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@Valeurs. Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.” #Drome
Chaque jour ou presque, le ministre Darmanin se vante sur Twitter de l’expulsion d’un ou deux étrangers, parfois trois, généralement coupables de violences. Exemples :
Extrait de la tribune d’Eric Zemmour publiée par le JDD :
“(…) À l’instar des chefs d’État des pays arabes qui craignent la désapprobation de leur « rue » lorsqu’ils normalisent leurs relations avec Israël, Emmanuel Macron a peur, lui aussi, de sa « rue arabe » (…)Macron sait qu’il est à la tête de deux peuples. Deux peuples qui n’arrivent plus à vivre ensemble. Deux peuples, dont l’un doit fuir sans cesse les agressions d’une fraction de plus en plus violente de l’autre, pas seulement les attentats perpétrés aux cris de « Allah Akbar », mais ce véritable djihad du quotidien que subissent les Français : insultes, coups, vols, viols, attaques au couteau, trafic de drogue, meurtres.
Cinq jours après la mort de Nahel, jeune Franco-Algérien de 17 ans, tué à Nanterre par un policier fin juin, la France avait déjà été mise sens dessus dessous, saccagée nuit après nuit. Dans une partie de la population, les accusations fusaient : contre les violences policières, les flics racistes, les cités abandonnées, les discriminations, les injustices... Cinq jours après la mort de Thomas, jeune villageois de 16 ans poignardé à la fin d’une soirée dimanche à Crépol, dans la Drôme, l’émotion est vive, mais sa mère ne crie pas vengeance juchée sur la plateforme d’un camion, et le pays n’est pas défiguré par des casseurs. Pour lui, pas de minute de silence observée à l’Assemblée nationale.
Après quinze jours de procès dans le cadre de l’affaire Arrow Baga à Marseille, l’heure du réquisitoire a sonné. Le lundi 20 novembre, le procureur de la République, Marion Luna, réclamait jusqu’à dix ans de prison pour les quinze membres du gang nigérian. Dix ans pour neuf prévenus jugés pour viols collectifs sur des prostituées, de quatre à neuf ans pour six individus présumés coupables de proxénétisme ou d’aide au séjour irrégulier, et une interdiction définitive du territoire français pour douze des quinze personnes impliquées dans l’affaire.
La France est priée par l'Europe d'accueillir des migrants. Toujours plus de migrants.
Une générosité forcée qui pèse d'un poids très lourd sur le territoire. Cette fois, c'est une université française qui est au pied du mur. Et n'en peut plus d'assumer une mission qui n'est pas la sienne. On prend les mêmes et on recommence ! Ce lundi 21 novembre, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a ainsi ordonné l’expulsion d’une centaine de sans-papiers squattant le bâtiment 4R3 de l'université Paul-Sabatier de la ville rose.
Qui aurait cru qu’en matière migratoire, un début de salut nous viendrait des pays nordiques, la Suède en l’occurrence ? Nos lointains voisins affichent en effet un lourd passif sociétal, ayant été les premiers à exporter féminisme, pornographie et ouverture des frontières au tout venant, le tout sur fonds de protestantisme puritain, dont on constate les ravages au sein des instances européennes.
Avec ses 370.000 abonnés YouTube, Bassem est une voix qui compte dans la jungle d’Internet. L’influenceur est notamment connu pour ses prises de parole à contre-courant dans lesquelles il n’hésite pas à dénoncer les malfaisances de sa propre communauté. Mardi 21 novembre, il a réagi au meurtre de Thomas à Crépol et témoigné son soutien aux victimes. « Salam aleykoum, les gens, déclare le bloggeur, face caméra. C’est terrible, ce qui est arrivé au petit Thomas. Que dieu veille sur son âme ! J’ai un message à faire passer à sa famille, à sa mère et son père. Je suis anéanti et meurtri avec vous. Je suis peut-être de la même origine et de la même religion que ces gens-là, mais je suis meurtri pour vous. Et par respect pour votre fils, par respect à tout ce peuple blanc qui est respectueux et qui ne casse pas les couilles, cette fois-ci, on ne va pas s’excuser. On ne va pas s’excuser parce qu’on a honte de s’excuser. On dirait des ex-toxiques [toxicos, NDLR] qui disent "je ne recommencerai plus". C’est tout le temps la même rengaine… »