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immigration - Page 1284

  • La marche républicaine des gogos et des bobos prépare le gouvernement mondial

    A l’avant, loin de la foule, la gouvernance mondiale.

     

    Le message est matraqué partout, digne d’un scénario d’Orwell. Les moutons croient marcher pour la liberté et valident Big Brother. Les moutons gobent que ce slogan prônerait le respect de tous alors qu’il reflète un syncrétisme qui prépare à la pensée unique.

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  • Affaire Charlie Hebdo : Les responsabilités politiques de nos gouvernements

    A l’heure où nous écrivons, les forces de l’ordre ont abattu les frères Kouachy, auteurs de l’attentat contre le journal satirique Charlie Hebdo et Amedy Coulibaly, auteur de la prise d’otage de la Porte de Vincennes.

    Ce succès incontestable des forces de l’ordre et, plus particulièrement, des hommes du RAID et du GIGN, ne doit cependant pas masquer les responsabilités politiques de nos gouvernants, tant au plan de la sécurité intérieure qu’à celui de la politique extérieure de la France.

    Ils portent la responsabilité de la poursuite de l’immigration dans un contexte où l’intégration des vagues successives d’immigrés à la nation non seulement ne se fait plus mais tend plutôt à se défaire, morcelant la société en communautés indifférentes, voire hostiles, les unes aux autres.

    Ils portent encore la responsabilité de l’échec de leurs politiques judiciaires et pénitentiaires dont la trajectoire individuelle de certains des hommes abattus hier témoigne éloquemment.

    Ils portent enfin la responsabilité d’une politique étrangère qui a soutenu aveuglement, quand elle ne l’a pas précédé, le rôle funeste des Etats-Unis et de leurs alliés du Golfe, Arabie saoudite et Qatar, dans la déstabilisation du Proche et du Moyen Orient. Il est significatif à cet égard que M. Coulibaly se réclame, dans l’enregistrement de sa conversation avec ses otages, de la lutte contre Bachar El-Assad dans des termes qui semblent sortir tout droit d’un discours de Laurent Fabius.

    Cette responsabilité des partis qui se sont partagé le pouvoir ces dernières années explique aussi le sectarisme ahurissant dans un tel contexte de certains d’entre eux à l’égard de Madame Le Pen dont la présence dimanche aurait incarnée sans doute trop clairement leurs échecs et leur mauvaise conscience. L’Action française quant à elle ne perd pas de vue que la médiocrité du personnel politique que manifeste ce sectarisme n’est pas accidentelle mais exprime la nature même du régime des partis.

    Action française http://www.actionfrancaise.net/craf/?Affaire-Charlie-Hebdo-Les

  • Naïveté coupable des hommages…

    Marcher pour témoigner de notre souffrance, oui. Marcher pour exonérer les responsabilités immenses de messieurs Hollande et Sarkozy, jamais.

    L’émotion était forte, hier, à la mesure de la gravité de l’attaque terroriste, à la mesure de sa portée symbolique, à la mesure des enjeux futurs qu’entrevoient les plus lucides d’entre nous. Malheureusement, ce moment, qui devait symboliser la plus parfaite communion nationale, fut la démonstration de l’impossibilité concrète d’un tel rassemblement. Comment, en effet, converger et abonder dans le sens de ceux qui ont permis une telle chose, tant par leur aveuglement idéologique que par leur veulerie ?

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  • La famille de Leonarda a coûté près d'un demi-million d'euros à la France

    C’est pour avoir refusé une prime de départ de 10 000 euros que la famille Dibrani, deux adultes et cinq enfants, a été expulsée, en septembre 2013. 
    En attendant que cette famille revienne en France sous identité croate (c’est en tout cas ce qu’elle a prévu), l’“affaire Leonarda” aurait coûté à la France, selon Jean-Paul Gourévitch, la somme de 416 544 euros. 
    Le décompte est instructif : allocation de subsistance (350 euros par mois pendant quarante-huit mois) ; chèques de soutien de la municipalité et aide fournie par le comité des sans-papiers pour le ravitaillement et les cigarettes (environ 5 000 euros) ; coût de la place en centre d’accueil de demandeurs d’asile (25 euros par jour et par personne pendant 1 460 jours) ; aide juridictionnelle gratuite (deux fois 1 200 euros) ; coût de la santé (aide médicale de l’État et couverture maladie universelle pour sept personnes pendant quatre ans, soit 80 164 euros au total) ; coût de l’élève Leonarda en situation irrégulière au collège (9 670 euros par an pendant quatre ans), enfin le coût de l’expulsion elle-même selon le ministère de l’Intérieur : 18 000 euros. Un cas d’école. 

