Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1198

  • La vidéo qui choque la Hongrie : un jeune « réfugié » menace d’égorger devant une équipe de télévision

    Voilà une vidéo qui fait le tour de la Hongrie mais que vous ne verrez pas au journal télévisé d’une chaîne française. Une équipe de télévision hongroise filme un centre d’accueil pour réfugiés mis dans un état épouvantable par les immigrés qui y transitent. Devant l’équipe de télévision, un jeune « réfugié » fait un geste menaçant : il mime un égorgement. C’est sa façon à lui de remercier l’Europe qui l’accueille…

    http://www.medias-presse.info/la-video-qui-choque-la-hongrie-un-jeune-refugie-menace-degorger-devant-une-equipe-de-television/38831

  • Libertés, libertés chéries

    La réunion extraordinaire, hier à Bruxelles, des ministres de l’Intérieur de l’UE pour répartir dans nos pays, de manière contraignante, comme l’exige  la Commission européenne et l’Allemagne, les  torrents migratoires  qui ont pénétré en Europe a été un échec.  Les Etats membres ont  certes confirmé qu’ils acceptaient  de  se répartir  40 000 immigrés, comme cela avait été convenu fin juillet mais ils  ne désirent pas aller au-delà. Alors que Berlin et Vienne, « face à l’inaction de l’UE », dixit le gouvernement allemand,  ont  rétabli  des contrôles à leurs frontières, mettant fin  ainsi à la libre circulation prévue par les accords de Schengen, le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve,  s’est ému de ce qu’«un certain nombre de pays ne veulent pas adhérer à ce processus de solidarité». Notamment  «les pays du groupe de Visegrad» (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie).

    Dans cette Europe des lâches, qui a refusé pour ne pas froisser l’Oncle Sam  d’accorder l’asile politique à Julian  Assange et Edward  Snowden, Angela Merkel  voulait  faire déferler un nombre  sans limite de migrants. Elle  se rend compte aujourd’hui  que les capacités d’accueil de son pays sont saturées mais entend imposer sa xénomanie aux autres.

     Elle qui clamait que les Allemands ne voulaient plus mettre la main à la poche pour aider les Grecs, va  débourser  10 milliards d’euros pour  l’accueil des immigrés non européens, les  800.000 à un million de « migrants » supplémentaires  qui vivront  en Allemagne en 2015. Pour contraindre plus globalement  les nations rétives à leur installation,   elle a agité la menace de ne plus accepter les travailleurs détachés venant des pays  qui refuseraient l’invasion migratoire, comme  la République tchèque, la Hongrie, la Slovaquie ou la Pologne…Travailleurs européens qui pourraient être  demain remplacés par des réfugiés Kurdes ou  Somaliens qui coûteront encore moins cher à leurs employeurs…

    En Allemagne même,  les Allemands, quoi qu’en disent les médias occultant les manifestations anti-immigration à Dresde et Munich ces derniers jours,  mais  nous abreuvant a contraro  d’images de braves Teutons  applaudissant  les colonnes d’immigrés sortant des gares et leur souhaitant la bienvenue, les craintes sont réelles.

    Un récent  sondage  indiquait que 46% d’entre eux, malgré le lavage de cerveau auquel ils sont  soumis depuis des lustres, s’opposaient à cette politique  de substitution de population.  Ces mêmes allemands  qui avaient  fait du livre de  Thilo Sarrazin, Deutschland schäft  sich ab  (L’Allemagne court à sa perte) sur les conséquences de l’immigration-invasion, un phénomène de société et  un énorme  succès  de librairie  en 2010… Encore faudrait-il, certes,  que  nos voisins d’outre-Rhin aient la volonté de se donner un avenir notamment en faisant des enfants. Le taux de natalité en Allemagne (1,41 enfants par femme en 2014),  comme celui de la France d’ailleurs  (1,99 enfants par femme  l’année dernière),  soutenu  artificiellement par l’immigration,  n’assurant pas le renouvellement des générations.

    La France qui rien que  sous le quinquennat Sarkozy a vu s’installer un million d’immigrés « légaux » supplémentaires » se rebiffe elle aussi contre cette folle politique. Selon le sondage OpinionWay pour Metronews et LCI publié aujourd’hui, 51% des personnes interrogées estiment que le  FN a « raison de défendre une position ferme », 48% jugent cependant  qu’il « manque d’humanité ».

    Pour faire barrage à cet éveil  des consciences, à ce réveil populaire, les partis du Système  s’interrogent sur la marche à suivre.  Dans un entretien  à Libération paru lundi, le premier secrétaire du PS,  Jean-Christophe Cambadélis,  a enterré l’idée même d’un front ripoublicain en décembre, jugé désormais contre- productif : «  Dans les régions Nord-Pas-de-Calais et PACA, les listes menées par le PS ne se désisteront pas pour le candidat républicain le mieux placé entre les deux tours s’ils sont derrière LR et le FN.»

    D’autres proposent  une fusion de la  liste du PS et celle des Républicains au second tour  en cas de score très élevé du FN.  D’après France Info il s’agit de  la suggestion d’un ministre influent, seule solution pense-t-il,  pour  que la gauche ne soit pas  chassée des exécutifs  régionaux.

