New-York, Los Angeles, Oakland et même Washington connaissent désormais de violentes émeutes raciales (pillages, tentatives de meurtres etc..). A noter que les journalistes français ne cessent de préciser que le policier qui a abattu l’afro-américain est blanc.
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USA : les émeutes raciales s’étendent à plusieurs grandes villes américaines
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Incurables
Si l’on en croit les derniers chiffres officiels, les «coups et blessures volontaires non mortels » ont augmenté en un an de 4% dans la « zone police » et de 7% dans la « zone gendarmerie »; ceux ayant entraîné la mort ont crû respectivement de 41% et 56%. De cette violence là, le gouvernement n’a pas jugé utile de parler. A défaut de réussir plus largement à enrayer la tiers-mondisation, le déclin de la France, la gauche revient à ses premières amours, à des fins de diversion mais aussi au nom d’une idéologie au fondement totalitaire qui lui est consubstantielle. A savoir son souhait de régenter jusqu’aux aspects les plus intimes de notre vie privée, de l’éducation des familles. Une éducation rappelons le, qui appartient en propre aux parents, seule l’instruction des enfants relevant de l’Etat, même si l’appellation « Education nationale» peut prêter (doublement) à confusion…
Nous le savons, le code pénal comporte toute une série de textes qui répriment les violences corporelles, même peu importantes, notamment celles que les parents infligeraient à leurs enfants. Mieux encore, notre législation dispose que quand ce sont les parents, un ascendant qui commettent lesdites violences sur les enfants, il s’agit là de circonstances aggravantes qui rendent la peine encourue par l’auteur desdites violences plus sévère. Mais le 18 novembre, Laurence Rossignol, à la tête paraît-il d’un «secrétariat d’État à la famille», a annoncé sa décision d’une modification législative «sur les violences interpersonnelles» dont le but est principalement d’interdire la fessée…idée jugée absurde par huit Français sur dix.
Comme le notait très justement Le Bulletin d‘André Noël , «il est évidemment abusif de parler de violence à propos d’une fessée, comme si les parents étaient des tortionnaires ! Cela est à rapprocher de l’initiative de sa collègue de l’Education nationale qui, elle, veut abolir la notation traditionnelle à l’école pour la remplacer par des points de toutes les couleurs, ce qu’elle appelle une notation bienveillante et laisse entendre que l’enseignant mettant un zéro est malveillant. Tout cela participe de la même idéologie permissive qui consiste à mépriser l’effort et à miner l’autorité des parents pour rendre les enfants plus dociles à celle d’un Etat qui leur impose de fausses valeurs ».
Fausses valeurs que le député PS de Seine-Saint-Denis, Razzy Hammadi, incarne assez bien quand il feint de se scandaliser du prêt obtenu par le FN de la part d’une banque tchéquo-russe (voir notre article publié hier), faute d’avoir trouvé une banque française, européenne, états-uniennes ou asiatique acceptant de lui en accorder un.
Un emprunt affirme M. Hammadi « choquant, inacceptable et (qui) ne peut rester sans conséquence du point de vue législatif». «L’article L52-8 du code électoral stipule qu’aucun candidat ne peut recevoir, directement ou indirectement, pour quelque dépense que ce soit, des contributions ou aides matérielles d’un Etat étranger ou d’une personne morale de droit étranger. L’enjeu ici est celui de la souveraineté nationale car, comment un parti représenté à l’Assemblée Nationale peut-il aborder, à titre d’exemple, des enjeux d’ordre stratégique et de politique internationale lorsque son financement tient de banques étrangères dont la dépendance politique vis-à-vis du pouvoir de son Etat est avérée ? ».
Au-delà des mauvais fantasmes et approximations juridiques, qui prêtent à sourire, de cet élu socialiste, celui-ci tente donc de nous convaincre implicitement que le PS, qui a mis ses pas dans ceux de la droite sarkozyste pour inféoder toujours plus avant la France aux lobbies mondialistes, au Nouvel ordre mondial, à la technocratie Bruxelloise, à l’Otan, serait le plus apte à défendre notre souveraineté nationale ? Parler ainsi au nom cette caricature de parti de l’étranger qu’est le PS est assez sidérant constate Bruno Gollnisch.
