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Sans casque sur un scooter, deux mineurs ont provoqué la panique en slalomant entre des parents et des enfants sur l’aire de jeux du parc de l’Arrou à Blois, le 19 mars 2025. Alertée, la police municipale contrôle les deux ados qui circulaient sur un scooter signalé volé depuis la veille.
Pendant plus de trois mois, une salle culturelle emblématique de la capitale a été transformée en camp illégal de migrants, avec la complicité active ou passive de ses dirigeants. Retour sur un scandale révélateur du désarmement idéologique et institutionnel des pouvoirs publics face au militantisme immigrationniste. Retour sur ces évènements, notamment grâce au travail effectué dessus par Fdesouche.
Magali Segonds, représentante de France travail, est intervenue pour dresser le panorama sur la situation, préciser les données rappelant que France travail ne peut intervenir que dans le cadre des règles du gouvernement.
L’agression d’un rabbin à Orléans le 22 mars dernier par une jeune racaille (16 ans) sous les yeux de son jeune fils (9 ans, lui) a été longuement relayée dans certains médias, plus brièvement dans d’autres, mais n’aura guère émue les participants de la huitième édition de la Marche des solidarités, défilant contre « l’apathie de l’opinion face à la montée des intolérances », à Paris tout autant qu’en province…
Dans un communiqué de presse ce jeudi 27 mars, les personnels du collège Alain de Saint-Fons (Rhône) alertent d’un “climat de violence inacceptable” au sein de l’établissement. La veille, une enseignante a été victime de jets de pierres.
Voilà ces femmes, les sourcils en accent circonflexe, expliquer qu’on les brime, qu’elles ne peuvent pas porter leur voile religieux pendant les épreuves en compétition et les entraînements et qu’ainsi elles sont discriminées, le tout selon un processus toujours identique qui consiste à hurler à la mort, chaque fois que les sociétés occidentales ne plient pas sans broncher devant leur religion, exogène rappelons-le. On a envie de leur dire, comme toujours, que ce soit à l’université, dans le sport ou lors d’un entretien d’embauche : « Puisque ce voile pose problème, vous n’avez qu’à l’enlever ». Non, ce serait trop simple, elles se discriminent elles mêmes et accusent les autres de les discriminer. Il n’est pas rare en Europe, qu’il y ait un « dress-code » en entreprise, on n’occupe pas n’importe quel poste dans n’importe quelle tenue et cela ne choque personne, s’applique à tout le monde, sauf à elles.
Invité sur CNews mardi 25 mars, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a évoqué un rapport “alarmant” sur les Frères Musulmans.
« J’ai – malheureusement il est aujourd’hui classifié confidentiel – un rapport absolument alarmant sur les visées des Frères musulmans. Je vais le déclassifier ».
Dhoihir Dhoulkamal était ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale des Comores jusqu’au remaniement du gouvernement d’Azali Assoumani, en juillet dernier, et, donc, à ce titre, protégé par son immunité diplomatique. Mais six mois et un cyclone plus tard, il est sous le coup d’un mandat de recherche international, visé par une enquête préliminaire pour des fraudes présumées de... 251.000 euros à la caisse d’allocations familiales (CAF) entre 2015 et 2022. Hélas, confie le procureur de Saint-Denis (Réunion) au journal Le Monde, « nous ne savons pas où il se trouve, ni comment le contacter malgré nos recherches ».
À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.
Dis-moi qui tu hais et ce qui te scandalise… Ce 26 mars, Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard exécutent, sur le réseau X, un numéro d’indignation coordonné dans la plus pure tradition de la gauche morale. Nos deux incendiaires sont choqués, et Dieu sait s’il leur en faut ! « Les ministres Retailleau et Valls vont donc participer, ce soir, à un meeting organisé par le lobby pro-israélien Elnet et financé par le milliardaire d’extrême droite Pierre-Édouard Stérin », s’étrangle le député LFI Manuel Bompard. Sur le même ton, deux heures plus tard, l’imam caché du parti joue la surprise sur le ton inquisitoire qui lui est familier : « Bayrou a-t-il autorisé ses ministres Retailleau et Valls à participer, ce soir, à un meeting de soutien à Netanyahou organisé par le comité de soutien Elnet et financé par le milliardaire d’extrême droite Pierre-Édouard Stérin ? », interroge Mélenchon. Dupond et Dupont ont le scandale réglé comme un numéro de ballet russe.