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immigration - Page 1284

  • Tenez bon, Robert Ménard ! Le pays réel est derrière vous !

    Ça suffit ! Une telle hypocrisie est insupportable !

    La bien-pensance a trouvé un nouvel os à ronger : en cause, les déclarations chocs de Robert Ménard, maire de Béziers, relatives à ce que la presse appelle « le fichage des enfants musulmans ». Les chiens sont lâchés, la meute est déchaînée !

    Retour sur les faits : lundi 4 mai, sur le plateau de « Mots croisés », Robert Ménard déclare que 64,6 % des élèves des écoles de sa ville sont musulmans. Plus tard, il indique : « Ce sont les chiffres de ma mairie. Pardon de vous dire que le maire a, classe par classe, les noms des enfants. Je sais que je n’ai pas le droit mais on le fait. » Le lendemain, chez Bourdin (BFM TV), il explique : « Il faut aider les enfants […] d’origine musulmane, maghrébine » car « quand dans des écoles, vous avez plus de 80 % d’enfants qui sont d’origine musulmane, maghrébine, vous n’intégrez plus personne. Qui en paie le prix ? Les enfants en question. »

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  • À Béziers, Robert Ménard démontre la réalité du Grand remplacement

    Robert Ménard persiste et signe. Le maire de Béziers a souhaité comptabiliser les enfants « de confession musulmane » en se basant sur leurs prénoms, dans les établissements scolaires de sa ville. « Je sais que je n’ai pas le droit, mais on le fait », a-t-il déclaré lundi soir sur le plateau de « Mots Croisés » sur France 2.

    Pour Bernard Cazeneuve, « un tel fichage est interdit par la loi. Ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire » (sic).
    De son côté, le parquet de Béziers a annoncé avoir ouvert une enquête préliminaire pour « fichage illégal ».

    Robert Ménard n’en démord pas :

    Je fais le tour des écoles et je constate ce qu’il en est. Pour les aider. (…) Dans certaines écoles, il y a plus de 80 % d’enfants immigrés, presque 100 %, là vous n’intégrez plus personne ! (…) Les 2/3 des élèves en maternelle et primaire, dans le public, sont des enfants issus de l’immigration : c’est trop ! Quand vous avez une majorité de mamans qui ne parlent pas français, quand vous n’avez pas les codes de l’école, vous êtes pénalisé.

    Ceux qui aujourd’hui dénoncent l’initiative de Robert Ménard sont les mêmes qui tentent, par tous les moyens, de cacher la réalité du Grand Remplacement…

    http://fr.novopress.info/

  • Face à la submersion migratoire de l’Europe, Nigel Farage veut s’inspirer de l’exemple australien

     

    Il bat la campagne, à la pêche aux voix. Celui qui mène un combat contre l’immigration sait la tâche ardue, mode de scrutin oblige. Pourtant, Nigel Farage, 51 ans, leader du UKIP, UK independance party depuis 2006 a fait passer son parti de perturbateur anecdotique à une force politique qui compte et qui fait de plus en plus d’adeptes.

    face à la submersion migratoire de l’Europe, le message de Nigel Farage est clair :

    Nous ferons campagne pour que ce pays ait un système de points, à la façon australienne, afin de décider de qui peut s’installer dans notre pays

    http://fr.novopress.info/

  • Caron vs Fourest : Gôche contre gôche …oui mais la mienne lave plus blanc !

    C’est mon deuxième article sur Caroline Fourest en moins d’une semaine. Ce n’est cependant pas par gourmandise. Il se trouve qu’elle fait paraître un livre ces jours-ci et qu’elle est de ceux que l’on voit partout en de telles occasions. Et une fois de plus, l’opportunité nous est offerte d’expérimenter les porte-à-faux de la gauche, les impensés de sa générosité fanatique.

     

    amedi 2 mai, Caroline Fourest était l’invitée de Laurent Ruquier. Face à elle, Aymeric Caron campait le méchant de service, comme à son habitude. Il paraissait assez remonté contre l’invitée qui, en retour, n’a pas mâché ses mots. D’après Caroline Fourest, Aymeric Caron fait partie d’une gauche « idiote et aveugle », il fait de surcroît « les poubelles d’Internet ». Et la même d’asséner après coup : « il faut le dire quand un petit con est un petit con ». À la dernière phrase près (être chatouilleux quant à sa propre légitimité, est-ce une forme de connerie ?), on a presque envie de lui répondre que c’est l’hôpital qui se moque de la charité. Lorsque l’on passe son temps à « twitter » pour dénoncer les pensées brunâtres que l’on prête aux uns, les bondieuseries dont se rendent coupables les autres, on ne vient pas reprocher à certains d’en faire autant. Sauf à vouloir désarçonner la concurrence. En réalité, Caron et Fourest ont, comme disait l’autre, « un numéro de cirque : y’en a un qui épluche les oignons et l’autre qui pleure ».