    Une proposition qui a reçu l’aval sur France Info ces dernières heures de Christophe Caresche,  député socialiste de Paris :   « Si au soir du premier tour, on constate qu’il y a dans un certain nombre de régions un risque sérieux que le Front National l’emporte il faut envisager cette hypothèse » . « Face à ce risque, il faut que ceux qui sont attachés à la République s’unissent pour faire barrage à l’arrivée éventuelle du FN à la tête d’un certain nombre de régions. Personne ne peut nier aujourd’hui que le Front National est en dynamique. Donc la question est de savoir comment on s’oppose au fait que le FN puisse arriver au pouvoir dans un certain nombre de régions, qu’il puisse mettre en place un projet profondément destructeur pour la République (sic) . C’est de cela dont il s’agit ».

    Ce dont il s’agit en fait constate Bruno Gollnisch,  c’est bien  en effet de poser les termes d’une   alternative très claire entre d’un côté  un projet frontiste de  rénovation de la France, de libertés retrouvées, de  renaissance nationale et de l’autre l’inféodation sans cesse accrue de la France aux dogmes mortifères de l’euromondialisme.  Alors oui M. Caresche, vous pouvez juger notre programme  profondément destructeur, mais il l’est  seulement  pour la Caste qui a confisqué le pouvoir, pour cette  pseudo république hors-sol, sans frontières, anti-française, où les vœux des Français sont bafoués.

    http://gollnisch.com/2015/09/15/libertes-libertes-cheries/

  • Une fonctionnaire du quai d'Orsay à l'origine de la mort d'Aylan ?

    Unknown-5Une consule honoraire de France en Turquie, qui vendait des canots aux réfugiésa présenté lundi sa démission, trois jours après avoir été suspendue de ses fonctions, a annoncé le ministère des Affaires étrangères. Les consuls honoraires, qui accomplissent en principe leur mission bénévolement, sont des fonctionnaires au statut particulier qui leur permet d'exercer une activité professionnelle rémunérée. Leur rôle principal est de maintenir un contact avec leurs compatriotes. Ils ont des compétences réduites à la protection et l'assistance en raison de leur connaissance de la région où ils sont et de leurs liens avec les autorités locales.

    France 2 avait tourné en caméra cachée dans le magasin de vente d'articles maritimes de Françoise Olcay, consule honoraire à Bodrum depuis octobre 2014. Dans le reportage, elle reconnaît vendre des canots pneumatiques et des gilets de sauvetage à des migrants et réfugiés cherchant à gagner une île grecque au péril de leur vie. Elle admet aussi participer par ce biais à un trafic et assure que les autorités locales turques y participent aussi.

    C'est notamment de Bodrum que partent des milliers de réfugiés vers des îles grecques. C'est au large de cette ville que le petit Aylan Kurdi, dont la photo sur le sable a horrifié le monde entier, s'est noyé avec plusieurs membres de sa famille.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Invasion migratoire. Capitulation suicidaire de l’Europe – par Guillaume Faye

    Cet article est la suite du précédent. Déferlante migratoire : la vague des ”réfugiés” s’ajoute, comme un raz-de-marée, à l’inondation en cours depuis plusieurs décennies. Alors que la majorité des peuples européens autochtones la refuse, la gauche et la droite, en France et ailleurs en Europe, comme la plupart des institutions médiatiques ou religieuses, comme aussi la Commission européenne non élue et coutumière de l’excès de pouvoir permanent, imposent aux populations, de manière dictatoriale, l’ ”accueil” de centaines de milliers de nouveaux immigrés. Sans aucun référendum. Au non d’un devoir moral qui est à la fois une perversion de la morale et un suicide. Mais aussi un exemple de mépris de la démocratie et de divorce irrémédiable entre les peuples et de pseudo élites. Prélude à une explosion.

    Le jeu trouble de la pauvre Allemagne

    C’est un jeu stupide et nuisible, irréfléchi. Les premiers ”réfugiés” de la nouvelle vague invasive (13.000) sont arrivés en Allemagne le 6 septembre, accueillis par des banderoles ”welcome in Germany” et des milliers de citoyens qui applaudissaient, hilares. Des milliers d’autres sont attendus en septembre. 150.000 places d’hébergement d’urgence sont ouvertes. Scènes pitoyables d’humanitarisme naïf où une partie d’un peuple se réjouit de sa propre invasion et de sa propre disparition, détruit à terme par cette migration de masse. Ce genre d’image, très médiatisée, est un encouragement fort à de nouveaux flux d’entrées de ”réfugiés”. L’Allemagne, avec une natalité ultra-basse et des flux migratoires considérables, peut vivre un changement de population, peuplée à la fin du siècle par une majorité de musulmans qui ne parleront même plus allemand. Ce ”nouveau pays”, devenu moyen-oriental et non plus germanique, à l’image de ses voisins béatement envahis, ne connaîtra pas la prospérité ni la paix mais, à terme, le désordre et le déclin. Il y a une bêtise politique allemande, insondable. Un oubli de soi.

    Pour se faire pardonner et faire oublier le nazisme (qui continue d’obséder et de culpabiliser le psychisme collectif allemand) et pour donner au monde l’image d’une Allemagne exemplaire, le cœur sur la main, le gouvernement allemand se veut ouvert à toutes les immigrations. Thilo Sarrazin a fait scandale en écrivant L’Allemagne disparaît, best-seller paru en 2010, contre l’immigration et l’islamisation. 40 % des Allemands sont opposés à l’accueil de nouveaux immigrés, mais ils sont une minorité….

