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immigration - Page 1331

  • Je ne voudrais pas gâcher la fête

    A l’heure ou la France se qualifie pour le quart de finale, une polémique commence à prendre une certaine ampleur, malgré le silence toujours plus servile des médias, à propos des « incidents » qui accompagnent systématiquement les victoires de l’équipe d’Algérie dans le cadre de la coupe du monde de foutbol. 

    Au travers des fissures de l’omerta républicaine, filtrent quand même des informations pour le moins alarmantes tout de suite minimisées par les journalistes « homo-festivus » qui laissent entendre que les porteurs de ces nouvelles sont les fameux néo racistes qui menacent la planète et qui font rien qu’embêter les gentils qui ne pensent qu’à s’amuser. Je ne vais pas lister ici le nombre des voitures brûlées, des pompiers caillassés, des insultes anti-françaises proférées, rien que de très normal estime la police , tout est calme sur l’ensemble du front disait aussi la TSF en 39.

    Certains élus ont même l’outrecuidance d’appeler les algériens vivant en France, (la double nationalité permettant bien des choses, comme toucher les allocations familiales et le RSA en France, et brandir le drapeau Algérien, aussi en France) à se faire un peu moins voyants , à moins envahir les places des grandes villes, moins étaler leurs drapeaux , parfois sur les frontons des mairies en lieu et place du drapeau français (dont on ne sait quel sort lui est réservé).

    Les ligues de vertus républicaines sont tout de suite mobilisées contre de tels propos « rappelant les heures les plus sombres de notre histoire ». Ce qui devrait être reçu comme l’expression du bon sens le plus ordinaire, devient un propos odieux contre lequel la classe politique toujours prompte à défendre les valeurs de notre société émasculée, pardon immaculée, se dresse , le menton levé et condamne aussi courageusement qu’unanimement cette résurgence de la « bête immonde ».

    A côté de cela, la garde à vue de Sarkozy, les milliards de dollars versés sans broncher à la justice américaine, (une amende que certaines mauvaises langues croient liée politiquement à la vente des navires de guerre à la Russie), la guerre américaine qui menace partout, en Irak , en Ukraine, en Palestine…. Tout cela est occulté par la fièvre du ballon rond, qui arrive à masquer même ce que cet événement mondial révèle : La France est un pays occupé. Entendons nous bien, il ne s’agit pas ici de refuser le droit aux minorités étrangères vivant en France d’exprimer une joie légitime quand leur équipe préférée marque un but, « on » leur demande seulement de prendre conscience qu’ils ne sont pas ici chez eux en tant que supporters d’une équipe étrangère et que leurs manifestations doivent rester dans les limites de la décence.

    Savent-ils qui est ce « on », dans la confusion du concert médiatique ? Malheureusement ces étrangers les jours pairs et Français les jours impairs, encouragés par la classe médiatico-politique, n’entendent pas le « cri sourd du pays qu’on enchaine ». Et pour cause : ils ne se sentent plus une minorité, ce qui leur permet — tout le monde à vu les reportages des journalistes niaisement enchantés sur les champs Elysées — de crier à tue-tête en brandissant le drapeau algérien : « On est chez nous…. »

    Bon, restons calme, mais convenons quand même que tout cela est inquiétant et qu’il serait sage de remettre à plat la question de l’immigration, celle de l’intégration et peut-être même celle, complètement oubliée par nos dirigeants, de la politique Africaine de la France, des deux côtés du Sahara.

    Olivier Perceval - Secrétaire général de l’Action française L’AF 2889

  • Génération identitaire : il faut désormais parler des “six de Poitiers”


    Ce sont désormais six militants de Génération identitaire qui subissent les foudres de la justice, concernant l’occupation du toit du chantier de la future mosquée de Poitiers. Interrogé longuement par la juge d’instruction chargée de l’affaire, Damien Rieu, porte-parole de Génération Identitaire, et Arnaud Delrieux, président de Génératin Identitaire, ont été mis en examen pour incitation à la haine, vol, dégradations et rassemblement non autorisé, mise en examen assortie d’un contrôle judiciaire strict pour Damien Rieu, auquel il est interdit de contacter les 76 militants présents de l’occupation.

