
Des bandes de jeunes venus de Mostaganem, ville portuaire algérienne, prennent peu à peu le contrôle de la délinquance toulousaine aussi bien dans la rue que dans les prisons.
« Ils n’ont rien à perdre et sont capables de tout. Il m’arrive d’avoir peur d’être poignardé lorsqu’il s’agit de les interpeller », témoigne un policier municipal. Les forces de l’ordre luttent au jour le jour contre une délinquance portée par certains ressortissants algériens originaires de la ville de Mostaganem. Les pouvoirs publics s’en alarment. Un rapport vient d’être transmis à tous les policiers nationaux du département.