    Alors quoi, sexiste Aymeric Caron ? Certainement pas, il était tout aussi virulent et sournois face à des gens comme Zemmour, Naulleau, Dupont-Aignan ou Asselineau sans que Caroline Fourest ne s’en soit émue. Et il n’a pas épargné non plus Natacha Polony, ex-consœur, plus droitarde il est vrai. Pourquoi donc s’en est-il pris rageusement à quelqu’un qui travaille pour la même crèmerie ? Parce qu’une scission s’est opérée au sein de la gauche ces trente dernières années, scission dont Fourest et Caron témoignent dans leurs échanges. Et ce qui est particulièrement hypocrite chez Fourest, c’est qu’elle récolte aujourd’hui ce qu’elle a semé hier. Bien entendu, elle n’est pas nommément responsable de ce dont je vais faire état plus bas au sens où elle n’a rien initié ; lorsque la gauche est arrivée au pouvoir et que sa schizophrénie est devenue manifeste, Fourest, Caron, et moi-même d’ailleurs, étions encore tous trois au jardin d’enfants, elle jouant aux cowboys, nous autres à la marelle. Toutefois, elle est responsable car ses combats perpétuent le long processus de déracinement qui rend de nos jours la France incapable de faire face aux dangers qui la menacent et qu’elle couve. [....]

    La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Caron-vs-Fourest-Goche-contre

  • Commandos français parmi les djihadistes : la bombe à retardement

    Une chronique du numéro 24 de Guerres & Histoire nous le rappelle : un ancien militaire du 1er Régiment Parachutiste d’Infanterie de Marine (1er RPIMa) s’est radicalisé et est considéré par les services de renseignements comme un terroriste potentiel.

    Jean-Dominique Merchet, journaliste spécialisé dans les questions de Défense, a des sources assez bien placées pour apprendre que les services secrets ont identifié une dizaine d’anciens militaires français qui ont rejoint les réseaux djihadistes. Et parmi eux, un ancien des Forces Spéciales, vétéran de l’un des régiments les plus sélectifs et les plus prestigieux de l’armée française. Il s’agit d’un Français d’origine tunisienne, né en Seine-Saint-Denis en 1974 et de confession musulmane. Il a servi cinq ans dans l’armée, puis a travaillé dans la sécurité privée et la protection des installations sensibles. Il s’est radicalisé en quelques années, et est devenu salafiste.

    Où est-il ? Les services secrets l’ignorent. Si cet ancien militaire était soupçonné d’avoir rejoint la Syrie pour y combattre dans un groupe djihadiste armé, sa trace a été perdue depuis.
    D’autres anciens militaires français ont été identifiés à la tête de groupes de combattants armés en Syrie et en Irak, l’un d’eux a d’ailleurs mis ses compétences militaires au service de l’instruction au combat de jeunes djihadistes français dans la région de Deir Ezzor. D’autres ex-soldats français identifiés par les services sont des experts en explosifs, parmi eux, il y a des anciens de la Légion étrangère ou d’anciens parachutistes. Certains sont convertis, d’autres issus de culture arabomusulmane.

    Bref, nous avons des hommes dotés de passeports français, dont certains instruits aux techniques commandos les plus ardues, qui sont passés à l’ennemi. Qu’ils reviennent en France pour y commettre eux-mêmes des attentats ou qu’ils se contentent de déléguer des terroristes formés par eux et nous aurons à lutter contre des dangers autrement plus graves que Mohammed Merah ou les frères Kouachi, qui n’étaient que des « amateurs éclairés ».

    Jean-Dominique Merchet le rappelle

    Tous les responsables américains et européens le savent : tôt ou tard, il y aura un gros problème de terrorisme avec un ancien militaire, des forces spéciales ou du renseignement.

    http://fr.novopress.info/

  • 64,6% enfants de confession musulmane à Béziers

    Robert Ménard a osé mener l'enquête et révéler sur France 2 ce chiffre exorbitant, il doit être exécuté.

