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immigration - Page 1361

  • Suisse – L’initiative populaire de l’Union démocratique du Centre

    Les Français et les Européens attendent avec impatience le vote du 9 février.
    C’est sous le slogan «  La démesure nuit à la Suisse » que l’Union démocratique du Centre (UDC) a mené campagne pour le oui à la votation du 9 février prochain dont il est l’initiateur. Le 25 janvier dernier, Polémia a publié, sous la plume de André Posokhow, une première présentation de l’argumentaire de ce parti qui mène le combat contre « l’immigration de masse ». Aujourd’hui, notre contributeur développe les modifications à la Constitution fédérale qui résulteront de ce vote si ses résultats sont positifs. Les Français et Européens attendent avec impatience le vote du 9 février. Le lecteur trouvera donc ci-après le texte de André Posokhow, texte que nous faisons suivre du communiqué de presse de l’UDC diffusé dès le 13 décembre 2014 à l’occasion du lancement de la campagne d’affichage.
    Polémia
    Le dimanche 9 février prochain les Suisses se rendront à une « votation » initiée par l’Union démocratique du Centre d’Oscar Freysinger qui a lancé une initiative populaire fédérale « contre l’immigration de masse ».
    La semaine dernière, Polémia a présenté sur son site l’argumentaire très fourni et documenté que l’UDC a bâti pour appuyer son initiative. Sur de nombreux points celui-ci pourrait être repris dans le cadre de notre pays.
    A une petite semaine de la « votation » il est intéressant de présenter le contenu du texte de l’initiative ne serait-ce que pour manifester que nous sommes solidaires avec ce pays petit par la taille mais qui joue le rôle du village gaulois d’Astérix en plein milieu de l’Europe du Nouvel Ordre mondial.
    L’initiative populaire de l’UDC soumet au vote des Suisses un texte qui propose de modifier la Constitution fédérale qui consacre la libre circulation des personnes depuis 2007 et plus précisément en introduisant les articles 121 : Législation dans le domaine des étrangers et de l’asile, et 121 a : la gestion de l’immigration.
    La Constitution fédérale est donc modifiée comme suit au titre de l’article 121 a :
    Alinéa 1 :
    La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers.
    Il s’agit de gérer l’immigration et non pas de l’interdire. La Suisse doit reprendre en main sa politique d’immigration.
    Le terme « autonome » signifie qu’il appartient à la Suisse de décider qui peut immigrer en Suisse et qui ne le peut pas, sans qu’elle soit contrainte de se soumettre à des règles ou des juges étrangers.
    Alinéa 2, première phrase :
    Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels.
    Le choix des notions « plafonds » et « contingents » indique qu’il ne suffit pas de fixer un seul chiffre maximal dans lequel on regroupe toutes les catégories d’immigrants. Il s’agit plutôt de fixer des contingents séparés pour les autorisations de courte durée, les frontaliers, etc.
    Ce système apporte donc une grande souplesse pour ce qui concerne le nombre de personnes pouvant immigrer et leurs fonctions dans le marché du travail. Il est ainsi possible de tenir compte de manière optimale des besoins globaux de l’économie et des intérêts de la population suisse. C’est le grand avantage de cette solution par rapport à des systèmes imposant un chiffre fixe pour l’immigration ou définissant un pourcentage de la population globale.
    La limitation de l’immigration de masse par des contingents est également efficace car ce système définit aussi la durée du séjour. Sa souplesse permet de répondre aux besoins de l’économie. En revanche, celles et ceux qui n’ont plus de travail en Suisse doivent quitter le pays.
    Alinéa 2, deuxième phrase :
    Les plafonds valent pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus.
    Toutes les catégories d’autorisations de séjour pour les étrangers qui influencent l’immigration doivent être incluses dans les mesures de gestion prises par la Suisse. Le passage « domaine de l’asile inclus » garantit que le secteur de l’asile n’est pas utilisé abusivement pour contourner une saine gestion de l’immigration.
    Alinéa 2, troisième phrase :
    Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales peut être limité.
