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immigration - Page 1185

  • Corse : retour sur quatre jours de tensions à Ajaccio

    Le calme semble être revenu lundi 28 décembre à Ajaccio, après plusieurs jours de fortes tensions, débutées le jeudi 24 décembre après l’agression de pompiers dans le quartier des Jardins de l’Empereur.

    Agression de pompiers, incidents xénophobes : chronologie de quatre jours de friction

    A la veille de Noël, des actes de vandalisme sont enregistrés dans le quartier des Jardins de l’Empereur, à Ajaccio. Selon la préfecture, les forces de l’ordre et les services municipaux enlèvent ce jour-là préventivement 400 palettes de bois, une tonne de pneumatiques et un engin incendiaire.

    Manifestation à Ajaccio, le samedi 26 décembre. YANNICK GRAZIANI / AFP

    Dans la nuit du 24 au 25 décembre, des pompiers, appelés pour un incendie, tombent en fait dans un guet-apens et sont pris à partie par des dizaines de personnes encagoulées. Ils sont visés à deux reprises par des jets de projectiles – pierres, parpaings, barres de fer, battes de baseball, selon le témoignage d’un des pompiers. Les agresseurs parviennent à briser des vitres du camion, dont deux occupants sont légèrement blessés, ainsi qu’un policier venu rétablir l’ordre.

    Vendredi 25, une première manifestation pacifique de soutien aux pompiers et aux policiers rassemble 600 personnes devant la préfecture d’Ajaccio. Mais, en fin de journée, entre 200 et 300 d’entre eux rejoignent le quartier des Jardins de l’Empereur. Scandant pour certains « Arabi fora [les Arabes dehors] ! » ou « On est chez nous ! », les manifestants tentent d’identifier et de retrouver les auteurs de l’agression de la veille. [...]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Corse-retour-sur-quatre-jours-de

  • Rouen : l’auteur du double meurtre serait un Rwandais condamné pour viol en 2011, qui devait être expulsé il y a plusieurs semaines…

    Lire la suite de l’article sur Paris-Normandie.fr

    http://www.contre-info.com/

  • Quand une policière allemande ose dire les choses

    À l’heure où, chez nous, les médias et autres politicards, atteints du syndrome de Stockholm, s’émeuvent davantage de l’attaque d’une salle de prière plus ou moins clandestine, en Corse, laissant passer au second plan le guet-apens tendu aux pompiers, une femme, commissaire de police en Allemagne, Tania Kambouri, 32 ans, d’origine grecque, dénonce dans un livre qui s’arrache comme des petits pains – L’Allemagne sous lumière bleue ou l’appel d’urgence d’une policière -, la criminalité des hordes islamisées à laquelle la police est confrontée dans son pays.

    Kambouri raconte que les policiers sont désormais attaqués, insultés par des enfants et souligne particulièrement le manque de respect des musulmans envers la corporation. « La police a perdu toute autorité, se trouve démunie et se retire de plus en plus face aux agressions dans la rue », raconte-t-elle devant une salle pleine et attentive à Friedrichsthal, dans le Land Saar. Tambouri est de tous les plateaux, fait l’objet des colonnes de tous les journaux, promeut son livre dans tout le pays. Inimaginable en France, où j’entends déjà les cris d’orfraie.

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  • Les politiciens condamnent la réaction des Corses mais ne disent rien du racisme anti-corse et anti-français des racailles

    Les vives tensions des derniers jours en Corse doivent être remises dans leur contexte.

    Sur son site, le journal CorseMatin écrit :

    Afin de clarifier la situation, des proches des secouristes relatent ce qui a été dit le soir des faits dans le quartier de l’Empereur à Ajaccio.

    Lorsqu’ils ont essayé de monter dans le camion, les agresseurs auraient lancé selon la même source : « Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici! ». Les « nous sommes chez nous », criés en chœur dans le quartier vendredi soir par les manifestants trouvent alors une autre résonance.

    Si l’agression des deux pompiers la nuit du 25 décembre a déclenché une vive réaction des Ajacciens, ce sont aussi les propos qui auraient été tenus par les agresseurs, et connus de nombreux participants, qui auraient donc mis le feu aux poudres.

