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Eugénie Bastié : « En 1989, il y avait 11 murs frontaliers dans le monde. Il y en a aujourd’hui environ 80. L’aboutissement de l’abolition des frontières, c’est la restauration des murs »
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Justice européenne : la Hongrie de nouveau condamnée
Selon la Cour de justice de l’Union européenne, la Hongrie a enfreint le droit européen en criminalisant l’aide apportée aux demandeurs d’asile et en leur interdisant l’accès au territoire. Elle a rendu son arrêté ce mardi 16 novembre, explique Le Figaro avec l’AFP.
Selon la CJUE, la Hongrie a enfreint le droit européen « en réprimant pénalement toute personne qui fournit une aide à l’introduction d’une demande d’asile ».
La Cour a, en effet, rendu un arrêté, ce mardi 16 novembre, visant l’adoption de la loi « Stop Soros » en 2018 qui faisait de l’aide aux demandeurs d’asile dont la vie n’est pas immédiatement en danger une infraction passible d’une peine allant jusqu’à un an de prison.
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Têtes à Clash n°88 – Crise à l’est de l’Europe : le chantage aux migrants ?
Franck Tanguy reçoit Philippe Murer, Valérie d’Aubigny, Laurent Artur du Plessis et Cyril Bennasar.
Au programme des débats :
1) Retour sur l’allocution présidentielle : un président en campagne, tourné vers l’avenir ?
2) Chantage aux migrants par la Biélorussie sur la Pologne et l’UE : comment y répondre ?
3) Choix du candidat LR : qui pour gagner la présidentielle ?https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n88-crise-a-lest-de-leurope-le-chantage-aux-migrants
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Immigration illégale : la complicité des gouvernements français depuis cinquante ans 1/2
La présente chronique traite de l’immigration illégale. Nous avons fait un point sur l’immigration légale dans un article précédent. Nous examinerons par la suite la question des naissances issues de l’immigration.
Comme nous le disions dans une précédente chronique, la classe dirigeante s’efforce de faire en sorte que le débat sur l’immigration se focalise sur l’immigration illégale, afin d’occulter le fait qu’il existe également une immigration à la fois tout à fait légale et considérable. Pour ce qui est de l’immigration illégale, les responsables politiques sont unanimes : ils proclament sans relâche la nécessité de l’arrêter. Comme on s’en doute, tout cela relève du seul discours : les pouvoirs publics, nous allons le voir, n’entreprennent rien pour y mettre fin. Ils en sont au contraire des complices actifs.
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Migrants : dans la Manche, la France d’Emmanuel Macron ne fait pas mieux que la Libye ou les pays du Maghreb.
Cinq ans après le prétendu démantèlement de la « Jungle » de Calais, organisé par François Hollande et son ministre de l’intérieur d’alors, Bernard Cazeneuve, tout s’est passé comme nous l’avions prévu
TOUT A RECOMMENCÉ ET… TOUT EST À RECOMMENCER, EN PIRE !
Car s’ajoute maintenant au nombre incessant des nouvelles arrivées de migrants, non refoulés et non expulsés, celui des tentatives de plus en plus nombreuses de traversées clandestines de la Manche. Exactement comme ce que l’on observe depuis des années en Méditerranée, en provenance de la Turquie vers la Grèce, de la Libye et du Maghreb vers l’Italie, l’Espagne et la France…
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Ces responsables qui connaissaient la menace terroriste… et n’ont rien pu faire
Des responsables dépassés par les conséquences de l’immigration massive, telle est l’image qui ressort des dernières auditions lors du procès des auteurs de l’attentat du 13 novembre. Une semaine après la comparution de l’ancien Président François Hollande comme témoin – et ses propos qui ont fait couler de l’encre -, la parole est à ceux qui, dans les hautes instances, étaient concernés au premier chef par la lutte antiterroriste. Ainsi, le mardi 16 novembre, étaient cités Bernard Bajolet, directeur général de la Sécurité extérieure au moment des faits, et Patrick Calvar, alors directeur général de la Sécurité intérieure (ce dernier verra, finalement, son audience reportée à une date ultérieure) ; ce mercredi 17 novembre sont cités Bernard Cazeneuve, ancien ministre de l’Intérieur, et François Molins, ancien procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris.
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Faux “mineurs isolés” immigrés : les associations subventionnées tentent de faire taire Zemmour
Le parquet a requis mercredi 10 000 euros d’amende, avec possibilité d’emprisonnement en cas de non paiement, à l’encontre d’Eric Zemmour, jugé devant le tribunal correctionnel de Paris pour ses propos sur les migrants mineurs isolés, lors d’un débat en septembre 2020 sur CNews après un attentat devant les ex-locaux de Charlie Hebdo. Le chroniqueur avait déclaré:
“ils n’ont rien à faire ici, ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs, c’est tout ce qu’ils sont, il faut les renvoyer et il ne faut même pas qu’ils viennent”.
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Terrorisme : soixante attentats islamistes déjoués depuis 2015
Soixante attentats islamistes déjoués depuis 2015
Il faut ajouter à ce chiffre cinq projets d’attentats de l’ultra-droite déjoués depuis 2017. Vingt et un attentats islamistes ont provoqué la mort de 263 personnes en France depuis 2015.
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Inscrire la préférence nationale et civilisationnelle dans la Constitution, la proposition de Jean-Yves Le Gallou
Entretien avec Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia, réalisé par Breizh-Info ♦ Alors que plusieurs candidats à la présidentielle de 2022 évoquent la nécessité de réformer la Constitution, Breizh-Info a interrogé Jean-Yves Le Gallou sur ce sujet.
Le nécessaire retour du pouvoir du peuple
Breizh-Info : Vous avez beaucoup insisté dans deux précédents livres – La Tyrannie médiatique (2013) et Immigration la catastrophe : que faire ? (2016) sur la nécessité de profondes réformes institutionnelles. Vous semblez avoir été entendu puisque beaucoup de candidats à l’élection présidentielle – Éric Zemmour bien sûr, mais aussi Marine Le Pen, Ciotti, Barnier et Pécresse – évoquent des réformes constitutionnelles. Qu’en pensez-vous ?
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“Assimiler l’immigration et l’islam à des menaces” : Gérald Darmanin va-t-il dissoudre les partis de droites, voire les candidats LR ?
Le Conseil des ministres a acté la dissolution de l’Alvarium, association caritative et identitaire à Angers et «appelant à la violence et à la discrimination», a été dissous mercredi en Conseil des ministres. Le sinistre de l’Intérieur Gérald Darmanin a publié sur Twitter le projet de décret de dissolution
Cette dissolution est donc justifiée parce que l’association propage notamment
«depuis 2018 un discours et des idées assimilant l’immigration et l’islam à des menaces que les Français doivent combattre».
A ce niveau-là, Darmanin peut dissoudre tous les partis à droite de LREM, y compris les 5 candidats LR, en plein exercice de zemmourisation.