  • Besançon : ils se réjouissent et font reculer la police

    Lu ici :

    "Le tir d’une demi-douzaine de gros mortiers de feux d’artifice a été entendu de Bregille à Saint-Claude, deux quartiers diamétralement opposés et éloignés de la capitale régionale, mercredi, vers 21 h 30. Ils provenaient du quartier de la Grette où, visiblement, l’annonce de l’attentat contre l’hebdomadaire « Charlie Hebdo », a été fêtée par quelques individus. Quelques minutes auparavant, la police était intervenue au 29 H, sur appel au « 17 », pour des perturbateurs dans les étages de la cage d’escalier.

    Sur place, la patrouille a été immédiatement la cible de projectiles divers, balancés aux cris de « Allahu akbar… » par une dizaine d’individus, vêtus de sombre. « On en a tué deux, on va continuer », ont ajouté les jeunes gens, tandis que l’équipage de police faisait marche arrière afin de ne pas envenimer les choses. Le tir festif s’est produit après leur départ."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 18 janvier : la manifestation contre l'islamisme aura bien lieu

    Le recours contre l'arrêté pris par le préfet pour interdire cette manifestation a permis d'en obtenir l'annulation.

    L'Etat est condamné à verser 800 euros de compensation.

    La manifestation, organisée par Riposte laïque et Résistance républicaine, aura lieu à Paris, place de la Bourse, à 14h30, dimanche 18 janvier. L'une des représentantes de Pegida, Mélanie Dimmler, de Düsseldorf, fera partie des intervenants prévus, ainsi que le député suisse Jean-Luc Addor, le philosophe-écrivain Renaud Camus, des représentants identitaires, un apostat de l’islam et d’autres.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des colleurs d’affiches du Parti de la France arrêtés cette nuit à Paris : le pouvoir retrouve ses priorités !

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    Cette nuit, lors d’un collage d’affiches à Paris sur le parcours de la « marche républicaine » de cet après-midi, des militants du Parti de la France ont été arrêtés Place de la Nation, interrogés au poste pendant 4h et leurs affiches ont été confisquées sur ordre d’un juge. La République française semble avoir retrouvé ses priorités…

    Pourquoi le PdF ne défilera pas aujourd’hui ? cliquez ici

    Source: Synthèse nationale

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Ils sont “Charlie” ? Ils sont déjà morts – par Ulysse

    Charlie Hebdo représentait la pire forme de l’idéologie libertaire qui, sous couvert de contestation et de transgression, était sanctuarisée par le pouvoir actuellement en place dont elle était l’insigne agent symbolique et moral. En une image, Charlie Hebdo, c’était le « beauf » de Cabu : ce sale franchouillard raciste moustachu dont on cherchait à faire croire qu’il était la lie de l’humanité et sur lequel on tapait sans fin comme s’il était le tortionnaire malfaisant des gentilles populations immigrées venues enrichir la France. Oui mais voilà, le moustachu cachait un barbu, et le beauf consumériste, un fanatique impitoyable. Le xénophobe d’apparat cachait un fondamentaliste et s’il arrivait à Charlie Hebdo de brocarder le second, c’était en le mettant sur le même plan que le premier ; ainsi d’une couverture à l’autre, une Marine le Pen nazifiée pouvait-elle croiser un Pape pédophile sodomite suivi d’un Mahomet explosif…

    Sale beauf, sale babtou

    Les prétendus défenseurs de la « liberté d’expression » n’étaient en vérité rien d’autre que les défenseurs sectaires de l’expression libertaire, et ils étaient prêts à toutes les vilénies dès lors qu’il s’agissait de conspuer ce qui contrevenait à leur propre idéologie. Ce faisant, ils ne se rendaient même pas compte, ou si peu et si mal, qu’ils entretenaient précisément les clichés racistes mêmes qu’ils prétendaient par ailleurs combattre. Car enfin, quelle différence y a-t-il entre le « sale beauf » de Cabu et le « sale babtou » des réseaux sociaux et des banlieues? Les deux, dans les yeux de leurs adversaires, n’étaient somme toute rien d’autre que des « gros porcs »…