    Malgré cela, de Manuel Valls (PS) à Christian Estrosi (LR), il n’y a que des condamnations de la réaction de colère des Corses, mais aucune condamnation du racisme anti-corse et anti-français qui a accompagné l’agression des pompiers et des policiers. Une préférence étrangère que les Corses n’admettent pas.

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  • Valls: La préférence nationale… à la racaille![Léon]

    Une nouvelle étape a été franchie ce week-end en francarabia. Jusqu’alors, le gouvernement montrait un semblant de respect de l’ordre républicain, en condamnant, certes mollement, les exactions des racailles immigrées. Bien sûr les actes ne suivaient pas les déclarations martiales, mais Valls avait au moins le mérite de simuler, et les plus naïfs des français – 80% d’entre eux! – se sentaient rassurés!

    Ce week-end, le masque est tombé, et Valls affiche clairement la préférence nationale à la racaille immigrée. C’est ainsi qu’en Corse, toute manifestation est désormais interdite. Soulignons en passant que puisque la fracarabia est sous le régime de l’ « état d’urgence », les manifestations étaient déjà, en principe, interdites… Mais passons!

    Que s’est-il passé en Corse? Ne comptez pas sur les merdia francarabiens pour vous informer! La situation est simple:

    1- Les gnoules tendent une embuscade aux pompiers dans une cité d’Ajaccio.

    2- Les citoyens Corses descendent dans la rue, distribuent quelques raclées aux gnoules qui ont le malheur de jouer aux cadors, et en passant commettent quelques incivilités dans une « salle de prière » enregistrée, bizarrement, comme « centre culturel » et où se trouve en fait … un sauna gay, comme l’a révélé EuroCalifat. Des slogans patriotiques sont scandés, ce qui est bien entendu totalement inacceptable.

    3- La racaille politicarde toute classe confondue, hurle au scandale et condamne vigoureusement l’action civique des citoyens corses, que ce soit Valls, Taubira, Estrosi, et même le leader gauchiste « indépendentiste » Talamoni. C’est l’union sacrée des racailles.

    4- Et donc hier Valls interdit les manifestations en Corse… Sans bien entendu interdire les exactions des racailles dans les cités, que ce soit d’ailleurs en Corse ou ailleurs en métropole.

    Nous voila dans un pays où la racaille immigrée a le droit de semer le bordel, de violer, piller et tabasser, et où le petit Peuple n’a plus même le droit de manifester. Valls affiche donc cette fois très clairement sa préférence, avec notons-le le soutien très actif de l’ensemble des merdia et de la classe politicarde.

    Notons également le silence assourdissant du Front National, qui avait ici l’occasion unique, rêvée même, d’appeller à descendre dans la rue aux côtés des citoyens de Corse. Mais les mignons et leur Cour ont préféré une fois de plus garder le silence.

    L’une des conclusions que l’on peut tirer de cela est qu’il est plus que clair que le Salut, s’il y en a un, ne viendra en aucune façon d’un quelconque parti politique mais ne pourra venir que d’une mobilisation des citoyens. En Corse, cette mobilisation a eu lieu. En métropole, la seule mobilisation notable a été dans les bouchons ce week-end pour gagner les stations de ski.

    Léon

    https://eurocalifat.wordpress.com/2015/12/28/valls-la-preference-nationale-a-la-racailleleon/#more-4232

  • AJACCIO : La salle de prière était illégale mais POURQUOI personne n’ose le dire…

    Salle de prière musulmane illégale saccagée à Ajaccio provoquant la condamnation des politiques et les gros titres des médias…

    Au cours de la nuit de jeudi à vendredi, une salle de prière musulmane, située à proximité des Jardins de l’Empereur, a été saccagée par un groupe d’individus, qui a aussi tenté de mettre le feu à de nombreux livres, dont des exemplaires du Coran. « 50 livres de prières ont été jetés sur la voie publique », a précisé le sous-préfet François Lalanne.

    L’Observatoire national contre l’islamophobie du Conseil français du culte musulman (CFCM) a « condamné avec force » ces faits, dénonçant une agression « qui se déroule en un jour de prière pour les musulmans et pour les chrétiens », puisque cette année Noël tombait juste après le Mouled, la fête musulmane qui commémore la naissance du prophète Mahomet.

