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immigration - Page 1201

  • Hausse des impôts pour financer l'arrivée des migrants

    En Finlande :

    "Le gouvernement finlandais a proposé aujourd'hui de relever les impôts des plus aisés pour financer le coût de l'arrivée de migrants dans le pays. Ce projet vise également à contrer les accusations selon lesquelles le budget finlandais cible surtout les plus pauvres et les classes moyennes."

    En France, Michel Sapin a évalué à "quelques millions" d’euros l’accueil des 24 000 réfugiés supplémentaires. Ce coût est censé prendre en compte plusieurs postes de dépenses. En premier lieu, l’hébergement. Ainsi, en Ile-de-France, dix centres provisoires ont été créés pour accueillir une centaine de réfugiés syriens et irakiens. Chaque jour, l’Etat devra débourser 35 euros par personne pour couvrir les frais de fonctionnement, comme le détaille France 2.

    Ensuite, il y a les aides financières versées aux réfugiés, qui y auront droit lorsqu’ils auront déposé une demande d’asile, précise le site du ministère de l’Intérieur. Deux aides peuvent leur être octroyées. L’ATA, l’allocation temporaire d’attente, est d'une part versée aux demandeurs d’asile ne pouvant être hébergés en centre d’accueil. Montant : 340,50 euros par mois. Lorsque le demandeur d’asile rejoint un centre d’hébergement, l’AMS, l’allocation mensuelle de subsistance, remplace l’ATA. Son montant varie entre 91 et 718 euros par mois, selon les prestations fournies par le centre, les ressources du demandeur d’asile et la composition du foyer familial. Enfin, le coût d’accueil comprend également la couverture maladie ou encore la scolarisation des enfants.

    En avril, un document de la Cour des comptes s’alarmait du coût de l’accueil et de l’hébergement des réfugiés en France. Et chiffrait le coût global de l’asile aux alentours de 2 milliards d’euros par an pour environ 66 000 demandes faites en 2013.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Flanby ou Porcinet ?

    Une journaliste du Monde vient de consacrer à M. Hollande un livre suggérant que son stage d'homme d'État, métier qu'il n'avait jamais exercé jusqu'en 2012, toucherait à sa fin. Les sondages d'opinion nous prouvent que, du point de vue essentiel pour les politiciens, la conclusion de l'expérience semble s'imposer : il ne devrait pas être réembauché.

    Son insignifiance et son incompétence me paraissant totales, j'ai quand même voulu en avoir le cœur net en suivant attentivement le compte rendu de sa conférence de presse de ce 7 septembre. Un genre auquel il s'adonne trop souvent, mais qu'il maîtrise très mal. On y verra sans doute le déclin, de titulaire en titulaire, de cette aura présidentielle conférée par la réforme de 1962 : car la communication télévisuelle du chef de l'État est devenue le contraire absolu de ce que le fondateur de notre république plébiscitaire avait alors inauguré. Au caractère dramaturgique de l'exercice, aux textes maîtrisés, aux orientations chirurgicales, ont succédé, copiant le mentor Mitterrand, mais en le copiant mal, une sorte de style pot-au-feu, un jet discontinu de petites phrases n'expliquant rien sérieusement, une impression de flou décourageant tout commentaire.

    Au total, outre ce que l'on savait déjà sur la quadrature du cercle du candidat de 2017, outre la très mauvaise note de fin de stage, il s'en sort une dérision supplémentaire, celle du surnom qu'il conviendra désormais de lui attribuer.

    Car voilà le vrai débat du jour : doit-on l'appeler "Flanby", à raison de son absence manifeste de volonté personnelle ferme, ou "Porcinet", pour son allure et sa boulimie de moins en moins discrète de dépense publique ? J'avoue hésiter entre les deux sobriquets. L'un et l'autre se justifient à peu près également.

    Il existe en effet est une distorsion frappante du même personnage entre ce qui paraît être "sa" politique étrangère et européenne, y compris sur la question des réfugiés, et les questions intérieures, économiques, sociales, ou éducatives puisque l'École publique monopoliste demeure une espèce de mythe national, sur lequel il n'a rien dit, malgré l'urgence.

