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immigration - Page 1285

  • Caroline Fourest Vs Aymeric Caron : face à l’islamisation, la gauche se déchire


    04/05/2015 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)

    Le clash entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau d’ONPC est révélateur. Face à la montée de l’islam en France, deux courants idéologiques s’opposent à gauche : les collabos et les laïcards. Malheureusement, aucun n’arrive à saisir les enjeux du problème.

    Samedi soir a eu lieu une passe d’armes entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau de l’émission On n’est pas couché animé par Laurent Ruquier. Venue présenter son nouveau livre Éloge du blasphème, la journaliste militante LGBT d’extrême-gauche s’en est prise vertement à Caron : « Ca me fait chier de parler avec quelqu’un d’aussi con que vous ! ». Ce « clash » qui ne manquera pas de buzzer révèle surtout une ligne de fracture idéologique à gauche de plus en plus marquée : de quelle manière doit-on appréhender la question de l’islam en France ?

    Caroline Fourest ne s’y trompe pas : il y a effectivement deux tendances.
    La première que l’on pourrait qualifier de « collabo » assumée avec en tête de gondole Edwy Plenel, qui avait notamment appelé quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo à « comprendre » les frères Kouachi. On y retrouve également Rokhaya Diallo, spécialisée dans la dénonciation (souvent imaginaire) de l’islamophobie et pour qui le racisme anti-blanc n’existe évidemment pas. La seconde, en apparence plus dure, la sienne, qui fait de la défense inconditionnelle de la laïcité l’étendard de la lutte contre les extrémismes religieux, ce dernier concept creux mélangeant tout autant les familles cathos ayant manifesté contre le mariage homosexuel que les salafistes fans de l’État Islamique.

     

    Gauche collabo contre gauche laïcarde : double aveuglement

    Une certaine gauche, parce qu’elle refuse de voir les problèmes culturels posés par une islamisation grandissante du fait de son logiciel antiraciste, se réfugie dans une posture jusqu’au-boutiste de défense des (pseudo)—opprimés. Pour elle, la question identitaire est le tabou ultime. Elle fera le choix du soutien à l’islamisation quoi qu’il en coûte, dans une négation totale du réel et une fuite en avant idéologique sur fond d’ethnomasochisme et de racisme anti-blanc larvé.

    Clement-Martin-Generation-Identitaire

    Cément Martin, conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    Une autre gauche, plus cohérente avec ses propres idées, constate que la laïcité, sa valeur phare, est sans cesse attaquée par des groupes musulmans. Elle a donc fait le choix de défendre le droit de Charlie Hebdoà caricaturer le prophète Mahomet, mais tout en restant antiraciste et pro-immigration. Schizophrénie. Donc à être favorable à ce qu’un nombre toujours plus important de gens dont les valeurs sont aux antipodes de celles portées par le journal satirique s’installent chez nous. Contradiction insoluble qui s’est d’ailleurs révélée avec fracas un certain 7 janvier.

    L’identité au centre de tous les débats

    Caroline Fourest, sous ses apparences de réalisme et de discours ferme, fait en réalité également dans l’angélisme : « Je ne pense pas que les Frères Musulmans représentent l’ensemble des musulmans en France [...] Je pense que les musulmans laïques le sont. Je pense que la majorité des musulmans en France sont attachés à la laïcité ». Un tel constat démontre à l’évidence qu’elle prend surtout ses rêves pour des réalités. Au mois de février dernier, le Berlin Social Science Center avait réalisé une étude dont la conclusion était sans appel : parmi les musulmans français, ils étaient 73 % à considérer que les « règles religieuses » étaient « plus importantes que la loi ». En 2008, ils s’étaient prononcés à 54 % pour l’application, partielle ou intégrale, de la charia en France (sondage CSA pour le Monde des Religions). Majoritairement laïques, vraiment ?