    On a l’impression que l’âme allemande profonde, incapable d’équilibre, passe d’un excès à l’autre, sans souci du juste milieu (mésotès aristotélicien), par romantisme dépourvu de raison : de la brutalité raciste impitoyable à l’antiracisme le plus délirant. Deux stupidités parallèles : c’est l’extrémisme allemand. Ce romantisme, intéressant en art (jadis, plus aujourd’hui…) est débile en politique. L’Allemagne et la politique : incompatibilité absolue, ainsi que Nietzsche l’avait vu.

    Comme une catharsis (”purification”), pour se faire pardonner les catastrophiques excès passés (de 1870 à 1945), les dirigeants allemands et une partie de leur peuple militent maintenant pour imposer à l’Europe une ouverture totale des frontières à l’inondation migratoire, sous prétexte de ”morale”.

    Pascal Bruckner relève cette hypocrisie : « nous retrouvons chez les Allemands les arguments habituels des défenseurs de l’immigration : un ton humanitaire un peu bêlant doublé d’un calcul économique qui l’est moins. Les patrons allemands le disent explicitement : nous avons besoin de main d’œuvre. Pour eux, un tel afflux est une aubaine. Collusion entre l’ultra-gauche sans-frontiériste et le grand patronat » (Le Figaro, 04/09/2015). Les élites allemandes sont égoïstes à court terme mais suicidaires à long terme.

     

    Questions sur la politique allemande

    L’Allemagne et la Commission de Bruxelles – par l’intermédiaire de Jean-Claude Junker, une créature de Mme Merkel– fixent autoritairement des quotas d’accueil de ”réfugiés” aux pays européens, ce qui constitue un viol de souveraineté, un de plus, non prévu par les traités : la Hongrie, la Pologne, l’Espagne, la Grande Bretagne, la République tchèque tentent de résister – jusqu’à quand ? La France de Hollande, elle, a cédé.

    Sigmar Gabriel, vice – chancelier et ministre de l’Économie, n’a pas hésité à sortir cette énormité, parlant des ”réfugiés”, le 8 septembre : « nous pouvons certainement gérer un chiffre de l’ordre du demi-million chaque année » : calcul purement économique dans un pays à faible taux de chômage, en déclin démographique et donc en déficit croissant de population active. L’économie allemande a donc besoin d’une main d’œuvre importée à bon marché. Cette alliance de bons sentiments chrétiens et de calcul financier, assortie d’une politique volontariste d’assimilation à la culture allemande, relève d’une démarche stupide, profitable à très court terme mais suicidaire et impraticable à moyen terme. Pour trois raisons : 1) avec l’interminable chaos guerrier du Moyen-Orient et de l’Afrique (tous liés à l’islam), les masses de ”réfugiés” ne vont cesser de croître, faisant exploser tous les ”quotas”. 2) La politique allemande d’assimilation de populations allogènes croissantes, musulmanes à 80% et prolifiques, va inévitablement échouer et déboucher sur l’importation du chaos ; et sur la dégermanisation du pays. 3) Plutôt que de relancer sa natalité (comme essaie d’y parvenir la Russie de Poutine) ou de refuser toute immigration et de miser sur la robotisation (comme le tente le Japon qui est, lui, pourvu d’une conscience ethnique et nationale), l’Allemagne, hallucinée, choisit la pire des solutions ; qui, paradoxalement, va ruiner à terme sa prospérité économique en créant le chaos ethnique. Une fois de plus, et pour des raisons différentes, depuis la fin du XIXe siècle, la politique allemande est nuisible pour l’Europe. Tout autant, sinon plus, que la politique américaine. Et la France ?

    Naïvetés et démissions françaises

    Et la France, qui renonce à sa souveraineté, oubliant tous les principes ”gaullistes” dont on se réclame avec une hypocrisie ridicule, s’aligne, surtout avec le gouvernement socialiste, sur les ordres de Bruxelles, de Berlin et de Washington. François Hollande, la girouette, qui prônait en mai 2015 un accueil des seuls vrais réfugiés, en refusant les quotas obligatoires pour chaque pays européen, vient de céder aux injonctions de la chancelière Merkel et d’accepter ces quotas. De ce fait, 24.000 ”réfugiés” attribués à la France (sur les 160.000 à répartir) vont entrer en septembre, en plus des 6.800 autorisés à venir en juillet, dans un pays qui compte 5 millions de chômeurs en chiffres réel et qui est endetté à 100% du PIB.. Selon Yves Thréard (Le Figaro, 08/09/2015), il s’agit d’un « engrenage » : « les réfugiés, combien seront-ils demain ? Sans doute des millions, fuyant la terreur islamiste. L’avenir le montrera, ce témoignage de générosité se révèlera une erreur irréversible. Combien de migrants dits économique vont continuer à s’engouffrer dans la brèche ? Comment raccompagner chez eux ceux qui ne sont pas éligibles au droit d’asile ? » En effet, 350.000 ”réfugiés” ont déjà pénétré en Europe depuis janvier, chiffre qu’il faudra tripler en décembre ! Et 4 millions sont en attente dans les camps de déplacés du Moyen–Orient.

    Et ces nouveaux migrants sont tous musulmans, alors que 62% des Français estiment qu’il y a beaucoup trop de musulmans en France et que l’islam représente un danger. Selon la Cour des comptes, seuls 1% des déboutés du droit d’asile quittent le territoire. Réussir à entrer, c’est rester.