    Sur les premières, à l'international, son action semble presque cohérente : des décisions sont prises, en partie mauvaises mais aussi en partie compréhensibles. Elles sont prises, oui, mais elles prises par les autres.

    Pour être plus précis, la ligne directrice de l'activité internationale de François Hollande est fixée par une sorte de compromis entre, d'une part, les volontés de la chancelière Angela Merkel et, d'autre part, celles du département d'État américain plus ou moins communiquées par un président Obama en fin de mandat. Comme il s'agit de deux gouvernements relativement convergents, il s'en suit une sorte de cohérence dont les actuels responsables parisiens ne sauraient être crédités qu'à titre de suiveurs dociles.

    L'apport personnel de François Hollande relève ici de "Flanby". Même l'erreur qui consiste à prétendre pouvoir se cantonner, comme en Libye en 2011, à des frappes aériennes, est voulue par d'autres. Ajoutons que les moyens dont l'armée française dispose sur place, et que l'on exclut d'augmenter, 700 hommes je crois, quelques aéronefs dont 6 excellents Rafale, sauf erreur, excluent d'aller beaucoup plus loin.

    C'est au contraire "Porcinet" qui se révèle dans ses grognements incohérents et inaudibles en politique intérieure. "Porcinet" s'ébroue dans son auge et croit faire le beau en agitant sa petite queue en tire-bouchon, si caractéristique de l'espèce laïque et obligatoire : je dépense donc je suis, je débloque des fonds qui n'existent pas, j'annonce des choses qui ne se produiront pas, je formule des résolutions pour un avenir que je suis incapable de garantir. Ces gens avaient formulé leur doctrine à la grande époque des radicaux-socialistes : appuyons-nous bien sur les principes ils finiront par céder.

    On commence à le comprendre quand il parle des économies budgétaires, du train de vie de l'État, des tours de vis imposées aux collectivités locales, accessoirement passées à droite etc.

    On jongle, de façon rhétorique, avec des milliards improbables mais on se garde bien de dire sur quels points on pourrait réduire les dépenses. On se propose à peine de ralentir leurs hausses, mais toutes les politiques mises en place dans le quinquennat précédent, bien timides pourtant, largement insuffisantes, ont été annulées.

    À la fin du quinquennat, s'il y parvient, Hollande aura vu le nombre de Français assujettis à l'impôt sur le revenu passer de quelque 50 %, aujourd'hui 56 % à pratiquement 60 % des citoyens.

    Cette donnée engendre une déresponsabilisation majoritaire des citoyens face à la dépense publique, que le prélèvement à la source se propose d'aggraver encore, pénalise les pauvres autant que les vrais riches ou les classes moyennes, car en France c'est tout le monde qui paye trop d'impôts et trop de charges sociales.

    Ne pensons pas dès lors que le socialisme recule parce que le socialisme recule à mesure que le parti qui s'en réclame officiellement s'effondre.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Leur vision du monde n’est pas la notre

    Invité de BFMTV le 3 septembre,  le philosophe Michel Onfray citait Audiard (« Les cons ça ose tout c’est à ça qu’on les reconnait ») pour fustiger l’escroc intellectuel et boutefeu  Bernard-Henry Lévy, en tournée dans les médias  pour délivrer, toute honte bue et de manière bien écœurante,  tirades humanistes et invitation à l’accueil des migrants.  Force est de  constater que le Système  lui aussi  ose tout contre le FN.  Non  pas tant par bêtise  que  par souci  de sauver son hégémonie menacée par une  colère populaire dont  le Front National est l’«outil » le plus puissant et le plus cohérent.  Abstraction faite de cet  autre réceptacle du ras-le-bol de nos compatriotes, à savoir le  premier parti de France,  celui des abstentionnistes,  qui lui, certes, gêne assez peu la Caste au pouvoir puisque cette grève du vote  exprime un dégoût de la classe politicienne sans effet pratique, une  révolte stérile…