    La leçon à tirer de ce débat entre Aymeric Caron et Caroline Fourest est que le clivage sur les thématiques identitaires structure l’intégralité du débat politique français. Partout, à gauche comme à droite, c’est sur cette unique question que se font les oppositions. À droite, le fond des différences entre un Sarkozy et un Juppé, entre une NKM et un Wauquiez, ou encore même entre l’UDI et l’UMP porte sur la manière de répondre aux problèmes posés par la société multiculturelle. À gauche, Caroline Fourest ou Michel Onfray n’ont pas de mots assez durs pour reprocher à leur camp sa soumission à l’islam conquérant. Aujourd’hui centre du débat, la question de l’identité s’imposera bientôt comme étant la seule solution pour répondre aux défis lancés à l’Europe par l’immigration massive et au mondialisme.
    Seul un retour à nos racines couplé à une réaliste projection dans le futur nous permettra d’éviter le naufrage. Et il y a urgence : pendant que ces journalistes bien-pensants s’invectivaient sur France 2 hier soir, des centaines de clandestins rentraient en Europe. Le temps presse.

    Clément Martin,
    Conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    http://fr.novopress.info/186873/caroline-fourest-vs-aymeric-caron-face-lislamisation-gauche-se-dechire/#more-186873

  • Pour une contre-révolution européenne

    L'immigration massive a, au moins, eu cette vertu qu'elle nous mit devant notre propre vide existentiel. Si ces populations allogènes ne s'intégreront jamais à notre civilisation, elles nous obligèrent à nous regarder.

    La philosophe Simone Weil, morte en 1943, en rappelant l’impérieux besoin d’enracinement, combattu de toutes leurs armes par tous les pouvoirs qui se sont succédé depuis l’avènement de ce que les historiens appellent la « période contemporaine », considérait comme nécessaire la suppression des partis, perçus comme des factions, des parasites prospérant sur un grand corps vivant. Les organisations politiciennes sont, en effet, des prismes par lesquels la réalité est déviée, déformée, trafiquée, pour servir à des causes qui n’ont rien à voir avec l’intérêt de la communauté. C’est là le résultat néfaste d’une « table rase » révolutionnaire, qui a arraché le peuple à ses racines millénaires, pour le faire entrer, volens nolens, dans la modernité individualiste, utilitariste, et amnésique. Encore au milieu du XIXe siècle, la plupart des Français parlaient encore leur langue régionale, avant d’user du français. Depuis, l’École républicaine, la presse, puis la télévision, enfin le « nomadisme », ont éradiqué les restes d’identités liées aux patries charnelles.

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  • Les Grandes Gueules sur RMC : Raquel Garrido veut lutter contre le djihadisme bleu marine

    L’avocate, cofondatrice du Front de gauche, a un cv de militante d’extrême-gauche bien rempli : jeune dirigeante étudiante à l’UNEF-ID, vice-présidente de SOS-Racisme à 22 ans, c’est surtout dans les relations internationales qu’elle a ensuite exercé, notamment au sein d’une grande confédération syndicale. Elle fut, toutefois,l’avocate de Jean-Luc Mélenchon notamment dans un procès contre Marine Le Pen.

    Raquel Garrido participait à l’émission des Grandes Gueules sur RMC le 29 avril.

    C’est sur cette antenne, qu’elle s’est livrée à un effet de manche sémantique hors-norme puisqu’elle est partie des massacres perpétrés par l’État islamique en le qualifiant de fascislamisme pour les assimiler ensuite à la politique de Marine Le Pen via un détour par la doctrine politique fasciste des Italiens pendant les années vingt.

    Le FN et l’Etat islamique seraient donc pareils.

    Il lui fallait sortir une formule concoctée aux petits oignons qu’elle a répétée plusieurs fois jusqu’à obtenir un écho de ses pairs à l’antenne : « le djihadisme bleu marine ». Visiblement, l’ensemble de sa rhétorique tournait autour cet abus de langage avec lequel elle tentait de faire réagir.

    « Pour moi, Le djihadisme bleu marine, c’est un fondamentalisme qui génère de la violence

    « Quand vous avez un problème de vivre ensemble entre Français, quand les Français, eux-mêmes, s’entre-détestent » a t-elle reconnu, « dans notre patrie républicaine, nous devons nous aimer et être dans l’égalité ».

    http://fr.novopress.info/

     
  • Plus de 100 morts au djihad étaient partis de France


    A noter que les deux gamins que l’on voit dans cette vidéo sont morts

    Trouvé sur Le Figaro : Les tout derniers morts sont deux adolescents de 12 et 14 ans, partis il y a deux ans avec leur mère. 1.600 personnes environ sont impliquées dans les filières djihadistes françaises.