Quant à M. Hammadi proprement dit, filmé le 27 décembre dernier (dans son état normal ?), hurlant à l’adresse de ses contradicteurs dans les rues de Montreuil : « L’affaire elle est terminée, enculé de ta race ! », ou encore « Je vais faire descendre toutes les cités de Montreuil ! », il n’est peut être pas le mieux placé pour nous donner des leçons de morale et de bon gout républicain.
Fausses valeurs que Christiane Taubira représente elle aussi de manière assez emblématique et qui a encore apporté la preuve de son incapacité à se hisser à la hauteur de sa fonction de garde des sceaux. Elle a ainsi réagi de manière passionnée et peu réfléchie sur twitter à la décision, prise lundi par un grand jury populaire aux Etats-Unis, de ne pas inculper le policier à l’origine du décès en août dernier à Ferguson (Missouri) d’un adolescent, Michael Brown. Un drame qualifié de « crime raciste » par Libération, Canal plus (le policier est blanc, le gamin était noir) et de nombreux médias français, et qui avait déclenché des affrontements et des pillages de magasin dans cette ville en août dernier, lesquels ont repris après l’annonce de ce verdict.
Que la société américaine soit très inégalitaire et ne soit pas le paradis sur terre est certes une évidence. 31,5 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté officiel en 2000 aux Etats-Unis, 37 millions en 2004 et…49,7 millions en 2014. Une extrême précarité qui touche plus de 25% des afro-américains et des latinos. Quant à la ghettoïsation du pays sur une base raciale, elle ne se dément pas, la délinquance violente sévissant en outre très majoritairement dans les quartiers noirs et hispaniques.
Cette réalité étant posée, Mme Taubira a décidé de fait part sur France info de sa perplexité vis-à-vis du système judicaire américain suite à la relaxe du policier blanc ayant abattu le jeune noir. Elle ne précise pas, toute à sa volonté de racialiser cette affaire, que le grand jury qui a acquitté le policier était aussi composé d’afro-américains. Quelques minutes auparavant, sur Twitter, Mme Taubira, réagissant au non lieu prononcé en faveur de ce dernier, a cité un extrait de la chanson I Shot the Sheriff de Bob Marley : «S’agit-il de les tuer (les noirs, NDLR) , avant qu’ils ne grandissent?», s’est-elle interrogée dans un tweet en anglais, évoquant les noms de jeunes noirs tués par la police.
Est-ce là une grille de lecture qui engage le gouvernement français au travers de son ministre de la Justice ou seulement celle de cette militante indépendantiste guyanaise ? Cette même Mme Taubira nous le rappelions à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement Ayrault, déclarait il y a quelques années sur RMC dans l’émission « Les grandes gueules », croyant être en off, qu’elle se verrait bien quitter notre pays d’ingrats, car « Taubira ou pas Taubira les gens ils vivent » (sic), pour aller faire carrière « au Brésil ou en Afrique du Sud, pays qui ne sont pas minés par le racisme et les inégalités comme chacun le sait…Ils sont vraiment incurables.
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Éric Zemmour ne parle pas au nom de la « droite », mais du peuple
Entretien avec Alain de Benoist
Le suicide français, dernier essai d’Éric Zemmour, est en tête des ventes, alors que Yannick Noah arrête ses tournées et que la dernière pièce de BHL est en train de quitter l’affiche avant que la colle ne soit sèche. Les temps seraient-ils en train de changer ?
L’extraordinaire succès du livre de Zemmour (15.000 exemplaires vendus tous les jours) n’est pas seulement un phénomène éditorial. C’est un phénomène sociétal. La preuve en est qu’il suscite même des sondages. L’un d’eux révèle que 37 % des Français (20 % à gauche, 53 % à droite) sont d’accord avec Zemmour, qu’ils se reconnaissent dans ce qu’il dit, qu’ils découvrent dans son livre ce qu’ils n’osaient dire tout haut ou qu’ils ne formulaient que de façon confuse. Renaud Camus a très justement parlé « d’industrie de l’hébétude ». D’autres mots pourraient être employés : sidération, ahurissement. On est en train d’en sortir. Ceux qui méprisent le peuple y verront la confirmation que l’ouvrage n’est qu’une accumulation de lieux communs et de propos de bistrot. Mais il ne faut pas s’y tromper : cet adoubement populaire, c’est une consécration.