    Le PS, dont l’idéologie fabrique à la fois le chômage de masse et l’immigration de masse, propose par le ”Réseau de villes solidaires”, que chaque commune accueille un quota de ”migrants réfugiés” (donc de clandestins), aux frais du contribuable. La droite LR (ex-UMP) est exactement sur la même position idéologique : l’initiative « J’accueille » lancée par le maire LR de Saint-Étienne vise à obliger, même les petites communes, à recevoir son quota de migrants illégaux ”réfugiés”. Le ministre de l’Intérieur, M. Cazeneuve, est d’accord et va coordonner cette initiative immigrationniste droite–gauche. Accepter et organiser l’invasion au nom de la charité.

    Les propos d’Alain Denis, président des maires ruraux du Maine–et–Loire, empreints de bon sens populaire, ont horrifié l’oligarchie politico-médiatique parisienne : « il faut être cohérent : si aujourd’hui 10.000 réfugiés sont accueillis, demain il en arrivera 100.000 et après-demain un million ! La mesure d’urgence, c’est de lutter contre les fous, les guerres et le réchauffement climatique, pour que les gens puissent rester chez eux ! Nos politiques ne font que déplacer les problèmes. Alors on va bétonner la France pour faire des lotissements, et quand il n’y aura plus de terres agricoles, comment est-ce qu’on se nourrira ? Et le jour où le chaos s’installera dans notre pays, qui accueillera les Français ? »

    Seul le FN reprend l’opinion de la majorité des Français. À l’Université d’été du FN, à Marseille, le 6 septembre, Marine Le Pen a osé énoncer l’évidence : « l’immigration, n’est pas une chance, c’est un fardeau », sans aller jusqu’à avouer que c’était une catastrophe. « Notre pays n’a ni les moyens, ni l’envie ni l’énergie d’être plus généreux avec la misère du monde ». Elle a justement dénoncé la « lourde responsabilité de l’Allemagne », qui s’engage à accueillir 800.000 migrants, ce qui va constituer un énorme appel d’air pour de futures vagues invasives. (Il semblerait d’ailleurs que Marine Le Pen, sous la pression de l’urgence de la crise migratoire et pour apaiser son grave conflit avec son père, revienne aux fondamentaux du FN.)

    Nicolas Sarkozy, le faux dur, politicien calculateur, a commenté en ces termes démagogiques et superficiels les propos de MLP, leur « inhumanité », leur « absence de compassion » : « j’ai eu honte pour Mme Le Pen, de cette brutalité ! Quelle absence du moindre sentiment ! On n’a vraiment pas envie de faire partie de la famille Le Pen ! Nous sommes des êtres humains, nous avons des racines chrétiennes. Qui n’a pas été bouleversé par ces images ? »

    En finir avec l’humanitarisme et le chantage émotionnel

    Quelles images ? On ne raisonne, plus, on ne fait plus de politique, on fait de l’iconophilie ou culte des images médiatiques émotionnelles. Ces images racoleuses sont celles d’une manipulation médiatique mondiale, de nature marketing et commerciale, montrant un enfant syrien kurde noyé sur une plage de Turquie. Message subliminal pervers : c’est nous les coupables ! Une répugnante manœuvre de culpabilisation émotionnelle des opinions européennes a été entreprise depuis deux ans, à grande échelle à la suite de photos, de reportages – ad nauseam – de noyés en Méditerranée ou de ”réfugiés” retrouvés morts dans des camions ou ailleurs. Tout cela a été démultiplié par les réseaux sociaux Internet. Ce chantage moral a pour effet de dissuader les Européens de se défendre de l’invasion ; c’est une véritable manipulation mentale, un lavage de cerveau soft.

    Au nom d’une charité chrétienne mal comprise, l’Église catholique sermonne et demande d’accueillir tous les migrants, exactement comme le parti pseudo écologiste mais vraiment trotskiste EELV. Le Pape François, dans la lignée de son discours culpabilisateur de Lampedusa, exige d’ouvrir toutes les frontières. Et il demande à chaque paroisse d’Europe d’accueillir des ”réfugiés” (pas des chrétiens d’Orient en priorité) mais tout le monde, sans distinction. Folie pure, dans la lignée d’une ”charité chrétienne” franciscaine et jésuitique qui perd la raison et oublie les fondements thomistes et aristotéliciens du bon sens. Tous, inconscients, oublient les avertissement solennels aux Européens des évêques de Syrie et d’Irak dont les fidèles sont persécutés : ce qui nous arrive, disent-ils, va vous arriver si vous continuez, par une charité dévoyée, à laisser s’installer chez vous des centaines de milliers d’immigrés, en majorité musulmans. Ce bon sens n’est pas entendu par les fous.

    Bien entendu, les ”élites” immigrationnistes refusent de recevoir les ”réfugiés” chez eux : c’est au ”peuple” d’accomplir ce devoir d’accueil, dans les villages et les petites villes. La droite LR (ex-UMP) essaie de conjuguer l’accueil des ”vrais réfugiés” et le rejet des clandestins économiques. Pas crédible : quand elle était au pouvoir, elle a laissé filer, tout comme la gauche, les flux migratoires. Paroles, paroles…

    M. Victor Orban, le Premier ministre de Hongrie, a choqué l’oligarchie politico-médiatique européenne en érigeant un mur de barbelés entre son pays et la Serbie et en déclarant : « aujourd’hui, nous parlons de centaines de milliers, l’an prochain nous discuterons de millions et, d’un seul coup, nous nous retrouverons en minorité sur notre propre continent ».

