Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1330

  • François Hollande relance la polémique sur le droit de vote des étrangers

    « Je suis favorable au droit de vote des étrangers », c’est ce que a nous rappelé François Hollande, hier après midi durant son discours d’inauguration au musée de l’Histoire de l’immigration ouvert en 2007. Alors que sa côte de popularité est au plus bas et que le fameux collectif des « frondeurs » prend de l’ampleur, François Hollande souhaite unifier la gauche en reprenant un de ses thèmes favoris : l’accueil des étrangers. « Il faut que la France soit représentée par toutes les couleurs, toutes les forces vives du pays »  a‑t‑il expliqué avant de comparer l’arrivée des 200 000 immigrés par an sur le sol français à une accumulation de« talents » et de « chances ».

    Dans cet éloge de l’immigration, François Hollande évoque tout de même la poussée du Front National

    Tout à fait. Si il attaque le Front National en les traitant de démagogues, mais il dénonce aussi la poussée des nationalismes en Europe dont on a vu l’illustration aux dernières élections européenne, en les comparant, je cite : « A des vents mauvais qui soufflent de plus en plus ». Quant à la montée de l’islam radical en France, il assure que l’islam est tout à fait compatible avec les lois de la République.

    Le président qui voulait rassembler les Français, ignore une fois de plus les Français de souche

    Eh oui ! Le président refuse toujours de prendre en compte l’avis des Français sur le sujet. Pourtant, dans un récent sondage Odoxa, 60 % des Français, seraient opposés au droit de vote des étrangers.

    L’immigration n’est pas une fatalité ? 

    Eh non ! Contrairement à l’idéologie bien pensante qui sévit en France depuis près de 40 ans. En Espagne par exemple, une loi de sécurité citoyenne a été adoptée jeudi dernier par le congrès des députés qui prévoit une reconduite immédiate des immigrés clandestins à la frontière.

  • François Hollande et l’immigration : non, non, rien n’a changé…

    Il a la trouille, François Hollande, car les sondages le révèlent : les immigrés « intégrés » se tournent aujourd’hui vers Marine Le Pen !

    C’est une histoire peu commune : celle d’un musée que le président issu de la majorité qui l’avait décidé a refusé d’inaugurer et qui l’est, aujourd’hui, par son successeur, sept ans après son ouverture !

    Soucieux de récupérer des voix auprès d’une gauche qui se débine de jour en jour, François Hollande est donc allé lundi inaugurer la Cité nationale de l’histoire de l’immigration. Sur le papier, une « institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à reconnaître et mettre en valeur la place des immigrés dans la construction de la France ». Dans les faits, un machin informe qui n’a jamais trouvé ni sa destination ni son public, sauf celui des élèves de banlieue qu’on y traîne de force et en rangs par deux.

    Car à quoi se résume l’histoire de l’immigration dans cette Cité qui lui est prétendument consacrée ? À des clichés éculés. À un bric-à-brac chiné aux puces du tiers monde, sorte de dépotoir dont on ne voudrait pas dans un vide-greniers de quartier. En quoi, en effet, une théière marocaine voisinant dans une vitrine avec une valise en carton font-ils un musée ? En quoi un couscoussier pendu à un fil à côté d’une statue nègre et d’un masque chinois en papier mâché parlent-ils aux immigrés de leur histoire et de leur culture ? Pas plus que ces vidéos de pauvres gens débarquant valise à la main, ces photos de “Pigeots” chargées jusqu’au ciel de matelas et de gazinières, ou les affiches d’Aznavour et d’Enrico Macias…

    Lire la suite

  • Franck Guiot : « “on est chez nous” n’est pas un gros mot ! » (Présent 8253)

    De l’UMP au FN
    On est chez nous ! Ces paroles pleines de bon sens proviennent tout droit d’un élu UMP. Eh oui ! Pour être plus précis, d’un ancien UMP. Militant de droite depuis toujours, Franck Guiot vient de rejoindre le Front national, quittant le radeau de la Méduse mené dorénavant par Sarkozy & Co. A l’heure où certains passent de l’UMP au FN avec bruit, d’autres le font avec une discrétion à la mesure de leurs convictions. Portrait sans langue de bois d’un amoureux de la France.

    Franck Guiot : « “on est chez nous” n’est pas un gros mot ! » (Présent 8253)— Quel a été votre parcours jusqu’à aujourd’hui ?

