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immigration - Page 1187

  • La jeunesse, la guerre et l’incroyable naïveté de l’UNEF

    L’appel de la « génération de la crise » initié par l’UNEF pour dénoncer la dérive guerrière et sécuritaire de l’état d’urgence apparaît totalement déplacé aux yeux de Louis Manaranche.

    Comment nous situons-nous dans l’histoire ? Deux semaines après la déclaration d’état d’urgence par le Président de la République commencent à se faire entendre des voix dénonçant non seulement les abus que l’on constaterait ici ou là, mais le principe même de mesures exceptionnelles pour répondre à la situation présente. L’exemple le plus significatif est l’appel de « la génération de la crise », initié par l’UNEF et co-signé par d’autres associations militantes. La dialectique qui s’y déploie est pour le moins surprenante : « D’un côté, (...) une dérive guerrière et sécuritaire, qui traduit la montée de la violence et la recherche d’un ennemi intérieur. De l’autre, (...) la construction de la paix, en faisant le choix de renforcer la démocratie. » Tout consentement à l’idée d’un temps extraordinairement troublé est repoussé au prétexte que ce serait un « piège » tendu par les terroristes, tandis que la réponse la plus adéquate serait cet imprécis renouveau démocratique, reposant sur la « constitution d’espaces d’échange, de débat et d’engagements ouverts à l’ensemble des jeunes ». Le principe même d’un moment où doit s’opérer un discernement particulier, entraînant des mesures elles aussi particulières, est refusé au profit d’une déclaration caricaturale : « Nous refusons un état d’urgence permanent. » S’il s’agit là du simple refus d’une modification constitutionnelle, il n’est évidemment pas scandaleux d’exprimer une telle opinion. De même, on ne saurait considérer d’un oeil goguenard comme utopique la salutaire exhortation à être des artisans de paix. La France et le monde en ont bien besoin. [...]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-jeunesse-la-guerre-et-l

  • Un plan secret pour installer 500.000 « réfugiés » Syriens à partir de la Turquie… Viktor Orban s’insurge !

    Le triste constat est le ventre mou de l’UE face au maître chanteur Erdogan.
    « Nous ne pouvons pas accepter cela ! » proteste Viktor Orban. Selon lui, l’UE et Ankara travailleraient en coulisse à un plan, qui viserait à installer, en provenance de la Turquie, 400 à 500.000 « réfugiés » Syriens en UE. Cet accord devrait être rendu public cette semaine à Berlin, déclare M. Orban durant une rencontre avec les cadres dirigeants de son pays. Plusieurs États membres auraient tenu un sommet avec le gouvernement Turc, dimanche, afin de convenir de cet « accord en coulisse ».

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  • Les socialistes de la région Lorraine ont voté 600 000 € pour la formation au maniement des armes de l'Arabie Saoudite

     

    Lahire

  • Table ronde sur les solutions politique possibles contre l’immigration

  • Le Ministère de l'Intérieur recense 89 "mosquées radicales"... et en ferme 3

    Selon la presse de juin 2015, le ministère de l'Intérieur recensait 89 mosquées radicales sur le sol français.

    3 mosquées ont été fermées depuis la semaine dernière dans le cadre de l'état d'urgence, a annoncé le ministre de l'Intérieur.

    A 3 par semaines, peut-on espérer que d'ici 6 mois ces mosquées soient toutes fermées ?

    Michel Janva

  • Dimanche 13 décembre à Aix la Chapelle (Allemagne) : un rassemblement organisé par PEGIDA

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    Quatre PEGIDA organisent le dimanche 13 décembre 2015 à 14h un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle en Allemagne : PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie des discours se tiendront en français. En savoir plus cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/12/02/dimanche-13-decembre-a-aix-la-chapelle-allemagne-un-rassembl-5725157.html

  • Isère: un candidat PS et responsable de SOS Racisme mis en examen pour viol et violences conjugales

    Amar Thioune, président de SOS Racisme Rhône-Alpes, en 18e position sur la liste du PS aux régionales en Isère, a été mis en examen pour viol et violences conjugales, des faits qu’il nie, a-t-on appris mercredi auprès du parquet. « Les faits sont contestés et il bénéficie de la présomption d’innocence », a souligné Jean-Yves Coquillat, procureur de la République à Grenoble, confirmant une information du quotidien Dauphiné Libéré.