    Le djihad est un voyage sans retour. La barre des 100 morts parmi les islamistes partis de France pour mener le djihad en Syrie et en Irak a été franchie, selon un décompte des services antiterroristes français. Parmi les derniers décès sur les 104 désormais identifiés figure celui de deux adolescents de 12 et 14 ans qui étaient partis il y a deux ans avec leur mère, une femme radicalisée originaire de la région de Toulouse, a précisé la source sans plus de détails sur leur identité.

    Le taux de mortalité parmi les djihadistes français est particulièrement élevé, relève cette source, qui la met en rapport avec les plus de 800 personnes qui sont allées en Syrie et en Irak, dont quelque 450 y sont encore et environ 260 ont quitté la zone. En ajoutant ceux qui ont émis le souhait de se rendre sur place ou ceux qui sont en route, 1.600 personnes environ sont impliquées dans les filières cjihadistes.

    http://www.contre-info.com/

  • Le conseil français du culte musulman ne paye plus son loyer

    Cette instance est tellement peu représentative des musulmans de France, que le CFCM ne peut pas payer les loyers de leurs locaux… Pourtant le CFCM avait pour objectif de faire émerger une sorte « d’islam de France » et de représenter les musulmans dans les arcanes de notre bonne démocratie. Concernant l’ardeur à la tâche des dirigeants su CFCM, il y a de quoi s’interroger. Nous sommes le 1er mai et leur dernier communiqué de presse remonte au 4 mars (voir ici). La République a tout de même su trouver une place au chaud pour ces parasites.

    En effet SaphirNews nous apprend que « le Conseil français du culte musulman (CFCM) est aussi ravi que soulagé. Après des années d’attente, le Conseil de Paris a adopté une délibération, mardi 14 avril, visant à annuler la dette locative de l’instance et à fixer un loyer symbolique pour l’occupation de ses locaux de 100 m² situé à l’angle des rues Lecourbe et de la Croix-Nivert, dans le 15e arrondissement parisien.

    Le coup de pouce de la municipalité au CFCM est énorme : le siège de l’instance musulmane va désormais être loué à hauteur de 100 €… par an au lieu des 2 550 € mensuels (hors charges), ce qui représentera chaque année une économie de 30 600 €. Outre la quasi-gratuité de ses bureaux, sa dette – les arriérés de loyers impayés cumulés en 2013 et en 2014 –, qui s’élève à 49 216 € est également effacée des registres. »

    http://www.contre-info.com/

  • Victor Orban : « Nous ne voulons pas d’immigrés en Hongrie »

    Lors d’un entretien télévisé, Victor Orban le Premier ministre hongrois a déclaré :

    Nous ne voulons pas d’immigrés en Hongrie. Si d’autres États membres veulent en recevoir, libre à eux, mais ils ne doivent pas les renvoyer ici ni les faire transiter par chez nous

    Dans une interview accordée vendredi soir à la chaîne Echo TV, le Premier ministre a estimé que la Hongrie devait prendre des mesures législatives afin de stopper l’immigration en provenance des pays pauvres et son transit dans son pays, quand bien même, cela contreviendrait au droit européen en matière d’immigration.

    Face au constat que son pays était celui qui accueillait le plus d’immigration par rapport à sa population après la Suède, le chef du gouvernement a jugé nécessaire la remise en question de règles européennes extrêmement permissives dans ce domaine.

    http://fr.novopress.info/

  • Sabatina James, musulmane convertie au catholicisme

    Aleteia raconte l'histoire de Sabatina James, une Pakistanaise de 31 ans convertie de l'islam au catholicisme. Une belle histoire, pleine d'espérance quant à la conversion des musulmans.

    Topic

    "La mise en garde de la communauté islamique, au sein de laquelle elle a grandi, est toujours présente en elle : chez les chrétiens il n'y a pas de personnes saintes, leurs églises sont vides et leurs maisons closes pleines. Mais les symboles catholiques l'attirent, l'image de Dieu qui choisit de souffrir sur la croix la bouleverse. Une première chose la frappe : la différence entre la crainte de Dieu professée par les chrétiens, basée sur l'amour, et la crainte de Dieu des musulmans, basée sur la peur. Son ami chrétien lui lit des passages de la Bible qui lui donnent paix et sérénité, comme jamais le Coran ne l'avait fait.

    Sabatina se souvient de ces jours-là : « Le Christ manifestait de la miséricorde envers les femmes adultères, alors que Mahomet permettait qu'elles soient lapidées. Plus je lisais le Coran, plus je sentais de la haine envers ceux qui étaient différents ; en revanche, en tant que chrétienne, je sens de l'amour envers ces personnes et je leur souhaite de recevoir le même amour que, moi, j'ai ressenti à travers Jésus ».[...]