    Ironiquement, Damien Rieu fait remarquer que’il est poursuivi suite à une plainte pour provocation déposée par l’imam de cette future mosquée, accessoirement membre de l’UOIF…

    twwet-damien-poitiers-bon

    Vous voulez les soutenir ? Faites un don > http://www.generation-identitaire.com/faire-un-don/

  • Algériens en France : bombe à retardement

    « La guerre commence toujours sur d’insignifiantes pattes de mouche et se termine entre les griffes du tigre. »

    Les émeutes provoquées par les supporters algériens au cours du Mondial de foot ont des implications stratégiques et géopolitiques dont bien peu ont conscience. Un processus de guérilla est enclenché. Explications.

    Toute la nuit du 27 au 28 juin, Alger a dansé et chanté pour fêter la victoire en 8e de finale des Fennecs (équipe de foot nationale) contre l’équipe de Russie. Aucun incident n’a été à déplorer. Sinon,  les fauteurs de trouble  auraient passé un sale quart d’heure entre les mains des unités spéciales de l’armée. Rien de tel dans les villes françaises où les jeunes Algériens (naturalisés ou non) ont «fait la fête » en saccageant tout sur leur passage, dans une impunité quasi totale. (1)

    De manière croissante, au terme de chaque match que joue l’équipe algérienne, et quel qu’en soit le résultat, le même scénario se reproduit : l’émeute insurrectionnelle au sens propre, avec incendies de véhicules, destructions, pillages de commerces, agressions des forces de police et des pompiers, tentatives d’incendier des habitations, etc. La région parisienne et une dizaine d’autres agglomérations sont touchées.  Et ça va continuer avec la poursuite des matches du Mondial. Lors du Mondial 2010, déjà, les Algériens avaient créé des troubles très violents, notamment à Roubaix. En 2009, au terme d’un match Égypte–Algérie, des bateaux avaient été incendiés et coulés dans le Vieux-Port de Marseille. Mais le phénomène monte en puissance.

    Sur ordre, les forces de police ont procédé à peu d’interpellations (74 seulement dans toute la France). Il s’agit de ménager les émeutiers maghrébins, de ne pas «stigmatiser» leur communauté. Bien que Manuel Valls ait qualifié ces événements d’ « insupportables », il les a prudemment minimisés, en rejetant la responsabilité sur une « minorité ». Sauf que cette minorité d’émeutiers est largement soutenue par des milliers de sympathisants et de coreligionnaires. Marine Le Pen, qui a osé s’indigner de ces émeutes et critiqué l’attribution préférentielle de la double nationalité aux Algériens, a été violemment prise à partie par l’oligarchie politico-médiatique et par SOS Racisme, l’officine subventionnée de défense des «potes», auxquels personne n’ose toucher mais qui, eux, ne se gênent pas pour toucher à tout.

    Ivan Rioufol (entretien en ligne sur le site du Figaro) remarque que  «le patriotisme algérien en France révèle l’échec de l’assimilation». C’est le moins qu’on puisse dire ! Il s’agit en réalité, bien plus que de l’échec de l’intégration (le fait de ne pas se sentir français), d’une manifestation de haine envers la France ; d’une volonté de lui faire la guerre «par le bas», en commençant par une guerre civile de harcèlement de basse intensité.

    La preuve : on n’observe pas seulement des manifestations de «révoltes» contre une société jugée oppressive, à l’occasion de tel ou tel événement impliquant la police aux prise avec des voyous d’origine immigrée ; on remarque que sous n’importe quel prétexte, à n’importe quelle occasion, du 14 juillet au Nouvel An,  en passant bien entendu par les matches de foot impliquant l’Algérie, les émeutes provocatrices éclatent. Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une guérilla en sourdine qui commence. Sa signification échappe à nos politiciens et à nos brillants intellectuels. Ça n’échappe pas aux intéressés.

    En gros, il y a deux types d’échecs de l’ «intégration» des immigrés. Ceux qui sont indifférents à la France et ne sont là que pour profiter d’un système social. Et ceux qui, comme les Algériens, fer de lance des autres arabo-musulmans, ajoutent à cette motivation la volonté d’en découdre, de créer des troubles, d’entamer un processus belliqueux. Sans oublier l’Islam, de plus en plus radical, qui joue comme un accélérateur de cette hostilité fondamentale, assise sur un désir de revanche envers le Français, l’Européen. De revanche, mais aussi de conquête «par le bas» et de l’intérieur.

