
Ce qui s’est passé à Londres samedi dernier, 13 septembre, est un événement historique. D’une part, comme l’a dit Tommy Robinson, l’organisateur de cette manifestation monstre de plus de 1 million de personnes, « c’est la plus grosse manifestation vue en Angleterre de toute son histoire ». D’autre part, c’est sans doute aussi le début du sursaut des peuples en Europe. Peuples qui refusent de mourir, de voir disparaître leur culture, leur identité, leur histoire. Sur ce plan, la manifestation de Londres fut exemplaire et la volonté de la population était résumée dans les deux mots d’ordre les plus scandés tout au long de l’interminable cortège : « Send them back ! » (Renvoyez-les chez eux) et « Give our country back » (Rendez-nous notre pays !). Sous-entendu, notre pays tel qu’il était avant d’être défiguré principalement par une immigration incontrôlée et délirante accompagnée d’une islamisation et d’un communautarisme qui se sont répandus partout, transformant des quartiers et même des villes entières qui, lorsqu’on y pénètre, pourraient faire croire qu’on est sur un autre continent et plus en Angleterre.
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