laissés aux bandes de voyous, associaux logés en priorité, police réduite à l'impuissance, refus d'intégration de certaines populations acquises à l'islam radical, écoles transformées en halte-garderies etc. Seuls ceux qui n'ont jamais connu ces quartiers pourront dire le contraire. Ce qui est le cas des nababs du parti post-socialiste, qui entendent inviter les pauvres à fraterniser pour garantir la paix sociale, par ailleurs peu remise en question dans leurs quartiers protégés. Allez faire un tour dans le cinquième arrondissement de Paris, où résident artistes de gauche et autres intellos donneurs de leçons d'humanisme, vous y chercherez longtemps de la mixité sociale.
Incapables de rétablir la loi républicaine dans les grandes villes, blocages culturels sur l'autorité obligent, ainsi qu'impuissance financière, nos princes cherchent donc à noyer le poisson. Qui inscrirait son gamin dans une école publique "mal fréquentée" (terme à débattre), quand un kilomètre plus loin une privée propose ses services. Qui de sensé irait s'installer dans un immeuble où les bandes de lascars trainent à l'entrée du matin au soir ?
Bien sûr, en bons sophistes hypocrites les "socialistes" ont trouvé la parade : installer les populations à problèmes chez les "riches", en imposant les fameux quotas. Ce qui ne fera qu'aggraver les choses, car des gens qui n'ont rien en commun ne se cotoieront pas. L'auteur de l'article, qui a quitté Paris pour vivre et travailler en milieu rural est d'ailleurs une atteinte à la mixité sociale : en effet, je préfère le calme de mon village, mes voisins courtois dont les enfants sont bien élevés, la petite église et la boulangerie où on est servi avec politesse, à la banlieue devenue impraticable pour les braves gens où je vivais il y a encore cinq ans... et j'estime que c'est mon droit.
Et l'école me direz-vous ? Instituteur durant des années en Seine St Denis, j'ai passé mon temps à régler des conflits entre des gamins de communautés différentes, à qui il était bien difficile de transmettre les valeurs républicaines. Car pour eux, l'identité c'était d'abord la famille et la religion. Alors, dans la cour de récréation, dieu reconnaissait les siens... et les éducateurs ne pouvaient pas y faire grand-chose.
Mme Najat-Belkacem est donc hors-sujet. D'ailleurs, comment pourrait-elle comprendre un concept qui lui est étranger ? Les gens de sa caste vivent dans des quartiers protégés, scolarisent leurs enfants dans des écoles privées, ne fréquentent pas les pauvres...ils sont de gauche pour ne pas éduquer leurs gosses (mai 68 est passé par là), et de droite pour leur pognon. Qu'ils gardent leurs leçons à deux balles...
Pour conclure, je vous propose d'observer, au cours de vos voyages, les quartiers populaires d'Europe de l'est par exemple. A Prague, Bratislava, Cracovie, Budapest... pas un voyou ne traine près des gares, pas une racaille aux pieds des barres "HLM" de l'époque communiste, pas de problèmes "inter-communautaires"... les réalités parlent d'elles-mêmes !