    A trois mois des élections régionales, nous avons ainsi  assisté dans le cadre de  l’abracadabrantesque et surréaliste enquête sur le financement du FN  à sa mise en examen. Même si le dossier est vide il s’agit de  déconsidérer et de salir l’image de l’opposition nationale, de coller au Front  l’étiquette d’un parti aussi « pourri » que les autres, autre moyen  pour tenter de faire monter l’abstention…

    Dans un autre registre, de Nicolas Sarkozy à Bruno Lemaire, les positions  antinationales, progressistes, immigrationnistes  ont  été largement  abandonnées (en surface) par de nombreux pontes Républicains,  au profit d’un discours plus musclé visant à  retenir  par la manche l’électorat de droite très inquiet de la déferlante migratoire.

    Electorat  qui se souvient aussi  de l’inefficacité  du sarkozysme pouvoir, des promesses trahies dans ce domaine. Et   qui est aussi  déboussolé par les sons de cloche discordants  qui se font entendre  chez les Républicains dont l’aile gauche,  incarnée notamment  par sa vice-présidente, Nathalie Kosciusko- Morizet, campe sur les mêmes  positions que le PS.

    Le vrai fond de cette droite là, atlanto-européiste, du moins  chez ses principaux dirigeants,  reste bien  la détestation de la droite nationale, de ses valeurs, de ses idées. Alain Juppé le rappelle opportunément dans la préface qu’il a signée  du  livre de Catherine Clément sur le calamiteux  Jacques Chirac, qui vient de sortir en librairie.

    « Certes, les Français aiment les héros couturés de cicatrices et Chirac en porte de nombreuses » affirme sans rire le maire de Bordeaux, qui ajoute que « tout engagement politique commence par un refus. Celui de Chirac est inébranlable : c’est sa détestation de l’idéologie de l’extrême droite française, de sa vision d’une France égocentrique, raciste et xénophobe dont le Front National et son président d’honneur restent les propagandistes ». « Chirac a toujours résisté aux pressions que certains, dans son camp même, ont pu exercer sur lui pour le convaincre de parler avec Le Pen. Les tentatives de dialogue ont toujours tourné court. »

    Une droite dont les présidentiables se reconnaissent, sans oser toujours l’avouer de manière  aussi franche, dans les propos d’un Bruno Roger-Petit, qui officie notamment dans l’Obs, même si ce dernier fustige les clins d’œil opportunistes  d’un Nicolas Sarkozy aux Français séduits par le FN et Marine Le Pen.

    Hier  matin, lors  du débat animé par Guillaume Durand sur Radio Classique, M. Roger-Petit s’est livré à ses attaques habituelles contre les défenseurs de l’identité  française, en appelant à la poursuite de l’immigration massive, à l’accueil sans retenue des flux migratoires au nom d’une  fidélité idéologique  à  la « révolution de 1789 ». En l’occurrence sa vision  d’une  citoyenneté hors-sol,  abstraite et désincarnée au nom de laquelle chaque citoyen du monde est interchangeable,  ici et maintenant.

    D’un même élan,  mêlant l’inculture la plus crasse  à la propagande la plus primaire, Bruno Roger-Petit a dénoncé pareillement les tenants des « racines chrétiennes  de l’Europe », toujours  au nom  du message  révolutionnaire puisque le  catholicisme « aurait massacré tout le monde»   en France  «pendant sept siècles » ! Là aussi il fallait oser le dire…

    C’est au nom de cet « idéal » mondialiste,  repeint au couleurs des valeurs éternelles de la République (sans frontières)  et des droits  de l’homme,   que se répandent  dans les médias les propositions visant à repeupler nos villages désertés par des « migrants » venus du  Proche-Orient, du continent africain ou asiatique.

    Notons l’espèce de miracle, pointé déjà par Bruno Gollnisch,  qui fait que si  les familles françaises les plus  modestes  attendent parfois depuis des années  un logement, il semble n’y ait aucun problème dans les communes concernées,  pour accueillir et abriter  d’ ores et déjà des centaines de familles immigrées. Cherchez l’erreur? 