    Les prétendus défenseurs de la « liberté d’expression » n’étaient en vérité rien d’autre que les défenseurs sectaires de l’expression libertaire, et ils étaient prêts à toutes les vilénies dès lors qu’il s’agissait de conspuer ce qui contrevenait à leur propre idéologie. Ce faisant, ils ne se rendaient même pas compte, ou si peu et si mal, qu’ils entretenaient précisément les clichés racistes mêmes qu’ils prétendaient par ailleurs combattre.

    Le premier était seulement l’archétype matriciel du second dont il a (entre autres facteurs) favorisé l’apparition. Ainsi, les clichés anti-racistes de Charlie Hebdo ont accompagné et avalisé les clichés racistes des « cités », qui, on expliquera pourquoi plus loin, le lui ont bien rendu.

    Crachoir de la gauche cléricale

    Charlie Hebdo, c’était donc cela : une grande soupe relativiste où tout ce qui ne ressemblait pas à une exigence compassionnelle humanitariste très vaguement étayée par des postulats marxistes devenait immédiatement fasciste ; où tout ce qui ne s’apparentait pas aux mouvements du cœur de belles âmes nihilistes boboïsées apparaissait alors comme les prémisses d’une dictature… En vérité, cette contestation anarcho-nihiliste de tous les ordres en cachait bien un d’ordre : celui d’un pouvoir qui subventionnait le journal et sans lequel il aurait déjà eu disparu depuis beau temps. C’est qu’au fond, Charlie Hebdo incarnait les aspirations morales (moralement anti-morales devrait-on dire) de la génération 68 qui, embourgeoisée jusqu’à l’overdose, gardait comme un animal de compagnie attendrissant cette sorte de souvenir de sa fougue transgressive de jeunesse ; une « potiche » du pouvoir, ponctuellement utile pour victimiser le patriotisme, utile parfois aussi pour servir de caution de « tolérance » universaliste lorsqu’il s’agissait de prétendre défendre un humanisme dont on se demandait bien ce qu’il avait encore à voir avec celui de Pic de la Mirandole.

     

    C’est qu’au fond, Charlie Hebdo incarnait les aspirations morales (moralement anti-morales devrait-on dire) de la génération 68 qui, embourgeoisée jusqu’à l’overdose, gardait comme un animal de compagnie attendrissant cette sorte de souvenir de sa fougue transgressive de jeunesse ; une « potiche » du pouvoir, ponctuellement utile pour victimiser le patriotisme, utile parfois aussi pour servir de caution de « tolérance » universaliste lorsqu’il s’agissait de prétendre défendre un humanisme dont on se demandait bien ce qu’il avait encore à voir avec celui de Pic de la Mirandole.

    Ce qui a été tué, c’est donc l’animal de compagnie du système. Son caniche. Son fétiche aussi, son objet magique, une de ses innombrables cautions libertaires progressistes. Pas étonnant donc que le glas (l’ironie symbolique cache une évidence littérale) ait pu résonner pour lui. C’est qu’en effet Charlie Hebdo était bien le seuil d’une Eglise, ou du moins sa crypte : le lieu où la gauche cléricale entreposait ses trésors obscènes et vulgairement conformistes, l’auge où elle lançait ses crachats fatigués de vieux soixante-huitards lassés de vivre. Ils crachaient sur tout ce qui ressemble à de l’ordre, mais ce faisant promouvaient réellement un ordre : celui de l’individu détaché de tout et donc ré-ingurgité immédiatement par le dispositif technico-financier qui flatte ses intentions et ses projets.

    Ce qui a été pulvérisé, c’est le temple-crachoir d’une gauche dont la revendication de liberté n’était que le cache-misère du mondialisme le plus aliénant.

