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Le JDD. Vous avez perdu votre fils Adrien, poignardé à la sortie d’une boîte de nuit à Meylan en juillet 2018. Vous ressentiez le besoin de prendre la parole après la mort de Thomas…
Bruno et Patricia Perez. Parce que la mort de Thomas nous a inévitablement ramenés à la mort de notre fils. Ils étaient à une soirée, ils jouaient au rugby, ils étaient jeunes, ils n’étaient pas armés, ils n’avaient rien demandés et ils nous ont été arrachés. Avec des couteaux, avec des gens qui « plantent » gratuitement, à répétition. Rien que ce mot est insupportable…
D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se déploie en communication, mais la Macronie lutte tant contre l’immigration que nos structures d’accueil explosent.
Ainsi, ce mercredi 29 novembre, le département de l’Ain (Bourg-en-Bresse) a tranché dans le vif. Il suspend « temporairement » pour au moins trois mois la prise en charge des fameux « mineurs non accompagnés », dits MNA, qui arrivent directement sur son territoire. Le département a publié en ce sens un communiqué dont nous avons confirmé la validité auprès du service de communication. « Confronté depuis des mois à une augmentation massive d’arrivées de mineurs non accompagnés, le département de l’Ain n’est actuellement plus en capacité d’en accueillir », tranche officiellement le département. Ce n’est pas faute de bonne volonté. En 2023, le département a créé 150 places d’hébergement. Mais voilà, « le dispositif explose », explique le département qui « ne dispose plus de solutions, ni temporaires, ni pérennes ».
Le tribunal administratif a suspendu vendredi soir l’arrêté d’interdiction de rassemblement à Paris d’un groupuscule de l’ultradroite en hommage au jeune Thomas tué lors d’une fête de village dans la Drôme, estimant qu’il s’agissait d’une «atteinte grave à la liberté de manifester». (…)
J’étais l’invitée d’Amandine Bégot pour la Matinale de RTL.
J’ai refusé de participer à cette grossière tentative de diversion qui consiste à condamner des manifestations de « l’ultra-droite ».
Je le refuse, car je ne supporte plus que l’assassinat dramatique du jeune Thomas à Crépol soit minimisé, alors qu’il est un fait de société ; que le racisme anti-blanc et la haine anti-française soient dissimulés par les juges et par les journalistes, alors qu’il tue des Français !
Attention ! La France silencieuse, trop moisie aux yeux des fossoyeurs de la nation, va perdre patience ! Cette population oubliée a su montrer naguère, en enfilant un gilet jaune pour mieux se faire voir des prolophobes, qu’elle savait résister face à des « élites » prétentieuses et déracinées. Or, cinq ans après cette démonstration de force, aucune leçon n’a été tirée de la part du pouvoir parisien et de ses clones à chaussures pointues. Ce n’est que ce lundi qu’Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, se rendra à Crépol (Drôme), théâtre il y a huit jours d’une terreur ethnique menée par des enragés de la cité de la Monnaie, à Romans-sur-Isère.