    En vertu de cette disposition la Suisse est libre de fixer des limites dans ces trois domaines. Le regroupement familial, notamment, est devenu un problème de plus en plus lourd pour la gestion de l’immigration.
    Ce passage rappelle aussi que la Suisse a la possibilité de faire venir de manière répétée des étrangers en séjour de courte durée ou des saisonniers sans que ces derniers acquièrent un droit à un séjour durable.
    La Suisse n’est pas obligée d’accorder le même traitement aux nationaux et aux étrangers. En particulier en matière de prestations sociales, le nouveau texte constitutionnel rappelle que la Suisse est en droit de ne pas accorder aux nouveaux immigrants les mêmes prestations sociales que celles auxquelles ont droit les citoyens suisses.
    Il reste admis que certaines prestations sociales ne sont accordées que si l’étranger a vécu et travaillé un certain nombre d’années en Suisse. Ce système permet de mettre fin aux abus.
    Alinéa 3, première phrase :
    Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale ; ils doivent inclure les frontaliers.
    Cette phrase énonce le principe central selon lequel l’attribution des autorisations d’immigration doit répondre aux intérêts économiques globaux de la Suisse. Les intérêts individuels passent donc au second plan.
    Tous les étrangers aux qualifications et aux aptitudes à l’intégration égales sont placés sur un pied d’égalité. La différenciation selon les origines géographiques (par ex., étrangers UE et autres étrangers) n’existe plus. Ainsi, un ingénieur hautement qualifié des Etats-Unis a les mêmes chances de trouver un emploi en Suisse qu’un ingénieur provenant d’un pays est-européen. Cette réglementation tient donc compte des besoins de l’économie en spécialistes étrangers.
    Cette phrase prescrit également la priorité des citoyens suisses sur le marché du travail. Un employeur ne peut faire venir un immigrant que s’il n’a pas trouvé la personne adéquate en Suisse. En revanche, cette phrase ne signifie nullement que les employeurs sont contraints d’engager des Suisses alors que ceux-ci ne disposeraient pas des qualifications professionnelles requises et s’ils n’ont pas l’attitude souhaitée à l’égard de l’emploi concerné.
    Cette disposition signifie qu’il faudra trouver des solutions adéquates dans la législation d’application pour empêcher la multiplication des nouvelles autorisations de séjour alors que le marché du travail autochtone suffit à pourvoir les postes vacants.
    Alinéa 3, deuxième phrase :
    Les critères déterminants pour l’octroi d’autorisations de séjour sont en particulier la demande d’un employeur, la capacité d’intégration et une source de revenus suffisante et autonome.
    Le terme « en particulier » signifie que cette énumération n’est pas exhaustive.
    Les salariés demeureront à l’avenir la principale catégorie d’immigrants recevant une offre d’emploi en Suisse. Le critère déterminant de la capacité d’intégration est celui des qualités personnelles du demandeur. On n’admet que des immigrants dont on peut penser qu’ils vont s’intégrer dans la société suisse et s’adapter à ses us et coutumes. Le troisième critère stipule que l’indépendance financière prévisible de l’immigrant joue également un rôle déterminant. Il s’agit d’éviter que les immigrants tombent à la charge des institutions sociales suisses.
    Le système des points appliqué avec succès dans quelques pays offrirait à la Suisse toute la souplesse requise dans l’admission de main-d’œuvre étrangère. Dans cette procédure, des nouvelles autorisations de séjour dans le cadre de contingents ne peuvent être accordées que si le demandeur obtient un certain nombre de points attribués en fonction de critères définis (qualifications particulières, langue, etc.).
    Alinéa 4 :
    Aucun traité international contraire au présent article ne sera conclu.
    Cette phrase stipule que la Suisse ne peut pas conclure avec l’étranger des contrats contraires à la Constitution.
    Il a été émis des doutes sur la possibilité d’expulser des citoyens UE tombés dans la délinquance après l’acceptation de l’initiative sur le renvoi des étrangers criminels. Cela violerait le droit international. La disposition constitutionnelle, qui interdit expressément la conclusion d’accords empêchant la gestion de l’immigration, vise à éviter d’emblée que des contradictions surgissent entre le texte constitutionnel et des traités d’Etat.