    Libéralisme du sens contre littéralisme du sens : le retour du négatif 

    En attaquant Charlie Hebdo, les djihadistes n’ont donc pas attaqué la liberté d’expression. Ils ont attaqué par ordre sémantique d’importance : des personnes (les victimes objectives),  l’Etat – ou plutôt les derniers restes d’un Etat presqu’entièrement dominé par les forces internationales de la finance et du numérique (mais il s’agit tout de même d’une attaque contre les institutions de Justice et de Police) -, et enfin la théologie implicite qui sous-tend cet Etat moribond et le projet universaliste du progressisme libertaire : l’idée que l’individu n’est libre que lorsqu’il a la licence de vomir tout ce qui n’est pas lui, au point d’ailleurs de se faire, quand il le juge utile, le censeur de ses contradicteurs (Charlie Hebdo avait demandé l’interdiction du Front national).

    Charlie Hebdo qui meurt dans une explosion de contradictions, c’est la revanche de l’Histoire contre tous ceux qui pensaient en être sortis pour flotter sans but dans le non-lieu de leur quant-à-soi hédonisto-technoïde. Il est tragique que cette revanche passe ici par la vengeance d’une secte mahométane malfaisante et cruelle. Il était cependant inéluctable qu’un jour ou l’autre, ce nihilisme de l’individu rendu fou sans Dieu, rencontrât ce nihilisme de la secte des fous de Dieu…

    Que signifie donc la mort de Charlie Hebdo ?

    Que l’idéologie progressiste libertaire, alibi de l’ordre prométhéen mondialisé, est morte. Qu’à vouloir évacuer du réel tout ce qui nous dérange en lui, c’est le réel qui finit par nous évacuer. Que celui qui croit qu’il peut chasser de l’expérience, par simple décret arbitraire, tout ce qui contrarie ses desseins, se retrouve bientôt ravalé par ce que l’expérience contient de plus irréductible : la violence brute, aveugle, injuste. Charlie Hebdo voulait une vie de jouissance, sans attaches à quoi que ce soit d’autre que soi-même, Charlie Hebdo a été détruit de manière immanente par ce négatif qu’il s’efforçait à tout prix de nier : le littéralisme mahométan, soit la forme la plus brutale et la plus bête de la détermination historique. Ils ont moqué le beauf moustachu, ils ont eu le fanatique barbu. Ils ont promu la liberté en criminalisant tout ce qui n’était pas conforme à leur propre licence, ils ont eu l’aliénation effrayante et cruelle d’un jugement théocratique. Ils ont méprisé le patriotisme, leur mort révèle un mouvement du peuple français. Ils ont conchié l’Eglise, et c’est le glas de Notre-Dame de Paris qui a résonné pour eux. Bref, Charlie Hebdo qui meurt dans une explosion de contradictions, c’est la revanche de l’Histoire contre tous ceux qui pensaient en être sortis pour flotter sans but dans le non-lieu de leur quant-à-soi hédonisto-technoïde. Il est tragique que cette revanche passe ici par la vengeance d’une secte mahométane malfaisante et cruelle. Il était cependant inéluctable qu’un jour ou l’autre, ce nihilisme de l’individu rendu fou sans Dieu, rencontrât ce nihilisme de la secte des fous de Dieu…

    Le littéralisme religieux le plus fou est la réponse la plus simple qu’a donné l’Histoire au libéralisme moral le plus bête.

    Crise identitaire : ils sont Charlie et ils sont morts

    Ce que révèle enfin cette défaite idéologique transparaît aussi dans la prolifération écœurante des « Je suis » (Charlie, Kouachi, Charles Martel, juif etc.). Cette inflation revendicatrice a au moins un mérite objectif : révéler que dans ce conflit interne au nihilisme, c’est bien l’identité qui est en jeu et rien d’autre. C’est bien d’être dont il s’agit dans l’élément de l’Histoire, toujours, tout le temps, partout. D’être, personnel, familial, collectif, national, civilisationnel. Ceux qui manifesteront dimanche, eux, ont choisi leur camp. Ils sont Charlie ? Ils excluent les patriotes et préviennent des dangers de l’islamophobie et du racisme au moment même où l’islam les détruit et déploie sa haine anti-occidentale ? Alors oui, cela est bien clair, ils sont Charlie, c’est-à-dire qu’ils sont déjà morts.

    Ce qui sauve de l’affrontement de Charlie et de la charia, ce n’est pas Charlie. Lui a déjà perdu la bataille. L’imposture soixante-huitarde a pris fin il y a trois jours.

