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Déféré lundi, le suspect a été présenté à un juge des libertés et de la détention (JLD) à l’issue de sa mise en examen. “Des fois, je me contrôle, parfois je ne me contrôle pas”, a-t-il déclaré, indique Ouest France. Cet homme a déjà été condamné à quatre reprises par le passé. Il était sorti de prison le 21 novembre dernier et avait été déféré le 2 mars dernier pour des violences présumées sur deux femmes.
C’est un fil Twitter édifiant que nous partageons avec vous. Rédigé par Tom, il montre à quel point les journalistes du Parisien ont voulu faire passer Philippe, sauvagement tué par des barbares à Grande-Synthe, pour un pédophile. Et, vous allez vous en rendre compte, ces menteurs sont des habitués de la manipulation médiatique quand il s’agit de salir les Français autochtones. Voici donc le texte de Tom, suivi d’un ajout de notre part avec un deuxième chapitre concernant le passif chargé d’un des journalistes du Parisien.
Polémia
Affaire Philippe Coopman : la fabrique d’un mensonge
Je vous explique comment certaines rédactions ont diffusé une version mensongère de l’agression de Philippe. Avec des conséquences graves…
C’est peu dire que la violence est désormais le pain quotidien des Français. Et l’on découvre que cette violence se manifeste de plus en plus chez les jeunes à l’école, dans la rue, partout de la ville à la campagne. On s’effraie de voir des gamins de 13 ans 14 ans en tuer d’autres du même âge. Dans la longue litanie des faits divers, on notera cependant que cette violence s’exerce en grande partie au sein même des communautés immigrées où la drogue fournit souvent le motif.
(…) Les faits reprochés, exhibition et agression sexuelle en état d’ivresse manifeste, sont pourtant loin d‘être anodins.
D’autant plus qu’ils se sont déroulés dans l’enceinte de l’hôpital de Creil le 4 mars dernier dans la soirée. Les pompiers amènent aux urgences Djamel L., sans domicile fixe et dans un état d’ébriété très avancé, son alcoolémie sera mesurée à 2,75 g d’alcool par litre de sang. (…)
Par deux fois, il se livre à des attouchements sur les parties intimes de sa victime qui se débat, avant que le bruit de lutte et les cris n’alertent une autre soignante qui vient aider sa collègue à maîtriser l’agresseur avant l’arrivée du service de sécurité.
Maxime Guimard estime à 500 000 le nombre possible d’étrangers en situation irrégulière au 1er janvier 2022 en retirant chaque année, de 2009 à 2021, du nombre d’étrangers connus pour être entrés, d’une manière ou d’une autre, dans l’irrégularité, ceux qui en sont sortis (décès[1], retour ou régularisation).
Pour 1,3 million de personnes repérées comme entrants dans l’irrégularité de 2009 à 2021, 800 000 sont sortis de l’irrégularité, en grande partie grâce aux procédures de régularisation (80 %). C’est donc principalement par la régularisation que l’État français « lutte » contre la présence irrégulière d’étrangers en France. « La quasi-certitude d’accéder un jour à un statut régulier est inéluctablement interprétée par le migrant comme un signal d’accueil favorable adressé par le pays de destination, qui constitue en lui-même le moteur essentiel de la migration irrégulière » (p. 203).
Cyrielle Chatelain, députée EELV de la 2e circonscription de l'Isère, est aussi la seule présidente du groupe de son parti à l'Assemblée, depuis la mise à l'écart de Julien Bayou - pour les raisons que l'on sait. Et visiblement, à l'heure où la NUPES tangue, tiraillée entre le canal Mélenchon et la ligne Glucksmann, elle tient à réaffirmer son allégeance à LFI. C'est, en tout cas, ce que laisse penser sa sortie ce dimanche, sur Radio J, contre le discours de Gabriel Attal sur l’« entrisme islamiste » à l’école, jeudi dernier. Le Premier ministre avait en particulier dénoncé ceux qui tentaient de faire pénétrer « les préceptes de la charia, notamment dans nos écoles ». Oui, les mots étaient forts, et assez étonnants de la part d'un ex-jeune socialiste, et on les aurait plutôt attendus dans la bouche d'un Bardella ou d'un Zemmour.
Pour d’autres, c’est l’année 2015 qui constitue l’année charnière. Comme cette avocate rennaise à la retraite, qui préfère demeurer anonyme. Née dans une famille radicale-socialiste, elle a «bouffé du curé tous les dimanches» depuis son enfance et considère aujourd’hui encore que la laïcité est l’un des combats les plus importants à mener. Sa mère, très active au PS, l’initie à la vie citoyenne, l’emmène assister au dépouillement des votes. Le jour de l’élection de Mitterrand, mère et fille étaient allées à la mairie de Laval fêter la victoire… et ont vite rebroussé chemin, quand elles ont entendu chanter «L’Internationale» : c’était leur ligne rouge. En 2002, cette dame a voté Chevènement au premier tour. L’affiche du second tour lui fait un choc : «mes parents ont connu la Seconde Guerre mondiale, ça a réactivé cette idée dans notre esprit». Elle manifeste contre le FN, vote Chirac à contrecœur.
“Sans la Hongrie, sans le peuple hongrois, il n’y a pas de liberté en Europe“, a affirmé le Premier ministre Orbán, sur un ton de défi face à ce qu’il perçoit comme les dangers croissants des politiques de l’Union européenne. Lors de cet événement, au cours duquel des membres du Fidesz ont également prononcé des discours, le Premier ministre Orbán a insisté sur la nécessité de lutter pour protéger la paix, la sécurité et les réalisations économiques de la Hongrie contre les batailles idéologiques qui se déroulent à Bruxelles.
On se demande à quoi rime la manifestation contres les racismes et l’islamophobie tenue hier dans Paris, par près de 3000 personnes. Les marcheurs visaient en particulier « les violences policières », soit disant commises sur des jeunes issus de l’immigration arabo-afro-musulmane, référence sans doute aux morts très médiatisées de quelques jeunes pris en flagrant délit de refus d’obtempérer. On oserait leur rappeler, à ces manifestants, que la population générale est bien plus victime des violences policières que les jeunes issus de cette immigration là. On l’a vu pendant les épisodes Gilets-Jaunes, avec des blessures très sérieuses, sur des gens parfaitement pacifiques. Rappeler aussi que ces fameux « jeunes » sont d’à peu près tous les délits de fuite, conduites sans permis, sans assurance, rodéos urbains, attaques de commissariats, délits liés à la drogue, coups de couteaux, la liste est longue… Rappelons qu’il y a un délit de fuite toutes les vingt minutes en France, dont une bonne partie, par des gens « racisés » et que plus de 95% d’entre ces refus, ne sont pas sanctionnés.
Dans un contexte financier difficile, les associations britanniques d’aide aux migrants ont trouvé une parade pour continuer d’opérer le long des côtes françaises. Selon les informations d’Europe 1, elles changent de nationalité juridique pour toucher les subventions de l’État français, beaucoup plus lucratives.