    Le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet, a ouvert une enquête préliminaire pour «tenue illégale de fichiers en raison de l'origine ethnique».

    La Cnil a dit «regarder de près» les déclarations de Monsieur Ménard.

    Manuel Valls, procureur politique (et accessoirement Premier ministre), a déclaré :

    «Honte au maire de Béziers. La République ne fait aucune distinction parmi ses enfants».

    Le député PS de l'Hérault Sébastien Denaja ne s'embarrasse pas :

    «Robert Ménard renoue ici avec les pires pratiques de Vichy et du pétainisme». «La loi n'autorise pas la création de tels fichiers. J'invite donc les parents à porter plainte et demande à ce qu'une enquête soit ouverte. La question de la responsabilité se pose aussi pour les fonctionnaires qui se sont prêtés à l'exercice…».

    Toutefois, la mairie a démenti l'existence d'un «fichage des enfants, musulmans ou non».

    «La mairie ne constitue pas et n'a jamais constitué de fichiers des enfants scolarisés dans les écoles publiques de la ville». «Le seul fichier existant à notre connaissance recensant les élèves des écoles publiques de la ville est celui de l'Éducation nationale».

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pourquoi l’Afrique du Sud est-elle en proie à des émeutes xénophobes ?

    Article de Bernard Lugan publié dans le Huffington Post, le 27/04/2015

    Depuis les années 2000, en Afrique du Sud, les émeutes xénophobes constituent un phénomène récurrent[1], inscrit dans un contexte de crise économique, de chômage, d’insécurité, de crise sociale et de flux migratoires incontrôlés.

     

    Les actuelles émeutes débutèrent fin mars 2015 dans la région du Natal, encouragées par le roi des Zulu. Elles s’étendirent ensuite aux townships (zones urbaines réservées aux non-Blancs) de la région de Johannesburg, où les immigrés africains, Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians, furent pris pour cible, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires, pendant que leurs maigres biens étaient pillés. Pour tenter de mettre un terme à ces violences, l’armée fut déployée dans les townships, comme dans les années 1980-1990, aux pires moments de la lutte contre le régime blanc.

    Au début du mois d’avril, ces violences "xénophobes" prirent une telle ampleur que le Malawi décida d’évacuer ses ressortissants, pendant que le Mozambique demandait fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux.

    Les Zulu, une des principales ethnies d’Afrique du Sud, apparaissent en pointe dans ces tragiques événements pour trois grandes raisons :

    1) C’est par le port de Durban que débarquent nombre de clandestins. Et, la région du Natal a une frontière commune avec le Mozambique, pays d’origine de nombreux immigrés et relais pour ceux venus d’autres régions d’Afrique.

    2) Nombreux dans les mines et les industries de la région de Johannesburg, les Zulu dénoncent la concurrence à l’embauche exercée par les immigrés.

    3) Dans la perspective des prochaines élections présidentielles auxquelles le président zulu, Jacob Zuma, ne pourra pas se représenter car la Constitution interdit de briguer un 3e mandat. Certains extrémistes zulu craignent des naturalisations massives qui feraient pencher le vote vers un non Zulu.

    La xénophobie n’est cependant pas l’apanage des Zulu puisque la région du Cap, où la population zulu est quasiment inexistante, est également touchée.

    L’émigration vers l’Afrique du Sud s’explique car le pays a longtemps fait figure d’eldorado. De plus, après 1994, année qui vit l’accession d’une majorité noire au pouvoir, l’idéologie de la nouvelle Afrique du Sud post-raciale fut l’ouverture et le multiculturalisme. Il est également important de rappeler qu’ayant très largement participé à la lutte contre le régime blanc, le Zimbabwe et le Mozambique estimaient qu’en retour, leurs propres ressortissants avaient, en quelque sorte, droit aux fruits de la libération.[...]

    La suite sur Le blog officiel de Bernard Lugan

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pourquoi-l-Afrique-du-Sud-est-elle

  • Alain Juppé gêné sur France 2 quand on lui rappelle les positions du RPR sur l’immigration

    Le repris de justice – et candidat à la primaire UMP – est confronté aux prises de positions de la droite  parlementaire sur l’immigration au début des années 90, qui étaient assez similaires (voire plus fermes) aux positionnement du Front National d’aujourd’hui.