    Alinéa 5 :
    La loi règle les modalités.
    En cas d’acceptation de l’initiative, il est indispensable que les principes généraux stipulés dans l’article constitutionnel présent soient concrétisés dans une loi d’application.
    La loi fédérale sur les étrangers réglemente aujourd’hui déjà de manière détaillée l’entrée et le séjour des ressortissants de pays non membres de l’UE. Si le peuple accepte l’initiative, il serait possible d’étendre, moyennant quelques adaptations, certaines dispositions de cette loi aux ressortissants d’autres pays, même à ceux provenant d’Etats avec lesquels la Suisse a conclu un accord de libre circulation des personnes. Ce dispositif légal pourrait, par exemple, être complété par un système à points qui offre toute la souplesse requise.
    Dispositions transitoires :
    Les traités internationaux contraires à l’art. 121a doivent être renégociés et adaptés dans un délai de trois ans à compter de l’acceptation dudit article par le peuple et les cantons.
    Si les lois d’application afférentes ne sont pas entrées en vigueur dans les trois ans à compter de l’acceptation de l’art. 121a par le peuple et les cantons, le Conseil fédéral édicte provisoirement les dispositions d’application nécessaires par voie d’ordonnance.
    Ce texte consacre la prédominance des intérêts nationaux en matière d’immigration et de la priorité nationale dans le domaine de l’emploi. Il constitue un véritable renversement de la doctrine immigrationniste, notamment celle de plus en plus imposée par l’Europe de Bruxelles. Son adoption pourrait constituer un exemple pour d’autres pays. Elle serait porteuse d’espoir. Il n’est pas étonnant que la Suisse ait reçu des menaces d’isolement commercial de la part des démocrates de Bruxelles en cas de succès de ce référendum. Or, son succès,  qui soulevait des doutes il y a plusieurs jours sur la base des sondages, apparaît aux dernières nouvelles de plus en plus possible au fur et à mesure que l’échéance se rapproche.
    André Posokhow, 3/02/2014
    Communiqué de Presse de l’UDC du 13/12/2014
    « L’UDC lance la campagne d’affichage pour l’initiative populaire « contre l’immigration de masse ». Cette affiche illustre une vérité de la Palice: la démesure est nuisible – aussi en matière d’immigration. La Suisse est étranglée par l’immigration incontrôlée que provoque la libre circulation des personnes sous sa forme actuelle. Les associations économiques et les managers ont eux aussi fait venir ces dernières années un nombre excessif d’immigrants en Suisse sans se préoccuper des effets à long terme sur nos institutions sociales et l’intégration culturelle. L’affiche montre aussi que l’on commence à nous sentir à l’étroit en Suisse. L’immigration porte encore des fruits, mais bientôt la base manquera à un développement profitable. Une immigration mesurée peut être utile au pays – une immigration démesurée nuira tôt ou tard à la Suisse.
    Les conséquences de l’immigration démesurée sont visibles et perceptibles tous les jours: hausse du chômage (taux de chômage de 8,5% parmi les étrangers), trains bondés, bouchons sur les routes, augmentation des loyers et des prix du sol, perte de terres cultivables par le bétonnage du paysage, pression sur les salaires, criminalité étrangère, abus du droit d’asile, changement de culture dans les directions des entreprises et disproportions d’étrangers vivant aux frais de l’assistance publique et d’autres institutions sociales.
    La démesure de l’immigration actuelle met en péril la liberté, la sécurité, le plein emploi, le paysage et finalement la prospérité de la Suisse. L’initiative « contre l’immigration de masse » n’exige ni un gel de l’immigration, ni la résiliation des accords bilatéraux avec l’Union européenne (UE). Elle charge cependant le Conseil fédéral de rouvrir des négociations avec l’UE sur la libre circulation des personnes afin que la Suisse puisse à nouveau contrôler et gérer indépendamment l’immigration sur son territoire: une proposition raisonnable et modérée.
    Visitez notre nouveau site internet: www.immigration-massive.ch »
    http://www.polemia.com/linitiative-populaire-suisse-contre-limmigration-de-masse/
    http://www.polemia.com/suisse-linitiative-populaire-de-lunion-democratique-du-centre/