    Rappelons à l'occasion de cette belle histoire le forum Jésus le Messie, dédié à la conversion des musulmans, qui se tiendra les 9 et 10 mai à ND de Grâce de Passy. Pour les inscriptions, c'est ici.

    Marie Bethanie

  • L’échec de la lutte antiterroriste

    Le dogmatisme de l’Occident nuit à l’efficacité de sa lutte contre les terroristes.

    Nous avons tous constaté l’augmentation du terrorisme islamiste ces dernières années, et l’échec des gouvernements occidentaux, aveuglés par leur propre arrogance, à l’éradiquer.

    Quel est le discours d’Al-Qaïda, de Daech, de Boko Haram ? Un islamisme extrême couplé à une haine de l’Occident. Ceci n’est en rien innovant, cette méthode a été souvent utilisée dans l’Histoire, de Hitler avec les juifs ou les bolchéviques aux papes avec les croisades. La désignation d’un ennemi « commun » permet d’unir la population, et sa diabolisation permet de justifier tous les excès.

    Force est de constater que cette méthode a marché, permettant au terroristes d’avoir suffisamment de fidèles pour oser espérer atteindre leur but inavoué : la création d’un califat sur les cendres des pays vaincus. Leurs batailles se livrent dans les États musulmans faibles ou fragilisés, proies plus faciles. Leurs cibles sont les militaires, les minorités, les « déviants », bref ce qui pourrait organiser une résistance à leur contrôle.

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  • Insécurité, islamisme : du déni de réalité à l’orchestration de la peur, la nouvelle stratégie de l’oligarchie

    « La peur soutenait déjà un fructueux commerce sécuritaire. Elle devient aujourd’hui un puissant moyen de sidération des autochtones à qui l’on apprend ainsi très tôt à raser les murs ».

     

    La novlangue au service du déni d’insécurité

    Face à l’augmentation de la délinquance, conséquence de l’idéologie laxiste qu’elle a mise en œuvre, l’oligarchie a d’abord inventé dans les années 1980 le fameuxsentiment d’insécurité, une sorte de phobie d’extrême droite qui faisait, selon elle, voir la réalité sous un jour trop sombre. Elle a aussi inventé le concept d’incivilitésqui permettait de banaliser la progression des délits, notamment ceux imputables aux jeunes issus de l’immigration.

    On nous a ainsi expliqué, par exemple, qu’il était traditionnel de brûler des voitures à la Saint-Sylvestre. Car chaque fait divers se trouvait dépeint sous des couleurs les plus lénifiantes possibles : on nous présentait les délits voire les crimes commeincompréhensibles car intervenant toujours jusque-là dans des quartiers populairesmais tranquilles ou sans histoire (*). On ne comprenait donc pas le coup de folie qui avait pu saisir les auteurs de ces actes : sans doute parce qu’un banal vol de sac à main, une drague ou une bagarre par balles avait mal tourné. Bref, ce n’était pas vraiment la faute de ces individus bien connus des services de police, mais plutôt le fait de victimes de la malchance, du chômage et de la discrimination.

    La novlangue au service du déni d’islamisme

    L’apparition de délits commis par des personnes se réclamant de l’islam a subi le même traitement politico-médiatique. On a ainsi assisté à la négation systématique du caractère islamiste de ces agissements, comme par exemple lors des attaques commises en France à la Noël 2014.

    L’oligarchie a donc mis l’accent sur le caractère isolé de ces loups solitaires, victimes d’une autoradicalisation pathologique. Même si ensuite on découvrait que leurs proches faisaient l’objet de poursuites ou que des filières avaient étédémantelées !

    Ou bien on les présentait comme des individus au comportement incompréhensibleou incohérent, comme par exemple dans le cas du profanateur du cimetière de Castres. Ou bien encore des individus dérangés, ce qui permettait d’ôter toute signification autre que médicale à leurs actes. On a même été jusqu’à nous présenter l’auteur musulman d’un attentat à l’arme automatique en Belgique comme un amateur d’armes !