    L’antidémocrate Fabius a dénoncé l’attitude « scandaleuse » de la Hongrie, qui tente de se défendre. L’Australie et Israël font de même, en beaucoup plus fort, mais le grand donneur de morale Fabius ne les condamne pas. Diplomatie ? La république tchèque, la Slovaquie et la Pologne semblent s’aligner sur la Hongrie pour s’opposer à l’invasion migratoire. Le premier ministre slovaque (de gauche), Robert Fico, a scandalisé les vierges effarouchées de l’Union européenne en déclarant, en accord total avec son opinion publique : « Je ne veux pas voir mon pays se réveiller un beau matin avec 100.000 personnes venues du monde arabe ».

    Imposteurs et menteurs

    Dans l’immédiat, c’est plus de 30.000 ”réfugiés” que la France devrait immédiatement accueillir (nourrir, entretenir, payer, loger) d’ici octobre si les quotas imposés par Bruxelles et l’Allemagne sont entérinés. En plus de tous les autres… La France ? Et pourquoi pas les richissimes pays du Golfe, qui accueilleraient ainsi leurs coreligionnaires – sauf les chrétiens, évidemment.

    Les intellectuels et les inévitables ”artistes” ou pseudo artistes, population bien protégée, ne sont pas en reste de fausse générosité. Comme toujours, que ce soit en France ou aux USA, le milieu du show business, immigrationniste et bourgeois gauchisant, joue, pour des raisons médiatiques et commerciales, la carte de l’humanitarisme larmoyant.

    Une cinquantaine d’ ”artistes” de cour, dont Line Renaud, Daft Punk, Dany Boon, Nicolas Canteloup, etc. ont signé un appel bidon intitulé « Une main tendue » pour exiger de l’Europe d’« assumer aujourd’hui le devoir d’asile ». Ils obéissent à l’idéologie dominante qui les entretient. Aucun de ces saltimbanques hypocrites et surpayés n’accepterait d‘héberger chez lui le moindre ”réfugié”. Leur générosité est un simulacre qui a ses limites.

    M. Raffarin, le représentant de ”l’aile humaniste” des Républicains est favorable à une politique des quotas pour les réfugiés et estime que « la peur » du peuple (propos méprisants d’un grand bourgeois protégé et engraissé) face à l’afflux massif d’immigrés « vient de ce que la politique d’immigration n’est pas maîtrisée ». De qui se moque-t-il ? Il a été Premier ministre, aux manettes de l’État Que ne l’a-t-il maîtrisée ? Même remarque pour les donneurs de leçons, les politiciens Sarkozy et Juppé. Sarkozy, d’ailleurs, a lancé une proposition délirante et totalement inapplicable : il propose de créer des « centres de rétention au Maghreb » pour les migrants clandestins en provenance d’Afrique. On est sidéré par un tel niveau d’idiotie et d’irréalisme. Ce Sarkozy, qui est en partie à l’origine du chaos avec son intervention en Libye…

    Pour l’instant, ils sont tranquilles dans leurs beaux quartiers, les politiciens, les journalistes, les ”artistes”, favorables à l’immigration massive, supportée par le peuple. Tant que l’inondation n’est pas arrivée chez eux. Patience, ça va venir. Et là, avec leur lâcheté habituelle, ils retourneront leur veste. Mais il sera trop tard.

    Évacuer la mauvaise conscience

    Ni la France ni l’Europe n’ont aucun ”devoir d’asile”, n’en déplaise à l’oligarchie politique et médiatique ni aux sermons froids des prélats catholiques. Assez de larmes et de faux gémissements. Pourquoi les millions de vrais ou faux réfugiés du monde entier se déverseraient-ils en Europe ? Ce devoir d’accueil universel, quel droit le fonde ? Parce que nous devons payer pour les ”crimes” de la colonisation ? On a l’impression que l’Europe est sommée de devenir le déversoir du monde. L’oligarchie culpabilise le peuple, le fait pleurer par une propagande médiatique et lui enjoint de s’ouvrir à une hospitalité illimitée qui signifie en réalité : invasion et colonisation forcée.

    Nous n’avons pas à nous sentir coupables des noyés de Méditerranée auxquels nous portons assistance alors que nous devrions les refouler. Non, nous n’avons pas à nous laisser impressionner par les larmes de crocodiles des présentateurs télé et des politiciens. Et les autres pays du monde, que font-ils ?

    Nous ne devons pas être paralysés par la pitié pour les autres, mais, comme n’importe quel autre peuple dans le monde, préoccupés par notre survie. Chacun chez soi, chacun responsable. Nous ne devons pas nous soumettre aux injonctions d’une Allemagne inconséquente qui manipule les institutions européennes en oubliant d’être véritablement ” européenne” dans l’âme et qui se livre à un égoïsme suicidaire pour se racheter une bonne conscience et une virginité morale.

    Est-ce que les Indiens, les Chinois, les Japonais, les monarchies arabes accueillent les ”réfugiés” ? Les Etats-Unis, en quatre ans, n’ont accueilli que 1.500 réfugiés syriens ! Et pourtant, c’est en grande partie à cause de leurs interventions militaires déstabilisatrices au Moyen–Orient, avec leurs supplétifs britanniques, que nous en sommes là. C’est aux Européens de payer leurs pots cassés.

    Le prochain et dernier article de cette série, à paraître très prochainement, s’intitulera : Invasion migratoire 3. Pour un remède de cheval.