Cela dit, si ce livre n’avait pour seul résultat que de conforter ses lecteurs dans leurs opinions, il n’aurait qu’un intérêt tout relatif. Son plus grand mérite, à mon avis, est bien plutôt de donner à ces lecteurs l’occasion de faire leur autocritique. Que dit en effet Zemmour dans son livre ? D’abord que, si la France n’a cessé de se défaire depuis quarante ans, c’est d’abord d’une idéologie qu’elle a été la victime, ce qui montre que le thème de la « fin des idéologies » n’est qu’une fable (« jamais nous n’avons autant été dans l’idéologie », écrit Zemmour). Ensuite, que cette idéologie, devenue peu à peu dominante, n’a pas été seulement le fait des méchants gauchos, mais tout autant de la droite libérale, et qu’elle va bien au-delà du jeu politique, car elle résulte d’une action culturelle, menée avec autant de patience que de rigueur, qui visait à « déconstruire » les fondements de notre société.
« Je veux déconstruire les déconstructeurs », dit Zemmour. Et d’en citer quelques-uns au passage : Michel Foucault, Jacques Derrida, Pierre Bourdieu, Deleuze et Guattari. Mais c’est ici que l’on peut poser la question : parmi ceux qui applaudissent bruyamment Zemmour aujourd’hui, combien y en a-t-il qui ont sérieusement lu Bourdieu, Derrida et Foucault ? Combien y en a-t-il qui se sont sérieusement intéressés au mouvement des idées ? Combien y en a-t-il qui ont jamais compris ce qu’est une guerre culturelle ? La vérité est qu’il y en a fort peu, car la « droite », pour ce qui est du travail de la pensée, est restée pendant des décennies en situation d’encéphalogramme plat. En la mettant face à ses responsabilités, en déclarant : « Je fais de la politique “gramscienne” en menant un combat d’idées dans le cadre d’une lutte pour l’hégémonie intellectuelle », Zemmour montre qu’il est au contraire pleinement conscient des enjeux.
Peut-on dire pour autant que l’opinion est en train de basculer à droite ?
Interprétation un peu courte. Éric Zemmour n’est pas l’héritier de Bonald ou de Maurras, et moins encore de Bastiat. C’est un national-républicain, gaulliste et bonapartiste, dont les vues se situent quelque part entre Jean-Pierre Chevènement et Florian Philippot. Parle-t-il seulement au nom de la « droite » ? Voire… Quand il dénonce le « libéralisme anglo-saxon », le « grand marché mondial qui permet à une petite élite de s’enrichir toujours plus », le « marché qui règne avec l’individu-roi », « les élites sans patrie qui n’ont jamais digéré la souveraineté populaire et qui ont fait allégeance à la mondialisation économique plutôt qu’aux intérêts de la nation », quand il renvoie dos à dos la droite et la gauche : « La droite a abandonné l’État au nom du libéralisme, la gauche a abandonné la nation au nom de l’universalisme, l’une et l’autre ont trahi le peuple », ce n’est de toute évidence pas au nom de la « droite » qu’il parle, mais au nom du peuple. C’est bien ce qui fait sa force.
Alors qu’il n’a jamais été aussi présent dans les médias, Éric Zemmour n’en estime pas moins que ses idées sont ostracisées par ces mêmes médias. Le « Système » connaîtrait-il des ratés ?