    Pas d’amalgame

     

    Dans le souci de ne pas faire d’amalgame avec l’islam on a aussi beaucoup insisté sur le fait que ces criminels n’étaient pas de vrais bons musulmans, ou bien desconvertis de fraîche date, donc connaissant mal leur nouvelle religion. On nous a dit aussi que finalement les victimes étaient… les musulmans eux-mêmes dont l’image risquait de pâtir de ces agissements.

    Ce type d’argumentaire est largement répandu en Europe. On se souvient, par exemple, de ce que déclarait le premier ministre anglais à la suite de l’assassinat horrible d’un militaire décapité en pleine rue : « Ce n’était pas seulement une attaque contre la Grande-Bretagne et le mode de vie britannique. C’était aussi une trahison de l’islam et des communautés musulmanes qui apportent tant à notre pays. Rien dans l’islam ne justifie un tel acte épouvantable » (**).

    Le même discours a été entendu en France.

    Le déni de la cathophobie

    On a aussi systématiquement nié le caractère antichrétien de certains délits ou agressions.

    Ainsi, pour nos médias les églises ou les cimetières chrétiens ne sont jamaisprofanés, à la différence des sépultures juives ou musulmanes. Ils sont seulementdégradés ou à la rigueur vandalisés.

    Pour la même raison on n’a mis l’accent que sur les actes antimusulmans ou antijuifs : une façon de dénier toute réalité aux actes antichrétiens et à l’existence d’un racisme antifrançais ou antiblanc que, curieusement, la justice n’arrive jamais à identifier.

    Enfin, les médias nous ont beaucoup parlé du fait religieux en général (cf. notamment la dernière enquête sur le fait religieux dans l’entreprise) : une manière de cacher la progression des revendications musulmanes.

    Bref, l’oligarchie a mobilisé la novlangue et tout le puissant appareil médiatique au service du déni de réalité.

    Une nouvelle stratégie

    Cette stratégie a cependant fait long feu en 2015.

    Certes, l’oligarchie reste attachée à la ligne pas d’amalgame, dans le souci de ne pas se couper de l’électorat musulman d’ici 2017. Les différents plans contre le racismeet l’islamophobie remplissent la même fonction séductrice.

    Mais il n’empêche que la réalité est plus forte que la novlangue. La progression de la délinquance ne peut plus être cachée par les services de police et de gendarmerie, pas plus que celle de la violence islamiste.

    L’oligarchie a donc progressivement décidé de changer de stratégie en 2015 : de passer du déni de réalité à l’orchestration de la peur. Pour plusieurs raisons.

    Le déni n’est plus crédible

    D’abord parce que la situation lui échappe de plus en plus.

    Derrière les annonces périodiques relatives aux coups de filets, aux attentats miraculeusement déjoués, censés démontrer l’efficience de nos forces de l’ordre, ou relatives à l’inflexion prétendue des statistiques de délinquance, l’actualité migratoire ou criminelle, en France ou à l’étranger, rend de moins en moins crédible la stratégie du déni. Et l’EI se charge de son côté de la démentir.

    Mais surtout l’oligarchie a compris qu’elle avait tout à gagner à orchestrer la peur.

    Opération Je suis Charlie

    L’opération Charlie Hebdo autour des attentats de janvier 2015 marque le coup d’envoi de la nouvelle stratégie du pouvoir.

    Car du jour au lendemain on ne nous parle plus de loups solitaires ou d’actesincompréhensibles : désormais on ne nous parle plus que de filières djihadistes, d’attentats terroristes commandités de l’étranger, de caches d’armes et de complices. La langue officielle et médiatique se délie comme par enchantement. Et les incendiaires d’hier revêtent la tenue des pompiers.

    Dans un premier temps l’opération Charlie Hebdo tente de rejouer la séquence du président de la République chef de guerre et de l’union nationale contre le terrorisme : ce sera la marche républicaine censée remettre en selle un pouvoir à l’impopularité abyssale et destinée aussi à créer un nouveau cordon sanitaire contre la progression du Front national, pour le plus grand profit de l’UMPS.

    Cette tentative a cependant échoué : l’image de marque du gouvernement socialiste retombe aujourd’hui progressivement à son niveau d’avant le 11 janvier. Et le Front national est devenu en nombre de voix le premier parti de France lors des élections départementales.

    De nouveaux leviers d’action

    Le déni de réalité avait l’inconvénient de priver l’oligarchie de prétextes : s’il n’y a pas de péril sécuritaire ou islamiste, il n’y a pas de raison d’agir contre. Reconnaître, au contraire, la réalité permet de réclamer de nouveaux moyens d’action.