    « Son épouse a déposé plainte et une enquête a été diligentée. Comme les faits sont contestés, on a ouvert une information judiciaire » confiée à un juge d’instruction indépendant, a précisé le magistrat. Placé en garde à vue lundi, Amar Thioune a été mis en examen pour viol et violences sur conjoint et laissé libre sous contrôle judiciaire le lendemain. Les faits en cause remontent à la nuit du 7 au 8 octobre.

    Source : BFM via FDS

    http://www.contre-info.com/

  • « Grand Remplacement : aller à l’essentiel » : un point de vue italien par Andriano SCANCIA

    Andriano Scancia est un intellectuel italien qui porte ici son regard sur le « Grand Remplacement ». 

    Responsable culturel de CasaPound, organisation italienne à vocation sociale et d’inspiration nationaliste-révolutionnaire et néo-fasciste, il rend grâces à Renaud Camus d’avoir identifié le nœud de la question, l’axe central autour duquel faire tourner l’ensemble du discours sur l’immigration. 

    Polémia 

    Le concept de Grand Remplacement est né de la plume de Renaud Camus, intellectuel pluriforme et controversé transalpin, très éloigné de tous les clichés de l’intellectuel de droite, fréquentant les avant-gardes intellectuelles, de Roland Barthes à Andy Warhol, et homosexuel déclaré. Il vit aujourd’hui dans un château et consacre la plus grande partie de son temps à dénoncer la substitution des peuples européens par des peuples allogènes du fait de l’immigration incontrôlée. 

    Aujourd’hui, la thèse du Grand Remplacement trouve un large écho parmi tous les mouvements identitaires et, malgré quelques réticences de la part de Marine Le Pen, est entré dans le discours du Front national. En Italie, seul Matteo Salvini s’en fait le portevoix.

    Il n’est pas nécessaire d’apprécier l’ensemble de l’œuvre de son auteur (on pense en particulier à certaines de ses positions ouvertement pro-israéliennes) pour admettre l’efficacité du concept. Il est en tout cas nécessaire de rendre grâces à Camus d’avoir identifié le nœud de la question, l’axe central autour duquel faire tourner l’ensemble du discours sur l’immigration. 

    Le débat sur l’intégration est obsolète 

    Le Grand Remplacement rend notamment obsolète le débat sur l’intégration, ce terme qui s’interprète comme le lent procédé de « digestion », par la collectivité homogène, d’éléments étrangers afin qu’ils soient assimilés sans effet de rejet. Mais qu’en est-il de l’intégration dans un contexte où l’intégrité initiale de l’ensemble qui devrait assimiler n’existe plus ? dans un quartier peuplé à 90 % d’allogènes, qui doit s’intégrer ? 

    Le scénario selon lequel les Européens sont minoritaires sur leur propre territoire rend secondaires tous les autres discours. 

    Le scénario dans lequel les Européens sont en minorité sur leur propre territoire rend donc secondaires tous les discours sur l’effet criminogène (pourtant clair) de l’immigration, ou de ses coûts économico-sociaux, ou sur les problématiques religieuses et culturelles qui lui sont liées, tout comme perdent leur sens les analyses sur les motivations des exodes et les questions sur qui « fuit la guerre » ou qui ne la fuit pas. 

    L’immigration doit être rejetée ontologiquement 

    Au moment même où elle risque d’effacer la civilisation européenne, l’immigration doit être rejetée ontologiquement, refusée en tant que telle, toute autre considération faisant partie d’une tactique contingente et de la rhétorique politique occasionnelle. Ce n’est pas parce que les immigrés respectent les lois et paient leurs impôts qu’ils deviennent « acceptables », sinon dans une logique myope de courte durée. 

    Il existe cependant deux objections qui sont souvent faites aux « anti-remplacistes » (comme Camus appelle ceux qui adhèrent à sa thèse). Le Grand Remplacement serait : 

    1. Une fausse lecture de la réalité.

    2. Une vision complotiste et paranoïaque. 

    Ni fausse lecture de la réalité… 

    À la première objection – celle selon laquelle, en substance, il n’y a aucun Grand Remplacement, que les immigrés représentent une infime minorité, il y en aurait même trop peu – on peut répondre par deux contre-objections. La première étant que, bien qu’en admettant que les statistiques officielles sur la présence immigrée seraient bonnes (on voit pourtant assez mal comment le nombre officiel de clandestins présents en Italie pourrait être précis et juste, étant donné qu’ils sont justement entrés illégalement dans le pays…), elles sont de toute façon sans valeur du fait de la volonté déclarée d’importer, dans un futur plus ou moins proche, des quantités astronomiques de nouveaux allogènes en Europe (250 millions, d’après La Repubblica et ses « économistes »). 