  • Pour combattre le crime, la Norvège expulse… des immigrés

    OSLO (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - La Norvège vient de trouver un moyen efficace et plein de sagesse pour lutter contre la délinquance allogène : les expulsions des étrangers en infraction avec la loi. Ainsi environ 5200 immigrés ont pris le chemin du retour vers leur pays d’origine en 2013 soit une augmentation de 31% par rapport à 2012. Il s’agit d’un record historique selon le chef du département de l’Immigration pour lequel «  nous croyons que l’une des raisons de cette augmentation est la prise de conscience par la police de l’utilisation de l’expulsion comme un outil de lutte contre le crime ». Parmi les populations concernées par ces mesures on trouve surtout des Nigérians, des Afghans, des Irakiens, des Marocains…
    Un exemple pour Manuel Valls ?

    http://fr.novopress.info/page/2/

  • Qui sont les Français qui partent combattre en Syrie? - leJDD.fr

    Il sont près de 700 Français ou résidents en France à avoir été répertoriés par les services français pour leur implication dans le conflit syrien. Un phénomène jugé particulièrement “inquiétant” par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Récit de plusieurs destins de ces jeunes partis en Syrie combattre contre le régime de Bachar el-Assad.

    "Un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe"

    C’est leur histoire qui a véritablement médiatisé la problématique des jeunes Français partant combattre dans des groupes djihadistes opposés au régime syrien. Deux lycéens de 15 ans et 16 ans, habitant dans la région de Toulouse, ont laissé tomber leurs études pour tenter de rejoindre la Syrie. Radicalisé par Internet, l’un des deux adolescents était pourtant décrit par son chef d’établissement comme "un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe, investi". Les deux élèves ont finalement été retrouvés en Turquie dimanche et lundi avant d’être placés en garde à vue mercredi.

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  • Les retraites dans l’oeil de bercy! Info de l’ AGIRC et ARCCO

    Après nous avoir vendu le pain, ils réclament les tartines.

    Une nouvelle mesure est dans les tiroirs des Enarques du Parti Socialiste. Elle est actuellement à l’Etude, dans les couloirs de Bercy, et va toucher directement nos retraites.    

     Cette mesure va directement amputer nos retraites de la manière suivante :
    Jusqu’à 1800 euros de retraite mensuelle, pas de changement
    Entre 1801 et 2500 euros, Ponction de 5%,
    Entre 2501 et 3500 euros, Ponction de 10%,
    Entre 3501 et 4500 euros, Ponction de 15%,
    Au-dessus de 4501 euros, Ponction de 20%.
    Ce nouvel impôt pourrait s’appeler “Contribution Solidaire Chômage” (C.S.C), nom proche de la C.S.G pour mieux nous embrouiller mais ce nom n’est pas définitif…
    Ce nouvel impôt sera destiné à redresser les Fonds des Caisses de Chômage, qui seront touchées de plein fouet par les multiples plans de Licenciements découlant des nombreuses fermetures d’Entreprises à venir, et qui vont s’accélérer…
    Confirmation : 1. 157 EUR de retraite pour les étrangers n’ayant jamais travaillé !!!! Information del’AGIRC et ARCCO
    VOILA Où PASSE LE FRIC  !!   A DIFFUSER LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE …IL EST URGENT DE SE MOBILISER POUR FAIRE CESSER CETTE INJUSTICE.
    RETRAITES : LE BILLET DE SAUVEGARDE 1157 euros de retraite sans avoir cotisé ni même travaillé en France !Toute personne qui débarque en France, sans même jamais y avoir mis les pieds, peut prétendre, si elle a 65 ans, à 709,euros de retraite par mois ou même à 1 157 euros si elle vit en couple C’est plus que la pension moyenne de nos agriculteurs après une carrière complète, plus que la pension de la majorité de nos commerçants et artisans, plus que la pension de nombreux employés et ouvriers, sans oublier les veuves qui en sont réduites à faire les poubelles…..
    Cela signifie tout simplement que nos caisses de retraite paient bien souvent davantage à des personnes qui n’ont jamais cotisé, ni participé à l’économie de notre pays qu’à leurs propres affiliés, qui ont souvent trimé toute leur vie.
    Ce dispositif aberrant est vanté noir sur blanc dans le livret d’accueil “Vivre en France” diffusé par le ministère de l’Immigration aux nouveaux arrivants.
    C’est à se taper la tête contre les murs : il suffit à une personne d’au moins 65 ans qui arrive en France d’aller tranquillement frapper à la porte des services sociaux pour avoir immédiatement droit à 709 euros par mois, voire 1 157 euros si elle vit en couple.
    Cette situation est très injuste vis-à-vis des retraités français, qui voient dans le même temps leurs pensions constamment rabotées au fur et à mesure que leurs caisses s’enfoncent dans le rouge
     Si l’on ajoute à cela que la Cnav verse des pensions à l’étranger sans aucun contrôle, au point que la Cour des comptes dénonce le versement de pensions à des morts, notamment en Algérie (mais sans proposer le moindre remède), on ne peut que constater que notre système de retraite est ouvert à tout vent : prestations injustifiées, fraudes etc..
     Il est urgent de se mobiliser pour faire cesser ces graves injustices et défendre nos caisses de retraite.
    Faites connaître ces informations capitales,
    Les autres pays européens ont rapidement pris des dispositions pour faire en sorte que les migrants quittent ces pays. Aujourd’hui tous ces gens viennent en France terre d’accueil par centaines chaque jour.