    Juppé tente de désamorcer le piège en parlant de « l’immigration économique » interdite par Giscard en 1972, puis admet qu’il ne peut rien répondre.

    http://www.contre-info.com/

  • L’esprit PEGIDA

    Pierre Cassen, l'un des fondateurs de Riposte laïque, est l'une des voix les plus percutantes de la résistance contre le rouleau compresseur de la conquête islamiste.

    —Travaillez-vous à l'implantation d'une branche du mouvement allemand Pegida en France ?

    — Non. Riposte laïque a son existence propre, avec quelques belles réussites à son actif, dont ses Assises et les très populaires « apéro saucisson pinard ». Faire du Riposte laïque, qui est tout de même une référence, sous l'appellation de Pegida, n'offre aucun intérêt. Toutefois, s'il y avait eu plusieurs courants de notre bord décidés à unir leurs forces pour lutter contre l'islamisme sous le label de Pegida, nous l'aurions fait. Ce n'était pas le cas. Pourquoi alors faire du neuf quand nous avons de l'ancien bien établi et en pleine croissance ?

    Le mot d'ordre de Pegida, « Non à l'islamisation, nous sommes le peuple » ne fait-il pas écho à « la France aux Français », lancé par le FN il y a quarante ans ?

    —La condamnation de l'immigration par le FN est effectivement constante depuis la création de celui-ci, en 1972. Mais Jean-Marie Le Pen a longtemps considéré que l'islam était compatible avec les valeurs de la République. Il y a là une conception propre à la génération qui s'est battue pour l'Algérie française et qui se souvient notamment des harkis, demeurés fidèles à la France. « On est français par le sang reçu ou versé. » Certes... Mais ces musulmans avaient reçu un enseignement fiançais, qui les avait en partie occidentalisés. Le colonialisme avait quelque peu rogné les serres de l'islam.

    Ce dernier, qui a aujourd'hui retrouvé toute sa vigueur conquérante et son intolérance pathologique, n'a plus grand-chose à voir avec celui que pratiquaient les peuples arabes sous administration coloniale. L'islam contemporain, c'est celui du ressentiment de la revanche, de la conquête, du fanatisme et d'une haine anti occidentale sans limite. C'est celui qu'expriment ces djihadistes nés en Europe, dont plusieurs milliers d'entre eux en France, devenus des tueurs et des bourreaux de l'Etat islamiste.

    —Marine Le Pen pas assez virulente donc, selon vous, contre l'islam ?

    Le FN m'a toujours paru beaucoup plus hostile à l'immigration, dans son ensemble, qu'à l'islam en particulier. En outre, devenu l'un des trois grands partis de France, il représente aujourd'hui une alternative sérieuse au pouvoir. Ce qui oblige ses dirigeants, et on peut très bien le comprendre, à pondérer leurs discours. Par exemple, Marine Le Pen tenait il y a quelques années, sur l'interdiction du voile dans l'espace public, des propos beaucoup plus clairs et plus fermes qu'actuellement. Un parti aspirant à gouverner a besoin, pour arriver au pouvoir, d'une stratégie électorale plus consensuelle. Mais tout de même : lorsque, dans un sondage du Monde, 74 % des Français estiment l'islam incompatible avec les valeurs de leur pays, on peut regretter que le principal parti qui incarne l'indépendance nationale se trouve sur cette question primordiale un peu en dessous de ce que ressent une grosse majorité de nos compatriotes. Et je ne parle pas des discours chevènementistes particulièrement imbéciles que tiennent certains dirigeants de second rang, mais à l'influence grandissante, selon lesquels ce n'est pas l'islam qui pose problème, mais seulement ses extrémistes. Pour ceux qui ne supportent plus l'envahissement de l'espace public, tout voile dehors, par les sectateurs de Mahomet l'exécutoire de leur exaspération et de leur colère, en dehors de leurs appartenances politiques, ce sont des mouvements comme Riposte laïque ou Pegida. 

    Face à l'immigration, une seule solution ; la remigration ? 

    — Même si nous fermions aujourd'hui le robinet de l'immigration, ce qui n'est pas à l'ordre du jour, par le seul fait du dynamisme démographique évoqué ci-dessus, le cauchemar annoncé par Zemmour, Onfray, Houellebecq et beaucoup d'autres arriverait de façon inéluctable, mais un peu plus tardivement : dans cent ans au lieu de cinquante... Ce qui s'est produit depuis plusieurs décennies, la déferlante d'une immigration massive, sauvage, incontrôlée, sans intégration et majoritairement islamisée, apparaît comme un accident de l'histoire sur lequel les Français non jamais eu à se prononcer. Notamment parce que leurs dirigeants leur ont menti en trichant délibérément sur les statistiques. Et en imposant une sorte d'embargo sur ce sujet. Pour éviter que les musulmans ne deviennent majoritaires chez nous, à court terme ou à moyen terme, oui, la remigration s'impose.