    Guillaume Faye

    http://fr.novopress.info/192145/invasion-migratoire-capitulation-suicidaire-leurope-guillaume-faye/

  • "Des consignes gouvernementales" pour refuser l'asile aux chrétiens syriens

    Mieux vaut être musulman que chrétien d'Orient pour obtenir l'asile en France.Invités de Jean-Marie Le Méné sur Radio Courtoisie, Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie à l'université de Tours, et Marc Fromager, directeur de l'Aide à l'Eglise en détresse, lui ont expliqué pourquoi.

    Les deux explications de Frédéric Pichon :

    "Je me suis entretenu cet après-midi avec un haut fonctionnaire de la République qui travaille dans l'accueil des réfugiés et qui m'a dit très clairement, en me disant que je pouvais le répéter partout donc j'en profite pour le faire - qu'il y a des consignes gouvernementales pour noyer la question des chrétiens d'Orient. Il me dit : "Voilà, il y a des chrétiens syriens et irakiens qui attendent depuis huit mois un visa à Beyrouth". Il m'explique : "Il faut savoir que l'ambassade de France à Beyrouth sous-traite l'instruction des dossiers de visas à une compagnie privée libanaise détenue par un musulman sunnite." C'est un haut fonctionnaire, c'est quelqu'un de sérieux, c'est un préfet. Il me dit que maintenant, il conseillerait presque - mais je ne veux pas lancer ici un appel à émigrer pour les chrétiens - aux chrétiens d'émigrer sans demander de visas et de passer par la Turquie et de se cacher dans ce flot [de migrants] pour avoir des chances d'être accueillis. Parce qu'il y a des consignes, m'a-t-il dit, surtout pour les chrétiens syriens qui sont réputés être pro-régime. En gros, la consigne, ça a été de dire : "Vous pouvez accueillir des Syriens, mais à condition qu'ils ne soient pas pro-régime." Sous-entendu : si vous êtes alaouites ou chrétiens, vous êtes réputés être pro-régime, donc bizarrement, votre visa est instruit pendant huit mois à l'ambassade de France."

    Marc Fromager ajoute une troisième explication :

    "Même en France ça fait des années qu'on a ce genre de témoignages. Des chrétiens égyptiens, par exemple, qui ont fui leur pays parce qu'ils sont menacés, en danger, etc. L'instruction se fait ici avec des traducteurs arabes, la plupart d'origine maghrébine musulmane. Et bizarrement [ces chrétiens traduits par des musulmans] n'auront quasiment jamais droit à l'asile politique et donc sont refoulés. Par contre les musulmans, eux, sont accueillis assez facilement. [...] Il faudrait qu'il y ait des traducteurs arabisants qui soient neutres sur la plan religieux ou qui fassent bien leur travail mais en tout cas, la somme de témoignages de chrétiens dégoûtés du droit d'asile alors que visiblement ils étaient dans un danger physique pressant finit par poser des questions"

    L'émission de Radio Courtoisie a été enregistrée le 11 septembre. On apprend aujourd'hui qu'une chorale orthodoxe syrienne s'est vu refuser ses visas pour aller chanter à Strasbourg. Visas qu'elle avait déposés... à l'ambassade de France à Beyrouth.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avec les migrants, l’Allemagne défend sa vision du libéralisme

    « Rien n’est plus superficiel que d’opposer la “cruauté ” de l’Allemagne vis-à-vis de la Grèce à sa “générosité”envers les migrants. Dans les deux cas, Berlin ne fait qu’appliquer une même philosophie : l’ordolibéralisme. »

    Il y a quelques semaines, Angela Merkel était coiffée d’un casque prussien par des caricaturistes peu inspirés et vilipendée dans toute l’Europe, particulièrement en France. C’était le retour de l’hégémonie prussienne, la politique du « diktat », la vengeance des créanciers suçant le sang des retraités grecs. Aujourd’hui, la même chancelière est célébrée comme Mama Merkel sur les réseaux sociaux, et fêtée comme une visionnaire au grand cœur, redonnant sa fierté à l’Europe. Les Allemands, montrés du doigt quand ils rejetaient massivement toute aide supplémentaire à la Grèce, déploient à présent des prodiges d’ingéniosité spontanée pour accueillir dignement les réfugiés. Les dieux auraient-ils soudain répandu outre-Rhin, comme Jupiter dans « La Fable des abeilles », l’amour de la vertu ?

    Non. Rien n’est plus superficiel que d’opposer la « cruauté » de l’Allemagne vis-à-vis de la Grèce à sa « générosité » à l’égard des migrants. Il ne s’agit pas de sentiments, bons ou mauvais, mais de l’application cohérente d’une même philosophie politique, triomphante au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et jamais vraiment remise en cause depuis : l’ordolibéralisme. C’est au nom des mécanismes de marché et des libertés individuelles, indissociables les uns des autres, qu’il faut à la fois rembourser ses dettes et prendre au sérieux le droit d’asile.

    Neutralité du marché, universalité de la loi

    L’idée fondamentale de l’ordolibéralisme est qu’on ne peut dissocier libertés économiques et politiques. Wilhelm Röpke, l’un de ses pères fondateurs, y consacre de longues pages dans  La Crise de notre temps (1939) : là où l’on restreint la concurrence, on organise la spoliation par des groupes organisés ; là où l’on nie la règle de droit, on donne le pouvoir économique aux mafias. Le contre-exemple du nazisme, perçu comme une étatisation générale de la société, pousse Röpke à placer au-dessus de toute autre valeur l’Etat de droit (Rechtstaat). Loin d’être les avocats du laisser-faire, Röpke et ses amis, réunis avant-guerre dans le fameux colloque Lippmann, vont donc renouveler le corpus doctrinal du libéralisme en confiant à la puissance publique le rôle crucial d’assurer la neutralité du marché et l’universalité de la loi. L’Etat est garant de la fluidité des échanges et du respect des personnes.