    http://francelibre.tumblr.com/post/75194551288/les-retraites-dans-loeil-de-bercy-info-de-l-agirc-et#.UuypivYsRXY

  • “Avec Valls, c’est l’invasion !” La campagne du Bloc Identitaire

    PARIS (NOVOpress) - Le Bloc Identitaire vient de lancer une nouvelle campagne sur le thème “Plus de régularisations, plus de naturalisations, moins d’expulsions : AVEC VALLS C’EST L’INVASION !”

    La campagne est justifiée par “trois statistiques édifiantes :
    - Augmentation du nombre de régularisations de clandestins en 2013 de 30% par rapport à 2012.
    - Augmentation du nombre de naturalisations, avec un objectif annuel fixé par Manuel Valls à 100 000 naturalisations (contre 46 000 en 2012). 
    - Diminution sensible du nombre d’expulsions sur 2013, selon un rapport de la Police aux Frontières.”

    Ceci amène le BI à dénoncer “la mise en place par Manuel Valls et l’Etat socialiste d’une véritable substitution de population, à des fins idéologiques et électorales.”

    Pour cette campagne le Bloc Identitaire a édité des autocollants (image en Une) et des affiches disponibles sur son  site internet.

    "Avec Valls, c'est l'invasion !" La campagne du Bloc Identitaire

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration : la votation suisse qui défie l’Union européenne

    Il pourrait y avoir des gueules de bois, le 9 février, lors de l’annonce des résultats. Chez moi, la bouteille de champagne est au frais.

    Dimanche 9 février, il va se passer quelque chose d’inimaginable dans aucun autre pays : une votation demandera l’avis du peuple suisse, sur l’immigration de masse. En effet, depuis 2007, le Conseil fédéral, sous pression de l’Union européenne, a autorisé la libre circulation des personnes. Pour faire passer la pilule, les dirigeants avaient promis qu’il n’y aurait pas davantage que 8.000 entrées par an. Six ans plus tard, on en est à 80.000, soit, pour un pays de 8 millions d’habitants, l’équivalent de 650.000 entrées d’immigrés par an en France !

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  • Violences contre les femmes : le poids insupportable de l’immigration