    Cette politique  d’ouverture, de colonisation et de grand remplacement   serait la seule susceptible de redynamiser notre « Etat en faillite » et de régénérer cette France moisie, frileuse,  « égocentrique, raciste et xénophobe » selon les mots de M. Juppé cité plus haut diffamant  la frange la plus lucide de nos compatriotes.

    La finalité étant de conduire notre pays vers cet avenir radieux défini par Nicolas Sarkozy, en 2007 dans son livre Témoignage, présentant  alors son projet : « Je pense que les Français attendent une France d’après (…), une France où l’expression Français de souche aura disparu. »

    Dans cette entreprise de sidération, les gros médias encensent désormais Angela Merkel, qui,  affirmait Eric Zemmour hier dans sa chronique sur RTL , est « l’incarnation d’un continent de mamans qui ne supportent pas la photo d’un enfant mort.»  Une émotion certes bien compréhensible, nous l’avons dit sur ce blogue, sur laquelle capitalise odieusement  le lobby immigrationniste. Une opération de com   qui a permis à BFMTV, une semaine après la diffusion de la photo d’Aylan Kurdi,  de sortir de son chapeau un  sondage au terme duquel 53% des personnes interrogées seraient  favorables à l’accueil de migrants et de réfugiés en France contre 44% au début du mois ( respectivement 60%  et 84%  des sympathisants de LR et du FN y resteraient  formellement opposés).

    Dans sa chronique, M. Zemmour soulignait que si la chancelière allemande a émis le vœu d’accueillir 800 000 immigrés dans les prochains mois, elle bénéficie du soutien  d’un certain patronat germanique « qui voit l’arrivée d’un  main d’œuvre pas cher, massive, malléable  remplaçant dans leurs usines les petits blonds que les femmes autochtones n’ont pas fait (…). Certains  allemands esseulés rappellent  que ce ne sera pas  la première fois dans l’histoire  que leur pays provoquera la catastrophe en Europe. »

    Une Allemagne soulignait le Suisse  Oskar Freysinger, conseiller d’Etat, membre de l’Union démocratique du centre (UDC), dans un entretien  récent accordé au site LaPravda.ch,  qui joue systématiquement  contre les intérêts de l’Europe. En atteste  son alignement sur les volontés états-uniennes : «par quel biais les Américains tiennent Merkel, tiennent l’Allemagne ?  Il doit  y avoir des accords  secrets,  quelque  chose qui fait que les  Allemands  sont   totalement à la botte des anglo-saxons au contraire de leurs intérêts  qui est de s’allier avec les Russes. »

    Il souligne également qu’il n’est pas nécessaire d’être un illuminé  complotiste pour voir  la main de Washington, tout  à sa politique  constante  d’affaiblissement des pays européens, dans la déstabilisation migratoire  qui menace aujourd’hui notre continent comme jamais dans son histoire… Avec l’aide des idiots utiles ou des complices assumés de ce Système auquel les Français seront en droit de demander des comptes…et ce,  d’ores et déjà dans les urnes en décembre prochain !

    http://gollnisch.com/2015/09/11/leur-vision-du-monde-nest-pas-la-notre/

  • Humanitaires, identitaires, sécuritaires

    Terrible cacophonie de ces derniers jours. Certains parlent comme si le débat se situait en France, alors que les décisions dont on se préoccupe sont prises ailleurs. Nous voici donc, tous, dans l'Hexagone comme dans le Continent, tiraillés entre des références contradictoires.

    Chacun d'entre nous, citoyens, contribuables ou dirigeants, ces jours-ci, s'est vu sollicité sous l'emprise émotionnelle d'une photographie, évidemment affreuse. Révoltante. L'horrible cliché d'un enfant mort noyé a été diffusé en effet par tous les journaux. Il a été rejeté par la mer sur la plage de Bodrum.

