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C’est un entretien poignant et particulièrement intéressant avec Boualem Sansal qu’Alexandre Devecchio a publié dans Le Figaro du 14 octobre. Boualem Sansal ne cesse d’alerter les peuples occidentaux et principalement la France sur le danger islamiste et la faiblesse de leur riposte. Ils auront été dûment avertis par quelques grandes voix, dont celle de Boualem Sansal, qui rejoignent, d’ailleurs, tout simplement le sentiment populaire. Ici, la trahison des « élites » est patente. Elle est clairement désignée comme telle aujourd’hui par un nombre grandissant de Français.
Les médias de service public ne déçoivent jamais. Même dans le contexte actuel de massacres commis par le Hamas en Israël et d’une menace djihadiste maximale en Europe, une bonne partie des journalistes français parviennent encore à exonérer l’islamisme. C’est plus fort qu’eux. Pointer l’idéologie qui motive tant d’attentats est au-dessus de leurs forces. Prendre des mesures contre les étrangers radicalisés choque leurs sacro-saintes « valeurs républicaines ».
INFO LE FIGARO – Le président des Républicains souhaite réduire de moitié l’enveloppe d’un milliard versée chaque année par l’État chaque aux associations agissant dans le domaine «immigration, asile et intégration».
La Commission européenne subventionne des organisations proches du groupe terroriste, du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et des Frères musulmans.
Depuis l’attaque terroriste sans précédent du 7 octobre 2023 contre la population israélienne, les Gouvernements européens hésitent à suspendre tout ou partie des subventions européennes versées à l’Autorité palestinienne. Rien qu’entre 2021 et 2023, cela représente 691 millions d’euros.
Deux individus, connus de la justice, ont été interpellés à leur domicile et placé en garde à vue par la gendarmerie de la Gironde, lundi. Les faits qui leur sont reprochés se sont déroulés dans la nuit du 28 au 29 juin à Pauillac, au pied du domicile du député Grégoire de Fournas (RN).
Macron sera en Israël, ce mardi 24 octobre. Bien tard. Il est probable, malheureusement, que le monde entier s’en moque comme d’une guigne… mais il est cependant possible que le président de la République nous déçoive quand même. Jordan Bardella rappelait, dimanche, sur Europe 1 et CNews (dans « Le Grand Rendez-vous »), que notre Président avait réussi le tour de force de se mettre à dos à la fois le Maroc et l’Algérie, ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’avait réussi à faire. Il y a fort à parier qu’il a le talent nécessaire pour se brouiller à la fois avec le monde arabe et avec le gouvernement israélien. À la fois vibrionnant et totalement inutile, dans une version renouvelée de la mouche du coche, il fera probablement quelques selfies et publiera un ou deux tweets en hébreu ou en arabe, et la France continuera de couler. Même si rien n’est perdu, même si nous sommes condamnés à l’espérance, entre une opposition islamo-gauchiste désormais totalement revendiquée, une jeunesse immigrée qui déteste notre pays et un exécutif complètement aux fraises, il y a peu de raisons de se réjouir pour démarrer la semaine, alors que la précédente a mal fini.
Des hommes politiques sans goût pour « la » politique : le néant !
Des Français abandonnés par les pouvoirs politiques : du sang !
Quelques jours après la décapitation de Samuel Paty, survenue le 16 octobre 2020, le chefaillon de l’État, dans la cour de la Sorbonne, prononçait un émouvant discours, indiquant que « […] dans ce lieu de l’humanisme, […] nous continuerons, professeur. Nous continuerons ce combat pour la liberté et pour la raison dont vous êtes désormais le visage. Parce que nous vous le devons, parce qu’en France, professeur, les Lumières ne s’éteignent jamais » et d’ajouter « les mots, je les ai eus. Le mal, je l’ai nommé.