    C’est par un très bref coup de téléphone à l’AFP que François Hollande a « fait savoir » qu’ « à titre personnel » et donc unilatéralement, il avait « mis fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler ».
    Le chef de l’Etat se tient-il informé de l’ordre du jour des débats parlementaires ? Mauvaise farce de l’actualité : sonnant comme une répudiation, son communiqué aussi mufle que pléonastique date du 25 janvier. Autrement dit, cette répudiation – aux yeux de certains – est survenue alors que s’était s’achevé la veille à l’Assemblée nationale l’examen du projet de loi-cadre visant à « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » : un de ces textes « sociétaux » comme les aime tant la gauche qui y voit l’occasion de ressouder ses courants et surtout d’utiles diversions aux (vrais) problèmes qu’elle est incapable de résoudre.
    Aux termes de cette loi-cadre portée par la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, également porte-parole du gouvernement, l’IVG est reconnue officiellement pour ce qu’elle est depuis longtemps dans l’esprit de ses instigateurs, soit un avortement de confort puisque la notion de « détresse » est supprimée ; les sanctions financières sont lourdement aggravées pour les partis politiques ne respectant pas la sacro-sainte parité ; les conseils d’administration des grandes firmes devront à terme comporter plus de 40% de femmes, lesquelles doivent évidemment bénéficier de l’égalité salariale (cependant qu’une partie des congés parentaux devra obligatoirement être prise par les pères) et avoir accès à tous les métiers en principe réservés aux hommes, y compris les travaux de force – ce qui nous ramène aux beaux jours de la défunte URSS.
    Une (ré)islamisation fatale aux femmes
    Gros morceau de cette loi où même le Vert Denis Baupin, rejoignant ainsi Polémia, a décelé « quelques éléments de préjugés envers les pères » toujours soupçonnés des plus noirs desseins et menacés des pires sanctions en cas de non-paiement de la pension alimentaire après divorce, même s’ils ont perdu leur emploi : « Mieux protéger les femmes contre les violences, un drame d’autant plus douloureux qu’il est caché, en réalité, occulté par notre société qui ne veut pas regarder ces violences qui touchent tous les milieux sociaux, toutes les catégories », ainsi que l’avait déploré François Hollande, un orfèvre, le 7 mars 2013. En France, 148 femmes n’ont-elles pas péri en 2012 sous les coups d’un compagnon, actuel ou passé, tandis que 154.000 autres se sont déclarées victimes de viol entre 2010 et 2011 ?
    Mais il est aventuré de dire que les bourreaux appartiennent à tous les milieux sociaux, toutes les catégories. En ce domaine comme en bien d’autres, l’explosion de l’immigration, surtout musulmane, a conduit à l’explosion des violences conjugales et sexuelles.
    Puisque le président vient de se rendre en Turquie en voyage d’Etat, on pourra lui rappeler qu’une douzaine de femmes de la communauté turco-kurde ont été victimes l’an dernier de « crimes d’honneur », à Bordeaux, à Chambéry, à Reims… Chiffre énorme compte tenu de l’importance relative de cette population, évaluée par l’Insee à seulement 459.000 personnes en 2012, mais en corrélation directe avec la situation en Turquie où la mortalité des femmes par violences conjugales a augmenté de 1400% entre 2002 et 2009 (66 femmes assassinées en 2002 mais près de 2000 en 2009) avec l’arrivée au pouvoir du parti islamique AKP, ainsi que s’en inquiétait en février 2011 le Conseil de l’Europe.
    La Turquie n’est pas le seul pays musulman connaissant cette régression : on la constate aussi bien au Moyen-Orient qu’au Maghreb et en Afrique noire, gros pourvoyeurs d’immigrés. Après la disparition de l’Algérienne Fatima Bachiri le 2 juillet 2010 à Saint-Etienne, son mari Farouk avait feint par exemple le plus grand désespoir, prétendant qu’elle avait fugué et se disant prêt à « lui pardonner ». Cette comédie n’avait pas trompé les enquêteurs, qui écrouèrent le meurtrier après la découverte, plusieurs mois plus tard, du cadavre de Mme Bachiri, enterré dans un endroit isolé et portant la trace de coups mortels.
    Une occultation organisée et protégée par la loi
    Le site www.aimeles.net déplorait le 4 juillet 2013 le flou du système statistique concernant les viols, car « on ne sait pas qui est concerné par ces viols : hommes, femmes, enfants, petits garçons ; et qui commet ces crimes ».
    En mai 1993, sur plainte de la LICRA, et le RPR Jacques Toubon venant d’être nommé garde des Sceaux, l’hebdomadaire Rivarol, qui publiait chaque semaine une rubrique « Société plurielle » recensant les exploits de ceux qui « sont chez eux chez nous », fut inculpé d’ « incitation à la haine raciale contre la communauté immigrée ». Bien que le journal ait été acquitté en première instance par Martine Ract-Madoux, présidente de la XVIIe chambre correctionnelle qui, dans son jugement, avait qualifié de « monstre juridique » le « concept de communauté immigrée », il fut condamné en appel puis en Cassation, et contraint de renoncer à sa rubrique. La leçon fut entendue par ses confrères, qui cessèrent peu à peu de donner l’identité et la nationalité des délinquants allogènes. D’où nous vient ainsi le mineur de 16 ans, « très brun » et déjà recherché comme « très dangereux » car soupçonné d’un homicide qui, le 19 janvier, a violé à plusieurs reprises, sous la menace d’une arme et après l’avoir ligotée, une Marseillaise de 77 ans dont il venait de cambrioler son domicile avec deux complices et qui a dû être hospitalisée ?