    Ainsi, même si les immigrés étaient vraiment « peu nombreux » actuellement, il existe bien une volonté claire et affichée d’en importer tant et plus. 

    La seconde contre-objection est que le Grand Remplacement est déjà objectivement en marche dans certaines villes et dans certains quartiers : il n’est point besoin de toujours aller chercher à consulter les statistiques démographiques des périphéries du nord de Paris, de Marseille ou de Bruxelles, il suffit de penser au cas emblématique de cette école de Brescia et de sa classe de CP sans Italiens. Ce sont des exemples toujours plus fréquents et qui sont en soi alarmants et déstabilisants sans que l’on ait besoin d’attendre la fin du processus.

    … Ni vision complotiste

    La seconde accusation faite aux anti-remplacistes est de les rendre coupables de proposer une nouvelle théorie du complot. Pourtant, à ce jour, sont bien référencés et documentés les intérêts du business migratoire des Soros, des Rothschild, des « coop » [Coopératives de gauche] et des ONG qui font des profits sur l’accueil, et Camus lui-même a déclaré, au cours d’un entretien récent au Libero : « Personne n’est à l’origine de ce projet […]. Je crois surtout à la force de gigantesques mécanismes historiques, économiques et idéologiques et même ontologiques au sein desquels les institutions et les hommes ne sont que des engrenages parmi tant d’autres. » Le Grand Remplacement est une dynamique historique objective, non pas un plan diabolique. Il est toutefois nécessaire de souligner que le Grand Remplacement bénéficie de soutiens explicites (pensons à certaines études de l’ONU, à certaines déclarations du pape Bergoglio ou, en Italie, à certaines propositions du Parti démocrate) qui rendraient de toute façon inutile toute trame obscure.

    Le Grand Remplacement et la bataille pour l’essentiel

    Le Grand Remplacement est donc un concept opérationnel fondamental. En sachant bien l’articuler et surtout en sachant lui opposer les outils conceptuels et politiques à sa mesure, se jouera le futur de quelque chose de bien, bien plus grand que nous-mêmes.

    Andriano Scancia

    • D’abord mis en ligne sur Polémia, le 27 octobre 2015.

    http://www.europemaxima.com/

  • Démocratie et immigration

    Académie des sciences de la Fédération de Russie, 2 décembre 2015 à Moscou

    ♦ Conférence d’Ivan Blot, haut fonctionnaire, écrivain, conférencier, essayiste.

    Introduction : pourquoi ce sujet n’est jamais traité ? Ce sujet fait polémique car à l’exception de deux pays, il n’y a jamais de référendums sur l’immigration. En Occident, les élites sont cosmopolites et sont en désaccord avec la population attachée à l’identité nationale. Elles sont conscientes de ce désaccord, donc elles ne veulent pas aborder ce sujet.

    1/ La situation se caractérise par une immigration de masse implantée sans consultation démocratique.

    – L’immigration en Europe et en France ne correspond pas du tout aux besoins de l’économie. C’est une immigration peu qualifiée dont le coût social pèse sur les budgets publics. Le contre modèle est l’Australie qui n’accepte que des immigrés qualifiés.
    – L’intégration des immigrés européens réussit : en France, un million de Portugais se sont intégrés facilement. Mais l’intégration a massivement échoué pour deux catégories : les musulmans d’Afrique du Nord et les populations d’Afrique Noire. Elles sont culturellement déracinées, surtout les jeunes qui ont un taux de criminalité élevé. 20.000 étrangers sont incarcérés dans les prisons sur 80.000 personnes au total mais sous le mot « français » il y a énormément d’immigrés ou d’enfants d’immigrés mal intégrés. Depuis quelques années s’ajoute la menace terroriste : le Japon n’a jamais eu d’attaques terroristes islamistes mais l’immigration au Japon est presque inexistante : c’est un fait difficile à nier. C’est dans ce milieu que se recrutent les terroristes qui haïssent la société française et les tensions ethniques s’accroissent de façon préoccupante.
    – Il y a désaccord entre les politiques d’immigration laxistes ou « généreuses » et les souhaits de la population. Un sondage du 26/02/2015 montre que 69% des Français trouvent qu’il y a trop d’immigrés, soit plus des deux tiers. Or les politiciens n’en tiennent pas vraiment compte. Résultat : 59% des Français n’ont plus confiance dans la politique.
    – Les populations accueillies n’ont aucune tradition démocratique ni patriotique à l’égard de la France. On affaiblit la démocratie avec ces populations que l’école ni la société ne savent intégrer.