    — Après une jeunesse au FNJ lors des années Mitterrand, j’ai adhéré au RPR et j’ai participé à la campagne en faveur du non à Maastricht. En 2002, j’ai naturellement adhéré à l’UMP sous l’impulsion d’un Nicolas Sarkozy qui inspirait la rupture face à un système déjà à bout de souffle. Par ailleurs, j’ai été élu au sein de mon village de 1995 à 2014. En 2007, tous les espoirs se sont portés sur Nicolas Sarkozy et sa volonté d’impulser une nouvelle dynamique. Très vite, beaucoup d’espoirs sont tombés (ouverture à gauche, bilan très mauvais sur la maîtrise de l’immigration et sur la sécurité…) et malgré une ligne « Buisson » que j’ai soutenue en 2012, Nicolas Sarkozy a été battu par défaut par un François Hollande acclamé sous une horde de drapeaux étrangers Place de la Bastille. La suite, tout le monde la connaît…

    — Quels ont été les arguments pour votre départ de l’UMP et le choix du FN ?

    — Dès la victoire de la gauche en 2012, le marasme s’est très vite emparé de l’UMP : divisions, aucune cohérence de ligne politique entre les différents courants, un courant « droite populaire » complètement marginalisé, une élection interne avec des crises d’egos dévastatrices, puis l’affaire Bygmalion…

    Pendant ce temps, les idées défendues depuis 40 ans par le Front national démontrent qu’il avait raison : l’Europe est une passoire et n’est pas capable de faire face à une immigration devenue totalement hors de contrôle, de nombreux territoires de non-droit se développent en France, la délinquance explose, les Français sont asphyxiés par une pression fiscale devenue insupportable, nous avons un chômage de masse, bref nous nous dirigeons vers une crise de régime et un chaos sans précédent.

     

    — Selon vous, quel est l’avenir de l’UMP version « Sarkozy II » ?

    — Comme Henri Guaino, j’ai toujours pensé que ce n’était pas la place d’un ancien président de la République de redevenir un chef de parti. C’est très compliqué, il est obligé de faire le grand écart entre le courant « droite très molle », incarné par Nathalie Kosciusko-Morizet et une « droite un peu plus affirmée dans les paroles », incarnée par Laurent Wauquiez. Les adhérents et les militants vont avoir rapidement le tournis.

    — Vous avez toujours été un défenseur de l’identité française. Comment la définiriez-vous ?

    — La défense de notre identité est naturelle, c’est du bon sens, tout simplement, nous voulons que la France reste la France. La France repose sur des traditions, une culture, que nous ont léguées nos ancêtres, il n’est pas question de les brader et de les abandonner au nom d’un « multiculturalisme » que l’on veut nous imposer, mais qui ne fonctionne pacifiquement nulle part. Les sociétés multiculturelles deviennent toujours des sociétés multiconflictuelles, car de culture et de tradition différentes. Nous n’en voulons pas ! Or, on assiste actuellement à un grand remplacement de population, ceux qui ne le voient pas ou qui ne veulent pas le voir sont de dangereux irresponsables. Dire haut et fort « On est chez nous » n’est pas un gros mot !

    — Comment voyez-vous les élections de 2015 et 2017 ? Allez-vous vous y engager avec le FN ?

    — Il est évident qu’actuellement, le FN est le premier parti de France dans la tête des Français. L’impulsion donnée lors des élections européennes va s’amplifier lors des élections départementales, puis lors des élections régionales, c’est une certitude. Pour 2017, c’est encore trop loin pour faire des pronostics, étant donné le niveau de défiance des Français à l’égard des politiques. Ce qui est certain, c’est que la question de l’identité de la France sera centrale en 2017, avant même les problèmes économiques.

    Quant à mon engagement avec le FN, je reste ouvert à toute proposition de collaboration, sachant que les partis ne sont pas une fin en soi : seules les idées et les convictions sont essentielles. C’est l’avenir de la France et de notre civilisation qui est en jeu, celui des partis politiques n’a pas beaucoup d’importance aux yeux des Français.