La société du spectacle est victime de ses contradictions : clouer un auteur au pilori, c’est encore lui faire de la publicité. Mais la vraie question est celle-ci : pourquoi tant de haine ? La réponse est simple : la classe dirigeante est en train de perdre pied. Elle voit le sol se dérober sous ses pieds, elle voit ses privilèges menacés, elle ne sait plus où elle habite. Elle fait comme les chiens qui ont peur : elle aboie. Laurence Parisot n’a pas hésité à accuser Zemmour de « haute trahison » (sic), Manuel Valls a surenchéri : « Le livre de Zemmour ne mérite pas qu’on le lise. » En clair : il vaut mieux ne pas savoir ce qu’il dit. Mais c’est là que le bât blesse. À force d’ériger des murailles invisibles et d’installer des cordons sanitaires, la classe dirigeante a épuisé ses propres défenses immunitaires. À force de refuser le débat, elle est devenue inapte à débattre. Elle n’a désormais plus rien à dire, sinon appeler à « lutter contre les stéréotypes », promouvoir le non-art contemporain et multiplier les références lacrymales aux « droits de l’homme ». Panique morale et misère de la pensée. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, le disait tout de go récemment : « Depuis dix ans, la gauche a perdu la bataille des idées. » Depuis dix ans ! Un tel aveu aurait dû provoquer mille commentaires. Qu’il n’en ait pratiquement suscité aucun montre l’ampleur de ce qu’il reste à faire.
source : Boulevard Voltaire :: lien
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Le coût de l'immigration en France (suite mais pas fin)
Plusieurs chercheurs, dont Pierre Milloz, avaient tenté de mesurer le coût de l'immigration. Gourévitch a mené une analyse extrêmement serrée et rigoureuse, sans passion aucune. Sa conclusion ? Si l'on ajoute le surcoût de l'immigration irrégulière, le déficit de la balance recettes/dépenses de l'immigration en France se monte à 8,9 milliards d'euros. Mais ce n'est pas tout. À ce déficit, il faut ajouter des dépenses d'investissement de 10,05 milliards d'euros, dont 6,908 milliards pour la politique d'intégration. Le déficit total se monte donc 18,9 milliards. Gourévitch note que, chaque année, l'immigration coûte à la France 0,96 point de PIB. Un constat effrayant...
source Rivarol
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La dangereuse complaisance des médias à l’égard des candidats djihadistes…
Plus c’est horrible, plus on en parle !
L’actualité récente a été envahie par un sujet : la présence de « Français » parmi les assassins de l’« État islamique ». Que le sujet soit préoccupant est une évidence. Que la manière de le traiter soit une aberration en est une seconde plus inquiétante, peut-être, que les faits eux-mêmes. J’ai entendu un commentateur vanter les mérites, s’extasier presque, en « spécialiste » du savoir-faire de « Daesh », l’acronyme arabe utilisé pour ne pas stigmatiser l’islam. Cette « exécution » de masse de prisonniers de l’armée régulière syrienne, celle que la France aide à combattre, quel exploit médiatique !
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Les Français de moins en moins favorables au droit de vote des étrangers selon un sondage
Les Français sont de moins en moins favorables depuis 2012 au droit de vote des étrangers non-communautaires aux élections municipales et européennes, selon un sondage Harris Interactive publié lundi, qui enregistre 47% d'opinions positives contre 54% en 2013.
D'après cette enquête, réalisée pour La Lettre de la citoyenneté, "moins d'un Français sur deux" (47%) se déclare pour l'extension du droit de vote, lorsqu'on l'informe que ce droit existe déjà pour les étrangers de pays membres de l'Union européenne. 14% d'entre eux se disent "très favorables" et 33% "plutôt favorables". A l'inverse, 44% des interrogés y sont opposés (9% ne se prononcent pas).
Le nombre de personnes favorables enregistre une baisse de 7 points par rapport à mai 2013 (54%), et de 12 points par rapport au pic enregistré en 2011 (59%). Il est néanmoins largement supérieur à celui que l'on recueillait dans les années 90 dans les mêmes enquêtes pour La lettre de la citoyenneté.
Ce sondage intervient alors que le sujet "semble s'être éloigné de l'agenda politique et n'a plus été évoqué par l'exécutif depuis plusieurs mois", note Harris Interactive. Le droit de vote des étrangers figurait parmi les promesses de campagne de François Hollande.
Les personnes âgées de 65 ans et plus sont les plus hostiles à cette idée : 30% seulement se disent favorables (-12 points par rapport à 2013). Seule la tranche des 25/35 ans enregistre une progression, avec 61% d'opinions positives (+2 points).