    Cet endroit s'appelait Halicarnasse, depuis des millénaires, avant qu'en 1922 des milliers d'enfants chrétiens de cette région, mais aussi des vieillards, des femmes, des prêtres, des infirmes, aient été massacrés dans l'indifférence générale. "N'ayez pas peur" disaient les envahisseurs kemalistes qui allaient détruire Smyrne. Et d'une certaine manière ces monstres avaient raison : il ne faudrait jamais avoir peur, car dans le christianisme le martyre est une couronne pour l'éternité.

    On nous mobilise métaphoriquement aujourd'hui, autour de mots ritournelles, qui ne veulent hélas rien dire de bien précis.

    Au nom de ces principes vagues, on doit tout accepter, ou passer pour un salaud. C'est la règle du jeu selon Volkoff : "premier qui dit fasciste à l'autre a gagné".

    Nos gouvernants prétendent dès lors raisonner en termes exclusivement humanitaires, au nom de ce qu'ils appellent des "valeurs", valeurs qu'ils n'ont jamais vraiment définies, indexées sans doute sur le cours du pétrole.

    Vous avez dit Humanitaire : cent pour cent, vingt sur vingt, tableau d'honneur à celui qui l'invoque.

    Vous avez dit Sécuritaire ? Zéro. Identitaire ? Pouah !

    Et pourtant, dans cette période de jardinage nous pourrions penser à nos buis, menacés par la pyrale et l'armillaire, ces nouveaux parasites venus d'ailleurs.

    Est-il permis de rappeler aussi que les termites, qui rongent silencieusement nos charpentes, se sont développés en France camouflés dans des bois d'importations non contrôlés.

    Est-il permis dès lors de parler de précautions ?

    Précaution : certes, cet étrange "principe" devrait s'appliquer à lui-même. Mais avant d'être dogmatisé par nos ateliers du prêt-à-penser, le mot n'est-il pas le reflet d'une autre règle, plus modeste, vieille comme la terre : la prudence. Il me semble qu'on peut donc s'y référer.

    Pour s'en tenir au droit interne français de l'ère républicaine, c'est la loi Barnier de 1995 qui énonce pour la première fois une nouvelle norme. On peut la qualifier de philosophique, on l'observe en gestation au sein de diverses instances mondialistes. À l'époque on se préoccupait de défendre l'environnement.

    Puis en 1998, c'est le conseil d'État qui empêcha, au nom de cette notion, qui permit à l'administration de bloquer l'introduction certaines variétés de maïs génétiquement modifié.

    Le parlement français s’est réuni en Congrès à Versailles en février 2005. Il a voté l'introduction dans l'article 5 de la Constitution une Charte de l'environnement, ceci installant ainsi dans notre loi fondamentale.

    Inutile de souligner que la jurisprudence de la Cour de Justice de l'Union européenne, laquelle comme chacun devrait le savoir, et comme certains le déplorent, dit un droit qui prime le droit national, considère que ce même principe justifie l’adoption de mesures restrictives.

    Il y a 20 ans encore le législateur employait le mot de "certitudes". De ce terme extrêmement dangereux, il convient toujours de savoir se méfier.

    Humanitaires ? Sécuritaires ? Identitaires ? Les citoyens disposent encore en théorie du droit de choisir lesquels de ces principes doivent prévaloir. Dans la pratique je les sens moins fous que les technocrates qui, incapables de se gouverner eux-mêmes selon la droite raison, prétendent encore nous régenter.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • Pas de logement pour les SDF

     
  • Migrants : Sarkozy est ambigu selon Valeurs Actuelles

    Dans sa lettre quotidienne, Yves de Kerdrel écrit :

    Yves_desktop"Sarkozy ambigu. La droite n’est pas à l’aise avec le sujet des migrants. Son attitude se retrouve dans les propos tenus par François Baroin : bien sûr il faut les accueillir, mais moi je n’en veux pas à Troyes. L’ex-Chef de l’État a donc essayé de poser les bases d’une réponse de « droite » à ce défi des flux migratoires. Un : en réfutant la notion de quotas. Deux : en exigeant la remise à plat de Schengen. Trois : en demandant la création d’un statut de « réfugié de guerre ». Tout cela sont des conditions nécessaires, mais bien insuffisantes pour répondre à ce drameCar tant que le droit du sol perdurera, nous savons très bien que ces migrants s’installeront en France et voudront que leurs enfants deviennent Français pour bénéficier de tous les avantages qui vont avec. Quel dommage, dans ces conditions, que Nicolas Sarkozy n’ait pas été jusqu’au bout de sa logique !"