    En ce sens, les émeutes du Mondial doivent s’inscrire dans un processus beaucoup plus large, qui n’a rien de sociologique mais qui est ethno-politique et géopolitique. On aurait dû être alerté dès 2001, lors du match France-Algérie, interrompu à la 76e minute après l’invasion de la pelouse par les supporters algériens qui avaient sifflé La Marseillaise. Tout se tient : la monstration des femmes voilées dans l’espace public participe du même processus de provocation et d’intimidation. Tous les clignotants s’allument, mais les pilotes de l’avion font semblant de ne rien voir.

    Les émeutes de 2005 furent un avant-goût de ce qui nous attend. Le processus entamé est d’autant plus dangereux que l’immigration incontrôlée continue (2) et que le différentiel démographique (naissances) s’accroît. Un problème numérique commence donc à se poser, avec une masse insurrectionnelle potentielle de plus en plus importante. Nous ne sommes pas du tout en face d’une simple question de «maintien de l’ordre» mais nous vivons des prémisses d’une situation de conquête intérieure, avec un volet insurrectionnel et éventuellement terroriste, incluant la radicalisation islamique identitaire qui se propage dans les jeunes générations. Sa nature est ethno-politique et non pas religieuse.  Nous sommes assis sur un tonneau de poudre.

    Ne doutons pas que les différents Etats arabo-musulmans, de l’Algérie au Qatar, observent la situation des banlieues françaises avec grand intérêt et beaucoup d’arrière pensées. Les Algériens bénéficient en France de nombreux privilèges, dont celui de la double nationalité, avec plus de 800.000 inscrits sur les listes électorales algériennes. Et l’Algérie elle-même, depuis son indépendance, bénéficie dans ses rapports avec la France, dans les différents traités, de statut de la «nation la plus favorisée», à cause de la mauvaise conscience masochiste française.

    Paradoxe incroyable : la totalité de ces «nationalistes» algériens qui manifestent leur animosité envers la France ne songent pas une seconde à aller vivre dans leur chère patrie qui, depuis l’indépendance, est devenu un pays où il ne fait pas bon vivre, un vrai repoussoir, dirigé par des satrapes. D’autre part, on nous rabâche pour nous rassurer que la majorité des Arabo-musulmans présents en France désapprouve toutes ces violences de même que l’islamisme radical. C’est vrai pour les anciennes générations et pour des intellectuell(e)s minoritaires. Concernant les jeunes générations d’origine immigrée, cette analyse n’est pas forcément pertinente. Elles forment une masse de manœuvre, arrière-cour des activistes.

    Ensuite, voici une remarque qui pourra en choquer beaucoup. Finalement, en termes polémologiques, et si l’échec de l’intégration et de l’assimilation était une bonne chose ? En effet, ces manifestations d’hostilité et de provocation envers la France et la civilisation européenne en général remettent les pendules à l’heure. Elles démontrent que l’intégration et l’assimilation sont des utopies cosmopolites. Elles clarifient les camps, c’est-à-dire la césure entre l’ami et l’ennemi. Elles ruinent les ruses de tous ceux (comme MM. Boubakeur et Tarik Ramadan) qui endorment notre vigilance en faisant croire à leurs bons sentiments, par dissimulation. Finalement, les émeutiers algériens (et assimilés)  dans leur stupidité, rendent service.

    La guerre commence toujours sur d’insignifiantes pattes de mouche et se termine entre les griffes du tigre. Des événements apparemment mineurs et gérables, comme ces émeutes urbaines de basse intensité à l’occasion de matches de foot ou de n’importe quoi d’autre, additionnés à de nombreux autres intersignes, doivent nous faire comprendre qu’un très grand conflit vient de commencer et qui aura l’Europe occidentale et la France comme champ de bataille principal. Il va y avoir du sport.

    Dans le prochain article de ce blog, je ferai quelques pronostics sur la Troisième guerre mondiale qui aura inéluctablement lieu avant le milieu de ce siècle et dont les lignes de force seront plus compliquées et sans doute plus tragiques que celles des deux premières. Je vous réserve mes prédictions. A très bientôt.

     Guillaume Faye, 30/06/2014

    Notes :

    (1) Avec les lois Taubira, aggravées par le Sénat, qui organisent l’impunité pratique des délinquants, les émeutiers vont être évidemment encouragés.