Les sympathisants de gauche soutiennent toujours cette possible réforme, "qu’ils se sentent proches du Front de Gauche (70% favorables), du Parti socialiste (73%) ou d’Europe Ecologie-Les Verts (73%)", analyse l'institut de sondages. Les proches du MoDem y seraient de moins en moins favorables (53% soit -7 points).
La baisse enregistrée au niveau global s'expliquerait par la "radicalisation" des sympathisants de l'UMP (33% favorables, soit -4 points par rapport à 2013) et du Front National (16%, -17 points).
Enquête réalisée par téléphone du 4 au 7 novembre 2014, auprès d'un échantillon de 1.008 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
Afp via nouvel obs :: lien
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Islamisme : Il est urgent de dissoudre l’UOIF parrainée par Nicolas Sarkozy
Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Dans une liste recensant les organisations islamistes radicales classées comme « terroristes », les Emirats Arabes Unis mentionnent l’UOIF, l’union des organisations islamiques de France, affiliée aux frères musulmans.
Cette structure qui représente la mouvance intégriste de l’islam en France a été parrainée par Nicolas Sarkozy en 2003, alors ministre de l’Intérieur, qui en a fait un interlocuteur privilégié de l’Etat au sein du CFCM. Ces islamistes sont ceux qui avaient convié en 2012 à leur congrès du Bourget, 4 prédicateurs appelant au meurtre des juifs et qui furent interdits de séjour sur le territoire grâce à la pression du Front National.
Congrès auquel assista Nicolas Sarkozy en 2003 pour souligner son soutien à ces islamistes qu’il refusait d’appeler par leur nom, les qualifiant sommairement « d’orthodoxes »
Rappelons également que c’est l’ancien président de La République et l’UMP qui avaient souhaité instaurer une formation complémentaire pour les 1500 imams de France dont l’enseignement devait être confié en partie à l’UOIF.Cette vitrine de l’islam radical qui nourrit les revendications communautaristes et le fanatisme notamment dans les quartiers, n’a pu se développer et prospérer qu’avec le soutien actif de Nicolas Sarkozy.
Celui qui affirmait fièrement en 2007 sur le plateau de TF1 « qu’aucun ministre de l’Intérieur n’a fait autant que moi pour les musulmans » a en réalité desservi la cause des musulmans en étant le ministre qui n’en a jamais fait autant pour les intégristes.
Le Front National qui a alerté depuis longtemps les pouvoirs publics sur la dangerosité d’une organisation qui défie en permanence la République et encourage à la radicalisation, réitère sa demande de dissolution de l’UOIF.
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mohamed merah : Bobard Total
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Le mariage pour tous les sans-papiers
Les tribunaux européens et nationaux ont décidé d’invalider le législateur français pour satisfaire à leur idéologie immigrationniste délirante et mortifère !
Dans une vidéo en date du 21 novembre 2014, Marc-Etienne Lansade, maire de Cogolin, dans le département du Var, s’est exprimé au sujet de l’obligation formulée par le législateur, soutenu par la Cour européenne des droits de l’homme, de marier une ressortissante extra-communautaire en situation de clandestinité. Le scandale est majeur, mais malheureusement conforme aux jurisprudences en vigueur en la matière.
En effet, des arrêts de la Cour européenne de justice en date des 22 juin 2010 et 6 décembre 2011, confirmés par un arrêt de la Cour de cassation en date du 6 juin 2012, ont affirmé que le séjour irrégulier ne peut pas entrer dans le champ d’une incrimination pénale punie d’emprisonnement. Ces décisions sont, par ailleurs, en opposition avec la lettre de l’article L. 621-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, qui déclare que le fait de séjourner de manière irrégulière sur le territoire français constitue un délit, passible d’un an de prison, de 3.750 Euros d’amende et de 3 ans d’interdiction du territoire. Les tribunaux européens et nationaux ont donc décidé d’invalider le législateur français pour satisfaire à leur idéologie immigrationniste délirante et mortifère !
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Marine Le Pen apporte son soutien à Christophe Gaillard, élu FN de Nevers
Mardi 18 novembre, l’élu FN de Nevers, Christophe Gaillard, s’est fait remarquer en conseil municipal en pointant du doigt l’affiche du documentaire sur la cité du Banlay, La relève c nous, sur laquelle ... Lire la suite »
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