    Michel Janva

  • Serbie : une Syrienne rappelle quelques vérités sur l’invasion de réfugiés en Europe

    Trouvé sur NDF : Voici un discours percutant à faire circuler. Une  prend la parole à Belgrade pour dénoncer les faux réfugiés et l’Occident lors de la manifestation organisée par le Mouvement national serbe « Obraz » de dimanche dernier.

    Extraits : Les personnes que vous voyez dans les rues de Belgrade en route pour l’Allemagne ou la Hollande, ne sont pas de vrais Syriens.

    Laissez-moi vous poser cette question : si l’Occident ne veut pas que ces réfugiés périssent en mer, pourquoi ne lèvent-t-il pas les sanctions qui pèsent sur le peuple Syrien qui ont déjà coûté 143 milliards de dollars à la Syrie ?

    Si ce n’est pas dans l’agenda de l’Occident, pourquoi n’aide-t-il pas les Syriens à rester [chez eux] en aidant l’armée syrienne à se débarrasser des terroristes et faire de la Syrie un pays sûr de nouveau ?

    Pourquoi le reste des Syriens reste et résiste ?

    Il dépouille la Syrie des gens qui peuvent reconstruire le pays. Il veut briser la Syrie et le peuple Syrien. D’un côté, il veut voler les docteurs syriens et leurs meilleurs étudiants et cela entraînera une fuite des cerveaux. Et d’un autre côté, les multinationales veulent une main d’œuvre bon marché de façon à baisser les salaires.

    Jusqu’à maintenant, nous avons perdu cent mille soldats qui se battaient contre les extrémistes. Je n’ai pas entendu l’Occident pleurer sur ceux qui ont donné leur vie pour défendre la nation et laissant derrière eux des familles éplorées qui ont besoin d’aide.

    Et d’un autre côté il s’efforce d’aider des personnes qui fuient leur pays. Beaucoup d’entre eux sont des djihadistes et, qui plus est, ils sont payés des milliers d’euros pour cela.

    Laissez-moi vous dire que l’argent qu’ils dépensent pour venir est suffisant pour acheter une maison dans un endroit sûr en Syrie pour une famille de cinq personnes, et entreprendre un petit boulot et bien vivre.

    Ce ne sont pas des réfugiés. Ce sont des migrants économiques.

    Nos côtes sont très bien gardées, et pas un seul bateau de migrants ne part d’ici. Un autre motif est de faire sortir les chrétiens de Syrie, historiquement, l’une des premières terres chrétiennes. Ce que nous avons aujourd’hui en Syrie est similaire à ce que vous aviez en Serbie avant. Leur but : notre identité, notre unité et notre souveraineté.

    http://www.contre-info.com/serbie-une-syrienne-rappelle-quelques-verites-sur-linvasion-de-refugies-en-europe#more-39195

  • Farage : nous devons être fous de prendre le risque de voir des djihadistes sur notre sol

  • Média policier

    Le Parisien dresse la carte des villes qui refusent d'accueillir la vague migratoire.

    POn peut estimer qu'il reste assez de place ailleurs pour installer tout ce petit monde...  Néanmoins, il est permis de s'interroger sur l'intérêt d'une telle dénonciation.

    On attend la carte du Parisien indiquant les lieux où se sont déroulées des exactions... et puis une autre montrant les lieux où s'est déroulé un attentat, et puis une indiquant les lieux où un "déséquilibré" a commis une coranerie... Et puis une autre listant les lieux chrétiens vandalisés... Il est permis de rêver.

    Michel Janva

  • Zoom : Jean-Yves Le Gallou - les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles (10-09-2015)