    (2) La pression migratoire en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient, faute de volonté de la stopper, ne pourra que s’accélérer avec les désordres qui agitent toutes ces régions.

    http://www.polemia.com/algeriens-en-france-bombe-a-retardement/

  • Contre le voile islamique en Europe… une demi-victoire

    On peut considérer comme une petite victoire, et on doit s'en féliciter, la décision  de la Cour européenne des droits de l’homme en date du 1er juillet 2014. Elle mettait en jeu la loi française votée en 2010 qui interdit le port du voile intégral dans notre pays.

    Il faut évidemment toute  la mauvaise foi coutumière au quotidien Le Monde pour titrer que l'assemblée plénière des 17 juges représentant les 47 pays du conseil de l'Europe "émet des réserves". Comme trop souvent le résumé trahit la substance de l'information elle-même, et la rédaction n'ignore pas que le lecteur pressé du "grand journal du soir" s'en tient à l'image ainsi véhiculée. (1)⇓

    Voilà donc, une fois de plus comment on nous manipule, et combien Soljenitsyne avait raison analysant la surinformation, qui noie la vérité dans l'océan du mensonge.

    La cause était, en effet, loin d'être entendue. Pour évaluer le respect des droits, l'on s'en remettait en l'occurrence à une instance internationale laquelle, rappelons-le, ne dépend absolument pas de l'Union européenne. Il s'agit en l'occurrence d'une émanation d'un ensemble de nations au nombre desquelles figure la Turquie mais aussi les anciennes républiques musulmanes de l'Union soviétique.

    La mystérieuse plaignante, ou plus sûrement encore ses habiles conseillers, savaient ce qu'ils faisaient faisant porter le dossier sur un point faible, espérant faire basculer l'ensemble des Européens qui jusqu'ici n'ont pas osé légiférer malgré une conscience grandissante du péril commun.

    Lorsque cette femme âgée de 24 ans avait décidé de porter en avril 2011 au moment même où la loi votée en 2010 entrait en vigueur, tout portait à croire qu'elle pourrait obtenir gain de cause. Les bons et beaux esprits allaient en effet prendre hardiment sa défense au nom de la liberté, du vivre ensemble, de la non discrimination, de la non "stigmatisation", voire même de l'égalité, bref de tout le conditionnement que l'on cherche même à faire entrer dans la loi pénale en créant le concept d'abord, le délit ensuite de "l'islamophobie". N'allait-on pas nous dire qu'un texte qui ne frappe, par définition que les "femmes musulmanes" révèle une intention sexiste et raciste. Le mot qui tue.

    Les initiateurs de la loi s'étaient, apparaissait-il, engouffrés sur un terrain miné, tel le député-maire de Maisons-Laffitte Jacques Myard qui avait été, le grossier, le maladroit, le provocateur, le premier parlementaire à oser déposer, en 2008, une proposition de loi n° 3056 visant à interdire la burqa comme portant atteinte à la dignité de la femme.

    Me Ramby De Mello, avocat de cette plaignante dont on connaît seulement les initiales SAS, déclare donc de façon solennelle et péremptoire : "Porter la burqa n’est pas un signe d’extrémisme mais relève purement de la sphère privée" etc. etc.

    Eh bien les grands habiles ont été démentis et on s'en réjouira.

    La Cour observe donc qu'une loi disposant que "nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage", sous peine de 150 euros d’amende et/ou d’un stage de citoyenneté répond à "un objectif légitime" de"préservation des conditions du vivre ensemble", qu'elle "n’est pas explicitement fondée sur la connotation religieuse des vêtements mais sur le seul fait qu’ils dissimulent le visage" dans l’espace public, par quelque moyen que ce soit, donc aussi à l’aide d’une cagoule ou d’un casque de moto, que les "sanctions en jeu sont parmi les plus légères que le législateur pouvait envisager".

     Il faut donc souhaiter que les autorités françaises capitalisent très vite cette victoire et le répit qu'elle apporte à l'islamisation rampante de l'Europe. Notons que Die Welt (2)⇓ considère que "l'Allemagne, elle aussi, devrait interdire la burqa". Mais le journal conservateur allemand souligne de façon très précise, croquis à l'appui, qu'il s'agit, d'une seulement des quatre formes de voile islamique, assurément la plus choquante dans les rues de nos villes. Par conséquent son interdiction ne résout qu'une partie du "problème".