    Comme toujours, ce sont les idées qui guident les hommes. Ludwig Erhard, théoricien de la CDU (le parti d’Angela Merkel) et homme fort de la RFA après-guerre, fera sien l’ordolibéralisme. A gauche, le SPD suivra en adoptant l’économie sociale de marché à son congrès de Bad Godesberg (1959) : « Le marché autant que possible, l’intervention publique autant que nécessaire ». L’Etat renonce à toute forme de planification mais prend un rôle actif dans l’organisation de la concurrence, corollaire nécessaire d’une société démocratique. Comme l’a bien résumé Michel Foucault dans son superbe cours au Collège de France sur l’ordolibéralisme allemand, « La liberté économique fonctionne comme un siphon, comme une amorce pour la formation d’une souveraineté politique ».

    « Ni plus, ni moins »

    Revenons à la Grèce. Les fameuses réformes que Wolfgang Schäuble exigeait en échange d’un nouveau plan d’aide correspondent bien à ce « siphon » de la libre concurrence, sous la forme de privatisations, d’ouverture des marchés, ou de lutte contre les oligopoles. Indépendamment de leur bien-fondé économique (on peut préférer au « bail-out » une restructuration de la dette, comme le défend à présent le FMI), on ne peut nier que ces mesures aient été dictées par des valeurs morales, et non par une quelconque volonté de nuire.

    Revenons aux réfugiés. Ainsi qu’Angela Merkel l’a précisé, « L’Allemagne fait ce qui est moralement et juridiquement requis, ni plus ni moins ». La chancelière se contente finalement d’appliquer la Convention de Genève sur les réfugiés. En se référant à des « droits civils universels », elle ne fait que se conformer à la Déclaration universelle des droits de l’homme, dont l’article 14 dispose que, « Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays ». Les responsables politiques comme les activistes parlent de devoir, pas de charité. La société allemande nous montre qu’elle a su conserver, pour reprendre les mots de Röpke, ces « réflexes immédiats aux atteintes qui lui sont portées par des violations de droit, l’arbitraire, l’intolérance, la cruauté ».

    L’ordolibéralisme marche sur deux jambes. Il est remarquable que, dans ses récents discours, Angela Merkel associe la nécessité d’accueillir les réfugiés avec celle de préserver l’équilibre budgétaire pour ne pas pénaliser les générations futures. C’est l’illustration parfaite de la responsabilité individuelle, « ressort secret d’une société saine » (Röpke encore).

    En France, nous avons les réflexes inverses : solidarité avec les Grecs, rejet des migrants. Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen incarnent cette attitude à l’extrême. Aujourd’hui, l’antilibéralisme se décline en antigermanisme. Pourtant, le colloque Lippmann s’est tenu à Paris. Jacques Rueff et Raymond Aron y participaient. Où sont passés les vrais libéraux, ceux pour qui la liberté ne s’arrête pas aux manuels d’économie ?

    Gaspard Koenig, 8/09/2015

    SourceLes Echos le 8/09/2015 :
    http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021311952905-avec-les-migrants-lallemagne-defend-sa-vision-du-liberalisme-1153450.php#

    http://www.polemia.com/avec-les-migrants-lallemagne-defend-sa-vision-du-liberalisme/

  • Crise du logement ?

    A l'occasion de la crise des réfugiés, nous apprenons que 77 310 logements sociaux sont vacants. Les SDF apprécieront.

    Michel Janva

  • 10 jours de battage médiatique en faveur de l’immigration de masse

    L’opinion vient de subir dix jours de battage médiatique massif en faveur de l’entrée d’immigrés supplémentaires en Europe.
    Ces dix jours de propagande « je suis Aylan » s’ajoutent aux dix jours subis en janvier dernier autour du « je suis Charlie » : La France et l’Europe ont basculé dans le totalitarisme médiatique.

    Le putsch des médias : résumé d’une semaine folle 
    Le 3 septembre, le quotidien londonien « The Independent » lance une campagne de désarmement moral par l’émotion. En annonçant la couleur

    Si ces images extraordinairement puissantes d’un enfant syrien mort échoué sur une plage ne changent pas l’attitude de l’Europe face aux réfugiés, qu’est-ce qui le fera ?

    De très nombreux médias européens reprennent la photo en « une » et « se mobilisent » (sic !). Le 10 septembre, le quotidien « Libération » titre : « Réfugiés : nous journaux d’Europe, nous unissons pour exhorter nos dirigeants à agir ».

    Les médias n’analysent pas les faits, ils font de la propagande
    Ils subvertissent le vocabulaire : les « clandestins » sont devenus des « migrants » puis des « réfugiés ». Pourtant le père du petit Aylan ne vivait pas en zone de guerre. Il est reparti à Kobané, sa ville d’origine au Kurdistan syrien, pour enterrer sa famille.
    Il vivait en Turquie depuis trois ans. Selon les déclarations de sa sœur à la télévision canadienne, il souhaitait aller au Canada pour… se refaire les dents. C’était davantage un immigré sanitaire qu’un réfugié de guerre. Une des naufragées l’accuse même d’être un passeur !