    2/ Les pouvoirs décisionnaires réels sont de nature oligarchique.

    – Les causes de l’immigration sont notamment dues aux décisions économiques du patronat et des passeurs. L’autre cause est l’ouverture automatique des droits à des prestations sociales, même aux illégaux.
    – L’appareil politique est dominé par les fonctionnaires et les juges, et l’opinion n’a pas droit à la décision.
    – Les médias et les idéologues imposent une attitude laxiste que l’opinion réprouve.
    – Des lobbies et certaines institutions étrangères font pression dans le sens de leurs intérêts propres ; Wikileaks a révélé que l’ambassadeur des USA en France envoyait en formation politique des dirigeants locaux musulmans de banlieues françaises pour en faire des activistes contestataires, ce qui n’est pas très « amical ».

    3/ Les décisions de politiques migratoires devraient faire l’objet de consultations populaires (référendums).

    – Le peuple vote différemment dans un référendum que dans une élection. Le choix est concret donc beaucoup plus rationnel. Il n’est pas influencé par l’argent, les médias ou les partis. La position des citoyens qui votent en fonction de leur expérience personnelle dans la vie quotidienne est très différente de celle des élites, protégées par leur statut privilégié des conséquences négatives de l’immigration dérégulée.
    – La Suisse consulte régulièrement le peuple sur les sujets concernant l’immigration. C’est ainsi qu’il a voté pour l’expulsion immédiate du territoire des criminels étrangers. Les naturalisations doivent être validées par les assemblées populaires locales. Le 9 février 2014, le peuple suisse a voté par 50,3% « la fin de l’immigration de masse » en demandant la création de quotas d’immigration et en remettant en cause la liberté de circulation en Europe des accords de Schengen. Le parlement avait rejeté cette proposition par 140 voix contre 54 et 1 abstention. On voit bien qu’ici le parlement n’était pas en phase avec le peuple.
    – Aux Etats-Unis, les référendums sur l’immigration ne peuvent pas se faire au niveau national mais au niveau des 26 Etats fédérés (sur 50) qui tolèrent la démocratie directe. La proposition 187 en Californie a été votée en 1994 et interdisait de fournir des services publics aux immigrants illégaux. Les opposants défilèrent avec des drapeaux mexicains. La Cour suprême a interdit l’application de cette loi car l’immigration est une compétence de l’Etat fédéral et non de l’Etat de Californie.: ainsi 9 juges annulaient les votes de millions d’électeurs, montrant le côté oligarchique du régime politique aux USA. Des référendums analogues se sont tenus en Arizona, Colorado, Florida, Géorgie, Illinois, Nevada, New Mexico, New York, Oklahoma ou Texas. A New York et en Illinois en Géorgie et au Texas, ce furent des lois votées par le parlement local, le référendum n’étant pas possible. Tous ces votes ont été annulés par les tribunaux et finalement par la Cour suprême.
    – Qu’est-ce que le peuple ? Ce n’est pas la somme des féodalités, c’est-à-dire des intérêts organisés. Les parlements prennent en compte surtout les intérêts organisés, et les intérêts non organisés qui sont ceux de la majorité des citoyens sont ignorés. Les sociologues parlent de « majorité silencieuse » qui n’a pas la parole. Les décisions populaires montrent que le peuple est très inquiet de l’immigration incontrôlée et se trouve en opposition avec la plupart des élites. Celles-ci raisonnent en terme d’intérêt (groupes de pression) et ignorent la dimension sentimentale du peuple attaché à son identité culturelle.

    Finalement, l’immigration se fait la plupart du temps dans des conditions non démocratiques et menace la démocratie dans la mesure où les nouveaux arrivants n’ont pas de tradition démocratique. L’immigration de masse se déroule en l’absence d’une procédure démocratique assurant que les citoyens sont bien d’accord avec elle. Le remède pourrait consister dans l’introduction du référendum d’initiative populaire et le modèle suisse mérite à ces égards une attention approfondie.

    Conférence d’Ivan Blot2/12/2015

    http://www.polemia.com/democratie-et-immigration/