    Or nous risquons très vite d'être confrontés avec un autre recours, contre la décision de la Cour de cassation du 25 juin. Fatima Afif, licenciée pour faute grave, de la crèche Baby-Loup ne manquera pas de se pourvoir à Strasbourg. Au nom de la liberté et des droits de l'Homme, sinon de ceux de la femme, cela va sans dire.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/        

    Apostilles

    1.  cf. Le Monde.fr en ligne mis à jour le 02.07.2014 à 03h40 | 
    2.  article "Auch Deutschland sollte die Burka verbieten" le 1er juillet.
  • Franck Margain: « la mairie de Paris est dans la pensée unique et elle ne souhaite pas représenter tous les Parisiens »

    Le 9 juillet prochain, la mairie de Paris va comme chaque année fêter dans les salons de l’Hôtel de Ville le début du ramadan. Cela n’a pas manqué de susciter des réactions, notamment du côté du Parti Chrétien Démocrate et de Franck Margain, conseiller d’opposition UMP du XIIème arrondissement de Paris, qui avait adressé une lettre ouverte à Anne Hidalgo, avec plusieurs élus pour lui demander de s’expliquer sur ce choix alors que d’autres fêtes, notamment chrétiennes, avaient aussi un caractère culturelle.  Selon Franck Margain, que nous avons pu contacter, la mairie de Paris n’a pour l’heure apporté aucune réponse, que ce soit de manière écrite ou par voie orale, à cette lettre ouverte.  L’élu parisien a réaffirmé son opposition à de telles festivités dans un sens unique, se disant favorable à une laïcité positive : « oui, il y a prise de parti, nous ne sommes pas dans la laïcité telle que la République la conçoit. »  Franck Margain est donc pour une implication publique dans les fêtes religieuses mais qui ne concernerait pas seulement qu’une communauté. Mais ce n’est pas tout.

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  • Algérie : mais quand les Français vont-ils ouvrir les yeux ?

    Disons-le d’emblée et pardon pour les « footeux » qui seraient de notre bord, le football n’a jamais été ma tasse de thé. Cette sorte de nationalisme des crampons au ras des brins d’herbes ne m’a jamais fait vibrer d’autant que, par exemple, il faut avoir de bons yeux pour reconnaitre les Français des Nigérians. Heureusement, il y a les maillots numérotés…. Tout ça pour dire que cette coupe du monde « m’emm…. » profondément, et les journaleux en extase devant les Fennecs, encore plus.
    De la vraie graine de collabos ceux-là ! Comment expliquer qu’à chaque rencontre de l’équipe algérienne – match gagné, perdu ou « kif-kif pour les buts marqués - nous assistions à des débordements de joie qui….débordent : à Paris, Roubaix, Marseille ou Lyon pour ne citer que les lieux les plus connus. Si ce sont des supporters algériens qui envahissent pacifiquement les Champs Elysées avec leur drapeau, à l’extrême rigueur, je le comprendrais. C’est totalement différent de l’ignominie que l’on nous prépare pour le 14 juillet. Mais que dire de tous ces jeunes « binationaux », carte d’identité française en poche, qui hurlent leur joie en faveur d’un pays qui, théoriquement, n’est pas le leur ?
    La vérité, dans toute sa lumière aveuglante est là : les jeunes, et les « jeunes » ne sont « Français » que pour les avantages. Pour le reste, ils sont et demeurent Al-gé-riens et rien, aucun papier, aucune loi n’y changeront rien. La nature est ainsi faite. Les autorités françaises, qui ont laissé entrer dans le pays des centaines de milliers d’Algériens au titre du regroupement familial ou des études universitaires savaient bien, qu’à terme, un énorme problème d’identité se poserait.
    Dans certaines classes, impossible d’évoquer le conflit du Proche-Orient sans déclencher l’émeute, idem de la Guerre d’Algérie que, soit-dit en passant, nos troupes ont gagnée. Seul le pouvoir politique nous a rangésdans le camp des vaincus « repentants ». Ces petites têtes bien remplies de sottises assénées, bien souvent, avec gourmandise, par un corps enseignant « à gauche toute », ne pouvaient qu’avoir de la haine pour le pays d’accueil et les yeux de Chimène pour le Bled.
    Seulement voilà, du rêve à la réalité, il y la Méditerranée, que peu franchissent dans le sens Marseille-Alger, beaucoup plus en sens inverse ! On passe vite, avec certains de ces « jeunes », de la simple euphorie à la bêtise – dégradations de mobilier urbain, incendies de voitures, vitrines brisées….
    Que faire ? Mettre, une bonne fois pour toutes, les pieds dans le plat ! Ou ces jeunes sont Français et ils le prouvent par leur attitude en aimant ce pays, ou bien c’est la REMIGRATION, même si leurs géniteurs les ont fait naître, par hasard, en France. Il faudrait pour cela un gouvernement vraiment NATIONAL, à poigne, ne succombant pas aux chants maléfiques des sirènes de la repentance. Repentance de quoi, d’ailleurs ? D’avoir fait en 130 ans de l’Algérie un pays moderne, que ses nouveaux satrapes ont allègrement pillé depuis 1962 ? Le comble de la stupidité étant d’accepter de soigner leur potentat malade alors que le même crachait encore son venin sur le pays d’accueil .On marche sur la tête, et nos pseudos dirigeants, dans une société normale, devraient rendre des comptes devant une justice impartiale.
    Les temps futurs nous rendront-ils raison ? Si j’en juge par la mollesse, l’apathie de beaucoup de nos compatriotes, ce n’est pas gagné d’avance. Heureusement, il y a dans les jeunes générations des « de souche » une bonne moisson qui lève et qui va porter nos espérances à nous, les « vieux », qui avons assisté au naufrage de l’Empire. Un Empire qui ne demandait qu’à se transformer, un Empire fraternel et pluri-continental, comme le Portugal voulait en bâtir un. A défaut d’Empire que les temps nouveaux nous empêchent de reconstituer, restons maîtres chez nous et n’acceptons pas une certaine forme de colonisation à rebours.