    Le prétexte de la lutte contre le terrorisme permet ainsi de faire passer la loi sur le renseignement qui a pour objectif réel de censurer Internet et de mettre en place une surveillance généralisée de la population. Comme partout ailleurs en Occident. Par ce biais, les dispositifs liberticides de surveillance mondiale des communications dénoncés par les lanceurs d’alerte américains se trouvent aussi légitimés. Coup double pour l’oligarchie !

    Bien entendu, comme l’a indiqué ingénument le ministre de l’Intérieur lors du débat sur la loi sur le renseignement, cette surveillance portera sur la détection desdiscours de haine, également imputés aux milieux identitaires, par exemple.

    La liberté de censurer désormais reconnue

    L’effet « Je suis Charlie » a permis, en faisant croire que les islamistes visaient laliberté d’expression, de renforcer la chape du politiquement correct antiraciste etcontre l’islamophobie en France.

    La prétendue liberté d’expression sert à promouvoir la liberté de censurer en toute bonne conscience puisqu’il s’agit de garantir le vivre ensemble ou les valeurs de la République – et, par exemple dans le cadre du nouveau plan de lutte contre le racisme, de remettre en cause ouvertement les protections offertes par la loi sur la liberté de la presse de 1881.

    Vive la peur !

    L’oligarchie a finalement très bien compris le caractère contre-productif de la stratégie du déni de réalité. Elle sait maintenant que plus les citoyens ont peur pour leur sécurité, leur emploi ou leurs économies, moins ils peuvent se mobiliser sur d’autres causes, a fortiori s’agissant des autochtones vieillissants. D’ailleurs, il n’y a aujourd’hui que la communauté asiatique, identitaire et dynamique, qui manifeste contre l’insécurité en France ! Les vieux Européens n’osent rien dire.

    Et il suffit de regarder les télévisions pour se rendre compte que l’on programme consciemment partout la mise en scène de la peur et de la violence : aux actualités sanglantes s’ajoutent les séries policières, les histoires de juges, de femmes-flics ou de femmes harcelées, les affaires criminelles, sans oublier les émissions édifiantes montrant nos forces de l’ordre en pleine action contre la délinquance. Sans parler des militaires qui patrouillent désormais dans les rues.

    La peur soutenait déjà un fructueux commerce sécuritaire. Elle devient aujourd’hui un puissant moyen de sidération des autochtones à qui l’on apprend ainsi très tôt à raser les murs.

    Rien de tel pour mâter le populisme en Europe et consolider le Système !

    Michel Geoffroy

    Notes :
    (*)     Ex. : « Sid Ahmed Ghlam, étudiant sans histoires et terroriste amateur », Le Monde du 24 avril 2015.
    (**)   Le Monde.fr du 23 mai 2013.

  • UE : bientôt des quotas obligatoires de clandestins !

    Nos élites n’ont aucun mal à trouver le sommeil après avoir favorisé des guerres civiles génocidaires en Irak, en Syrie et en Libye, mais ils simulent une syncope lorsqu’ils apprennent les noyades en mer méditerranée. Afin de remédier à ce problème, les structures mondialistes et supranationales que sont l’ONU et l’Union Européenne ont trouvé LA solution miracle… Mettre en place des corridors pour favoriser et rendre légale l’immigration mais également imposer des quotas aux différents pays d’Europe !

    Le porte parole de l’ONU Ban Ki-moon a ainsi déclaré vouloir : « une approche globale est cruciale qui prenne en compte les racines du problème, la sécurité et les droits humains des migrants et des réfugiés,comme avoir des canaux légaux et réguliers d’immigration. Les Nations unies sont prêtes à collaborer avec nos partenaires européens à cette fin »

    Son caniche Jean-Claude Juncker, président de la commission européenne, a immédiatement compris les ordres du maître et a déclaré : « Nous devons travailler sur l’immigration légale. Si nous fermons les portes, les migrants entreront par effraction par les fenêtres ».
    Ainsi « La Commission européenne doit présenter le 13 mai une stratégie globale pour les migrations. Elle va faire des propositions pour faciliter une immigration économique légale dans l’UE et réclamer des quotas obligatoires d’accueil des réfugiés pour tous les États membres. »

    Source : ici et ici

    http://www.contre-info.com/