    Propos recueillis par Louis Pasquerel

    En partenariat avec le quotidien Présent – Chaque jour, retrouvez sur Novopress la Une du quotidien Présent ainsi qu’un article sélectionné par la rédaction et mis gratuitement à votre disposition. Seul quotidien de réinformation, Présent est unique dans le paysage médiatique français. Contribuez à abattre le mur de la bien-pensance et du médiatiquement correct, lisez et faites lire Présent ! Abonnez-vous !

    http://fr.novopress.info/179986/franck-guiot-on-chez-nest-pas-gros-mot-present-8253/

  • Bernard Cazeneuve condamne Eric Zemmour

    Éric Zemmour a été interrogé par le Corriere della Sera le 30 octobre. Jean-Luc Mélenchon en donne la traduction sur son blog :

    Eric Zemmour : « Les musulmans ont leur code civil, c'est le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les Français ont été obligés de s'en aller. »

    Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »

    Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien  qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »

    Question : « [Vous parlez d'exodes provoqués par] des tragédies immenses. »

    Eric Zemmour : « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes [vivent ici], en France, [mais] ne veulent vivre à la française. »

    Cette liberté d'expression est de trop pour Bernard Cazeneuve :

    "M. Bernard CAZENEUVE, Ministre de l'Intérieur, condamne avec une extrême fermeté les propos tenus par Eric Zemmourconcernant les musulmans de France dans le quotidien italien Il Corriere della Sera.

    Il affirme son soutien aux musulmans de France odieusement attaqués et appelle tous les républicains à réagir et à manifester leur solidarité. Il rappelle que la République laïque garantit la liberté de conscience et la liberté de culte. La Nation française se définit par le vivre-ensemble, et les musulmans de France, comme les chrétiens, les juifs, les croyants et les incroyants, sont tous ses enfants.

    En faisant de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme une grande cause nationale, le Président de la République entend qu’aucun Français ne puisse être attaqué ni menacé en raison de son origine ou de sa religion. Le ministère de l’Intérieur, ministère des cultes, prendra toute sa part à cet effort républicain. L’ensemble des Préfets est mobilisé pour protéger les lieux de cultes et pour faire en sorte qu’aucun acte de haine anti-religieux ne demeure impuni.

    Bernard CAZENEUVE réaffirme sa détermination à lutter contre ce fléau et à préserver le pacte républicain, garantie de notre vivre ensemble."

    Avec une réaction aussi hystérique que celle-ci, nous nous dirigeons donc vers le chaos.

    Michel Janva

  • Éric Zemmour rappelle que des migrations ont eu lieu dans l’Histoire

    Éric Zemmour a récemment accordé une interview à une journal italien, le Corriere della Sera. Au journaliste qui lui a posé une question quelque peu provocatrice – “suggérez-vous de déporter 5 millions de musulmans français ?”-, le polémiste lui a simplement fait remarquer que des remigrations avaient eu lieu dans l’Histoire.

    - Eric Zemmour : Je sais, c’est irréaliste mais l’Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu’après la guerre, 5 ou 6 millions d’Allemands auraient abandonné l’Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ?

    - Question du journaliste : Ça provoque des tragédies immenses.

    - Eric Zemmour : Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes ne vivent, en France, et ne veulent vivre, à la française.

    http://fr.novopress.info/179971/eric-zemmour-rappelle-migrations-lieu-lhistoire/

  • L’Europe va payer le Maroc pour lutter contre l’afflux de clandestins

    L'Europe est comblée de donner l'occasion au Maroc de bénéficier des bienfaits et des richesses des migrants.

    Alors que la France inaugure en grandes pompes ce lundi après-midi le musée de l’Immigration et que la jeunesse socialiste s’apprête à nous assener une énième campagne (ad nauseam) sur la richesse qu’elle représente pour nos contrées, c’est l’Europe qui prend un curieux contre-pied en forme d’aveu : oui, l’immigration (fût-elle clandestine) représente un problème pour l’Europe ! Sinon, pourquoi se déciderait-elle à payer le Maroc pour l’aider à stopper le flux de clandestins subsahariens qui le submerge ?

    Lire la suite

  • Les profiteurs de la diversité : « La diversité, on a (presque) tous à y gagner ! »

    Chronique de Bernard Mazin, essayiste.

    ♦ « Ce faisant, elle [la presse] ne peut que contribuer à décrédibiliser un peu plus la classe politique, déjà bien affectée, toutes tendances confondues, par les “affaires” en tout genre où des politiques pas très regardants profitent d’un argent pas très bien gagné. »

    Depuis quelques années, les administrations et les grandes entreprises publiques ou privées sont sommées d’inscrire leur gestion des ressources humaines dans le cadre d’une campagne qui les invite à refuser les stéréotypes de tous ordres, reflétant ainsi l’omniprésente influence du lobby des droits de l’homme et de l’antiracisme. Le slogan-phare en est « La diversité, on a tous à y gagner ! ». L’on ne sait si le caractère savoureux de cette expression, prise au second degré, est à mettre au compte de l’inconscience ou de la malice de ses inventeurs. Toujours est-il que, si nous avons du mal à nous persuader des bienfaits pour tous de la diversité au sens où l’entendent ses promoteurs, il est beaucoup plus aisé de se rendre compte que certains en ont bien, littéralement, « tiré profit ». Une fois n’est pas coutume, c’est à notre tour d’invoquer le « devoir de mémoire ».

    « Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés »

    Faouzi Lamdaoui, qui occupait auprès de François Hollande le poste de « conseiller pour les questions d’égalité et de diversité », ce qui constitue en soi tout un programme, a été contraint de démissionner le 3 décembre 2014. L’intéressé venait d’être cité à comparaître dans le cadre d’une enquête préliminaire pour d’éventuels « recel d’abus de biens sociaux » et « fraude fiscale ».

    Selon Le Monde, « Les magistrats et les policiers estiment que ce compagnon de route historique de François Hollande, chef de son cabinet pendant sa campagne présidentielle, a été “le gérant de fait” d’Alpha Distributions et d’Alpha (devenue Cronoservice), deux SARL inscrites dans la même société de domiciliation parisienne. La première – dont M. Lamdaoui était directeur logistique – a été liquidée en juin 2010 et radiée du Registre du commerce en mars 2012. La seconde, spécialisée dans la sous-traitance de laboratoires photo, a cessé ses activités en juin 2012 et a été radiée en mars 2014 ».

    A l’issue d’une perquisition, les enquêteurs se sont interrogés sur les « rémunérations élevées » perçues par Faouzi Lamdaoui et sur une possible dissimulation de ces sommes au fisc. En 2010 déjà, Alpha Distributions avait été épinglée par la Commission des infractions fiscales pour « dissimulation de recettes imposables ».

    Le parquet de Paris a ouvert deux enquêtes préliminaires, en mai 2012, à la suite des plaintes déposées par Mohamed Belaïd, un ex-militant PS d’Argenteuil (Val-d’Oise) et ancien chauffeur de Hollande. La première, qui visait François Hollande et Faouzi Lamdaoui pour « travail dissimulé », « menaces et intimidations », a été classée sans suite, le 29 novembre 2013. Mais la seconde, ouverte pour « faux et usage de faux » devrait donner lieu à l’audition prochaine du conseiller à l’égalité et à la diversité. M. Belaïd estime en effet que Faouzi Lamdaoui a, pour créer la société Alpha, usurpé l’identité de son épouse. « Les investigations, confiées dans un premier temps à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, ne l’ont pas démontré. Mais des questions ont vu le jour sur l’utilisation des fonds de l’entreprise », précise de son côté L’Express.

    Cette affaire constitue le dernier épisode – et sans doute pas le dernier – du long feuilleton des démêlés judiciaires impliquant les représentants tant médiatisés de la « pote-génération », et en particulier les pères-fondateurs et les dirigeants successifs de SOS Racisme. En voici, brièvement résumés, les épisodes précédents :

    Lire la suite

  • Surtout pas de stigmatisation !

    Comme pour les affaires Merha et Nemmouche, les médias français ne veulent surtout pas stigmatiser. Lu sur Causeur :

    2014-12-15T030910Z_1898693965_GM1EACF0U4802_RTRMADP_3_AUSTRALIA-SECURITY_0"Jusqu’où ira-t-on trop loin dans la lutte contre la stigmatisation ? Le débat vient d’être relancé ce matin par le présentateur du JT de BFM-Business. Ouvrant son journal de 8h, comme tous ses collègues des autres chaines par la prise d’otages de Sydney, il a expliqué que celle-ci était due à « un homme aux motivations vraisemblablement politiques ». On n’en saura pas plus.

    En l’état actuel des choses, cette façon de présenter l’info appelle quelques corrections factuelles.

    Tout d’abord, il semblerait, d’après toutes les dépêches d’agences, que les motivations du preneur d’otages soient explicites (...). Donc mon estimable confrère aurait dû parler, soit d’un «homme aux motivations possiblement politiques » soit d’un «homme aux motivations manifestement politiques ». La seconde option paraissant tout de même beaucoup plus raisonnable, notre preneur d’otages (...) a demandé, en plus d’une ligne directe avec le premier ministre australien, qu’on lui amène un drapeau de l’Etat Islamique.

