Après la mort tragique de 27 migrants dans la Manche, la fin de semaine dernière, les gouvernements français et anglais se sont livrés à une pantomime à trois temps désormais bien connue : la patate chaude, la passe à l’aile et le mistigri. La vérité, nue et crue, est que de chaque côté de la Manche, on sait bien qu’il est impossible de laisser un continent se déverser dans un autre.
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Si pousser tout un continent au déracinement n’était (finalement) pas de la générosité ?
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Geoffroy Lejeune tacle BHL : « Ce qui me frappe c’est votre empathie pour les pauvres du monde entier et votre absence d’empathie pour les Gilets Jaunes qui viennent crier leur désespoir à 300 m de chez vous »
Clash entre Geoffroy Lejeune et BHL sur Sud Radio : « Ce qui me frappe c’est votre empathie pour les pauvres du monde entier et votre absence d’empathie pour les Gilets Jaunes qui viennent crier leur désespoir à 300 m de chez vous ».
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Les migrants expédient des milliards dans leur pays d’origine, selon la Banque mondiale
Les chiffres sont rarement évoqués, mais les grandes migrations de ce siècle cachent une économie et des transferts de fonds gigantesques. Pas moins de 589 milliards de dollars, soit 520 milliards d’euros : telle est la somme colossale que les migrants du monde entier auront perçue dans leur pays d’accueil en 2021 et qu’ils auront envoyée dans leur pays d’origine, selon les estimations de la Banque mondiale publiées le 17 novembre. Un chiffre en hausse de 7,3 % sur un an, soit par rapport à 2020.
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La maîtrise des fonds transférés par les diasporas reste une arme redoutable à l’encontre des pays d’origine des migrants.
Et, même si Arnaud Montebourg a été contraint de capituler sur ce terrain sous la pression du « politiquement correct« , nous restons convaincus de sa nécessité.*
Les transferts de fonds par les migrants vers leurs pays d’origine devraient connaître une hausse spectaculaire de 7,3 % cette année, à 589 milliards de dollars (520 milliards d’euros). Les migrants originaires des pays sous-développés envoient trois fois plus d’argent que l’ensemble de l’aide publique au développement dépensée par les pays riches dans le monde. La Banque mondiale, qui publiait ces chiffres mercredi 16 novembre, souligne leur « importance » comme rempart à la crise économique qui frappe actuellement les pays à bas et moyen revenu. Comprenez bien ce que cela signifie : c’est un levier essentiel pour faire accepter par ces pays le renvoi de tous leurs ressortissants qui ne sont pas éligibles au droit d’asile ou qui sont tout simplement expulsés :
PAS DE VISAS DE RETOUR = BLOCAGE DES FONDS = ASPHYXIE FINANCIÈRE.
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Frontière polonaise : Biélorusses et Passeurs des ONG même combat ?
Par Louis-Joseph Delanglade*
« Si tous ces gentils migrants rentrent au pays, ce sera une bonne leçon pour tout le monde. »
On les a vus bien équipés et faisant preuve d’une grande agressivité. Pourtant, sous prétexte qu’ils ont été manipulés et instrumentalisés par le pouvoir biélorusse, la presse bien-pensante souligne que ces milliers de migrants massés à la frontière polonaise ne constituent en rien le danger dénoncé par certains. On croit comprendre qu’ils constitueraient une sorte d’erreur migratoire, erreur que l’Union européenne bien soudée devrait résoudre par « des mesures pour que cesse cette opération honteuse ». Inutile de s’inquiéter donc : tout cela n’a rien à voir avec la grande vague de 2015 ou même la pression migratoire constante en provenance d’Afrique du Nord. On ne peut pourtant pas nier que l’offre de Loukachenko correspond à une demande réelle et que ces migrants, loin d’être des pantins, sont d’abord des gens décidés à venir en Europe – comme tous les autres migrants.
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Marine Le Pen : » Il y a un risque de voir une véritable partition de certains territoires. Il y a des zones de non-droit, des zones de non-France, contre lesquelles le gouvernement est incapable d’agir »
Marine Le Pen dans le Grand Jury ce dimanche : « Il y a un risque de voir une véritable partition de certains territoires. Il y a des zones de non-droit, des zones de non-France, contre lesquelles le gouvernement est incapable d’agir ».
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Feu sur les revolvers à poudre noire de « l’ultra-droite », discrétion sur les stock d’armes en banlieues
À France Inter, les concierges du temple de la pensée autorisée s’inquiètent.Depuis le temps que ces tutélaires des valeurs républicaines pointent la survenue des « zeures-les-plus-sombres », celles-ci commencent à dangereusement pointer du nez.Voilà ce qui se passe quand on parle trop du loup. La preuve, l’ultra-droite, qui est à l’extrême droite ce que la droite extrême est à la droite républicaine, droite républicaine elle-même à l’est de la droite nationaliste et à l’ouest de la droite populiste, cette nébuleuse d’ultra-droite, donc, s’arme. -
Migrants qui partent, migrants qui arrivent, migrants qui traversent, l’UE dans tous ses états
Francesca de Villasmundo sur MPI
A l’Est, dans cette Europe slave qui défend son identité et sa culture, les migrants massés à la frontière biélorusse repartent chez eux. La fermeté des Polonais pour empêcher l’invasion, contre vents et marées, contre les technocrates de l’Union européenne et les pleureuses de la bien-pensance, a gagné. L’aéroport de Minsk, capitale Biélorussie, est plein à craquer d’aspirants à l’Eldorado européen déboutés qui rentrent chez eux.
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Pierre Gentillet, avocat : « La France n’est pas un pays d’immigration. C’est une fable. Avant 1850, il n’y pas eu ou peu d’immigration. Le peuple français a le droit de vouloir rester lui-même »
Pierre Gentillet, avocat, sur CNews : « La France n’est pas un pays d’immigration. C’est une fable. Avant 1850, il n’y pas eu ou peu d’immigration. Le peuple français a le droit de vouloir rester lui-même »
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Sur la frontière polonaise
Enric Ravello Barber
La Pologne défend sa frontière, qui est celle de l'UE, contre une vague d'immigrants clandestins qui cherchent à la prendre d'assaut. Varsovie a déployé son armée pour empêcher l'assaut de milliers de réfugiés qui cherchent à s'installer sur notre continent. Nous soutenons pleinement le gouvernement et l'armée polonais qui doivent agir avec toute la force nécessaire pour arrêter et faire reculer cette invasion intolérable.
Il n'existe aucune considération "humanitaire" pouvant servir de prétexte pour s'opposer à une action polonaise énergique. Si les migrants ont froid et sont dans le besoin, la solution consiste à ouvrir des ponts aériens identiques à ceux qui les ont amenés à la frontière polonaise, mais dans la direction opposée pour les ramener chez eux.