
Dans un entretien exclusif à Breizh-info, la députée européenne Catherine Griset (groupe MEP) tire la sonnette d’alarme sur la dérive idéologique du programme Erasmus+. Alors que les universités hongroises sont exclues, Bruxelles ouvre en grand les portes de la coopération universitaire aux pays du Maghreb et du Proche-Orient. Pour l’élue patriote, ce détournement d’un projet noble vers une filière migratoire assumée est révélateur d’un clivage profond : celui qui oppose l’Europe des Nations enracinées à une technocratie mondialiste, hostile à toute affirmation civilisationnelle. Elle dénonce la répression politique qui frappe les milieux universitaires conservateurs, la perte de prestige des humanités classiques, et appelle à un retour à la vocation initiale d’Erasmus : élever les esprits, et non fabriquer du déracinement.