    Les médias montrent des enfants et des femmes, mais les migrants sont surtout des hommes
    Selon les chiffres de l’ONU, 72 % des migrants qui franchissent la Méditerranée sont des hommes. Ce ne sont donc pas des familles qui fuient la guerre.

    Les artistes font dans le trémolo
    Derrière le comédien Alex Lutz, 66 artistes ont signé dans le « Journal du Dimanche » « un appel à la solidarité ». Parmi ces signataires, le chanteur Marc Lavoine. Ce dernier était interrogé par RTL. Alors qu’il faisait part de son émotion, des larmes dans la voix, le journaliste lui demanda s’il était prêt à accueillir des clandestins chez lui. Le chanteur, qui dispose de deux résidences de plusieurs centaines de mètres carrés, répliqua que la situation demandait, je cite, « Une réponse collective »…

    Les « experts » donnent la bonne parole 
    Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, a déclaré « C’est aussi une opportunité économique, car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables. » Des propos appuyés par Daniel Cohen, économiste, pour qui « Sur le très long terme, il n’y a aucun doute que c’est bénéfique économiquement. » Rappelons que sur 200 000 entrées légales en France chaque année, seuls 7 % des immigrés ont un contrat de travail.

    Les « autorités morales » sont en première ligne 
    Pape, autorités épiscopales, loges maçonniques, grand rabbinat, se sont mobilisés pour obtenir l’ouverture des frontières de l’Europe. Tout comme de nombreuses associations. Le président de l’Union des étudiants juifs de France a déclaré, je cite : « Nos sociétés doivent aujourd’hui élaborer l’accueil autrement et apprendre à vivre avec des gens différents. Il en va de la préservation de nos valeurs juives comme de celles de nos idéaux républicains. »

    Ces propos ne font pas l’unanimité 
    Analyste du Grand Remplacement, Renaud Camus a écrit :

    La commission européenne applique à l’Europe la même politique que la Chine au Tibet : submersion démographique, changement de peuple.

    Pour Marine Le Pen, « il faut lancer le signal que l’on ne peut plus accueillir personne. La cohésion de notre société est en danger ». Certains maires, comme le maire Les Républicains de Roanne, ont fait savoir qu’ils étaient prêts à accueillir des réfugiés, mais à condition qu’ils soient chrétiens.
    Hors de France, les réactions se multiplient aussi

    Israël ferme ses frontières 
    Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré : « Israël est un petit pays et n’a pas de profondeur démographique et géographique. Nous devons donc contrôler nos frontières et empêcher l’entrée de travailleurs clandestins ou de terroristes. »
    Quoique musulmans, les Émirats arabes unis, le Qatar et l’Arabie saoudite ont adopté la même position.

    Un évêque hongrois critique le pape François 
    Mgr Lasszlo Kiss-Rigo a affirmé : « Ce ne sont pas des réfugiés. C’est une invasion. [..] Ils viennent aux cris d’Allah Akbar. Ils veulent prendre le contrôle. » L’évêque a estimé que le pape se trompait.

    En Allemagne, la politique de Merkel est loin de faire l’unanimité 
    Le mouvement PEGIDA — patriotes européens contre l’islamisation de l’Europe — a organisé une manifestation à Dresde. D’autres manifestations n’ont pu avoir lieu, car elles ont été interdites.
    Plus grave pour la chancelière, les critiques se multiplient au sein de la CSU bavaroise. Hans-Peter Friedrich, ancien ministre fédéral de l’Intérieur, a estimé que « l’afflux des réfugiés en Allemagne n’était plus maîtrisable » et a demandé « la réactivation du contrôle aux frontières ». Les autorités allemandes auraient déjà identifié 29 combattants syriens parmi les demandeurs d’asile.

    En France, une cinquantaine d’immigrés ont été accueillis avec des youyous à Cergy 
    Avec des youyous et une banderole « Welcome » (sic) ! Le préfet du Val d’Oise faisait partie du comité d’accueil.

    Mais l’opinion française suit mal 
    Selon un sondage Odoxa en date du 5 septembre, les Français sont 55 % à être contre un assouplissement des règles d’octroi du statut de réfugié. Précision importante : ce sondage a été réalisé après la publication de la photo du cadavre de l’enfant.

    http://fr.novopress.info/

  • Allemagne: Facebook veut combattre les contenus qui s’opposent à l’invasion migratoire

    Sous la pression du gouvernement allemand, Facebook devrait intensifier la modération des « discours de haine ». En langage non codé ça donne : « censurer les écrits qui s’opposent à la colonisation de l’Europe ». En effet la ministre de la justice en a marre que la droite nationale allemande se serve de Facebook pour interpeller les citoyens sur la tragédie migratoire. Ainsi elle appelle la firme américaine à « en faire plus pour que son réseau ne devienne pas une cour de récréation pour l’extrême droite ». La haine est une notion dévoyée de nos jours, ainsi chacun place le curseur ou il l’entend. Déclarer que l’on souhaite rendre hermétique (aux clandestins) les frontières et que l’on exige l’expulsion immédiate des non Français en situation irrégulière sont considérés comme « des discours de haine » par la classe politique contemporaine.

    Le Réseau social Facebook, afin de mieux contrôler les idées de ses utilisateurs allemands, « a annoncé une large campagne pour promouvoir le « counter speech », la réponse aux messages de haine par des raisonnements argumentés. Facebook veut soutenir les organisations (qui s’engagent contre le racisme) pour qu’elles utilisent encore mieux le réseau pour faire passer leur message. »

    Source

    http://www.contre-info.com/