    « Après l’agression intolérable de pompiers, profanation inacceptable d’un lieu de prière musulman. Respect de la loi républicaine », a twitté vendredi soir le Premier ministre, Manuel Valls.

    Voilà, tout le monde y va de sa condamnation hypocrite ; les Tartuffe​ de la politique et des médias asservis au pouvoir ont délibérément voulu faire de cette affaire un événement national appelant la condamnation du racisme et de la xénophobie. Le courage aurait été, me semble t-il, de recontextualiser les faits au regard du respect du droit et de la loi au lieu d’aboyer avec le troupeau des bien-pensants.
    En effet, tout le monde parle de salle de prière musulmane, car pour donner un retentissement national à cette affaire, il fallait pouvoir parler de racisme et de xénophobie afin de crier à la stigmatisation des pauvres musulmans innocents… De plus, il fallait aussi que cette salle soit bien une salle de prière musulmane.
    Eh bien non ! La réalité est bien différente puisque cette salle de prière n’a aucune existence légale, ce que les autorités n’ont naturellement pas souhaité ébruiter. Pour preuve, sur cette déclaration à la Préfecture de la Corse-du-Sud, on peut lire qu’il est fait référence à une association marocaine sportive et culturelle des musulmans de Corse ; un peu plus loin, le code APE fait référence à des activités de clubs de sports… et non de culte ! Alors, pourquoi n’entend t-on personne réclamer la fermeture d’une salle de prière non légale ? Peut-être parce que maintenant « Prier est devenu un sport » dans les zones de non-droits ! ou peut-être parce que tout doit être fait pour ne pas stigmatiser les musulmans enfreignant la loi…
  • Corse : la République molle

    Se rendent-ils compte que « ça n’imprime plus », c’est-à-dire que leurs propos péremptoires, déclarations solennelles et autres mâles attitudes ne rencontrent que l’incrédulité de leurs auditeurs ou au mieux l’ironie ? « Ils », ce sont les princes qui nous gouvernent. Ecoutons-les commenter les événements dont la Corse a été le théâtre ces derniers jours. Valls : « l’agression contre la police et les pompiers, tout comme le saccage de la mosquée sont inacceptables ». Que faire ? Le premier ministre a la réponse : « Respect de la loi républicaine ». C’est simple, il suffisait d’y penser, frappe-toi le cœur, c’est là qu’est le génie. Il suffit en effet que la loi républicaine soit respectée pour qu’elle ne soit pas violée et qu’en conséquence les pompiers ne soient pas lapidés et que la « mosquée » demeure intacte. A l’Elysée, on est sur la même longueur d’ondes : « Respect de la loi et respect de l’ordre public. » Du côté du ministre de l’Intérieur, on assure que, c’est promis « La lumière sera faite, les auteurs en répondront, ainsi sont nos règles de droit et vie commune. »

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  • « On est chez nous ! »

    Il est quand même formidable que l’Etat d’urgence serve à réprimer les manifestants corses plutôt qu’à empêcher le lynchage à mort des pompiers et des policiers la nuit de Noël. On comprend bien que le gouvernement soit très ennuyé. Très. Il ne gouverne quasiment rien en Corse. Pas plus qu’il n’a la moindre autorité républicaine sur les zones de non droit. Partant de là, la vendetta entre jeunes nationalistes corses et jeunes issus de l’immigration maghrébine risque d’être inédite, explosive et incontrôlable.

    C’est un guet-apens criminel qui a été tendu à Ajaccio par les « jeunes » de la cité de l’Empereur (qui avaient déjà vandalisé une école et allumé plusieurs incendies dans la journée du 24 décembre). Quand les policiers et les pompiers arrivent sur les lieux de l’incendie volontaire, 60 voyous encagoulés les attendent aux cris de « Sales Corses de merde, on est ici chez nous ! ». Dans un « déluge de pierres et de barres de fer », décrit l’un des pompiers, « il y aurait pu y avoir des morts ».

    Deux pompiers et un policier seront blessés. Mais pour ne pas troubler les valeurs du vivre ensemble de Noël, il n’y aura aucune interpellation. L’intervention des forces de l’ordre dure jusqu’à 2 h 45 vendredi.