    Les ravages de la prétendue petite délinquance
    Et il n’y a pas que les violences sexuelles car la criminalité « ordinaire » (en forte hausse, comme le terrible M. Valls lui-même a dû en convenir) s’attaque dans 65% des cas – et souvent avec une impunité quasi totale – aux victimes les plus vulnérables, c’est-à-dire les femmes. Le 18 janvier, près de la Promenade des Anglais à Nice, une passante était jetée par terre et rouée de coups par quatre adolescentes roms qui lui ont volé son sac. Si l’une a été écrouée, les trois autres ont été relâchées. A titre de comparaison, deux frères qui avaient injurié une femme voilée près de Versailles avaient aussitôt été placés en détention préventive avant d’être condamnés en décembre à six mois ferme.
    Encore la Niçoise a-t-elle eu de la chance. Pour cambrioler plus à leur aise leur appartement, quatre malfrats avaient sauvagement tué Maria-Cristina Prieto, 82 ans, et grièvement blessé sa sœur adoptive, une handicapée de 77 ans toujours hospitalisée pour les traumatismes subis. Mais il fallait lire jusqu’au bout l’article de Nice-Matin relatant le 30 mai dernier l’arrestation du quatuor pour apprendre que ces « suspects » étaient des clandestins tunisiens, le plus acharné ayant, selon le journal, « profité du Printemps arabe pour sortir d’une prison de son pays ».
    Et clandestin tunisien aussi le « petit voleur » qui, en décembre dernier à Nice, a arraché le lobe de sa victime pour s’emparer d’une boucle d’oreille.
    La preuve par le « 9-3 »
    Combien de violeurs et de tueurs potentiels les printemps arabes et leurs conséquences auront-ils poussés à l’exode vers l’Europe, pour le plus grand malheur des Européennes en général et des Françaises en particulier ? Il y a trente ans, un dessin de la caricaturiste Chard concluait à l’incompatibilité radicale entre immigrationnisme et féminisme. Ce que confirmait Libération le 6 mars 2007 en faisant écho à une « alarmante » enquête quantitative réalisée en 2006 par le conseil général de Seine-Saint-Denis sur « les comportements sexistes et les violences envers les filles ».
    Dans le 9-3, pouvait-on lire, « les jeunes femmes sont particulièrement victimes de violences », « l’espace public est sexiste et inégalitaire, les jeunes filles ne peuvent pas s’y déplacer librement » et « le cadre familial est particulièrement “dur“ pour les filles » dont « 23% affirmaient avoir subi des violences physiques (bousculades, empoignades, gifles, coups, menaces avec arme) au moins une fois dans leur vie, 30% au cours des douze derniers mois ». « Sur cette même période, seize filles ont déclaré avoir été l’objet d’une tentative de meurtre, seize filles se disant également victimes de tentatives de viol, dix d’un viol » et les deux tiers des jeunes filles interrogées ont déclaré avoir « subi du harcèlement sexuel – autre que verbal – alors qu’elles circulaient dans un lieu public ».
    Selon la sociologue féministe Maryse Jaspard s’inscrivant ainsi en faux contre la généralisation de François Hollande, « il n’y a pas de liens significatifs entre les niveaux de violence subie et l’appartenance sociale ». Difficile de nier, en revanche, le lien avec l’appartenance ethnique et/ou religieuse. Car, ce n’est un secret pour personne, la Seine-Saint-Denis est le département le plus « coloré » de France : non seulement il comptait en 2009 – officiellement du moins, les clandestins de tous horizons y étant en outre très nombreux – 27,4% d’allogènes mais cette population est surtout en pleine expansion puisque, en 2005 déjà, 57% des moins de 18 ans étaient d’origine extra-européenne, tout comme le sont 64,9% des enfants nés en 2011.
    Par voie de conséquence, le 9-3 est aussi le département comptant le plus de mosquées, 149 selon le site www.trouvetamosquee.fr/, des mosquées où certains prédicateurs glorifient les crimes dits d’honneur et désignent dans la femme, surtout étrangère, un être inférieur taillable et corvéable à merci.
    Cela, Mme Vallaud-Belkacem ‎le sait mieux que personne. Tant qu’on n’aura pas inversé radicalement les flux migratoires, sa prétention de « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » n’est donc qu’une sinistre plaisanterie.
    Camille Galic, 27/01/2014
    Camille Galic signera son ouvrage Agatha Christie (éd. Pardès, collection Qui suis-je ?) le samedi 1er février de 15 à 18h à la Librairie du Paillon, 2 rue Georges-Ville, 06300 Nice, tél. 04 93 56 19 59.
    Le même jour Claude Lorne signera Les Médias en servitude (éditions Polémia).
    http://www.polemia.com/violences-contre-les-femmes-le-poids-insupportable-de-limmigration/