    Ils n’ont rien compris, ils n’ont tiré aucune leçon, pas saisi que le libéralisme-libertaire et le fanatisme littéraliste sont les deux faces d’une même pièce : une culture de mort, morale, par l’atomisation individualiste, une culture de mort, physique, par le massacre aveugle. En proclamant qu’ils sont Charlie, ils prolongent la nuit de cette obscurité progressiste qui n’est que le contrepoint de l’obscurantisme mahométan. Ils contribuent, encore et toujours, à favoriser les conditions de développement du négatif qui pourtant les a presque déjà complètement détruits.

    Notre être à nous, lui, est bien vivant, parce qu’il est français. Qu’il ne croit pas à la fable du progrès, au multiculturalisme, à la République abstraite, au mondialisme souriant. Ce qui sauve de l’affrontement de Charlie et de la charia, ce n’est pasCharlie. Lui a déjà perdu la bataille. L’imposture soixante-huitarde a pris fin il y a trois jours. Non, le nom qui sauve de ce conflit des nuits, c’est François. Parce que dans ce nom se loge l’héritage d’une nation, l’exigence d’une foi, la promesse d’une vie qui a déjà démontré par le passé qu’elle avait la noblesse rigoureuse d’un destin.

    La stratégie est limpide : provoquer par la stupeur du massacre un réflexe d’identification aux valeurs d’un organe qui, justement, s’évertue déjà à nous combattre de l’intérieur. A nous d’être plus déterminés et intelligents qu’eux. A nous de contredire cette secte mahométane en reconnaissant queCharlie, avec ses coups de crayons contre les « sales beaufs » préparait de fait les coups de couteaux contre les « sales babtous ».

    Réveil

    Nos adversaires ont été extrêmement intelligents en commençant par tuer ceux qui collaboraient depuis des décennies à notre extinction. Car ce faisant, ils veulent que nous nous identifions encore plus à ceux qui, ici-même, nient que nous existions. La stratégie est limpide : provoquer par la stupeur du massacre un réflexe d’identification aux valeurs d’un organe qui, justement, s’évertue déjà à nous combattre de l’intérieur. A nous d’être plus déterminés et intelligents qu’eux. A nous de contredire cette secte mahométane en reconnaissant que Charlie, avec ses coups de crayons contre les « sales beaufs » préparait de fait les coups de couteaux contre les « sales babtous ». A nous d’assumer enfin que si la France survit à Charlie c’est justement parce qu’elle ne s’y est jamais réduite et qu’elle ne s’est jamais identifiée à lui.

    Charlie est mort et ceux qui continuent de s’en revendiquer sont morts aussi. Les autres sont éveillés et vivants. Ils sont la France. Et ce sont eux qui gagneront la guerre qui advient.

    Ulysse
    @ULYSSEimmortal

    http://fr.novopress.info/180848/tribune-ils-sont-charlie-ils-sont-deja-morts-par-ulysse/#more-180848

  • Charlie Hebdo. Benoît Rayski : Pourquoi je n’irai pas manifester avec les « faux culs »

    Après l’attentat contre Charlie hebdo, Benoit Rayski, historien et journaliste, explique pourquoi il n’ira pas manifester dimanche.

    Tout m’incite à y aller. Mais je n’aime pas fréquenter les faux culs. C’est salissant.

    Libération appelle à manifester dimanche. Je lis dans ce journal sous la signature de Laurent Joffrin que les terroristes se sont trompés de cibles et que les vrais terroristes (à abattre ?) sont les islamophobes. [...]

    Différents autres médias, Telerama, Mediapart, Les Inrocks, appellent également avec le même brouet indigeste et répétitif : « Pour la liberté et contre l’islamophobie ». La liberté telle que je la conçois est aussi celle d’être islamophobe. Je n’irai pas manifester avec eux.

    Dominique Sopo et Sos Racisme annonce sur un ton solennel que la présence du FN à la manifestation serait une honte et un dévoiement. Je préfère manifester avec un sympathisant frontiste plutôt qu’avec M. Sopo. Je n’irai pas manifester. [...]

    atlantico

    http://www.fdesouche.com/551855-charlie-hebdo-benoit-rayski-nirai-pas-manifester-les-faux-culs