    Ce qui nous amène à notre deuxième correctif mineur.  Toutes les dépêches indiquent en effet qu’avant même de disposer d’un fanion officiel de l’Etat Islamique, le preneur d’otages a, dès qu’il s’est rendu maitre des lieux, aussitôt affiché sur la vitrine du Café Lindt un drapeau noir où l’on pouvait lire un texte en arabe qualifié par tous les envoyés spéciaux de «profession de foi musulmane ». Compte-rendu de mes très faibles connaissance en langue arabe, cette dernière info reste à vérifier, mais il y a fort à parier que ladite inscription ne signifie pas « Joyeux Noël à tous »(...)

    Il n’est certes pas à exclure qu’on ait affaire à un total cinglé. Mais un fou furieux islamiste est à la fois un fou furieux ET un islamiste (...)

    Cela dit, s’il avait dit les choses aussi clairement peut-être se serait-il exposé à l’accusation de vous-savez-quoi. Or le vous savez quoi est un danger qui  nous menace tous (...) L'idée générale est semble-t-il de lutter, lâchons-le mot, contre l’islamophobie.

    Pour l’instant, personne ne pourra accuser d’islamophobie mon très prudent confrère de BFM-Business. On espère néanmoins que la caractérisation du preneur d’otages sera réévaluée dans les JT à venir de la chaine, sans que le supposé djihadiste coupe quelques têtes pour prouver qu’il est bien ce qu’il est , et que certains ont un peu de mal à nommer."

    Philippe Carhon

  • Pegida : début d’un réveil populaire en Allemagne contre l’immigration ?

    économiques du modèle allemand et la popularité d’Angela Merkel, outre-Rhin un réveil populaire semble émerger contre l’islamisation et l’immigration en Allemagne. En effet, le modèle multikulti et autres fadaises du vivre-ensemble exploqe face aux manifestaions salfaistes et aux affrontements violents entre salafistes et Kurdes à cause de l’Etat islamique. Sans oublier que l’Allemagne, elle-aussi, connait une sorte de Camp des saints avec la poussée exponentielel d’uen immigration extra-européenne.

    C’est ce réveil populaire dont s’alarment nos confrères bien pensants de Libération. Notamment à travers les manifestations qu’organise désormais le mouvementPegida, manifestations qui connaissent une large succès et qui dépassent la simple “extrême droite” :

    Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi soir (8 décembre, note de Novopress), 10 000 personnes ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde malgré le froid mordant «contre l’islamisation de l’Occident» à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. En face, 9 000 habitants protestaient contre le développement de l’intolérance. Pegida est l’abréviation d’un slogan aux relents douteux qu’on pourrait traduire par « Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident ». Ce mouvement parti de rien et échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent (souligné par nous, Novopress).

    (…)

    Chaque lundi à la nuit tombée, le mouvement enfle. De 500 participants, on est passé à 10 000 en quelques semaines. Jeunes, vieux, hommes, femmes et même des familles ; la société civile semble se mobiliser. Et si quelques centaines de néonazis et une poignée de fonctionnaires du parti d’extrême droite NPD se mêlent aux drapeaux noir, rouge et or ou aux croix hissées au-dessus de la foule, ils semblent noyés dans le mouvement.« C’est très surprenant, explique Werner Patzelt, politologue à l’université de Dresde.C’est comme si quelque chose qui n’attendait que ça venait de se cristalliser… Pegida est né du fait qu’une partie importante de la population se rebelle contre un développement sur lequel on ne l’a pas consultée et qui n’a jamais été débattu : le fait que l’Allemagne devienne une terre d’immigration. »

    (…)

    Pegida menace de déborder les frontières de la Saxe. Wurtzbourg, Bochum, Munich, Cassel ou Bonn voient fleurir des mouvements similaires. A Leipzig, Pegida s’appelle Legida, et Dügida à Düsseldorf. Ces boutures ne mobilisent pour l’instant que quelques centaines à quelques milliers de personnes. Mais le mouvement pourrait s’étendre. « Pegida répond à une peur économique et sociale, souligne Johannes Kiess, sociologue à l’université de Siegen. L’Allemagne est un pays riche, mais tout le monde ne profite pas de cette richesse. Sa situation d’île de bien-être au milieu de l’Europe peut prendre fin très rapidement. La crainte d’un déclassement social est forte jusque dans les classes moyennes. Et se retourne facilement contre les plus faibles, les étrangers, les minorités. »

    >> Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/

  • Agression de Créteil : nouvel exploit des journalistes de propagande

    Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs ? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés ?

     

    Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes ; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité ! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité ! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’« objectivité ».

    À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs ? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat.

    Lire la suite