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  • Racisme à sens unique

    La chronique barbare de Philippe Randa

    S’il est évident que le saccage dans le quartier des Jardins de l'Empereur à Ajaccio d’une salle de prières pour les musulmans et d’un restaurant kebab durant le week-end, tout autant que plusieurs slogans entendus dans les manifestations de ce week-end, sont à l’évidence à caractères racistes – qui le nient ? – il est tout aussi évident que l’agression de deux pompiers et d’un policier, tombés dans un guet-apens vendredi soir, était tout autant – voir davantage encore ? – à caractère raciste.

    C’était alors l’occasion ou jamais, mais non ! Gauche et droite n’ont pas franchi le pas de renvoyer dos à dos tous les racismes ; ils se sont contentés, comme à leur habitude, de fustiger le seul racisme « blanc ».

    Tandis que Christophe Mirmand, préfet de Corse, s’est empressé de « relativiser le climat d'insécurité dénoncé par certains », ni le Ministre de l’Intérieur, ni le Premier Ministre, ni aucun élu socialiste, écologiste ou Républicain, ne l’a ne serait-ce que sous-entendu !

    Et pas un seul commentaire dans les « grands » médias pour appeler un chat un chat, soit en l’occurrence indiquer que les agresseurs du camion de pompier étaient d’origine extra-européenne… et reconnaître que leurs seules motivations étaient le mépris de la République française, la haine des Français de souche et leur refus évident et assumé de ce « vivre ensemble » dont on ne cesse de nous rabattre les oreilles.

    Quant aux faits bruts, rappelons tout de même que les témoignages des pompiers agressés vendredi soir étaient unanimes pour décrire une tentative avérée de lynchage physique… tandis que les manifestants du week-end, n’ont, eux, cherché à agresser personne physiquement.

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVEkAEFkEQKNjovnD.shtml

  • Bernard Cazeneuve, ministre de la dhimmitude

    D'Yves Daoudal :

    "Les chaînes de télévision nous ont montré avec insistance et complaisance des entrées d’églises gardées par des soldats en armes (en tout 120.000, nous dit-on, policiers et militaires confondus) pour les messes de Noël. Et l’on nous montrait les fidèles tout heureux d’être ainsi « protégés ». Donc, l’histoire retiendra que Noël 2015, en France, fut le premier Noël où les églises furent gardées par crainte des attentats. Comme au Caire. Comme à Bagdad. Comme dans un pays musulman. Avec cette énorme différence que dans les pays musulmans les chrétiens déplorent cet état de fait, s’en désolent, et non s’en réjouissent.

    Pus fort encore, en divers lieux, de Béziers à Lens, il y avait une garde musulmane à l’entrée de l’église. Et le ministre de l’Intérieur en personne, Bernard Cazeneuve, au lieu de condamner la formation de milices confessionnelles, de s’émerveiller de cette initiative : « Respect pour les musulmans qui ont protégé les églises pour Noël. Concorde et fraternité dans la République. » « Les musulmans qui ont protégé les églises », dit-il. C’est une autre première que l’histoire pourra retenir : la première fois qu’un ministre de l’Intérieur de la République française s’exprime officiellement en ministre de la dhimmitude.

    Dans les pays musulmans, quand on veut humilier les chrétiens, on les appelle « nazaréens », d’où le désormais célèbre noun. Quand on veut leur donner leur nom selon le droit musulman (comme le fait toujours l’imam d’al-Azhar, par exemple), on les appelle « ahl al dhimma », littéralement « les gens de la protection », ceux que l’on protège. Une protection analogue à celle de la mafia. C’est-à-dire que d’une part elle est arbitraire, pouvant cesser à tout moment, d’autre part elle n’est pas gratuite.

    Cette protection qu’assurent les musulmans contre des musulmans ne peut exister que moyennant une contrepartie, appelée jizya (strictement appliquée dans l’Etat islamique, de façon plus ou moins déguisée ailleurs). En bref, les musulmans qui ont fait mine de garder des églises, et dont on sait que ce sont, bien sûr, des salafistes et des proches des Frères musulmans, ne l’ont pas fait pour les beaux yeux des chrétiens, mais pour affirmer que la France est un pays islamique, et que si la jizya n’a pas été payée d’avance on saura présenter la facture, d’une façon ou d’une autre. En d’autres termes, c’est affirmer que la France est un pays islamique. Et dans ce contexte, le tweet de Cazeneuve en est une confirmation."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html