  • Référendum sur la Turquie : et pourquoi pas tout de suite ?

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    "Car le coup du référendum sur la Turquie, c’est le fameux double effet « kiss cool ». D’une part, on connaît la soif de démocratie (directe) des Français et le fait que le président socialiste y ait recours ne peut que lui apporter quelques sympathies, dont lui comme son parti ont bien besoin. D’autre part, ancrer la question turque au coeur du débat des élections européennes de mai prochain, c’est paradoxalement jouer un vilain tour à l’UMP en favorisant sans doute le Front national dont on peut imaginer qu’il parlera plus fort et plus clair sur le sujet. D’autant qu’on sait bien que, pour les électeurs, la Turquie fait aussi office de symbole. Refuser la Turquie, c’est refuser l’Europe telle qu’elle se construit et surtout signifier son refus de l’entrée d’un pays musulman. [...]

    Enfin, François Hollande vient aussi d’offrir un joli gilet pare-balles à sa majorité sur ce sujet épineux. Car la question divise au sein des cadres du parti, mais encore plus au sein de son électorat. Du coup, la ritournelle « les Français auront le dernier mot » pourrait bien arranger tout le monde. La synthèse, toujours la synthèse…

    Car si comme nous l’avons déjà évoqué les Français s’opposent à 83 % à l’adhésion de la Turquie d’après l’Ifop, c’est le cas de 73 % des électeurs de gauche et même de 81 % des électeurs socialistes! Il y a peu de chances de voir la situation s’inverser d‘ici un éventuel vote. Eventuel, car François Hollande ne s’est pas risqué à donner une quelconque date, ni même une indication. Il espère sans doute qu’il ne sera plus là quand le moment (« le jour venu » s’est-il contenté de dire lors de sa conférence de presse) arrivera. [...]

    On regrettera toutefois qu’il ne lance pas, tout de suite, la procédure référendaire, afin que les Français sachent ce que leur coûte la procédure de pré-adhésion. En 2011, un rapport d’experts allemands indépendant estimait que la Turquie avait déjà perçu de l’Union européenne trois milliards d’euros rien que pour la période 2007-2010, somme qui doit atteindre aujourd’hui cinq milliard d’euros. Le Commissaire européen à l’élargissement avait alors botté en touche en déclarant que « les coûts de l’adhésion de la Turquie ne pourront être estimés que dans la phase terminale des négociations ». [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/r%C3%A9f%C3%A9rendum-sur-la-turquie-et-pourquoi-pas-tout-de-suite-.html

  • De Tsingtao à Paris

    Alors que les autorités célèbrent l’amitié franco-chinoise à l’occasion du cinquantième anniversaire de la reconnaissance de la Chine populaire par De Gaulle, nous avons interrogé une jeune femme qui l’éprouve au quotidien depuis son arrivée à Paris.

    La présence des Chinois est devenue familière en France, du moins pour ceux d’entre nous vivant à Paris.

    Jing, la trentaine, y est arrivée pour ses études voilà trois ans. Elle est originaire de Tsingtao, une ville de la province du Shandong, construite par les Allemands, célèbre pour sa bière exportée aux quatre coins du monde. À sa naissance, nous raconte-t-elle, il n’y avait pas de télévision dans les foyers, ni même de réfrigérateur - alors qu’aux États-Unis, avait-elle découvert dans des films, chacun avait sa voiture. « C’était incroyable », se souvient-elle. La Chine, à l’époque, « c’était comme la Corée du Nord actuellement », nous explique-t-elle.

    OUVERTURE DES PORTES [...]

    L’AF 2878 - La suite sur Le Journal d’un eurosceptique désabusé