    Jean-Claude Rolinat

    Synthèse nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EupukkVlkkCDGHDAMT.shtml

  • On ne discute pas du retrait de la double-nationalité

    Pour avoir osé outrepasser cette censure, Le Point a été harcelé par les réseaux sociaux et notamment par ses confrères. Sous la pression, le site Internet du Point a retiré rapidement une question posée dimanche sur le thème de la double nationalité, formulé ainsi :

     « Faut-il retirer aux Français d'origine algérienne leur double nationalité ? »

    81 % des internautes avaient déjà répondu « oui ». 

    Michel Janva

  • Non Manuel Valls, l’Islam n’est pas une chance pour la France

    Si rien n'est fait, Notre-Dame deviendra mosquée avant le XXIIe siècle.   

    Notre cher Premier Ministre vient de prononcer un discours proprement hallucinant pour peu que l’on veuille défendre la culture française. C’était le Jeudi 26 Juin, à l’institut du Monde Arabe à l’issue de sa visite de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à la Mecque ».

    Sans aucune prospective de ce qui attend la France dans 20 ou 30 ans, c’est à dire rien moins que le grand changement de civilisation, le Premier Ministre a conclu ce long discours à la gloire de l’Islam et de l’amitié franco-arabe par cette belle envolée :

    « Lors du repas de rupture du jeûne du mois sacré de ramadan, j’adresserai aux musulmans de France un message de confiance. Un message qui souligne combien la France est une terre de liberté qui respecte les croyances de chacun et qui considère que le fait que l’Islam est la deuxième religion de France est une chance pour la France ».

    Mais le pire c’est que Manuel Valls avait osé montrer la grande attirance et assurément la préférence qu’il a pour cette religion :

    « Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam. C’est toute une nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message ».

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  • Aurélie Filippetti : "On a tous un petit peu d'Algérie en nous"

    Le ministre de l'Inculture explique pourquoi elle regardera le match qui opposera l'Algérie à l'Allemagne ce soir :
    "On a tous un petit peu d'Algérie en nous (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un immense écrivain français, né en Algérie, qui avait une passion pour l'Algérie, et pour le football. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on vibre tous un peu, quand on a un match d'un pays qui est aussi fortement lié à l'histoire de notre pays."
    Sans doute le ministre voulait-il dire :
    "On aura tous un petit peu d'Algérie chez nous ce soir. (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un grand écrivain français, né dans le département algérien, qui avait une passion pour l'Algérie française, et pour le football et qui va se retourner dans sa tombe. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on s'inquiète tous un peu des émeutes qui suivront un match d'un pays qui crache sans cesse sur l'histoire de notre pays."