    —Par quels processus ?

    —A périodes exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Mêmes si celles-ci peuvent être conflictuelles. Il existe plusieurs parallèles historiques, par exemple la population germanophone des Sudètes ou celle des pieds-noirs d'Algérie... Nous disposons de trains, d'avions et de bateaux. Expulsons vers leurs pays d'origine, sans violence mais fermement, tous ceux qui se comportent mal dans nos hôpitaux et nos écoles, tous les délinquants, tous les propagandistes du djihad, tous ceux qui multiplient les revendications communautaires... Il y a dans le monde 57 pays musulmans où ces gens-là pourront vivre en toute conformité avec leurs idéaux. Faisons donc leur bonheur, malgré eux s'il le faut...

    Propos recueillis par Jean Cochet PRESENT Hors-série Avril-mai 2015

     

    jean-cochet@present.fr

  • Le djihadisme ne se combat avec des coloriages

    Jacques Bompard écrit sur Le Rouge et Le Noir :

    "Les élites dirigeantes françaises sont responsables de l’énorme phénomène djihadiste apparu dans notre pays. En laissant se développer le grand remplacement, en détruisant la transmission du roman national, en inculquant la haine de soi à plusieurs générations, les gouvernements successifs ont alimenté un terreau islamiste dont ils se refusaient à voir les méfaits.

    Aujourd’hui les islamistes maîtrisent certains quartiers : c’est là le véritable apartheid. Aujourd’hui les islamistes ont organisé des systèmes de représentation et d’expression médiatique sollicités par des représentants politiques avides de communautés électorales. Aujourd’hui les islamistes français ont pleinement intégré la mondialisation et s’exportent au Proche Orient, en Afrique, et ailleurs peut- être.

    Notre territoire n’est pas épargné. Hier un islamiste voulait s’attaquer à des paroisses, d’autres saccagent sans vergogne des cimetières catholiques, quelques semaines à peine après l’attaque sanglante en plein Paris qui a profondément marqué notre société. Face à cela, les Français étaient en droit d’attendre ordre et fermeté des pouvoirs publics. Las, la gauche se refuse encore à prendre la mesure des dangers qui menacent notre pays.

    A Beyrouth, Jean-Yves Le Drian a rappelé que la France avait pour meilleur partenaire au Proche Orient le royaume rétrograde d’Arabie Saoudite. François Hollande y souleva, bien étrangement, un sabre en fin d’année dernière. C’est un comportement international au moins oublieux de l’idéologie islamiste promue et propagée par certains dignitaires saoudiens. 

    Mais sur notre territoire même, nous entendons un gouvernement favorable au doublement du nombre de mosquées et qui voudrait maintenant traiter le phénomène des djihadistes par l’accueil en centre de réadaptation sur la base du volontariat. Est-on au niveau de la légitime angoisse des Français devant l’inertie politique face aux djihadistes ?

    On parle de 1500 à 3000 Français de papiers ou étrangers résidents en France qui seraient partis tuer au nom d’Allah au Levant.Nos ressortissants étrangers deviennent la cible d’une surveillance accrue dans ces pays, qui étaient pourtant nos alliés historiques. Mais qui leur fera le reproche de douter des mesures de notre gouvernement quand on entend Manuel Valls déclarer à l’AFP : « Par un accompagnement individualisé, une prise en charge psychologique et un encadrement renforcé, ces jeunes devraient retrouver toute leur place dans notre société. » 

    J’ai proposé de multiples initiatives : législatives en supprimant la nationalité aux djihadistes ou encore en ouvrant une commission d’enquête parlementaire sur le soutien de la France aux rebelles syriens, sociétales en luttant contre le Grand Remplacement, pratiques en mettant en place la suppression des aides sociales à des individus partis commettre des atrocités au Proche Orient. Mais les socialistes leur préfèrent la politique de l’autruche.

    L’islam combattant pose un problème civilisationnel et spirituel à notre pays et à l’Europe. On ne le réglera pas avec des coloriages pour anciens participants aux massacres des minorités et des communautés musulmanes chiites au Proche Orient."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html