A Compiègne, un Tunisien en situation irrégulière a agressé sexuellement une jeune majeure, avant de menacer de viol une mineure de 17 ans.
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A Compiègne, un Tunisien en situation irrégulière a agressé sexuellement une jeune majeure, avant de menacer de viol une mineure de 17 ans.
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Le vendredi 1er août 2025, à Brest, le premier Jeudi du Port de l’été vient de se terminer. Avec des amis, un jeune homme de 17 ans quitte le Parc-à-Chaînes à Brest et remonte le cours Dajot, quand il est abordé par cinq jeunes. Soudain, l’un d’eux lui tape dans le dos et lui arrache la chaîne en or qu’il porte autour du cou, avant de s’enfuir en courant.
Trois portraits saisissants, dans des contextes distincts et à des époques différentes, abondent le proverbe « chassez le naturel, il revient au galop » dont la paternité revient au poète romain Horace.
Huda, la gravure de mode, une belle fleur vénéneuse
De son vrai nom Huda Kattani, 41 ans, est une américano-irakienne née en Oklahoma au temps d’avant Trump, quand les services de l’immigration laissaient passer sans méfiance tous les mahométans. Après tout, l’Arabie ne se disait-elle pas la grande amie des USA ?
Trois hommes encagoulés ont fait irruption chez une femme de 92 ans, vendredi 15 août, vers 23 h, au Pays Fouesnantais (Finistère). Ils lui ont arraché sa chaîne en or, volé 20 euros , tenté de lui prendre son alliance et retourné sa maison. Une enquête est ouverte.
On voit dans cette vidéo du Youtubeur Théo Malini des images étonnantes de dizaines de manifestations ouvertement anti-migrants qui se déroulent en Grande-Bretagne, dans une dizaine de villes dont Londres, Manchester et Newcastle. Les mots d’ordre sont clairs : « Protégez nos enfants », « Nos rues » et surtout « Renvoyez-les ! ».
Nevers : samedi 18 août : 5 heures du matin. Des sirènes de police retentissent, celles de deux véhicules de Police lancés à la poursuite de fêtards roulant à vivre allure dans une petite citadine. Ils grillent un « Cédez le passage », négocient mal leur virage et s’encastrent dans le trottoir à quelques dizaines de centimètres du mur d’une résidence, réveillant ainsi les occupants qui se mettent à leurs fenêtres. Il s’agit d’un refus d’obtempérer et les policiers n’y vont pas avec des pincettes. Débarquement des occupants, ils sont trois, un Français de papier, un étranger tout juste francophone et une jeune femme, pas trop identifiable. Vous avez bu ? Réponse évasive. « Vous êtes en refus d’obtempérer ». Fouille au corps, menottage, résistance vite jugulée de la part des intéressés et hop, embarquement immédiat, deux d’un côté, un de l’autre. Leur voiture, si c’est bien la leur, reste sur place ouverte, à moitié au milieu de la route, jusqu’à ce qu’un dépanneur vienne la chercher vers six heures du matin. Ceci sans parler de l’éventuelle conduite sans permis et sans assurance et des suites qui seront données à ce flagrant délit. Souvent la clémence des peines impressionne.
James Orr est professeur associé de philosophie de la religion à l’université de Cambridge. Il est président de la Fondation Edmund Burke au Royaume-Uni, dont l’objectif est de renforcer les principes du conservatisme national dans les pays occidentaux et autres pays démocratiques.
Il a récemment été nommé président du comité consultatif d’un nouveau groupe de réflexion pro-réforme britannique, le Centre for a Better Britain. Il estime que Reform UK est la seule force politique britannique ayant une chance réelle de succès et qui « croit encore en la nation ». Notre confrère Zoltán Kottász a récemment rencontré James Orr dans la ville hongroise d’Esztergom, en marge du MCC Feszt.
Il était de retour, malgré les interdictions. Cet homme de nationalité sénégalaise a été interpellé au péage de Biriatou, jeudi 14 août. Un contrôle de routine a permis de constater que son nom apparaissait dans les fichiers. Des investigations complémentaires ont permis de l’identifier. À son actif, neuf condamnations, la plupart pour trafic de stupéfiants
Les bars et discothèques ferment, les rues se vident plus tôt, et une génération entière semble délaisser la vie nocturne. Les jeunes adultes d’aujourd’hui, souvent qualifiés de « casaniers », préfèrent rester chez eux, boire un thé matcha, faire du sport ou organiser des soirées privées entre amis plutôt que de s’entasser sur des pistes de danse bondées. Derrière ce phénomène, il y a bien plus qu’un simple changement de mode de vie.